Chapitre 8: Incomprehension

Ecrit par Rainha

Je suis entrain de dormir j’entends mon téléphone sonner je laisse sonner en espérant que la personne raccroche mais elle insiste. Je décroche a moitie endormie a moitie énervée sans voir qui c’est même.

- allô


- bonjour beauté


- ah c’est toi


- quoi tu t’attendais a une autre personne ?


- même pas je dormais et j’ai décroché sans voir qui c’était


- ah ok mais tes au courant quand même qu’il est treize heures pourquoi tu dors jusqu’à cette heure ?


- je savais même pas pour moi il était genre onze heures. J’ai rien a faire donc je dors et je suis fatiguée en ce moment


- bon prépares toi je viens te chercher


- on va ou ?


- ça fait trois moi que j’ai mon appart et il est toujours pas meublé j’ai juste un lit que j’utilise même pas je dors encore chez mes parents mais bon la je veux déjà rester chez moi


- mdr


- donc tu vas m’accompagner acheter des trucs


- ok tes la dans combien de temps ?


- dans une heure sois prête chérie


- ok a toute


Il est quand même bizarre ce gars ça fait deux semaines qu’il me calcule pas trop il m’appelle vite fait on parle pendant même pas dix minutes et la il veut que je l’accompagne acheter ds trucs pour son appart en même temps il avait des choses a faire avec sa soutenance sa fin d’étude mais bon. C’est pas tout je file a la douche je m’habille et je vais manger un petit truc en attendant qu’il arrive.   Il m’envoie un message pour me dire qu’il est en bas donc je descend. J’arrive a la voiture je monte il me fait un bisous et démarre.


- tu veux acheter quoi alors ?


- j’ai rien mais je vais d’abord prendre l’essentiel


Il m’explique un peu ce qu’il veut on parle de tout et de rien je lui demande comment s’est passé sa soutenance et tout le reste. On arrive au magasin je lui demande quel style il veut pour son appart quelles couleurs et je commence a repérer des trucs je perd pas de temps a regarder tout et n’importe quoi. 


- t’es vraiment efficace toi


- la déco c’est mon élément


On prend tout ce dont on a besoin et trois heures plus tard on a fini on prend ce qu’on peut dans sa voiture et le plus gros ils vont lui livrer. On va manger quelque part pour faire passer le temps puis on va chez lui. 


- ta vraiment rien de chez rien hein


- mdr oui je t’aurai bien proposé a boire mais tu vois bien que c’est impossible


- krkrkrkrkr et on est censé faire quoi la


Il m’attira a lui avec un regard de prédateur je pouvais voir du désir dans ses yeux.


- viens par la je vais te montrer comment on peut s’occuper


Il m’attrapa par la taille et captura lèvres c’était a la fois passionnel et bestial la température grimpait de plus en plus dans cette pièce. Ma robe ne fit pas long feu avec cet étalon affamé. Il nous dirigea vers la chambre et me posa sur le lit. On s’est jaugés du regard un moment puis on recommencé a s’embrasser mais cette fois c’était plus bestial on avait envie l’un de l’autre et ca se sentait. Je le déshabillais j’en pouvais plus j’étais excitée comme pas possible je voulais le sentir en moi mais monsieur n’était pas de cet avis il déchira ma petite culotte et en deux temps trois mouvements il glissa sa langue vers mon entrejambe et l’inséra dans mon vagin. Je devenais dingue  je m’agrippais aux draps je mouillais comme pas possible.


- humm prend moi j’en peux plus la


- doucement ma belle


Il ne s’arrêtait pas il ne me laissait aucun répit il alternait maintenant ses doigts et sa langue parfois les deux en même temps je gémissais je criais même parfois. Il titillait mes seins et m’embrassait en même temps. La c’était trop je me détachais de son emprise et me mit au dessus de lui il sort un préservatif que je lui enfile et c’est parti pour une danse endiablée je lui montre aussi de quoi je suis capable ce petit Italien se prend pour qui. C’était d’abord doux et passionnel puis la cadence augmenta petit a petit.


- oh oui vas y ma belle


la danse que je suis entrain de faire sur l’enfant d’autrui la n’a pas de nom je gémissais de plus en plus. Je m’accrochais a lui pour qu’il aille plus loin en moi. On était de plus en plus dechainés je sentis que j’étais sur le point d’exploser mais lui n’était pas encore prêt donc je continuais ma cadence et on explosa ensemble. Je m’écroulais de l’autre cote du lit et je repris mon souffle c’était magnifique. Je n’ai même pas le temps de me reposer cinq minutes que je sens un truc dur qui se colle a moi non mais il n’est pas fatigué lui ?


- attend tes sérieux la ?


- j’ai encore envie de toi mon amour


- tes pas fatigué ?


- pas encore bb


Et c’est reparti pour un tour je ne peux même pas dire combien de fois on l’a fait tout ce que je peux dire c’est que c’était magique. Mais pardon celui la s’il continue comme ça j’aurai des rhumatisme avant l’age hein.


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- MEL


- ouais pourquoi tu cries


- je viens de raccrocher avec maman je t’avais dis qu’elle avait pas prévu qu’on aille au bled non ?


- oui mais me dis pas qu’elle a change d’avis tu vas encore me laisser seule ?


- oui on va y aller elle a une de ses cousines qui se marie et elle veut qu’elle soit la donc on va juste pour deux semaines mais devine elle m’a dit quoi d’autre ?


- quoi ?


- tu peux venir avec nous si tu veux


- AAAAAAH tes sérieuse ?


- bha oui tu voulais toujours venir au bled avec moi bha la je t’emmène avec moi donc elle a dit qu’elle va appeler ton père et s’il est d’accord tu viens avec nous


- AAAAAAAH je vais l’appeler tout de suite


Martika est ivoirienne et a chaque fois qu’elle allait en vacances je voulais toujours aller avec elle surtout quand elle revenait me raconter ses vacances donc la je vais appeler papa tout de suite pour lui dire d’accepter


- c’est pour quand le depart ?


- dans deux jours dans la nuit de dimanche a lundi


- je vais regarder un billet tout de suite


- elle t’en a déjà pris elle préférée tout prendre pour qu’il n y ait pas de problème et pour s’assurer qu’on soit bien tous sur le même vol donc il manque juste l’accord de ton père


- je la kiffe tantine Fatou mais je vais quand meme lui rembourser hein je vais appeler papa ensuite je l’appelle pour la remercier


- ok


J’appelle vite papa pour lui dire d’accepter j’ai trop envie d’y aller je suis sure qu’on va bien s’amuser.


- allo mon papa d’amour


- oui je sais que c’est pour m’amadouer j’ai eu la maman de Martika au téléphone elle m’a parlé du voyage


- accepte papa s’il te plaît je m’ennuie et si Martika part sans moi je vais plu m’ennuyer en plus ca va me faire une découverte


- hum bon tu me promets d’être sage chez la famille de Martika et d’être prudente ?


- promis juré craché papa


- humm


- please !


- bon ok j’accepte


- AAAAH je t’aime mon papa adoré


- ahahaha moi aussi allez a plus tard


- bisous papa


Je vais dans la chambre de Martika je lui annonce que je débarque avec elle ne Cote d’Ivoire on danse comme des folles. Je suis trop contente et si on m’avait dis que ce moment faisait parti de mes derniers moments de joie avant longtemps je n’aurai pas cru. Je termine de danser je vais dans ma chambre appeler Liam pour l’informer il n’est pas trop content que je parte surtout que c’est dans deux jours mais il est heureux pour mois


JOUR J


J’ai l’impression que les deux jours la c’est comme si c’était deux mois. On est a l’aéroport papa et maman Elsa sont venus nous dire au revoir je n’ai pas voulu que Liam vienne je ne l’ai pas encore présenté  a papa et c’est pas pour maintenant j’attends que ça devienne bien sérieux entre nous en tout cas hier j’étais avec lui et on s’est bien dit aurevoir mdr.


- bon toi la sois sage hein tu pars chez les gens


- oui maman t’inquiète


Papa et maman Elsa me donnent des derniers conseils on se fait des bisous on se dit aurevoir ils disent aurevoir aux autres et on s’en. Quelques minutes plu tard on embarque moi Martika sa maman et son petit frère direction Abidjan.


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Ça fait une semaine et demi qu’on est arrivé a Abidjan c’est d’abord la chaleur qui nous a accueillis mais bon au fil du temps je me suis habituée. Les ivoiriens laissez moi vous dire que votre pays est doux deh l’ambiance est au top le cousins de Martika nous ont emmenés dans de ces boites la vraiment rien a dire j’ai visite comme pas possible Bassam Assinie au top mais le plus doux c’était la nourriture la maman de Martika nous faisait de ces plats et aussi quand on mangeait dehors.


On est dans la chambre de Martika a parler de tout et de rien notre voyage tire a sa fin il nous reste deux jours donc on fait des derniers programmes quand mon téléphone sonne c’est mon père. Sa voix est assez bizarre donc je m’inquiète un peu.


- Melanie je vais t’envoyer de l’argent tu vas modifier ton billet pour Libreville et pour le plus tôt possible je viendrai te chercher a l’aéroport


- euh je comprend pas trop la qu’est ce qui se passe ?


- pose pas de questions je t’expliquerai quand tu sera sur le sol Gabonais je vais appeler la maman de Martika et je te rappel pour le numéro du western, dit il d’un ton ferme


- mais…..


- MELANIE cria t il


Je sursautais même


- je suis assez tendu donc fais ce que je te dis


Il raccroche et je reste la surprise de ce qui vient de se passer mon père tendu qui me cris dessus ça sent pas bon. J’explique a martika qui est tout autant dépassée que moi.


- alors moi je peux te dire que ça sent très mauvais cette histoire


QU’EST CE QUI SE PASSE ?


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