CHAPITRE VINGT-SIXIÈME : un début des regrets
Ecrit par Albert ley kasanda
Aimes avant de lire ????????????
LA VENGEANCE D'UNE FEMME CHAPITRE VINGT-SIXIÈME
Auteur ✍️✍️✍️ : Albert ley kasanda
Puis elle sauta encore sur moi et en essayant de la repousser, elle me poussa du haut du deuxième étage.
Héléna : ah!!!
Kathy : Hélèna, qu'est-ce-que tu as fait sale garce ?
Sandra : allez ! infirmiers, attrapez-la et ligotez-la si fort qu'elle s'en souviendra.
Christina : lâche-moi, tu l'as bien cherché Héléna, ce n'est que le début sale garce, attends-moi en enfer. kiekiekie
elle avait rit si fort que je l'entendais dans mon inconscience, saignant de la bouche, j'étais tombée de dos.
Kathy et Sandra ont vite accouru pour m'emmener à la clinique.
arrivées à la clinique, j'étais inconsciente et ley est vite arrivé.
ley: que s'est-il passé ?
Kathy : c'est une longue histoire, je vais tout t'expliquer après.
il faut qu'on lui fasse une césarienne au plus vite, elle est enceinte.
ley: quoi?
Kathy : ne poses pas de questions et fais ce que je te dis.
ley: allez ! tous en salle d'opération immédiatement.
après une heure d'opération, j'avais enfin repris connaissance...
Héléna : qu'est-ce-qui s'est passé ? où est mon bébé ?
ley : calmes-toi, ton bébé est hors de danger. tu le verras plus tard.
Héléna : je veux le voir tout de suite, ah! je ne peux plus bouger, qu'est-ce-qui m'arrive ?
ley : essayes de ne pas faire trop de mouvement. ça ira mieux.
Héléna : qu'est-ce-qui m'arrive ? dites-le-moi ley.
ley : ta colonne vertébrale a été touchée.
Héléna : non!!! c'est impossible, est-ce-que je ne vais plus jamais remarcher ? non, dites-moi que c'est une mauvaise blague. ça ne peut pas être vrai.
ley : calmes-toi, c'est une paralysie momentanée, tu vas bientôt remarcher.
Héléna : pourquoi cela m'arrive ? pourquoi la vie est si injuste avec moi ?
ley : dis-moi un peu, pourquoi est-ce-que tu ne m'as pas dit que tu étais enceinte de ton défunt mari ?
Héléna : à quoi cela aurait servi ? à rien j'imagine.
ley : hey ! je t'aime Hélèna et je tiens à toi même si je dois élever le fils d'un autre, je le ferai avec amour et passion.
Héléna : je suis désolée ley, je ne peux pas.
ley : pourquoi donc ?
Héléna : parceque je me marie le mois prochain.
ley : quoi ? mais avec qui ?
Héléna : à quoi servait de neuf répondre à toutes ces questions ?
ley : parceque je veux le savoir.
sur le champ, Raphaël est entré.
Raphaël : mon amour, Kathy vient de me dire ce qui venait de se passer.
Héléna : tout va bien ou je peux dire que tout ira pour le mieux.
ley : bon, je vous laisse.
j'avais vu dans les yeux du docteur ley la haine, la rage, la jalousie, le mépris.
j'ignorais qu'il m'aimait à ce point-la mais je ne pouvais plus faire marche arrière.
Christina, maintenant plus que jamais devrait payer ce qu'elle m'avait fait et très cher.
après que Raphaël soit parti, ley est entré avec mon bébé sur les bras.
ley : je ne sais pas trop comment on prend les bébés mais je crois que je m'en sors pas mal.
Héléna : bien sûr que oui, merci pour tout docteur.
ley : est-ce-que tu as dit à ton fiancé pour le bébé ?
Héléna : il l'ignore et je ne veux pas qu'il le sache.
ley : encore une fois tu essaies de te venger de Christina, tu n'aimes pas cet homme et tu le sais...
Héléna : peut-être que je ne l'aime pas mais toi non plus je ne t'aime pas.
ley : Héléna, regardes-moi dans les yeux et dis-moi. que tu ne ressens rien pour moi, que je te laisse indifférente.
Héléna : je ne peux pas.
ley: parfait, on y va, il y a quelqu'un qui veut te voir là dehors.
Héléna : aides-moi à me mettre dans le fauteuil roulant.
ley: d'accord.
Héléna : tu peux me pousser ?
ley: pourquoi pas ?
arrivée à l'extérieur, ma mère était venue me voir avec le bébé de Christina.
Héléna : mère ?
Sylvie : ma fille, quel joli bébé tu as entre tes mains !
Héléna : c'est un garçon mère.
Sylvie : je suis si heureuse pour toi.
j'aurai presqu'eu des remords si cet accident avec Christina n'aurait pas été là mais là, tout était décidé, je devais me marier avec Raphaël coûte que coûte.
un mois est passé depuis ma chute du haut de l'étage, demain, c'est samedi. demain est un grand jour pour moi car je vais me marier avec Raphaël.
je suis donc partie aux cimetières pour la première fois depuis l'enterrement de mon défunt époux.
#auxcimetières
Héléna : Daniel, je ne sais pas si tu m'écoutes en ce moment mais je veux que tu saches qu'ou que tu sois, je te porterai toujours dans mon cœur, au fait, j'ai eu un petit garçon que j'ai nommé Daniel tout comme toi. j'aurais tellement aimé que tu sois là pour le voir grandir. merci pour ce merveilleux cadeau que tu m'aies fait car il est irremplaçable. tout de même que je me suis juré de me venger de ta mort, de venger cette injustice que nous a fait subir Christina. demain est un grand jour car je vais tout enlever officiellement à Christina, sa famille et sa liberté. ah! je t'aime tellement si tu savais mais je le fais pour toi, pour ta quiétude d'âme et aussi pour ma quiétude d'esprit. reposes en paix mon Daniel.
à ce moment, j'ai coulé des larmes chaudes car j'ai réalisé qu'il n'était plus là et qu'il ne reviendrai plus jamais. c'est à ce moment que j'entendis une voix, celle du Dr ley.
ley : tiens donc ce mouchoir, essuyes tes larmes.
Héléna : Docteur, vous m'aviez suivi jusqu'ici ?