Le stage de restauration - 6b : Un bar en ville

Première semaine : Samedi fin de matinée

Christine et les deux garçons sortent du supermarché, laissant Willem faire la queue pour payer en caisse. Les deux garçons semblent très excités qu'elle les accompagne sans son mec. L'un d'eux demande :

- Pourquoi tu n'avais plus ta jupe ?

- Mon copain m'a juré que mon débardeur était assez long, comme une mini-robe.

- Tu l'as cru ?

- Je lui fais confiance...

- Et pourquoi tu n'as pas de culotte ?

Christine ne trouve pas de mensonge crédible et hésite à avouer :

- C'est qu'on est un peu exhibitionniste...

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Les gars ne semblent pas comprendre :

- C'est-à-dire que... il te fait mettre à poil devant d'autres mecs ?

- Pas exactement. Il est excité quand il sait que d'autres mecs peuvent apercevoir une partie intime, mon sexe, mes fesses ou mes seins.

Le second gars s'accroupit alors derrière Christine et dit :

- Génial ! Nous, on veut bien vous servir de cobaye.

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En entrant dans le bar, Christine est surprise de voir qu'il est totalement vide. En passant devant le comptoir, elle demande au gars :

- C'est ouvert ?

- Bien sûr. Mais c'est une heure creuse. Les jeunes, si vous voulez commander, venez au bar, moi je regarde le match.

Sous le comptoir, on peut entendre le bruit d'un petit écran qui diffuse un match de foot en direct. Les deux gars lui font un signe de la main, semblant bien le connaître. Les trois jeunes gens vont s'installer au fond du bar. A peine sont-ils assis que les deux gars se mettent à tripoter Christine, relevant même son débardeur sur ses seins.

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- Hey, les gars ! L'exhibitionnisme, ça concerne les yeux. Pas les mains.

- C'est pas plutôt le voyeurisme ?

- C'est la même chose mais de deux points de vue. Moi je m'exhibe, vous vous êtes voyeur.

- Et bien, là, on est aussi tripoteur.

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Comme il se contente seulement de lui caresser les seins, Christine se dit que ça ne porte pas à préjudice. Quand une main se pose sur sa cuisse, elle laisse faire encore. Le souffle court, elle laisse les doigts remonter sous la jupe et effleurer sa moule. Elle pousse un petit gémissement de plaisir quand l'index se pose sur son clitoris et prend alors conscience qu'il est trop tard pour les repousser. Voulant que ce doigt continue à jouer avec son clitoris, elle écarte les cuisses. Aussitôt, le second gars lui attrape les cuisses et les redresse. Christine se retrouve avec la moule à l'air et l'autre gars se met à faire tourner son pouce autour de son clitoris.

Comme Christine pousse un gémissement de plaisir, les deux gars tournent la tête vers le bar, mais le patron semble trop absorbé par son match de foot pour leur prêter attention. Christine se dit qu'elle est allée trop loin. L'exhibitionnisme a dérapé et est en train de se transformer en séance de tripotage en public. Reprenant ses esprits, elle tente de se dégager de l'étreinte des deux garçons. Celui derrière elle la tient fermement à la taille. Comme elle se débat comme un diable, elle finit par lui échapper au prix de sa jupe qui reste entre les mains du gars qui regarde, tel un trophée, le morceau de tissu. Christine tire aussitôt sur son débardeur pour cacher son ventre et ses fesses.

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- Vous êtes cons ou quoi ?!

- Vous gémissiez, on pensait que vous aimiez...

- C'est pas la question. Si je te masturbe tu finiras bien par éjaculer même si tu ne le veux pas. Les filles, c'est pareil avec leur clito.

- Et vous ne voulez que vous exhiber, pas qu'on vous caresse ?

Christine soupire. Elle réfléchit quelques secondes puis dit :

- Si. On peut aller plus loin mais on ne peut pas faire ça n'importe où. Dans un bar, faut pas déconner.

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Les gars se regardent et sourient :

- En fait, on est en colocation dans un appartement au rez-de-chaussée de l'immeuble juste de l'autre côté de la rue.

Christine veut attendre le retour de Willem pour prendre une décision mais elle l'aperçoit dehors, le téléphone à la main, de toute évidence en train de photographier ou de filmer. Christine sent la colère monter mais une idée lui vient :

- Votre appartement donne sur la rue ?

- La chambre oui, pourquoi ?

- Pour que je puisse faire signe à mon copain de nous y rejoindre quand il arrivera.

Christine emboîte le pas aux deux gars et les suit jusque dans la fameuse chambre. Comme attendue, elle voit que Willem les observe discrètement par la fenêtre. Sans attendre, la jeune fille fait glisser les bretelles de son débardeur.

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Une fois dépoitraillée, elle se caresse les seins :

- Voilà, j'exhibe mes seins et, vous, vous êtes deux voyeurs qui en profitez.

Les deux garçons admirent les mamelons tendus.

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Après une minute, un gars demande :

- Et du coup, comme on n'est plus au bar, on peut toucher ?

Christine sourit :

- Oui...

Le gars vient la rejoindre et empoigne les deux seins pour les malaxer doucement. Puis il se penche et se met à sucer les tétons.

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Christine voit que Willem est à la fenêtre en train de les épier discrètement. Le second gars s'approche alors et cherche sa place, bousculant un peu son copain. Voyant l'échange de regards noirs, Christine essaye de temporiser un peu. Elle se laisse tomber sur le lit et écarte les cuisses, révélant sa moule :

- Chacun son tour les gars. Il y en aura pour tout le monde, inutile de vous battre.

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Un gars vient s'asseoir à côté d'elle et commence à lui caresser la moule. Christine gémit. Le gars lui demande :

- Et vous donner un orgasme, c'est autorisé par le code de l'exhibitionniste ?

- Je connais très mal ce code...

La jeune fille ne lui demande surtout pas de retirer sa main, surtout quand il plonge son majeur et son annulaire en même temps dans son vagin pour la masturber lentement.

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Elle est à deux doigts de l'orgasme et ne cherche pas à l'empêcher, au contraire. Aussi, est-elle extrêmement frustrée quand le gars s'interrompt :

- Vous... vous ne continuez pas ?

- Non, moi aussi j'ai envie de faire un peu d'exhibitionnisme.

Le gars se met alors nu sous le regard incrédule de son colocataire. Il expose alors un sexe parfaitement tendu et obtient l'effet attendu : Christine se caresse la moule en admirant son sexe avec envie. Après une minute, elle finit par murmurer :

- Oooooh, venez...

Le gars s'approche, fier d'obtenir ce qu'il voulait. Plus il s'approche, plus les cuisses de Christine s'écartent. Quand il est positionné entre, la jeune fille se redresse pour saisir le sexe dressé et utilise le gland pour se caresser la fente déjà trempée de mouille. Quand le gland est parfaitement lubrifié, elle le fait pénétrer. Puis elle s'allonge sur le dos et laisse le gars continuer, plongeant lentement en elle. Il lui caresse un mamelon. Christine lui prend la main et amène le pouce à sa bouche pour le sucer comme s'il s'agissait d'un sexe.

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Son colocataire n'en croit pas ses yeux et semble assez jaloux même si Christine a bien précisé que c'était chacun son tour. Peut-être pour briser un peu la magie de l'instant, il demande :

- Et votre copain, mademoiselle ?

Christine ne répond pas, commençant à gémir alors que son partenaire commence à aller et venir en elle. Ce dernier répond sèchement :

- Il est à la fenêtre. Il mate.

Un peu agacé par l'intervention de son colocataire, il se met à accélérer la cadence. La jeune fille gémit de plus en plus. S'abandonnant aux assauts du gars, elle sent que l'orgasme monte. Plus elle gémit, plus le gars accélère comme s'il était persuadé que le plaisir de la fille dépend du rythme qu'il donne à ses pénétrations.

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Christine jouit. Les spasmes de son orgasme produisent par les contractions de son vagin, un puissant massage interne autour de la queue de son bienfaiteur. Celui-ci ne peut lutter même s'il espérait pouvoir la baiser beaucoup plus longtemps, comme un acteur porno. Dans une demi-conscience, Christine sent la sève chaude de son amant se répandre dans son ventre. Quand il se retire d'elle, la jeune fille sent l'épaisse semence s'écouler lentement de sa fente encore béante.

Y portant les mains, Christine se rend compte de l'importante quantité de semence que le garçon vient d'expulser en elle. Christine regarde en direction de la fenêtre. Willem est là, yeux écarquillés. Elle prend un peu de sperme au bout de son doigt et le porte à sa bouche comme pour le goûter.

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Willem lui sourit. Il semble donc apprécier le spectacle qu'elle lui donne. Elle l'imagine fébrile, le sexe complètement gonflé, congestionné dans son jeans, avec l'impossibilité de le sortir puisqu'il est dans la rue. Christine se lève et rajuste son débardeur. Elle voit que le second gars la regarde, en attente. Elle lui dit :

- Si vous voulez en profiter aussi, il va au moins falloir que vous la sortiez.

Comme le garçon semble timide et bien moins à l'aise dans cette situation que son colocataire, Christine s'attend à le voir sortir un sexe mou, à peine gonflé. Quand celui-ci apparaît, la jeune fille retient une exclamation de surprise car la queue du gars est déjà parfaitement en érection et semble même plus imposante que celle du premier. Christine fait un clin d'œil à l'intention de Willem et va s'agenouiller devant le gars. Pas si timide que ça, le gars donne un coup de reins vers l'avant dès que Christine ouvre la bouche. Le sexe est chaud et souple. Christine referme ses lèvres et commence à le sucer.

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Le gars se met à râler de plaisir. Christine se demande si ce n'est pas la première fois qu'il se fait sucer. En quelques secondes, elle se rend compte qu'il se durcit et augmente en volume dans sa bouche. Pas très à l'aise, elle interrompt sa fellation :

- Désolée, tu es un peu gros pour que je te suce.

Le gars sourit, manifestement très fier du compliment. La jeune fille le fait s'asseoir et se met à le masturber d'une main, lui massant les testicules de l'autre.

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Le gars se met à gémir. Christine craint qu'il ne jouisse précocement et lui dit :

- Prévenez-moi quand ça viendra.

Elle ne sait pas si le gars a entendu. Elle essaye de rester attentive aux signes tandis qu'elle le masturbe lentement.

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Après une minute de masturbation, Christine se rend compte que le gars semble beaucoup plus résistant qu'elle ne s'y attendait. Souhaitant ne pas y passer toute la matinée non plus, elle abandonne le massage des couilles et se met à masturber la hampe à deux mains, dédiant l'une d'elle plus particulièrement au gland du garçon.

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Le gars gémit de plus belle mais l'éjaculation se fait encore attendre. Christine est bluffée par cette résistance. Jamais Willem le tient plus de deux minutes quand elle lui fait ça. Voulant le stimuler et aller au-devant de ses désirs pour le faire craquer, elle lui demande :

- Où voudrez-vous jouir ?

Le gars parvient péniblement à articuler :

- Vos... seins...

Christine interrompt la masturbation et se redresse pour sortir sa poitrine du décolleté.

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- Levez-vous.

Le gars obéit, trop heureux de se faire diriger par cette fille incroyablement sexy. Christine s'agenouille devant lui et saisit son sexe. Elle voit alors une goutte de liquide pré-séminal qui perle au bout du gland.

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Elle avance le visage et donne un petit coup de langue pour recueillir la petite goutte :

- Tu veux éjaculer sur mes seins ?

- Oui...

Christine positionne le membre tendu entre ses deux seins.

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Quelques secondes après, elle voit le gars fermer les yeux, se crisper. Le sexe se contracte. Une petite vibration remonte la hampe. Le gars retient son souffle puis pousse un profond râle de jouissance quand un premier jet de sperme est libéré et vient s'écraser entre les seins de la jeune fille. Deux autres jets suivent et viennent maculer la poitrine aux mamelons tendus.

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Christine le félicite :

- Bravo ! C'est une belle éja...

Mais elle n'a pas le temps de terminer sa phrase qu'elle est surprise par une puissante giclée de sperme épais qu'elle reçoit au beau milieu du visage.

Le premier gars est mort de rire à voir la tête surprise de Christine mais aussi celle, très gênée, de son colocataire. Christine se relève, amusée :

- Et bien ! vous aviez de la réserve...

Le premier gars rigole encore :

- Kevin n'a jamais eu de copine. C'était une première pour ce jeune puceau.

- Ta gueule Dylan.

Christine sourit en prenant conscience qu'elle n'apprend leur prénom que maintenant. Alors que Dylan lui apporte une boîte de mouchoirs en papier, ils entendent que l'on frappe à la fenêtre de la chambre. C'est Willem qui fait signe "non" à Christine et lui indique de sortir. Christine est surprise : veut-il vraiment qu'elle ne s'essuie pas le visage et qu'elle sorte avec tout ce sperme sur elle ? Voyant le sourire de son copain et les mines ahuries de Dylan et Kevin, Christine décide de relever le challenge et, après avoir ramassé sa jupe, sort retrouver Willem.

- Tu veux vraiment que je reste comme ça ?

- Oui, ça te va très bien. On nettoiera en arrivant à la voiture.

- J'imagine que je ne remets pas la jupe non plus ?

- Effectivement.

- T'es un vrai pervers...

- Oui, mais je sais que ça te plaît aussi. Et te taper ces deux petits jeunes aussi, semble-t-il...

- Apparemment, ça t'a plu à toi aussi.

Durant les dix minutes qu'ils mettent à rejoindre la voiture, ils croisent un certain nombre de personnes mais assez peu se rendent finalement compte du sperme au visage et dans le décolleté de la jeune fille, leur attention se portant surtout sur les jambes nues et le sexe à peine caché par le débardeur.

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Une fois arrivée à la voiture, Willem lui donne un paquet de mouchoirs pour qu'elle s'essuie le visage et le décolleté. Christine voit qu'une bosse phénoménale déforme son entrejambe :

- Alors ça t'excite à ce point que je me sois promenée avec du sperme au visage ?

- Oui... Tu as vu la tête des gens ?

- C'est vrai que c'était excitant... Même si ce n'était pas ton sperme, Will.

- Une prochaine fois, ce sera le miens.

Will regarde les mouchoirs souillés que Christine a en main :

- Tu es certaine de bien avoir tout essuyer ?

- Bien sûr.

Willem se penche dans le décolleté de Christine et regarde attentivement.

- Fais voir.

- Ouvre la voiture alors.

- Non, montre-moi ici.

- Heu, j'ai déjà presque le cul à l'air, je ne vais pas me dépoitrailler sur le parking.

Voyant le sourire de Willem et son air décidé, elle regarde tout autour pour s'assurer que personne ne regarde et dégage les seins du décolleté.

- Tu vois, c'est propre. T'es content ? Maintenant, tu ouvres la voiture, qu'on puisse rentrer ?

- Non, tu vas d'abord aller porter tes mouchoirs sales à la poubelle là-bas.

Christine ne comprend pas pourquoi il lui demande ça :

- Heu, ok, si tu veux...

Elle commence à rajuster son décolleté mais Willem l'arrête :

- Non, tu gardes les nichons à l'air.

- Heu, tu déconnes ? C'est à l'autre bout du parking. D'ailleurs, rends-moi la jupe.

- Allons, tu viens de traverser la ville avec du sperme sur le nez. Où est le problème ?

Christine sent qu'elle n'obtiendra pas gain de cause et, même si tous les petits jeux de Willem l'excitent, elle est pressée d'en finir. Elle traverse donc le parking en courant, histoire que tout cela s'achève vite.

Willem est ravi en voyant les seins s'agiter joliment au gré de la course de sa copine. Un couple regagnant leur voiture hallucine en voyant cela. L'homme sourit et se prend un coup de coude dans les côtes par sa femme. Quand Christine revient à la voiture, elle se rend compte que courir n'était pas une si bonne idée car le débardeur était remonté assez haut sur son ventre et qu'elle n'exposait pas que sa poitrine. Avant de monter dans la voiture, elle rajuste au mieux le débardeur sur ses fesses.

Sur le chemin du retour, Christine demande à Willem :

- Tu débandes un peu ?

- Non là, avec tout ce que tu m'as fait subir, j'en ai pour un moment.

- Tu veux que je te soulage ?

- C'est pas de refus !

Presqu'aussitôt, Willem se gare sur le côté de bord de la route. Christine rigole de son empressement :

- Holala, ça semble urgent !

Elle regarde avec amusement son copain commencer à baisser son pantalon pour extraire son érection.

Le sexe tendu jaillit, totalement raide et presque palpitant. Christine tend la main pour le saisir. Le seul contact de ses doigts suffit à faire frémir Willem. Elle comprend à quel point il est excité :

- Mince, je n'imaginais pas que c'était à ce point !

Christine se dit qu'il faut qu'elle y aille doucement si elle ne veut pas qu'il explose trop vite. Elle se penche sur lui pour commencer à la sucer.

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Alors qu'elle reprend sa respiration, abandonnant temporairement le sexe de son copain, elle l'entend se mettre à râler. Incrédule, elle baisse les yeux sur le sexe turgescent. Un violent jet de sperme jaillit soudain et vient lui fouetter le visage et les seins. Elle n'a pas le temps de réagir ni de bouger. D'autres jets suivent et atterrissent dans son décolleté ou directement sur son débardeur. Quand enfin le déluge de sperme cesse, elle se redresse et se tourne vers Willem, essoufflé :

- Eh bien ! Mon cochon, il fallait que ça sorte apparemment. Tu aurais sans doute joui dans ton froc si on ne s'était pas arrêté, non ?

- Oui... probablement...

Christine commence par nettoyer le sexe et les cuisses de Willem. Puis, pendant que Willem redémarre et prend le chemin du retour, Christine se nettoie à nouveau le visage et le décolleté avec des mouchoirs. Quand ils arrivent à la ferme, Sébastien vient à leur rencontre pour demander de l'aide à Willem :

- Willem, tu peux venir me donner un coup de main dans la grange. Il y a une poutre que je veux remonter au grenier mais j'ai besoin d'un coup de main pour installer la poulie.

Jetant un coup d'œil à Christine qui est un peu gênée par sa tenue très courte, il demande :

- Tout va bien ? Tu as l'air bizarre...

- Heu oui, juste un peu fatiguée.

- Oh. Dans ce cas va t'allonger dans la caravane et repose-toi un peu, on mangera d'ici une demi-heure.

Christine trouve l'idée plutôt bonne et laisse les deux hommes aller bricoler dans la grange pour aller se reposer un peu dans la caravane de Sébastien.

Après cinq minutes, à moitié assoupie, elle entend la porte s'ouvrir mais garde les yeux fermés. Elle prend conscience qu'elle expose sans doute sa moule et ses fesses puisqu'elle n'a pas remis sa jupe, mais cela l'amuse de se dire que Willem se rince l'œil et doit encore bander de plus belle. Aussi n'est-elle pas vraiment surprise de sentir des mains venir caresser ses fesses. Elle se redresse alors et se cambre pour mieux accueillir ses caresses.

Elle l'imagine le sexe tout congestionné dans son jeans, sans doute douloureux. Quand, aux grés des caresses sur les fesses, un doigt effleure son anus, Christine ne réprime pas son plaisir :

- Mmmm, oui...

Le doigt se positionne alors contre la rondelle et fait lentement pression. Il s'y enfonce doucement déclenchant un long gémissement chez la jeune fille.

Pourtant, le doigt ne persiste pas. Après quelques secondes, il ressort. Christine pense que Willem veut l'exciter en la frustrant :

- Salaud... Tu me punis pour les deux gars de ce matin ?

La réponse à sa question ne vient pas mais elle sent un pouce venir caresser sa moule. Elle écarte les cuisses pour qu'il puisse continuer.

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A force de caresses sur les lèvres de sa chatte, Christine sent qu'elle mouille abondamment. Elle a alors pitié de Willem qui a bandé toute la matinée et n'a éjaculé dans la voiture que précipitamment. Elle retire son débardeur et lui dit :

- Je crois que tu peux me prendre, je suis prête...

Elle entend le bruit des vêtements que l'on retire. Puis le gland venir s'appuyer contre sa fente. Un coup de reins puissant fait s'engager la moitié du membre tendu d'un seul coup dans la fente de Christine.

D'abord surprise par une telle violence, Christine se dit d'abord que Willem est vraiment en manque depuis ce matin. Puis alors que le sexe commence à aller et venir lentement en elle, elle prend conscience qu'il est un peu plus gros que d'habitude et un doute l'envahit.

- Will ?

Une voix rigolarde répond alors :

- Ah non, c'est à Sébastien que tu viens de demander de te baiser ! J'ai envoyé Willem chercher une masse au camping et je suis venu voir si tu allais bien... Bonne idée, n'est-ce pas ?

Comprenant son erreur, Christine ne sait pas quoi faire. Elle voudrait le repousser mais elle pense aussi à la note pour le stage. Et puis, elle reconnaît que cette queue qui la prend ainsi lui donne beaucoup de plaisir. Elle décide donc de le laisser faire, espérant un bel orgasme. Toutefois, Sébastien ne tient pas très longtemps. Avant d'avoir eu un orgasme, Christine le sent se retirer et, l'instant d'après, sa semence jaillit et vient s'écraser entre ses fesses, maculant son anus et sa moule.

Sébastien se relève et se rajuste :

- Ah ! Christine ! J'avais jamais eu de stagiaire comme toi. Je suis vraiment content que tu sois venue ici. Pour t'essuyer, tu peux utiliser la serviette qui est parterre dans les toilettes. Willem devrait bientôt revenir. Tu nous retrouves à la grange pour le repas ?

Le maître de stage quitte la caravane, laissant Christine prostrée sur le lit, un peu perturbée par ce qu'elle vient de subir.