.... Glory Kanda.... 

À chaque fois que j'essaie de me relever, je retombe comme une merde. J'ai la peau qui me donne l'impression de se déchirr,j'en ai même jusqu'aux yeux. 

A force de faire des efforts infructueuses, je finis par abondonné et resté là à souffrir le martyre en silence vu que mes cris ne semblent alerter aucune âme dans cette maison. 

Je ne peux même pas ouvrir les yeux pour essayer d'attraper quelque chose, je les sens déjà qui sont énormes. 

J'ai l'impression d'être là tout seul depuis une éternité avant que je n'entendes.

Voix de femme : ho mon Dieu ! Monsieur ! Marie Jane va faire un autre seau de lait ! 

L'autre : mamehhhh 

Elle me verse ce qui semble être du lait sur le corps, ce qui m'apaise un peu avant que l'autre n'arrive et m'en verse encore. 

Elles m'aident à me relever et je fonce sous la douche où l'eau me cause encore des douleurs. Je vais tuer cette femme, je vais la saigner ! 

Quand j'ose posé les yeux sur le miroir, j'ai la peau rempli de petits boutons rouges, des yeux énormes et le corps rempli d'echymoses. Je me sens minable, me faire battre par ma femme ? Qui l'aurai cru pas moi en tout cas. 

Je penses n'avoir jamais été aussi en colère contre une personne. Je me sens insulter, déshonnorer ! C'est dans une sorte de rage, que je met un pantalon et un singlet avant de sortir comme une furie de la chambre et me mettre à la recherche de ma femme.

Je la trouve dans la cuisine en train de rire aux éclats avec ma mère. Mon cœur chauffe, je repenses à ce qu'elle m'a fait et je fonce sur elle. 

Je lui donne une fulgurante gifle avant de la prendre par le cou tout en la plaquant contre le mûr. 

Maman (criant) : Glory ! Seigneur! Mais qu'est ce que ? 

Je ne parle pas, elle ne parle pas se contentant juste de repousser mes deux mains sur son cou qui l'empêchent de respirer. 

Maman (me tapant sur le dos endolori) :Lâche là !

Je la lâche et elle retombe sur le sol en reprenant fébrilement sa respiration. 

Maman (hors d'elle) : c'est quoi ce comportement ?(me regardant) C'est quoi ça?mais qu'est ce qui t'es arrivé ? Glory parle moi ! Dominique ça va ? 

Dom (tenant son cou) : ça va (me regardant) je peux avoir mon téléphone maman ? 

Maman l'a lui passe et elle prend son cou en photo. 

Maman (comprenant) : Dominique ne fait pas ça, c'était un accident n'es pas Glory ? Excuse toi Kanda ! Mais c'est quoi ces trucs sur ton corps ? Qu'est ce qui t'es arrivé?

Moi (voulant encore foncé sur elle) : je vais la tuer maman ! Je vais la tuer ! 

Dominique (me regardant) : merci de continuer, ta phrase a été enregistrée ! 

Je fonce encore sur elle mais maman se met entre nous. 

Maman : calmez vous les enfants, je ne suis plus toute jeune ! Dites moi (j'essaye encore de l'attraper) mais qu'est ce qui se passe ici ! 

Moi (le cœur battant) : demande lui ce qu'elle m'a fait ? Demande à cette folle ce qu'elle a osé me faire ! 

Maman(la regardant) Dominique de quoi il parle ? 

Dominique (calme) : je lui ai donné une leçon qu' il n'oubliera jamais de toute sa vie ! Si tu veux vraiment que je lui dise ce que je t'ai fait, raconte lui d'abord ce que toi tu m'as fait. 

J'essaye encore de l'attraper pour lui tordre le cou et maman se retrouve serré entre nous deux. Car je suis en train de lui tiré les cheveux pendant que Dominique me plante ses doigts manucurés dans les yeux. Je fini par la lâcher à cause de la douleur ! 

Maman (à bout de souffle) : c'est quoi ça ! Vous voulez me tuer avant l'heure ? C'est comme ça que vous vivez là bas ? 

Dominique (me fixant) : tout ce que je t'ai fais dans cette chambre, tu l'a mérité et tu sais que j'aurai pu te faire pire. Personne ne le saura si tu ne le dis pas mais si tu le dis bof a toi de voir ! 

Elle a quitté la pièce. Je me suis mis a cassé tout ce qui se trouvait aux alentours. 

Maman (criant) : GLORY ! MAIS Y'A QUOI! 

Comment lui dire ? Comment dire à ma mère que ma femme m'a frappé avec une ceinture avant de me verser de l'eau pimenté sur le corps ? Tout ça, parceque je l'a trompe avec Mireille ? Mireille que tout le monde dans cette famille considère à juste titre comme la cause de mon éloignement vis à vis d'eux ? Je ne peux rien dire. 

.... Mireille Oko.... 

J'appelle Glory depuis deux heures, il ne réponds pas. J'ai peur de ce qui pourrai se passer. Non mais quelle femme appelle sa rivale en demandant calmement à ce qu'elle lui passe son mari ? Qu'elle femme ? La honte que j'ai ressenti n'a pas de nom. J'avais même l'impression que c'était un liquide et que je me noyais dedans ! 

Je n'ai jamais été aussi perdue de ma vie. Je tente encore une fois d'appeler. 

-Allo ? Allo ? 

Je raccroche de suite car c'est Dominique qui a répondu. Merde ! Les choses sont sans doute partie en couilles si c'est Dominique qui répond au téléphone de Glory. 

Et elle me rappelle, mais qu'est ce que je fais ? 

Moi : Allo ? 

Dominique (calme) : rebonjour Mireille! 

Moi :.... 

Dominique : bon je te rappelle en vidéo c'est mieux, j'ai envie de voir tes yeux. 

Cette femme me fait peur je l'avoue. 

Deux minutes plus tard, c'est un appel video WhatsApp sur ma tablette. Je réponds parceque je ne veux pas qu'elle pense que je me joue d'elle même si litteralement c'est ce que j'ai fais en étant la maîtresse de son mari. 

Dominique : nous revoilà ! 

Je remarque des traces rouges sur son cou, es Glory qui lui a fait ? Ce sont ils battus ? 

Moi : Dominique je peux tout t'expliquer. 

Dominique : d'accord, vas y !

Moi (décontenancé) : ho.... Heu... 

Dominique : je n'ai pas toute la nuit Mireille, mon fils va rentré du terrain de golf bientôt il me faut un maquillage et en tant que femme, tu sais comment ça peut prendre du temps de camoufler des traces non? 

Moi (essayant de contrôler ma respiration) : ça nous ai tombé dessus. On ne l'a pas prémédité. Je l'avoue je te dois des excuses, ce n'était pas.... 

Dominique (impassible) : tu sais, j'ai puni mon mari, je l'ai puni comme avec un enfant qui fait une bêtise. Je ne suis pas trop en colère c'est pourquoi, je n'ai puni que mon enfant parcequ'il à casser son jouet mais s'il se trouve que le jouet qui est conscient revienne tourné autour de mon enfant, j'avoue que là je punirai le jouet comme ce n'est pas permis (ferme) je ne permettrai à personne de se jouer de moi, personne. 

Moi :... 

Dominique : j'ai été gentil jusqu'à maintenant en te traitant comme une personne normale qui a juste été capable du pire en l'être humain. C'est un péché capital tu sais? Deux péchés même:tu ne dois envier autrui et ni s'approprier ce qui lui appartient. Glory Kanda est mon mari et Mireille Oko n'est que son ex petite amie d'il y'a maintenant 17 ans ! 

Moi : ce n'est pas seulement ça. Glory.... 

Dominique : tu vas me dire quoi Mireille ? Que tu l'aimes ? (rire) tu te moques de toi, de moi ou de Glory ? 

Moi(baissant les yeux) : j'aime Glory.

Dominique : oui tu l'aimes, tu l'aimes tellement que tu te fous de ce que votre relation peut faire à sa vie de famille, à son fils, a sa réputation ? Tu ne penses qu'à toi, à ce qu'il t'apporte au moment où c'est lui qui a plus à perdre que toi. Tu ne l'aimes pas Mireille, tu aimes le souvenir de votre relation d'antan ! 

Moi : je n'ai jamais voulu ça, je n'ai 

Dominique : tu l'as voulu et tu l'as fait. Mireille j'ai été gentille jusqu'à présent mais c'était parceque j'essayais de me mettre à ta place. Une femme seule, perdue dans le filet du travail, face à un bel homme comme le mien, c'était prévisible d'autant plus que vous aviez un grand passé en commun. Mais aujourd'hui ce passé est révolu. Glory Kanda est marié et a une famille auquelle je l'espère qu'il tient. Bref je te comprends, je comprends les envie qui t'animais mais maintenant c'est fini.

Moi:....

Dominique (toujours calme) : je ne te le demande pas Mireille, je te le dis simplement que ce jeux est terminé. Saches juste que tu ne veux pas de moi comme enemie ! Mais c'est ce qui arrivera si et seulement si tu tentes de détruire ma famille. 

Click 

Je ne sais quoi penser. Qu'a telle pu bien faire à Glory c'est tout ce qui me préoccupe. 

Je repense directement à Lovely, je me suis toujours demandé comment elle avait fait pour retomber dans les bras de Jonathan après tout ce qu'elle avait eu à subir de par sa faute. Mais là j'ai la réponse car malgré tout ce que Dominique a pu dire, aussi longtemps que Glory voudra de moi, je ne le repousserai pas. Je l'aime et je sais qu'il m'aime aussi. D'ailleurs c'est lui qui était revenu vers moi ! 

.... Dominique Kanda..... 

J'étais reparti dans la chambre pour reprendre l'enveloppe que finalement Glory n'avait pas eu la descence de prendre connaissance du contenu trop occupé sans doute à vouloir me faire payé mon affront. Quand j'ai vu son téléphone qui n'arrêtais de clignoter. 

Après avoir discuté avec cette femme ou plutôt lui avoir parlé, je me sens encore plus mieux que tout à l'heure. Car à défaut d'être une personne très susceptibles, je préviens toujours la partie adverse avant d'agir. Ils faut bien que tous les parties aient les documents ou les preuves avant d'en faire usage non?

Quand mon fils, son oncle et son grand père sont rentrés, je n'ai eu qu'à aller descendre dîner et ensuite prétexté une migraine pour ne pas avoir à expliquer la bagarre de tout à l'heure à ma belle mère qui dans le souci de protéger son fils n'a rien dit aux autres. 

J'étais sérieuse quand j'ai dit à Glory que ce qui s'est passé dans cette chambre jamais ne sortira de ma bouche. J'ai beau avoir toute les raisons du monde de l'humilier, jamais je ne le ferai aux yeux de tous en tout cas sauf si je suis vraiment en colère ce qui arrive très rarement. 

Nous avons passés des fêtes mémorables, Noël était super malgré l'absence de la neige. Mon fils était aux anges bien sûr Glory ne m'adressait pas la parole. Moi de mon côté je lui souriait en agissant comme l'épouse aimante que je suis. 

Pendant le reste du séjour, monsieur n'a quitté la maison pas une seule fois tout seul. Vous voyez comment il retiens les leçons ? 

La bonne année a été encore plus phénoménale car ma belle mère a eu l'idée de faire une petites soirée avec leurs amies intimes pour marquer le coup. J'étais aux anges de pouvoir rencontrer autant de personnes. 

Nous rentrons en France demain matin car Benjamin doit reprendre les court et moi le travail. Je sors de la douche et me regarde dans le miroir avant de mettre mon pyjama, prendre l'enveloppe kaki et de sortir rejoindre mon mari dans la chambre qu'il occupe. Il n'y a que ma belle mère qui sache que nous sommes fâchés, et depuis qu'elle a compris que je n'ai nullement l'intention de m'étendre sur le sujet, elle ne pose plus aucune question. 

Je prends Benjamin au passage et lui demande de frapper car si c'est moi qui le fait, monsieur mon mari n'ouvrira pas. J'ai déjà essayé il y'a deux jours sans succès. 

Lui : c'est qui ? 

Ben : c'est moi papa ! 

Bruit de porte. 

Lui : entre mon grand. 

Nous entrons tous les deux, il semble vouloir dire quelque chose mais se ravise. Il discute joyeusement avec son fils avant que je ne lui fasse signe de nous laisser. 

Ben : bonne nuit maman et papa ! 

Nous: bonne nuit chéri. 

Nous restons tous les deux à se jauger du regard avant que je n'ouvre la bouche. 

Moi (sérieuse) : tu as décidé de ne plus me parler ? D'accord. Tu veux te séparer de moi ? D'accord. Mais sache que dans cette histoire, c'est de moi que tu t'es moqué. C'est moi qui ai été cocu et humilié par toi et ta maîtresse. Et juste pour ça, tu n'as même pas le droit d'être fâché parceque tu as mérité tous les coup que je t'ai donné et l'eau pimenté et peut être même bien plus encore. 

Glory (s'énervant) : sort de cette chambre avant que je ne répondes plus de moi ! 

Moi (soutenant son regard) : tu l'aimes n'es pas ? Tu l'aimes tellement que tu la préfère à moi, ta femme ? À Benjamin, a ta famille ? 

Glory (se rassoyant) : je ne veux pas parler  de ça Dominique, dans cette enveloppe tu dois avoir toutes les preuves que tu cherchais n'es pas ? Tu vas aller me couler avec un divorce coûteux n'es pas ? Fais le et fou moi la paix ! 

Moi (souriante) : tu as raison, dans cette enveloppe j'ai tout pour te sucer jusqu'à la moelle mais je veux des réponses. Je mérite des réponses, tu me dois au moins ça. 

Glory :... 

Moi : je t'ai donné mon corps Glory en portant notre enfant, j'ai lutté contre ma propre famille trop raciste pour t'accepter, j'ai laissé couler ma carrière pendant trois ans pour m'occuper de vous deux et non je ne le regrette pas. Je ne sais pas ce qui na pas marché, ce que j'ai fait de mal pour que tu ailles te jeter dans les bras d'une autre. Et de surcroît une femme qui t'a tellement fait souffrir dans le passé. Qu'est ce que j'ai fait de mal ? 

Glory (baissant les yeux) : tu n'as rien fait Dom. 

Moi : alors dis moi tu l'aimes à ce point ? Au point de vouloir tout perdre ? 

Glory :.. 

Moi(voix tremblante) : elle mérite donc vraiment de passer avant ta famille ? Cette femme qui n'a pensé qu'à elle, elle mérite que tu perdes ta famille et la moitié de tes biens pour son cu ? Tu l'aimes donc aussi fort?

Glory : je l'aime oui mais je vous aime aussi.Benjamin et toi ! 

Moi (rire nerveux) : non tu ne m'aimes pas ! 

Glory : si je ne t'aimais pas jamais je n'aurai essayé par tout les moyens de te cacher tout ça. J'essayais de te protéger Dom ! Si je ne t'aimais pas, je t'aurai tué après ce que tu as osé me faire. 

Moi (le regardant) : dans cette enveloppe, il y'a une demande de divorce de ma part, ou je te demande un contrat à l'amiable. J'aurai la maison à Toulouse, l'appartement de Bruxelles, la porche, la Mercedes et l'appartement à Paris. J'aurai une pension de 8000 euros le mois et des vacances d'été tout frais payé chaque année jusqu'à ma majorité de Benjamin . Si on part devant les tribunaux française, tu sais qu'avec tous les preuves que j'ai j'aurai bien plus ce que ça. Tu sera ruiné ainsi que ta réputation et celle de ta Mireille parceque j'ajouterai coup et blessure et menace de mort sur tout ça. Et j'allais oublié je veux la garde de Benjamin et de celui qui va naître, tu ne les auras qu'un week-end sur deux et pendant les vacances de pâques et certains Noël. 

Glory :.... 

Moi : si tu te poses la question, je t'aime Glory. tu es l'amour de ma vie mais comme je ne suis pas la tienne, je préfère te rendre ta liberté. Je n'ai plus rien à dire ! 

Glory (me rattrapant) : tu... Tu es enceinte ? 

Moi (touchant mon ventre) : oui depuis quatre mois, je mettais des gaines pour le cacher et tu sais que mon ventre ne grossi vraiment qu'à la fin du deuxième trimestre (souriante) ne t'inquiètes pas, je refuse de te garder dans un marriage sans amour. Ce ne sera pas le premier bébé à naître de parents divorcés, ni Benjamin le seule petit garçon à assister au divorce de ses parents. Mes bébés et moi ont s'en sortira sans toi et bien même. 

Glory (dans un souffle) : je ne veux pas divorcé. 

Moi (le regardant) : pardon ? Je t'entend mal ! 

Glory (soutenant mon regard) : je ne veux pas divorcer de toi. 

Moi : si tu le veux ! si c'est l'argent qui te fais ainsi peur, j'ai compté mon chéri. Tu es capable de m'offrir tout ça sans perdre ta luxueuse vie. Ça ne changera presque rien sauf que tu devra payer un autre appartement et une autre voiture pour commencer ! 

Glory (haussant le ton) : je n' ai jamais dit que j'avais arrêté de t'aimer Dominique, je t'aime sincèrement. Oui j'aime Mireille, mais j'aime encore plus notre famille et tu ne peux pas m'enlever ça ! Tu m'as délibérément caché ton état ! 

Moi (m'enervant) : je n'ai rien caché, tu ne le voyais pas parceque tu étais trop obnubilé à espérer aller te perdre entre les jambes de ta maîtresse à chaque fois que tu me faisais l'amour ! (lâchant prise). Tu...tu n'as pas remarqué mon ventre parceque quand tu me prenais, ce n'est même pas moi que tu voyais mais Mireille.(en larmes) Je t'aimes comme une folle et toi tu ne penses qu'à elle jour et nuit ! Je n'en peux plus tu comprends ? Je te libère Glory ! Sniff va refaire ta vie avec elle puisse que tu ne l'oubliera jamais ! 

Glory (se mettant à quatre pattes) : tu ne m'y reprendra plus. Dominique je jure que c'est fini avec Mireille, c'est vous que je choisi. C'est toi que j'ai épousé, toi Dominique Lenevi, c'est toi la mère de mes enfants que je choisi. Je sais que j'ai été la personne la plus méprisable de la terre, mais je ne suis qu'un homme fait de chaire et de sang. C'était un erreur, une terrible erreur (larmes qui coulent) je te demande pardon bébé. Pardon pour tout. Je te le demande à genoux, je... Je vais tout faire pour que tu me fasses à nouveau confiance, je ne veux pas te perdre, vous perdre ! 

Moi : et dans deux nuits tu le regrettera n'es pas ? Tu coura l'appeler quand je serai endormi ? Tu lui fera l'amour en oubliant l'existence même de ta famille ? 

Glory : non, je vous choisi vous ! Toi, Benjamin et celui qui arrive. 

Moi : alors dis le lui ! 

Glory : il se fait tard. 

Je lui tends alors mon téléphone et envoi l'appel vers le numéro de Mireille avant de mettre le haut parleur. 

Elle : Dominique tu.... 

Glory (me regardant) : c'est moi. 

Mireille : ho Glory, je me suis inquiété ! 

Glory :Mireille, je ne peux plus continuer à faire du mal à ma famille. Cette relation s'arrête là, pardonne moi. 

Elle: elle te menace c'est ça ? 

Glory : c'est ma femme, ce sont mes enfants que je vais perdre si je continu sur ce chemin là et je refuse que cela se produise. 

Elle (voix tremblante) : elle et les enfants ? 

Glory : Dominique est enceinte de notre deuxième enfant, et je préfère ma famille. A Dieu Mireille. 

Moi : Trouve toi un autre avocat s'il te plaît ! 

Elle (voix enrouée) : d'accord et pour les enfants ? 

Moi : ils n'ont aucune raison de ne pas être représenté par mon mari, seulement toi. 

Elle: je t'aime Glory. 

Click 

Moi (le regardant) : tu es sûr de toi ? 

Glory (soutenant mon regard) : je vous aimes et je suis désolé ! 

Je vais me blottir contre lui. Ce ne doit pas être facile d'être lui en ce moment mais j'aime mon mari. 

Bien sûr qu'il m'aime je l'ai toujours su. Un homme qui ne t'aime pas n'a pas peur de te montrer son infidélité. Et Glory avait peur, peur que je saches. 

Oui j'ai fait exprès de tomber enceinte à nouveau car j'aime mon mari. Et je suis prêt à tout pour le garder car quoi qu'il fasse ou avec qui il couche, nous deux savons qu' au final il me choisira toujours, moi et les enfants. Échec et mat ! 

Glory (le visage dans mes cheveux) : je suis désolé Dom ! 

Moi (lui carressant la tête) : je te pardonnes pour cette fois ci, mais la prochaine fois je te tuerai ! 

Glory : je t'aime sois en sûr et je ne recommencerai plus. Plus jamais, je le jure ! 

Moi : je sais chéri, je sais !