CHAPITRE 8
Ecrit par Lady bv2g
Le lendemain le matin, je m’étais levé avec un engourdissement des paupières, une migraine mais je ne pouvais guère rester à la maison car mes parents n’allaient pas du tout l’accepter ; arrivée collège, dès que j’entre dans ma salle de classe, j’aperçois divers rassemblements de groupes de filles même de garçons.
Chacun tenant un paquet à la main avec une histoire à raconter, celle ou celui qui n’avait pas de paquets alors avait une histoire hilarante à conter.
Du coup je m’avance vers mon groupe de filles, naturellement toutes tenaient entre leurs mains des petites sucreries offertes par leurs amants, quant à moi j’ai dit « Bonjour » tout en déposant rapidement mon sac sur ma place, en sortant un livre de mon sac afin d’éviter leur commérage ou qu’elles m’embarquent dans un infernale questionnaire « grâce ce que tu as fait hier ? Grâce finalement tu as eu un gars qui t’a invité quelque part ? Grâce qu’est ce que tu as reçu comme cadeau de saint valentin et puis bla et puis bla et puis bla »
En retirant le livre de mon sac j’ai eu l’idée d’aller rester à la bibliothèque afin d’attendre paisiblement que le professeur daigne arriver et aussi de clairement les éviter, alors dès que je me suis levé pour m’y rendre, direct ashley dit : -voilà grâce qui veut s’en fuir
monique réplique : - laisse là tranquille pour une fois ashley, puis elle tourne le regard vers et dit posément mais grâce pourquoi tu t’en vas ??
sana rétorque :- à ton avis pourquoi elle s’en va tchipss !
je réplique : -je vais juste au toilette pas besoin d’en faire tout une histoire
( T’as même pas envie d’être là mais t’as l’impression de te sentir forcer de le faire, ashley à raison je veux moi fuir car elles sont là parler de la même chose et rien que des hommes et de leurs cadeaux ; ça me saoule tout ça j’ai compris que je suis célibataire et que je suis trop maigre pour intéresser une personne tchips!!)
Comme je leur avais menti que j’allais au toilette, alors je me devais de ne pas trop mettre du temps sinon elles allaient se douter de quelques choses, du coup à mon retour des toilettes bien que je traînais les pas tout en me disant qu’elles allaient avoir terminer avec leurs échanges de cadeaux mais NON !! ça ne faisait que commencer.
Du coup, j’avance à petit pas, espérant d’arriver à la fin de la discussion, Rien ! j’ai pris un grand souffle puis je me suis assise auprès d’elles.
Main sur la joue entrain de les écouter, c’est claire qui commence en nous présentant la fabuleuse bague en diamant offert sur son doigt par l’un de ses chéris, nous toutes, nous étions là agrandir les yeux tout en relookant sa bague une dizaine de fois tellement l’éclat argenté était forte.
Ensuite c’est ashley qui pris le relais, elle nous a montré par des photos ce que ses concubins lui ont donné puis elle en a profité pour nous montrer ce qu’elle a offert à ange
Sana et monique quant à elles avaient aussi reçu plusieurs cadeaux qu’elles n’avaient pas apporté mais elles avaient reçu plusieurs friandises qu’elles ont partagé avec nous.
Après l’étape de présentation de cadeaux, vient la phase commentaire où chacune donne son point de vue sur le cadeau que l’autre à reçu tout en critiquant le garçon qui l’a offert, et juge si il est bon que la personne continue à le fréquenter.
« Je suis aussi ébahit comme vous les gens, les vipères de ce genre existent vraiment hooo !!! pendant que je suis là à rêver pour soulager ma souffrance, à pleurer de ne pas avoir juste un garçon qui pose le regard sur moi, me voici en compagnie de filles qui ont tout pour elles et ne savent plus quoi en faire héé »
« Weeeehhh pourquoi Dieu m’a donné un aussi petit corps mérité ai je une telle vie»
Dans la foulée de la conversation, tandis que j’étais très pensive et mon regard tourné sur mes pieds, monique remarque mon manque d’attention et dit :
- grâce qu’est ce que toi tu en penses de tout ceci ?
Toute stupéfaite par la question, je regagne mes esprits en sursaut, en réalité la première chose qui m’a traversé l’esprit est « vous êtes toutes des garces, regardez comment vous traitez des êtres humains, certaines personnes tueront pour être à votre place, mais vous êtes là à vous comporter comme de parfaites ingrates, bandes chipies que vous êtes !! » ( ça c’est ce que j’avais à l’esprit)
mais voilà ce que j’ai répondu en réalité
- je trouve tous vos cadeaux magnifique les une les autres mais ça ne devraient pas faire l’objet de rupture avec un garçon, ils vous ont offert ce qui étaient à leur moyens
ashley dépose un regard désapprobateur sur moi puis dit
-Grâce toujours à jouer la fille raisonnable, peut être c’est pour ça que tu n’auras jamais de petit ami car tu es toujours entrain de voir les choses comme un rêve ma pauvre, les hommes aiment les filles ambitieuses
Je fis un sourire sur le coin de mes lèvres car je me demandais si elle savait de quoi elle parlait, puis je réplique
-et lorsque tu parles d’ambition tu fais référence à quoi s’il te plaît ? à aimer l’argent ? choisir de sortir avec un homme pour ce qui est dans sa poche ? Et Non pour sa personne ?
elle acquiesce en bougeant ses yeux d’un air prétentieux, tout en sirotant son jus, là j’ai compris que ça ne servait à rien une telle discussion avec elle car de toutes les façons pour elle c’est que je suis sans dragueurs alors mon opinion porte peu, Bref je suis habitué
Un silence plutôt étrange avait stopper la discussion du coup toutes n’avaient plus rien à dire, et admiraient les autres camarades de la classe, j’avoue que c’était un peu gênant de voir des personnes qui ont l’habitude d’avoir un avis sur tout ne pas les entendre parler. heureusement quelques minutes après c’était le cours d’histoire et le professeur fit son entrée du coup on avait plus à être rassembler.
Cette tourmente infernale sur pourquoi les garçons de ma classe ne me kiffe pas ou ne me regarde pas, me torpillait l’esprit, que pouvais -je faire que d’accepter cette triste réalité tout ce qui me restait à faire était de préserver ma concentration pour la réussite de mon brevet d’étude.
Les préparations aux examens furent longue, très ardue par moment, heureusement que j’avais mon grand frère willys pour m’aider dans ces moments là. Avec mon groupe d’amies on se voyait de moins en moins à cause de cela, quelques fois lorsque j’allais sur Facebook, je voyais leurs publications en train d’étudier du coup j’avais compris qu’elles avaient formés un groupe d’étude sans m’inclure.
J’ai refusé de me plaindre et j’ai pris ça comme un soulagement qui va m’éviter de tout le temps à penser aux choses inutiles, Alors des mois plus tard après les compositions on avait repris de se parler par messagerie facebook vu que l’école était aussi terminé donc plus besoin de supporter leurs conversations désinteressante.
Visiblement, elles s’amusaient bien sans moi tandis que j’étais à la maison à retourner mes pouces et à ne pas faire grand-chose ; jusqu’à ce que vint le moment de la remise des résultats du brevet d’étude.
Ce jour là, on avait convenu que ce n’était que moi que devait m’y rendre à l’école pour écourter les résultats ; car dans mon collège les résultats officiels se dictent au sein de la grande cour de récréation. Alors j’y étais allé toute seule, mon pouls était visible à l’œil nu, j’étais toute tremblante à l’idée d‘entendre le résultat, puis au bout de quelques heures résultat rendu la majorité avait obtenu leur brevet d’études dans ma clique il n’y avait que claire qui ne l’avait pas obtenu.
Vu que j’étais sortit avec le téléphone directe je m’empresse d’informer ma famille et mes copines de leur résultat distinct, j’étais toute enjouée à l’idée d’enfin clôturer cette année scolaire tout espérant la prochaine sera la meilleure.
J’étais resté là à traîner un peu au collège histoire de discuter avec mes autres camardes pour connaître le résultat de tout un chacun, c’est ainsi que j’apprends que toute la troisième espagnol avait passé alors sur le coup les garçons se sont associés pour organiser une soirée qui aura le lieu le week-end.
Je me demandais comment ils ont été perspicace dans cette organisation car à peine avoir reçu leur résultat direct ils ont mis en place une fête.
Huumm et moi qui croyait qu’en traînant les pas un peu plus je pouvais être invité.