Chapitre 8

Ecrit par Rayassane

Triste j'étais Pleuré j'ai fait


Flash Back 


Je suis assise sur le lit pendant que Rachida dort comme un gros bébé. Je peux plus me poser la question de savoir comment suis-je arrivé ici mais maintenant il faut penser à comment en sortit. Je me mets à pleurer comme si ce n'était pas permis, je sais que ça ne règle rien mais je ne pouvais pas me contenir, parfois pleure sa soulage. J'étouffe mes crié à l'aide de mon drap je serre les dents et je verse tout ce que j'ai comme lame. Toutes les idées les plus sombres me passent par la tête du suicide par pendaison ou par pesticide car je me demande si j'aurais assez de force comme Rachida pour vivre tout ça 


Je finis par m'endormir aux environs de 4h. 


   * *  *


Rachida- lame de crocodile lève-toi il est temps de déjeuner ou tu veux te laisser mourir... Ça également ce n'est pas méchant c'est un choix 


Moi-... Rohhhh


En plus d'avoir mal dormi fallait être mal réveillé. Je me traine difficilement dans la douche je m'asseoir directe sur la cabine de toilette après la pause-pipi je me lève mais.....


Quelle horreur Ma mine, mes yeux, tous bouffie comme des pommes mal croquer. Je soufflais un grand coup avant de commencer à faire un miracle sur moi-même. 


Après m'être baigné j'allais maintenant me fabrique a la manier fille vivante car je ressemble fort à un zombie . J'opte pour une longue robe blanche fleuri, je m'attaque à mes cheveux j'enlève mes extensions je peigne mes cheveux pour en faire une touffe. 


Place au maquillage je me mets un Eyeliner du mascara  pour faire ressorti le marron de mes yeux une touche de rouge à lèvres Marron mate. Ça peut aller.... Je porte mes bottes attrapent la poignée de la porte prend un grand souffle. Dans mon coeur je priais tous les Dieux s'il n'y n'en a pas qu'un seul de me venir en aide en vue de pouvoir surmonter cette Épreuve 


Je tire la poignée et m'engage sur un long couloir en descendent les escaliers j'entends du bruit à ma droite je suis le bruit et finalement je me trouve dans un grand espace comme une cantine scolaire sa bavarde sa rit aux éclats comme si rien ne les tracassait et Tous d'un coup plus rien tous les regards son fixé sur moi 


J'ai les pieds qui répondent plus moi qui étais habitué aux regards qui m'enfichaient de tous je ne pouvais plus fait même un pas 


Heureusement Rachida me sauve la mise il était temps sinon je sentais un écroulement facial 


Rachida- Ehhh lame de croco par ici... Allez !! 


En me fessant le geste de venir la rejoindre mais c'était mieux de me laisser ainsi tous se mit à rit face à ce surnom ridicule qu'elle m'avait donné


Je suis vénère (énerve) tous les regards sont braqués sur moi je suis face à plus de mil yeux dans la salle. Je me tiens droite, je les regardent dans les yeux, j'évite de regarder par terre. car étant seul ici il ne faut pas que quelqu'un me monte sur la tête ou me marche sur le pied surtout pas. Avec cette situation je ne suis pas encore prête à porte une autre douleur un autre fardeau un genre de harcèlement alors L'assurance et le meilleur moyen car c'est l'ennemi numéro un du harceleur comme on en voit si souvent à la télé, dans la jungle il faut montrer qu'on est fort pour survivre . Si vous voulez éviter de passer pour une cible facile vous devez non seulement avoir confiance en vous être fort moralement c'est ce que j'ai appris chez moi en Afrique . Je vis déjà une grande douleur en ce moment dans Ce bordel alors il ne faut pas en rajouter 

Je m'avance à pas lent pour arriver sûrement. Il y a une place de libre près de Rachida je m'assois 


Rachida- Excuses moi ma belle pour ce surnom stupide mais je t'ai demander ton nom mais tous ce que tu m'as donné ce sont des larmes alors... (Elle le Dit tous en relevant les épaules) 


Elle me regarde comme si elle attendait quelque chose en retour. Ne voyant aucune réponse venir de moi elle me donna dos pour continuer son papotage


Je ne la calcule même pas et commence par me servir le petit déjeuner


Tout le monde parlait en même temps sa rigole sa raconte des ragots...


Je finis mon déjeuner 20Minutes plus tard et m'apprêtais à partir lorsque Madame Sylvie m'interpelle 


Elle me demande de la suivre jusqu'à son bureau ce que je fait


Sylvie- comment vous aller Namysita 


Moi- Tous va pour le mieux dans le meilleur des mondes je suis enfermé dans un bordel avec des prostituer Et une folle qui nous sert de tenancière mais bon ça va (je le dis sur un ton de colère mais qui a quand même le don de la faire rire)


Sylvie : oh oui ah ! on est toutes enfermées dans un bordel mais nous allons tous à merveille je le confirme. Bien heureuse pour vous alors ... bref Rachida vous a expliqué dans les moindres détailles comment ça se passe ici la basse et tous 


Moi: Oui


Sylvie : OK bon maintenant il reste à vous montrer comment bien recevoir un client Alors vous allez vous lever et me suivre 


Moi: pour quoi faire encore ??? Le but n'est pas de coucher avec lui comme une moins que rien "une prostituer " 


Sylvie : tu te trompes lève toi et suis-moi, ici nous sommes des expertes et non des "prostituer " 


Je me lève et la suis elle me conduit au tous dernier étage où j'en déduisis que nous sommes chez les VIP. elle frappe, après plusieurs reprises on fini par avoir une réponse 


Inconnue- Ouai 


Sylvie- Ouvre- moi Stp 


- Ouais madame en quoi puis-je vous être utile parce que moi je comptais me reposer là


Sylvie : oui je sais... Vient entre Namy (elle me tire et me fait entrer dans la chambre de la demoiselle) c'est notre Nouvelle recrue j'aimerais que tu l'apprenne la base de l'accueil tu vois et aussi les meilleures manières de débuter les préliminaires et autres .... Tu comprends les bonnes manières disons


- Oh ! oui oui je comprends mais on ne peut pas le faire après je suis super fatigue Madame 


Sylvie - arrête-tu vas le faire maintenant elle doit commencer le travail aujourd'hui même je vous laisse j'ai beaucoup de choses à faire 


-Mais M 'dame 


- je dis maintenant Ma belle... à plus


-- Roh ( rechigna-t-elle Tous en m'ignorant en fessant mine de cogner sa tête à plusieurs reprises sur la porte Qui était maintenant fermée)

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