CHAPITRE XXV
Ecrit par Bicht
Je me suis pointée à la réception de l’hôtel, vêtue de mon manteau rouge, et des talons aiguilles noires achetées par Medi. Déjà que je suis grande, s’il faille ajouter 10 cm dessus, ça ressemble à quelque chose. Des têtes se retournaient ; faut croire que Kay avait assuré.
Je me dirigeai vers la porte de la chambre qui m’avait été indiquée par la réception et frappai. La porte s’ouvrit sur un Medi en costard et cigare en bouche. ANYWAY ;
Je pénétrai dans la chambre et en fit un tour rapide. Elle était magnifique et offrait une belle vue sur la lagune ébrié . Les lampadaires ainsi que la lune se reflétait à la surface de l’eau, un spectacle éblouissant. Je crois qu’il avait fait tamisé les lumières. Ça donnait un effet plus qu’intime. Le lit était très grand avec des draps en satin d’un rouge sang, et la climatisation n’avait pas chômé tant il y faisait froid. Il y avait également à l’intérieur de la chambre, un charriot avec un bol de glaçons.
- Je vous débarrasse madame, me demanda Ahmed, en se plaçant derrière moi pour retirer le manteau.
Il m’embrassa l’épaule et alla le ranger dans le placard.
- Tu es magnifique. Dit-il en faisant tourner sur moi-même et en me caressant les fesses. Tu ne m’avais pas dit que tu avais appris à te maquiller.
Son haleine, mélange de tabac et de whisky, m’excita plus que de raison. Je me rapprochai en présentant mes lèvres ; il m’agrippa, m’arrêta net par le chignon que j’avais et effleura mes lèvres de son pouce ;
- Ce rouge te va à ravir.
Il enfonça son pouce dans ma bouche et, en bonne vicieuse je me mis à le lui sucer.
- N’accélère pas le mouvement ma belle calme toi, dit-il en me stoppant.
On se dirigea vers le lit, il me fit assoir et soupesa ma poitrine, avant d’ouvrir la nuisette avec les dents.
Ah comment décrire cet appel à la promiscuité ?? Elle était mauve et complètement transparente au niveau des fesses et des seins ; quand je dis transparente, je parle de dentelle. Et, toutes les extrémités se trouvaient au niveau de la poitrine et, pour les relâcher, il fallait sucer un bonbon. C’était très ingénieux de la part du créateur.
Une fois le bonbon pratiquement arraché, je me suis retrouvée avec pour seule vêtement mes talons aiguilles.
- Aujourd’hui, c’est de toi que je m’occupe.
- Ok…
- Elle parle donc, fit-il en m’embrassant furtivement.
- Ça ne va pas faire mal, je demande juste une certaine ouverture d’esprit de ta part.
- Pourquoi tu me fais languir comme ça ?? fis-je plaintive.
- Krkrkr, les bonnes choses prennent du temps ma belle. J’ai des menottes.
Comme un tour de passe-passe, il les fit sortir ; elles avaient des plumes rouges.
- C’est juste pour ne pas que tu bouges, je ne vais pas te faire mal d’accord ??
Je fis oui de la tête. Il me plaça à quatre pattes sur le lit, mes fesses orientées vers lui. C’était, un peu gênant de se retrouver l’intimité autant exposée.
- Medi, j’espère que tu ne vas pas te tromper de trou.
- Mdrrrr ne t’inquiète pas je sais encore où je vais
- Mdrrrr ok.
Il se débarrassa de sa veste, retroussa les manches de sa chemise, et vint se mettre derrière moi ; je sentis quelque chose de froid sur mes lèvres et cette sensation soudaine me fit sursauter.
- Tu aimes ?? me demanda-t-il en effectuant des mouvements de va et vient
- (Je lui répondis en me raclant fortement la gorge)
- Mdrrrr Ok je vois.
Il continua et il l’enfonça carrément en moi ; je n’avais même pas fini de crier son nom que je sentis sa langue partir à la recherche de ce glaçon en moi, tout en effectuant des petits massages sur mon petit trou.
- Babe, j’avais dit pas ahhhhhhhhhh.
Son manège dura un moment avant que je ne me mette à suivre les rotations de sa langue avec mon bassin, et que je jouisse plus que la normale, trop bruyamment.
Quand je me suis calmée, je voulus changer de position, et il a refusé en me chuchotant que ce n’était que le début.
- Babe, j’ai vraiment envie de ton derrière.
- Tu peux répéter ?? (Sa question avait remis mes idées en place)
- Ecoute, ce n’est rien. Tu vas voir, je vais bien lubrifier tout ça et ça va passer in petto.
- JE NE VEUX PAS ;
- Je suis sûre que tu apprécieras en plus, laisse-moi faire.
- NON, dis-je en tournant vivement la tête.
Il en profita pour m’embrasser avidement en me collant sa protubérance et en me pinçant les tétons. C’ETAIT DIVIN ;
- T’inquiète, je ne te ferai pas mal.
J’avalai difficilement ma salive et je le laissai faire.
Il me massa avec une huile faite de gingembre. Ça éveillait les sens et donnait chaud en même temps.
Il débuta le massage par les épaules, ensuite le dos, c’était vraiment relaxant. Il arriva ensuite sur mes fesses, sur lesquelles il s’attarda.
C’était à base de caresses, de petites claques, des léchouilles. Il remonta au niveau de mes hanches et me força à me cambrer, et il vit la cyprine couler sans mon consentement.
Il fit un trait entre mon vagin inondé et mon anus qui commençait à apprécier cette attention soudaine qui lui était accorder. Il fit remonter ce qu’il y avait au niveau de mon vagin et je me mis à gémir. Plaisir quand tu nous tiens.
Il était heureux de sa trouvaille car il continua jusqu’à m’introduire 1 doigt puis deux. Je crus que sa langue allait rejoindre ces doigts, quand je la sentis titiller mon tout petit trou. Il y alla fanco ensuite et moi, sans le vouloir, j’appréciais de plus en plus et mes gémissements ne disaient pas non plus le contraire.
Il se redressa brusquement, et je sentis un peu de mouvement avant d’entendre une fermeture éclair s’étaler sur son long.
- Meddiiiii
- T’inquiète babe, tu vas plus qu’aimer.
Il se plaça à l’entrée de mon anus et au moment où je voulais crier le nom de tous mes ancêtres connus comme méconnus, je le sentis glisser en moi, dans la cavité prévue pour.
- Mdrrrr, tu es vraiment peureuse hein toi là. Je ne vais pas faire quelque chose qui te contrarierait, j’ai appris de mes erreurs, dit-il en m’embrassant sur le dos.
J’étais soulagée. Plus que soulagée. Je m’apprêtais à pleurer.
Il me ramena à lui par ma queue de cheval et me chuchota à l’oreille : « Je t’aime ».
On était tous les deux à genoux, moi les mains encore prisonnière du paravent et lui ayant son membre en moi et une main insidieuse qui alla se loger pile sur mon clitoris. Il tapota là-dessus un instant, avant de me remettre à quatre pattes et de me pilonner, comme si sa vie en dépendait.
* Hélène II Plateaux : c'est un "maquis" ou on mange plein de bonnes choses en particulier attiéké poisson frit. Je ne sais pas si elle met lipkia(fétiche ( c'est une blague ow)) dedans mais en tout cas tu mange tu danses azonto. Tu es touriste fais un tour là bas, you won't be diappointed.
* SOFITEL HOTEL: L’hôtel dja au nom( je veux dire qu'il est juste trop beau). Si tu veux faire surprise du genre avec le chéri mama tu ne seras déçue.