CHAPITRE VINGT-QUATRIÈME : un début de follie

Ecrit par Albert ley kasanda

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LA VENGEANCE D'UNE FEMME CHAPITRE VINGT-QUATRIÈME

Auteur ✍️✍️✍️ : Albert ley kasanda

ley : je ne vous crois pas car je vous ai vu de mes propres yeux alors je veux toute la vérité avant que je ne contacte la police tout de suite.

à ce moment-là, les choses se compliquaient et pas question que la police intervienne.

Héléna : parfait, je vais vous dire toute la vérité.

ley : je vous écoute.

à ces mots, des larmes bien chaudes coulaient de mes yeux.

Héléna : cette femme est mon pire cauchemar.

ley : expliques-toi car je n'y comprend rien du tout.

Héléna : Christina était la maîtresse de mon défun époux, elle a tué mon mari.

ley : quoi? mais de quoi parlez-vous? votre époux est mort ici même entre vos mains.

Héléna : oui, exact. avant cela mon époux souffrait d'une cardiopathie et c'est ce qui l'a poussé à faire l'attaque. il a eu une forte dispute avec christina.

ley : attendez, ne me dites pas que vous essayez de vous vengez.

Héléna : exact Docteur, alors je vous demanderai de vous mettre à l'écart, cela ne vous concerne pas.

ley : bien que si, tout se passe dans une clinique je suis médecin en chef.

Héléna : n'essayez même pas de faire un abus de pouvoir.

faites comme si vous n'avez jamais été là. ok ?

ley : je ne peux pas Héléna.

Héléna : alors faites ce qu'il vous semblera bon, appelez donc la police mais n'osez dire un mot de ce que je viens de vous dire.

ley : pourquoi ne l'as-tu pas dénoncé si elle a vraiment tué ton époux ?

Héléna : la dénoncer? hum !! les preuves sont insuffisantes et même si la justice la saisissait cela ne prendra que quelques mois et elle sera remise en liberté.

ley : il ne vous revient pas de vous rendre justice.

Héléna : vous n'y comprendrez rien, vous ne pouvez que me juger. bye.

à ces mots, je sortis du bureau du Docteur ley toute en colère.

Héléna : Raphaël, mais je te croyais déjà parti.

Raphaël : non je ne pouvais partir sans toutefois te remercier de ce que tu as pu faire pour Christina et en dépit de tout cela, elle t'accuse d'avoir tué son bébé.

Héléna : ah ne t'en fais pas, c'est le quotidien de nous médecin. quand tout va bien, on est loué et quand ça se termine mal, on accuse le médecin. au fait, j'aimerais te parler d'une affaire très sérieuse concernant le cas de Christina. 

Raphaël : qu'est-ce-qu'elle a Héléna ??? dites-le-moi.

Héléna : depuis quelques temps avant son accouchement, Christina souffrait déjà d'un trouble mental et j'ai bien peur que ça ne se soit aggravé avec la mort de son bébé.

Raphaël : non Docteur, ce n'est pas vrai, qu'est-ce-qu'on peut faire pour elle ?

Héléna : le mieux c'est qu'on l'emmène dans un asile.

Raphaël : quoi ? un asile de foux?

Héléna : oui je sais que c'est une décision dure à prendre mais tu es la seule famille de Christina en ce moment et toi seul, peut approuver son transfert.

Raphaël : je n'y crois pas.

Héléna : je sais que c'est horrible, je connais le médecin psychiatre qui est responsable de l'asile et je suis sûre qu'elle prendra soin d'elle, c'est une amie de longue date.

Raphaël : parfait, dans ce cas, qu'est-ce-qu'il y a à faire ?

Héléna : tu n'auras qu'à passer demain matin pour signer quelques papiers que m'apportera le Docteur Sandra et tout sera classé.

Raphaël : merci beaucoup Héléna.

Héléna : je t'en prie, prends bien soin de toi.

à cet instant, j'avais le cœur tout ligoté, j'avais l'impression d'être prisonnière de moi-même. j'avais mal d'avoir utilisé à l'inverse mon serment d'hypocrate, c'était un abus de pouvoir et je ne le supportais pas.

ma mère avait peut-être raison, que je regretterai mes choix et tout mais c'était bien trop tard pour regretter ou même retourner en arrière, je n'avais guerre le choix que d'en finir avec ce que j'avais commencé.

quelques minutes après, Kathy est venue me voir dans mon bureau.

Kathy : alors qui se passe avec le Docteur ley ?

Héléna : rien du tout, c'est fini.

Kathy : comment ça ? je l'ai vu t'emmener dans son bureau ?

Héléna : hey ! il n'y a rien.

Kathy : j'ai très peur, je ne veux pas me retrouver en prison pour ce qu'on vient de faire, c'est illégal.

Héléna : calmes-toi, tout est fini.

Kathy : Héléna, stp, il faut que tu arrêtes maintenant. je pense que tu vas trop loin.

Héléna : hey Kathy ! penses-tu que si Daniel était en vie, elle se serait arrêté par là ? non, alors j'essaie d'aller le plus loin possible.

Kathy : et ta tranquillité d'esprit, est-ce-qu'elle te revient ?

Héléna : non, tout devient plus noir qu'avant, je me sens de plus en plus tourmentée et j'ai l'impression de souffrir encore plus. la colère et la rage s'empare de moi et j'ai très peur.

Kathy : hey ! ne pleure pas stp. viens donc dans mes bras. c'est fini. 

bien que tout se compliquait dans ma vie, j'étais juste fière d'une chose, ma meilleure amie me soutenait en tout et pour tout, ma mère était toujours là pour moi et cela me réconfortait beaucoup.

le soir, de retour à la maison, ma mère m'attendait de pied ferme pour avoir des explications.

Héléna : mère, si tu veux savoir de qui est le bébé, eh bien ! il est de Christina et pourquoi je l'ai emmené ici sûrement parcequ'il sera plus en sécurité ici que chez sa mère. voilà tout.

Sylvie,: comment ça ? où est Christina ?

Héléna : Christina est très très souffrante, elle ne reviendra ni aujourd'hui ni demain et encore moins le jour d'après alors fais-moi le plaisir de prendre soin de la petite.

Sylvie : pourquoi donc ?

Héléna : parcequ'elle pourrait être la fille de Daniel.

Sylvie : et même si c'était le cas, ce n'est pas à moi de m'en occuper mais plutôt ta belle-mère ivonne ou ta belle-sœur Ruth.

Héléna : mère, rien n'est sûr, demain je vais demander à ce qu'on lui fasse un test d'ADN alors on sera fixé.

Sylvie : ma fille, dans quoi est-ce-que tu t'es embarquée ? 

Héléna : rien de bien grave mère, fois night et prends bien soin de la petite.

le lendemain, je me suis rendu à la clinique et comme prévu, Raphaël est venu pour signer les papiers afin d'envoyer Christina à l'asile des fous. je ne suis pas fière de ma décision mais elle le méritait et peut-être bien plus.

après que Raphaël ait signé les papiers, Christina a reçu des calmants pour être conduite à l'asile en toute tranquillité.

enfin une grande partie de mon plan a été exécutée mais je ne la sentais toujours pas cette paix du cœur bien au contraire, mon cœur prenait place à l'angoisse, la pitié et la rage.

ley : jusqu'où irez-vous avec cette pauvre femme ? 

Héléna : fichez-moi la paix pour une bonne fois, elle est partie, êtes-vous satisfait ?

le Docteur ley était décidé à avoir des réponses à ses questions alors il est allé voir Kathy, ma meilleure amie.

Kathy : Docteur ley, comment allez-vous ? 

ley : mieux ! je peux savoir à quel jeu vous jouez ???

À suivre ????????????


LA VENGEANCE D'UNE F...