Daniel Delalie

Ecrit par Yayira Bénédicte

DANIEL DELALIE



- je vous dépose où madame ?

- c’est mademoiselle, je Angré mais pourriez svp vous arrêter à un fastfood je meurs de faim

- vous me prenez pour votre chauffeur peut-être ?

- est-ce que j’ai dis quelque chose du genre ? j’ai faim mon frère pardon

Je la regardais sans rien dis avant de reporter mon attention sur ma conduite, je me garait devant le premier fastfood que je vis au rond point de la 2

- je peux avoir 10..000f svp ?

- c’est une blague ?

- non j’ai faim et j’ai pas un sous. Dit-elle en me regardant droit dans les yeux

Je fis un effort presque surhumain pour me contenir, je sortis un billet de 10.000f dans ma poche que je lui tendis. Qu’es-ce qui m’empêche de la foutre hors de ma voiture et m’en aller ? Je n’en sais rien. Elle revint quelques minutes plus tard avec un sachet repris place dans le véhicule avant de se mettre à manger sans aucune gêne

- vous êtes entrain de salir mon véhicule dis-je énervé

- humm désolé fit-elle la bouche pleine 

J’entrais dans ne station faire le plein, Fiona et Fanny doivent être sûrement entrain de m’attendre pour dormir et me voici à jouer les bon samaritain. 

- Vous ne pouvez pas manger avec un peu de tenu ? c’est quoi ses sauvageries ? regardez comment vous engloutissez le hamburger

- Ah mon frère pardon, laisse moi manger en paix. Dit-elle la bouche toujours pleine. 

J’étais abasourdie en constatant qu’elle avait vidé le sachet plein de nourriture en moins de 10 minutes

- On passe pars où ? demandais-je en sortant de la station 

- Vous prenant tout directe et (elle rota bruyamment e tourner à gauche au second carrefour

Elle ne c’est même pas excuser d’avoir roté aussi bruyamment, comment on peut être à ce point sans manière ? Je ne fis aucune remarque et pris le chemin qu’elle m’avait indiqué

- Ensuite je vais à droite où je continues encore tout direct ?

- ……

- Je vous parl…. Merde ! je venais de m rendre compte qu’elle c’étais endormis

C’est quoi cette foutaise ? Non mais c’est quoi ça ? Pourquoi est-ce à moi qu’un truc pareil arrive ? J’ai essayé de la réveillée en vain elle ne me faisait que des ‘’humm’’ en se grattant la joue. Qu’est-ce que je dois faire maintenant ? il est déjà plus de 22h.  

Je manœuvrais pour faire demis tour et prendre la route de chez moi parce que je ne pouvais pas rester dans la rue comme ça à attendre que madame se réveille alors que je suis attendu et je devais être rentré depuis une heure environ. Le portail automatique de ma villa s’ouvrit automatiquement devant moi. Je descendis avant de contourné la voiture sortir cette fille et me dirigé vers la maison. A peine j’arrivais devant la porte qu’elle s’ouvrit sur Marjorie en nuisette, j’ai commencé à avoir la migraine 

- Qu’est-ce que cela signifie Daniel ? tu te fous de qui ? dit-elle en criant

- Tu vas te taire et dégagé de mon chemin ? dis-je calmement mais elle me connaissais assez pour savoir qu’elle devait quitter mon chemin ; ce qu’elle fit

J’allais coucher celle là dans la chambre la plus proche tan elle pesait, normal vu comme elle mange 

- Tu n’as donc aucun respect pour moi Danielle ? tu envois une autre femme ici ?

Je la dépassais sans rien dire avant de me diriger vers la chambre de mes filles sans lui répondre, elle continuait de me suivre en pialant 

- Je vais rentrer dans la chambre de mes filles et je ne veux pas t’entendre encore derrière dis-je calmement avant de rentrer dans la chambre des filles

Je les trouvais endormi sur le même lit l’une dans les bras de l’autre, y’a deux lits dans la chambre mais elles dormaient la plus part du temps sur le même lit. Fiona et fanny sont mes jumelles de 5ans, leur mère c’est remarié et a décidé d’aller vivre avec son blanc à Bruxelles  depuis 3ans maintenant, j’ai obtenu la garde des filles sans problème parce que madame leur mère était impatiente de retrouver le podium après quelques années d’absence. Les petites n’avaient que 2ans mais elle s’en fichait sous prétexte que c’est moi qui l’ai forcé à garder la grossesse donc je devais assumer, j’ai dû réaménager ma vie pour avoir du temps pour mes enfants qui n’avait que moi désormais, aillant vécu dans un orphelinat jusqu’à ce que j’ai le BAC je savais parfaitement ce que l’on ressent quand a aucun parent sur qui compte et je ne voulais pas que mes enfants connaisse cela. 

Aujourd’hui je gère parfaitement ma vie de père et ma vie professionnelle, celle qui m’exaspère actuellement c’est Marjorie, cela fais 1an et demi que nous somme ensemble mais je ne la supporte plus, toujours entrain de crier, toujours entrain de se plaindre de si où de ça. Je ne sais même pas ce qu’elle fait chez moi aujourd’hui puisqu’on ne vis pas ensemble et elle est sensé m’appelé avant de venir chez moi. Je finis par embrasser mes bébés avant de retourner dans ma chambre où je trouve Marjorie entrain de faire les cent pas

- Pour qui me prends tu as la fin ? tu oses ramener ta pétasse ici ? sous le même toît que tes filles même que je suis là ?

- …… 

Je ne répondis pas, je me dirigeais vers mon dressing pour me déshabiller et prendre une douche pendant que madame continuait de pialer comme un perroquet, comment certaine femme arrive à parler autant ? je pris ma douche, mis mon jogging avant de retourner dans la chambre

- Et tu ne daigne pas me répondre ? 

- Viens t’assoir. Dis-je en prenant place sur le lit. Elle bouda et vint prendre place sur le lit

- Qu’es-ce que tu fais chez moi sans mon accord ?

- ……..

- Tu sais que je n’aime pas me répéter

- Je…tu….ça fait 6 semaines maintenant tu évites mes appels et tu ne décroche pas mes appels alors j’ai décidé de venir te voir. Dit-elle en se triturant les doigts 

- Quelle est l’une des règles de cette relation ?

- Ne jamais venir sans te prévenir

- D’abord tu viens chez moi sans me prévenir ensuite tu te mets à me crier dessus comme si j’étais ton enfant, on a construit cette maison ensemble ? on paye les factures ensemble ? tu à déjà faire les courses et venir avec ici ? tu as déjà contribuée à acheter quoi que ce soit dans cette maison ?

- -…….

- Tu es mon épouse ? je me suis déjà présenté chez tes parents ?

- ……..

- Plus jamais et écoute moi très bien plus jamais tu ne me cris dessus comme ça encore moins dans ma maison et devant mes employés, compris ?

- ……. 

- C’est à toi que je parle

- Oui c’est compris. Dit-elle les larmes aux yeux mais ça ne marche plus avec moi ses larmes de crocodiles

- Si tu as envie de pleurer tu sors de ma chambre j’ai besoin de dormis. Dis-je en m’allongeant après avoir éteint la lumière de la chambre et la lampe de chevet

Je l’entendis renifler mais mes paupières s’alourdissaient déjà. Je fus réveillé par des caresse sur ma verge, j’enlevais doucement sa main avant de me lever du lit

- Chéri ne m’ignore pas stp, je suis désolé

Je ne répondis  pas je sortis de la chambre pour me rendre au sous sol où se trouvais ma salle de sport, je passais 1h ici chaque matin avant d’entamer ma journée. Je pris ensuite une douche avant de descendre, les filles devaient être en bas cette heure parce qu’il y’a école aujourd’hui

- Papaaa ! fit-elles joyeusement

- Mes princesses ! fis-je en m’abaissant pour les prendre dans mes bras

- On t’a attendu hier. Dit Fiona un peu boudeuse

- Désolé mes bébés, papa a eu quelque imprévu

- On est plus fâchées. Répondit Fanny la plus douce, Fiona était du genre un peu bagarreuse et Fanny c’était tout le contraire

Elles reprirent leur place tout en me racontant leur journée d’hier puisse qu’elles n’avaient pas pu le faire hier soir

- Combien de fois dois-je vous dire qu’on ne parle pas e mangeant. Dit Marjorie un peu énervé

Les filles me regardaient avant de baissée la tête dans leur assiettes, je lançais un regards à Marjorie sans rien ajouter

- Bonjour ! 

- Tchrrrrrrrrr fit Marjorie

- Bonjour madame répondirent les filles en la regardant curieusement

- Prenez place dis-je à son endroit

- Euh non merci, je… veux rentrer chez moi

- Ok allez-y

- Euh je ne sais pas où nous sommes encore moins comment rentrer chez moi

- Et vous espériez peut-être que je laisse mon petit déjeuner pour vous raccompagner ?

Elle ne dit rien et pris place sur l’une des deux chaises libre, j’appelais une des servante pour qu’elle apporte une autre tasse et un plat

- Vous êtes une amie de papa ? demanda Fiona

- Euh non 

- Vous vous appeler comment ? demanda Fanny

- Myriam, je m’appelle Myriam

- Juste Myriam ? demanda encore Fiona, vous n’avez pas un nom de famille

- Euh si bien sûre

- Alors c’est quoi tout votre nom ?

- Euh Sékongo Myriam

- Enchantée, moi je m’appel Delalie Cassandre Fiona j’ai 5 ans et ma sœur s’appelle Delalie Chloé Fanny 

- Enchantée

- Vous êtes très jolie dit Fanny

- Vous allez là fermer et manger ? cria Marjorie 

Les petites se tu aussi mais là s’en était trop

- On va être en retards mes amours mangé et en cours pour l’école vous pourriez parlez avec tata

- D’accord papa. 

- Marjorie dans mon bureau dis-je après avoir bus mon jus de pamplemousse

Une fois dans le bureau elle commença directe à s’excuser 

- Je ne sais pas ce qui m’a prit Dan excuse moi

- Tu as fumé de la Marijana avec tes fesses ? qui t’a donné le droit de crier sur mes enfants de la sorte ? 

- Je suis désolé, pardonne moi

- Tu vas monter ramasser tout ce qui t’appartient là haut et dégagez de ma maison

- Qu… quoi ? tu ne peux pas me faire ça Danielle encore moins pour des broutilles pareilles

- Je vais me gêner, je pars déposer mes enfants à l’école à mon retour je ne veux voir aucune trace de toi dans ma maison !

- Tu me chasse de chez toi juste pour avoir haussé le ton sur tes morveuses mal élevées 

- Pardon ?

- Tu te prends pour qui le pape ? tes enfants sont pourrie gâter et sans aucune manière et tu ne veux pas qu’on en parle ? 

- Sors de chez moi sinon je ne réponds de rien 

- Tu penses que tu vas m’utiliser pendant plus de un an et me laissé comme ça ? jamais ! tu vas me le payer

- Dégage de ma maison Marjorie dis-je calmement en serrant les point

Elle sorti sans demander son reste, elle a osée traiter mes enfants de morveuse ! je fis des exercices de respiration pour me calmer avant de sortir. Les filles avaient déjà leurs sacs à dos entrain de m’attendre en discutant avec l’autre là. Je les installais à l’arrière, elle prit place à l’avant avec moi et je démarrais. Les filles discutaient avec Myriam comme si elles se connaissaient depuis toujours. Je les déposais devant leur école après les avoir embrasser, j’attendis qu’elle soit dans l’enceinte de l’établissement avant de démarrer

- Je vous dépose où ? je n’ai pas toute ma journée. Dis-je en démarrant

- Laissez moi a rond point de la deux je vais me débrouiller

Le reste du trajet se fit en silence, je me garais au rond point de la deux pour la laisser descendre

- Evitez de chercher le mari des gens dorénavant 

- C’est mon vagin et mon corps cher monsieur, sur ce bonne journée. Dit-elle avant de claquer ma portière. 

Cette fille à la langue bien pendue.


Bon debut de semaines mes chéries...


Amour et critères