Chapitre 9
Ecrit par St Daniel
Tout ressemble de nom et de lieu ou encore de vie ne serait que pure coïncidence.
Tire : NADA.
Auteur : St Daniel
Episode 9
-
Je serai ravi de partager un peu plus de
temps avec vous mais là l’avion m’attend, je dois aller sauver le monde.
-
Qui est vous en réalité ?
-
La question à un million. Disons que je
suis un sexe masculin.
-
alors je peux m’ouvrir à vous ?
-
tu veux que je dise que je suis digne
d’avoir ta confiance alors que
consciente que je suis un humain et que l’humain est l’animal le plus dangereux
qui peut exister.
-
Alors comment font ses gens qui vous
fassent écrire leurs vécus ?
-
Je n’aime pas cette proverbe mais je
dois te répondre comme ça, qui ne risque rien, ne gagne rien.
-
Je vois. Une dernier chose, s’il vous
plait je vous appel Daniel ou Saint Daniel.
-
Appelle-moi comme tu veux. Il ne faut jamais dire adieu, cela porte malheur... à .plus
dans le bus.
On s’est échangé nos contact et je lui ai promis que
je l’appellerai un jour et pourquoi pas ne pas partager un cocktail avec lui.
Il est partie avec un sourire radieux et moi de mon coté je suis resté au moins trente à quarante minute avant de
rentrer chez moi. Il sonne déjà vingt trois heures quand je suis rentré et que je suis tombé sur mon voisin au seuil
de ma porte.
-
Euh voisin qu’est-ce que tu cherches
avec l’oreille coller à ma porte ?
-
Nada ? Euh … Désolé, j’avais vu
Inaya rentrer et je me suis dit que …
-
Je sais, tu l’aimes en bien et tu
voudrais voir où est passé ton amie ? Attend je vais ouvrir et tu vas la
voir.
J’ouvre la porte et on entre. Avec mon voisin on
mettait le pied dans l’appartement quand on entend le claquement de la fenêtre.
Le voisin court ouvrir à son tour et
sans voir devant lui il prolonge le cou pour voir en bas et voir qui s’est
quand il cogne la tête à Inaya qui la gifle sur le coup. J’étais là mais sans
mot je voyais Inaya crier de partout sur le voisin qu’il faut qu’il voit là où il met sa grosse
tête. Elle la voix tellement que le
voisin qui l’aime bien à fini par la coller la bouche pour avoir un peu de
silence.
-
On avait juste vu les fenêtres se fermer
et on a pensé que c’était un voleur. Si je n’ai pas vu devant c’est parce que
l’escalier là mène en bas et qu’il fallait poursuivre le fugitif qui n’est que
toi.
-
Tu m’as embrassé ?
-
Désolé.
-
Tu t’en rends compte de ce que tu viens
de faire ?
-
Je suis désolé mais ce n’est pas ma
faute si c’était le seul moyen que j’avais pour faire taire ta bouche.
Elle dépasse très en colère et renverse le voisin
puis me donne une enveloppe et me dit « au moins si tu n’arrives pas à
pardonner il faut au moins être là » avant d’arracher la porte derrière
elle. J’ai pris l’enveloppe que j’ai déposée sur la table avant de m’excuser à
sa place devant le voisin. Le voisin a rejeté tout mes excuses et m’a avoué
qu’il ne l’en veut pas parce qu’il pense que cela est de sa faute. Il y avait
d’autre moyen de la faire taire mais il ne pouvait pas s’empêcher de voir ses
lèvres encore plus longues assez près de lui, m’a-t-il dit avant de me quitter
en disant « le regard indifférent est un
perpétuel adieu, mais disons bonne
nuit parce que Dieu veille sur nous et qu’il décide de demain ». le
lendemain très tôt j’ai quitté la maison pour quelque course que je dois faire
avant d’aller au boulot. C’est en cours de route pour le boulot que je suis
tombé sur maman.
-
Je peux te
parler ? Cinq minutes seulement.
-
Je n’ai pas de
temps.
-
Ok, une
minute.
-
Je suis déjà
en retard. J’aimerais passer si tu n’y trouve aucun inconvénient.
Nous sommes en plein rue et il y a du monde. Je
pense le monde présent autour de nous est coupable du faite qu’elle n’a pas
insisté et je ne sais pas pourquoi j’ai eu se sentiment triste en moi.
Peut-être c’est à cause des paroles d’Inaya, je pense.
-
Je t’ai dit que je n’ai pas de temps, je
ne t’ai pas dit que je ne peux pas marcher tout en discustant.
-
Humm, merci ma fille.
-
Loin de moi la politesse. Tu peux aller
direct ?
-
Oui, oui, je ne vais pas te prendre trop
de temps. Voilà si je suis revenu c’est
parce que je m’en suis rendu compte de mes erreurs et je me suis dit que …
-
Qu’on te pardonnera si tu reviens dans
nos vies ? Je devrais te rappeler les conditions dans lesquelles tu nous
as abandonné ?
-
Je sais ma fille. A l’époque j’avais
rencontré mon ex qui voulait bien m’épouser, mais qui ne vous accepte pas.
-
Et tu as préféré ton ex que nous tes
enfants. Si tu avais du cœur au moins tu pouvais penser à papa, l’homme que tu
disais aimer pour nous éviter l’enfer.
-
Je t’assure que j’y ai pensé. J’ai pesé toute les pièces mais il y avait
aussi la galère qui nous frappait donc oui j’ai choisi mon ex que de pensé à l’amour que j’ai pour ton
père. Un jour tu comprendras que parfois on aura l’amour mais on choisira
plutôt l’autre option. Mais il faut que tu saches qu’au départ je m’étais mis à
l’esprit de vous envoyé un peu de sous chaque mois.
-
Oui c’est ça. Fait que te raisonner avec
des arguments …
-
Je sais, je vous ai abandonné mais
comment je pourrais savoir ou deviné que vous …
-
T’inquiètes, sans toi on s’en est sorti
même si les épines sont nombreuse jusqu’ici.
-
Je crois que je vais devoir te laisser.
-
Oui, je suis arrivé même.
-
Dit tu viendras au mariage de ta
sœur ?
-
Mariage ?!
-
Quoi, elle ne te l’a pas dit ?
-
Euh on peut dire ça.
-
Le retour fait aimer l’adieu. Bonne
journée.
Je me suis rendu dans l’hôtel puis j’ai mis mon uniforme et c’est parti
pour le boulot. J’ai fait le tour et quand j’ai un peu évacuer je suis tombé
sur le vieux et Elodie dans les couloirs qui discutent.
-
Je crois qu’on parle de moi en mal ici
hein.
-
Oui, hein, le vieux disait qu’un mouche
la piqué le bite et que la mettre dans ta chatte le soulagerait.
-
Ah bon ? Alors vient par ici le
vieux, on va voir de plus prêt ton truc.
(j’approche mes deux mains pour lui descendre
le pantalon)
-
Eh Nada tu essaie de faire quoi
là ? Comment tu peux croire ce qu’Elodie dit ?
-
Je voulais juste voir si tu pourrais
avoir l’audace. (rire)
-
Euh on dirait quelqu’une a de la visite
ici hein.
-
Bonsoir à tous.
C’est Daniel qui vient de faire son entré habillé en
maillot et très en sueur.
-
Je peux te parler une minute ?
-
Euh nous on allait justement partir hein
… Euh prenez votre temps, assoyez vous et dormez même si vous voulez. (sourire)
C’était le vieux et Elodie qui viennent de faire
leurs blagues quand ils nous laissent.
-
J’aimerai te dire un truc …
-
Moi aussi.
-
Ah bon ? Je t’écoute.
-
Un jour on se connait et un temps après
on cherche à savoir quand on s’est connu sans le savoir. Mais un jour vient
avec quelque chose et on se souvient de chaque détail de ce jour là. Je veux
juste dire que je ne veux pas de cette
histoire. Moi je veux un truc plus
sérieux.
-
Nada …
-
Si tu n’es pas prête je comprendrais.
Donc ne te gène pas du tout à me …
_A suivre …_
*Episode 10*
_Rendez-vous
demain à 20h pour la suite._
*_
Le rêve est un péché si ça ne se réalise pas. À quoi sert l’ambition si on ne
peut pas atteindre notre rêve au prix de l’humanité ?? L’humanité
restera témoin et gravé de mon rêve à tout jamais. Je suis et restera
immortel._*
Hirondelle
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Ecrivain : Saint Daniel