CONVAINCRE LE GENERAL 2
Ecrit par Lari93
Charles-Emmanuel
DASLIVIERA
Mr Tanoh : Quelque chose d’autre ?
Moi : Oui (Il se rassoit).
Mr Tanoh : Que dois-je savoir de plus ?
Moi : J’ai aussi, j’ai aussi (Dis-je presque tremblant) ….
Mr Tanoh : Quoi ??? (En criant) parlez
Moi : Mon ex est aussi enceinte.
Il se lève brusquement et ses son poing que je reçois en plein visage.
Pas besoin de vous décrire la douleur, pareille que la dernière fois à
l’hypermarché.
Le pire c’est que je suis juste au début de mes peine sans pouvoir
riposter ou me défendre.
Il fait le tour de son bureau enragé et viens vers moi.
Je me lève avec une main sur la joue.
Mr Tanoh : Répétez-moi encore vos bêtises (Dis t’il en
criant).
Moi : Monsieur, avant de me mettre en couple avec votre fille.
J’étais dans une relation pas vraiment stable, j’ai eu des rapports avec mon ex
dans la foulé et elle est…. (Et puis merde, un autre coup. Cette fois je suis à
terre).
Mr Tanoh : Vous me prenez pour un con ma parole ?? Non
vous n’allez pas me faire avaler des bobards. Je suppose qu’au père
de cette jeune dame vous avez déballer le même speach. Mais à moi, ne vous me
la ferais pas à l’envers jeune homme.
Moi : (En me relevant, non d’un chien ce vieux a encore de la
puissance dans les mains) Je vous jure sur ma vie que je ne vous mens pas.
Depuis que je suis en couple avec Annabelle, je n’ai pas eu affaire à cette
dernière.
Et la seule chose qui nous lie en ce moment c’est la potentiel grossesse
dont elle m’attribuer la paternité, Sa famille le sais d’ailleurs.
Mr Tanoh : Sale menteur, je vous ai dit dans ce bureau
de ne pas faire souffrir ma fille. Je suis sure qu’elle est contrainte de vous
croire car elle sait que faire dans la position dans laquelle elle se trouve. À
son jeune âge avec un enfant dans le ventre dans une relation sans engagement
réel.
Mais soyer en sure, je reprends les commandes de sa vie dès aujourd’hui.
Moi : Monsieur, sauf votre respect Annabelle est mature et sais
dans quoi elle s’engage. C’est toujours aussi par respect pour vous que je me
tiens ici. Je suis prêt à encaisser tous les coups de poing possible. Mais vous
ne m’éloignerais pas de votre fille. Seul elle a le pouvoir de le faire.
Et peu importe la manière dont vous prenez cette histoire, votre fille
porte mon enfant et je tiens à eux. Je serais toujours dans sa vie. (Ses yeux
sont rouges de colère)
En plus, je l’aime comme un fou, alors je serais toujours derrière ….
merdeee (Encore une droite).
La porte s’ouvre brusquement sur Annabelle et les autres membres de la
famille.
Annabelle : (En se mettant entre moi et son père qui s’apprêtait à
me donner un autre coup de poing) Papa stop s’il te plait.
Mr Tanoh : Toi dégage (En hurlant de plus belle).
Annabelle : Non arrête de le taper (Dit-elle calmement, Malgré la
douleur je la regarde défier son père pour moi) c’est le père de mon
enfant.
Mr Tanoh : Tu oses me défier Annabelle ?
Annabelle : Papa c’est le père de ton futur petit fils. Charles est venu
assumer ses actes et t’en informer lui-même afin que tu ne l’apprennes pas de
la bouche d’un tier. C’est une marque de considération et de respect.
Moi : Annabelle s’il te plait (Personne ne m’écoute).
Mr Tanoh : Sache que cet homme se joue de toi. Qu’es qui te
fait dire qu’il ne fait pas la même chose avec l’autre fille ?
Si c’est par peur de ma réaction face à la grossesse que tu continues
avec lui, alors ne t’inquiète pas. Tu ne seras pas la première et la dernière
des mères célibataires dans ce pays. Je pourrais le supporter.
Annabelle : Papa, Il m’aime et je le sais. Je l’aime aussi, c‘est
tout ce qui compte.
Mr Tanoh : Tu es aveugle, très aveugle même, et tu le
regretteras. Sache que personne ici ne viendras te consoler quand tout tournera
mal. Maintenant… dégager de ma maison (En serrant les poing).
Mme Tanoh : Benoit calme toi, Ils n’iront nulle part.
Brice : Papa s’il te plait calme toi.
Mr Tanoh : (En me regardant) Vous avez donc ligué toute ma
famille contre moi ? Beau travail. Toute le monde me répond aujourd’hui.
Michael : Hummm sauf moi Papa. Je crois que je n’ai pas trop
compris ce qui se passe ici. Qui m’explique ? (Tout le monde l’ignore)
Mme Tanoh : Benoit, il s’agit de ton enfant. C’est ton enfant que
tu fous à la porte de cette maison.
Mr Tanoh : Alice elle a fait son choix.
Mme Tanoh : Cette Maison, nous l’avons bâtie pour qu’elle soit
toujours un refuge pour chacun de nos enfants. Alors Annabelle ne bougera pas.
Mr Tanoh : Alice ne me pousse pas à bout.
Mme Tanoh : Je ne t’ai jamais contredit Papa. Ton enfant défend
juste son partenaire. Ne l’as-tu jamais fait pour moi ?
Benoit, de toi à moi aurais tu aimer apprendre tout ceci de la bouche
d’autrui. Le jeune homme est venu ici te parler. Il supporte tes coups sans
rien fuir, alors calme toi Papa, Yaki (Pardon dans les langues Agnin et
Baoulé).
Mr Tanoh : Alice, Alice Hummm
Brice : Papa s’il te plait calme toi. Je comprends ta colère mais
qui peut prévoir la vie ? J’étais aussi en colère quand je l’ai su, mais
c’est arrivé et on n’y peut rien. Si elle accepte cette situation telle qu’elle
est nous ne pouvons que la soutenir. Il sait à quoi s’entendre quand elle le
lâchera (En me regardant), Tu lui en as donner un avant-gout.
(Il ne dit rien et s’assoit dans l’un des fauteuils de ce bureau, nous
restons tous debout)
Mr Tanoh : Alice Reste. Vous autre sortez. Brice accueil les
autres jusqu’à notre arrivé.
Faut dire que j’étais bien amocher et j’avais qu’une seule envie rentrer
chez moi. Mais Mr Tanoh ne nous a pas encore libérer. Et je vais devoir
supporter le regard des gens qui viendrons au déjeuner.
Une fois au salon Annabelle pars dans la cuisine chercher des
glaçons qu’elle m’applique au visage.
Michael : Mais qu’es qui se passe ici ?
Brice : Pour faire cours Annabelle est enceinte de lui, et son ex
aussi.
Michael : waouh, Félicitation me petite sœur chérie. Mec (En
s’adressant à moi) tu es dans de sale drap. Mais je crois que cette fille mens
et veux juste te garder. Tu es milliardaire. Si j’étais une femme j’aurais fait
pareil. Vérifie par un test qu’il est bien de toi.
Brice : Surveille ton langage.
Michael : Grand je suis un routier, je connais ça.
Brice : Annabelle peut aussi faire ce dont tu accuse cette fille.
Michael : Annabelle ? elle ne sait même pas mentir !
Regarde ta petite sœur. Moi je serais le parrain de cet enfant, je
lui enseignerais la vraie vie du dehors.
Annabelle : Pardon ai pitié de cet enfant qui n’ai pas encore né.
Il a réussi à nous arracher le sourire à tous.
Les membres de la famille arrivent à tour de rôle sans poser de
question.
D’abord Emile et Emilie, puis les épouse de Brice et Jason aves leurs
enfants.
Andrews est arrivé un peu plus tard avec sa fiancée et Il ne m’a pas
salué.
Jason arrive en dernier.
Jason : Bonjour à tous mais où sont les parents ?
Brice : Dans le bureau (ça fait déjà plus de 30 minutes qu’ils y
sont et mes espoirs repose sur madame TANOH)
Jason : Ah je vois (En me regardant). Charles et Brice je peux vous
voir quelques minutes ?
Brice : Ok
Je me lève pour les suivre.
Andrews : On peut quand même savoir ce qui se passe ici ?
Jason : tu le sauras bientôt quand ton père sortira de son bureau.
Arrivé dans un coin tranquille du jardin, Jason commence à nous parler.
Jason : J’ai vérifié tout ceci et les documents sont authentique.
Brice : Ce qui veut dire que Daniel a vraiment fait ce dont on
l’accuse.
Jason : Oui faut croire, (Dit il déçu) J’ai mis un détective sur le
dossier qui a pu vérifier à l’hôpital et il a vraiment corrompu des gens pour
avoir le dossier médical d’Annabelle.
Il faut régler le cas de ce type.
Moi : j’aimerais que tout ceci reste secret pour l’instant. Car il
n’agit pas seul et je veux les prendre en même temps. En plus, il est proche de
certain d’entre vous. Même avec les preuves actuelles sa sera difficile de
convaincre tout le monde. Je ne veux pas qu’il se doute de quoi que ce soit.
Jason : Dit nous juste quoi faire et nous t’aiderons.
Brice : Oui on t’aidera.
Moi : Merci pour tout.
Jason : On le fait pour la petite, et non pour toi (En riant).
Moi : Merci quand même.
La voix de maman TANOH, nous sors de notre petite réunion.
Mme Tanoh : Les enfants désolés pour le retard. Mon époux et moi
avions envie de vous faire poiroter ce matin (En riant, il est arrêté le regard
neutre auprès d’elle). Allons tous à table. Je vous ai fait de bon plats mes
enfants.
Nous nous sommes tous à tabler.
Tout le monde discutait, Annabelle et moi dissions le minimum.
Sous la table, je tenais la main d’Annabelle.
Le général n’a dit aucun mot, du diner jusqu’à notre départ.
Le simple fait qu’il est volontaire pris sa fille dans ses bras au
moment de dire au revoir m’a soulagé, Annabelle aussi.
IL va se calmer.
Je peux donc me concentrer sur ces deux vipères.