Elle n'est pas belle ma vie ?
Ecrit par Boboobg
.... Dominique Rose Kanda....
Je plonge la main dans les cheveux de mon fils qui s'impatiente. Notre queue qui est celles des étrangers n'avancent presque pas. J'ai oublié le deuxième passeport de Benjamin à la dernière minute.
Ben (rouspetant) : quel lenteur, fais chier !
Moi : qu'est ce qu'on a dit sur les jurons ?
Ben : que je ne devais pas en dire mais là c'est un cas de force majeure maman. Déjà trente minutes que nous sommes là, je suis fatigué moi !
Moi : moi aussi je suis fatiguée cheri, mais m'a tu vu jurer ?
Ben : non !
Moi : donc ce n'est pas un cas de force majeur. Regarde, si la dame passe ce sera notre tour !
Ben : j'ai hâte de voir mamie !
Moi : moi aussi, ça fait un by.
Arrivée à notre tour, le douanier m'a posé des questions élémentaires avant de vérifier mes papiers et de me souhaiter la bienvenue sur le territoire congolais. La dernière fois que je suis venu, c'était juste après notre mariage,Glory voulait que je fasses connaissance avec sa famille.
Dès que nous sommes sorties de la voiture, la chaleur tropical m'a fouetté le visage avec une telle force, que j'ai enlevé la chemise que j'avais en par-dessus.
Ben : il fait chaud ici !
Moi (souriante) : ça change de l'hiver qu'on a laissé.
Je cherche pendant de longues minutes un visage connu quand je tombe sur celui de Richard.
On ne s'est jamais vu sauf sur les photos.
Richard (s' approchant) : bonjour Dominique, c'est ri
Moi (le coupant) : Richard Kanda, je t'ai reconnu. Et voici Benjamin !
Richard : le portrait craché de Glory n'es pas ?
Ben : papa dit que je ressemble à grand père !
Richard : et il a raison. Alors ou va t'on ?
Moi : chez ma belle mère, elle ne sait pas qu'on arrive mais je sais qu'elle sera heureuse de nous voir.
Richard (me souriant) : d'accord madame.
Il a porté nos bagages jusqu'à la voiture avant de nous ouvrir la portière. J'y suis entré avec mon fils à l'arrière, ce qui a semblé le déranger mais n'a rien dit.
Je n'aime pas la façon dont il a de me regarder. Je ne l'aime pas tout simplement parceque j'ai l'impression qu'en me fournissant des informations contraignantes sur mon mari, qu'il veuille lui faire du mal en passant par moi.
Richard : si tu venais t'asseoir devant tu verrai mieux la ville Dominique.
Moi : non merci.
Et puis quoi encore, je t'ai bien dit que j'étais capable d'appeler une compagnie de location pour avoir une voiture mais tu t'es toi même proposer d'être mon chauffeur alors conduit moi où je veux c'est tout.
Je tire mes cheveux en chignon pour pouvoir mieux respirer, je penses à changer de couleur tient.
Moi : ça te dirait Ben, que je changes de teinte ?
Ben : je ne sais pas, je te trouve belle comme ça !
Moi : merci mon cœur, je demanderai son avis à papa alors.
Richard : ho pour ça il faudrait que vous vous voyez !
Moi :...
Ben : comment ça?
Richard : ton père ne rentre même plus depuis deux jours, il est sans doute trop occupé à travailler !
Ben (rire) : pas du tout, le cabinet de papa se trouve à paris pas ici. Il ne peut donc pas avoir de travail ici !
Richard (le regardant à travers le rétroviseur) : peut être pas un vrai travail à proprement parlé mais les femmes aussi constituent un tra...
Moi (haussant le ton) : Richard concentre toi sur la route s'il te plaît !
Le reste du chemin s'est terminé en silence, jusqu'à ce qu'il se mette à klaxonner devant un grand portail.
Richard : nous sommes arrivés !
Quand il a garé la voiture dans l'allée, je suis sortie pour regarder la décoration. Elle est magnifique.
Ben : c'est beau ici maman !
Moi : c'est chez mamie et papi, je ne voient pas de voiture !
Richard : ils sont partis chercher Bruce à l'hôpital. Il sort ce soir. (parlant à un monsieur) elle c'est madame, la femme de Glory.
Lui : enchantée madame, moi c'est Souley
Moi : enchantée.
Nous sommes entrés dans la maison et il a fait de même avec les deux domestiques qui s'y trouvaient avant de demander à ce qu'on me prépare une chambre.
Cet homme a trop d'audace, il se comporte comme s'il était chez lui alors qu'il s'agit de la maison de mes beaux parents. J'aurai préféré attendre que ma belle mère arrive pour qu'elle donne elle même des directives à ses domestiques. Peut être que c'est comme cela que ça se passe ici.
Après que la dame de chambre soit venu me faire signe que la chambre était prête, j'y suis allé prendre un bain et me changée en lui demandant de s'occuper de Benjamin.
Puis nous nous sommes posés à la terrasse en sirotant de la limonade pendant que Benjamin mangeait.
Richard : c'est une surprise que tu nous a fait là. (me regardant) je n'arrive pas à croire que Glory trompe une femme aussi belle que toi !
Moi (soutenant son regard) : c'est la première fois qu'on se voit Richard, et même depuis la première fois qu'on s'est parlé tu as toujours eu cette manie de me traiter comme si l'on se connaissait depuis des lustres ce qui est bien faux bref je ne te connais pas bien que tu sois l'informateur le plus travailleur qui soit, tu t'es mis à me donner des informations sur la liaison de mon mari sans que je n'ai a te poser des questions hors c'est ton cousin. Vous semblez tellement proche tous les deux alors que tu le trahi en quelques sortes à chaque fois que tu essaie de me pousser à le détruire.
Richard (rire jaune) : mais qu'est ce que tu vas chercher là ! J'essaie juste de t'aider
Moi : m'aider à quoi Richard ? Tu sais que je suis avocate n'es pas ? Donc tu dois savoir que la manipulation, je connais.
Richard :je n'ai jamais essayé de te manipuler
Moi (haussant le ton) : et quand tu parles de manière voilé des coucheries de mon mari devant son fils qu'est-ce que tu essaie de faire ? Et quand il y'a deux mois tu m'as crier que sa maîtresse n'est autre que Mireille au moment où je t'avais bien fait comprendre que je ne voulais pas savoir, dis moi qu'est ce que tu essayais de faire ?
Richard : tu te trompes sur mon compte
Moi : non je ne me trompe pas et tu le sais. Tu n'es pas quelqu'un de bien Richard. Et je ne veux plus que tu tourne autour de ma famille.
Richard (rire) : mais quel ingratitude. Si tu es au courant aujourd'hui de ce que fait Glory derrière ton dos c'est parceque je te l'ai dit. Tu aurais été cocu jusqu'à la moelle sans jamais ne rien suspecté si je ne te l'avais dit.
Moi : et je t'en remercie maintenant tu peux t'en aller, je peux attendre seule ma belle mère !
Richard (se levant) : je te croyais différente, mais tu n'es qu'une salope de plus dans ce monde.
J'ai pris le verre de limonade et l'ai versé sur son visage.
Moi (calme) : la première et la dernière fois que tu m'insulte. Maintenant sors d'ici avant que je ne répète ce que tu viens de dire à chaque membre de cette famille.
Richard : il va te quitter tu m'entends ? Parceque c'est elle qu'il aime. Tu n'as été qu'un bouche trou le temps qu'ils se retrouvent.
Moi : du balaie merci.
Je l'ai regardé s'en allé et je me suis rendue compte que cet homme est méchant. Je ne sais pas pour quoi il s'en prend à Glory mais il était hors de question que je me laisse manipuler comme une petite fille par lui. C'est ce qu'il a toujours voulu en me disant toute ses choses. Bref j'ai mieux à faire que de penser à un être aussi malfaisant.
Ma mère m'a toujours dit, que celui qui vient t'apprendre des mauvaises choses à chaque fois, est plus susceptible d'apprécier cela que celui qui fait la mauvaise chose elle même. Je n'ai compris ce raisonnement loufoque que le jour où Richard m'a donné l'identité de ma rivale.
Mes beaux parents sont arrivés au couché du soleil, belle maman est folle de joie. Faut voir comment ils sont collés sont petit fils et elle .
On a attendu jusqu'à vingt heures que Glory rentre mais rien, je vois bien le regard un peu largué de mes beaux parents. Ils ne comprennent sans doute pas pourquoi mon mari n'est pas rentré ici puisque nous sommes nous descendu ici.
Moi (souriant en me tapant la tête) : ho que je suis fofolle des fois, laissez moi vous dire que l'excitation de la surprise m'a fait oublier qu'hier Glory m'a dit qu'il ne dormirai pas ici mais à l'hôtel avec des amis à lui !
Ma K : cet enfant là vraiment, il ne pouvait pas faire une pause ? Il travaille tellement qu'en quelques jours la pauvre petite Mbolo a reçu la demande de divorce !
Pa K : Eveline on a promis à Bruce de ne pas le forcer !
Ma K: je ne le force pas (le regardant) je ne te force pas chérie, c'est juste que je ne comprends pas ! Ce n'est même pas une simple pause, un divorce !
Bruce (calme) : je vous ai dit qu'on a décidé ensemble d'arrêter notre....
Ma K: mais pour quelle raison ? Tu l'as trompé n'es pas ? Bruce je sais que vous suivez sans doute les habitudes de votre père mais je ne l'ai jamais quitté à cause d'une infidélité !
Pa K: et je viens faire quoi là dedans ? S'il dit qu'ils ne veulent plus et bien il ne veulent plus. C'est aussi simple que ça, tu ne vas pas le forcer à arrêter le système qui est déjà en place parceque tu ne comprends pas !
Ma K : tu aimerai toi qu'a cause de tes maîtresses dehors que je te quitte ?
Bruce (amusé) : il n'y a pas de maîtresse maman. Salomé veut des enfants et il semble que je sois incapable de le lui en donner ! On a donc décidé qu'elle tente sa chance autre part !
Ma K(s'indignant) : ce n'est pas possible ça. Mon fils a les reins aussi remplis qu'une fourmilière. Vous n'avez juste pas eu de chance. Quand je vous ai dit d'aller à l'église hein, personne n'a voulu non ? (me regardant) Ce n'est pas une raison de quitter un homme, je veux avoir une discussion avec Salomé !
Bruce : je te l'interdit maman !
Ma K : tsieee tu vois Dominique ? Comme son père ko je te l'interdit. (regardant son mari) tu n'as pas seulement transmis ton vagabondage à tes garçons mais aussi ta dictature !
Pa K : Eveline tu as décidé de faire chié le monde ce soir ?
Ben : grand père c'est un gros mot ça !
Pa K : excuse moi mon chéri, ta grand mère perd la boule comme dise les jeunes !
Moi (rire) : et si on honorait tout simplement ce plats succulents, j'ai tellement faim moi !
Ma K : Ben la prière mon petit !
Ben : maman dit à grand mère que je l'ai fait hier donc c'est à ton tour !
Moi : OK. Bon fermons les yeux. Merci seigneur de nous avoir réuni ce soir autour de ce repas. Bénissez ce repas, les personnes qui l'on préparé. Et qu'il nous apporte les nutriments essentiels pour notre bonne santé, désolé du gaspillage que nous ferons et aussi bénissez ceux qui ont faim partout dans le monde. Amen !
Eux : Amen.
Nous avons mangé dans la bonne humeur. Vers vingt deux heures, Bruce et beau papa se sont retirés pour discuter et belle maman est allée border son petit fils. Je suis allé rejoindre la chambre.
Je me suis brossé les dents avant de mettre ma robe de chambre et de me coucher.
Il est huit heures quand j'ouvre enfin les yeux. Je prends une douche car j'ai abondamment transpiré dans la nuit. Au sortir de la douche, je fais mon lit en changeant les draps et c'est habillé d'une longue robe de style africaine que je sors avec les draps salles en main.
Moi (a une domestique) : vous pourriez amené ça à laver s' il vous plaît ?
Elle : bien sûr madame.
Moi : merci, ma belle mère est où ?
Elle : Dans la cuisine avec tous le monde.
Moi :OK
J'ai trouvé les gens en pleine discussion sportive. Il parlait de diables noirs ou quelques choses comme ça. J'en ai déduis que ce devait être des noms d'équipe locaux.
Ma K (me regardant) : viens Dominique qu'on parle aussi chiffons à notre tour.
Moi (rire) : vous avez donc de la chance que je sois là.
Bruce : t'inquiète belle soeur, elle fait semblant de ne pas s'intéresser mais faut la voir hurler sur les joueurs devant un match de foot !
Pa K : c'est l'une des raison qui m'a fait aimer cette femme (la regardant) sa capacité à jouer au foot !
Rire générale.
Le petit déjeuner pris, Beau papa a décidé d'emmener son petit fils au terrain de golf et Bruce a insisté pour les accompagnés disant que rester au milieu de nous le ferai devenir fou.
Moi : tu ne fatigues pas ton grand père Benjamin !
Ben : relax maman, il n'est pas aussi vieux que ça !
Ma K (rire) : non cet enfant je l'adore !
Moi (étouffant mon rire) : OK. Passez un bon après midi !
Quand ils ont traverser la grille qui mène au portail, j'ai appelé le jardinier pour lui demander de nettoyer la piscine. J'ai envie de profiter de ce soleil pour rentrer bien bronzé à Paris.
C'est en maillot deux pièces que je me suis étalé sur un transat, lunette de soleil aux yeux en mettant mon minuteur.
Ma K : Dominique as tu besoin de compagnie ?
Moi : si tu le veux !
Ma K: pas vraiment, il y'a ma série sur novellas qui va commencer. Dis ton mari il rentre quand déjà ?
Moi (souriante) : bientôt maman !
Ma K : hum
Dès qu'elle a disparu dans la maison, j'ai pris mon téléphone et me suis mise à appeler Glory. Soit il dort, soit il est en train de faire des choses (bougeant ma tête) on ne pense pas à ça.
Bref, j'ai une idée en tête. Un truc vu dans un film qui m'aiderai sans doute à cet instant car Glory semble vraiment me prendre pour une cruche hors il me connaît assez pour m'avoir un jour combattu dans une salle d'audience .
Je recherche son numéro dans ma liste pendant un moment avant de le trouver.
Moi : Allo bonjour Mireille ? C'est Dominique !
Elle : ho heu bonjour.
Moi : comment vas tu ?
Elle : bien et toi ?
Moi :bien, passe moi (appuyant sur les mots) mon mari s'il te plaît.
Le silence qui sui me fait douter de la connexion. Avant d'entendre.
Elle : Dominique je ne comprends pas de quoi tu parles.
Moi (calme) : Mireille s'il te plaît n'insulte pas mon intelligence. Passe simplement (appuyant sur les mots encore une fois ) mon mari.
Mireille :....
Moi (haussant un tout petit peu le ton) : Mireille?
Mireille : Dominique écoute....
Moi (calme) : je sais ou vous êtes et ce que vous avez fait ces trois derniers jours. Donc passe le moi avant que je ne cesse d'être calme. Merci !
J'ai entendu un frottement et ensuite la voix ensommeillé de Glory.
Moi : SURPRISE CHÉRI !
Glo (décontenancé) : hein heu Domi....
Moi (criant de joie) : SURPRISE ! J'aurai dû attendre que tu rentres mais tu sembles tellement occupée que j'ai décidé de te le faire comprendre. Nous sommes là depuis hier, à Brazzaville et tes parents commencent à se demander pourquoi tu n'es pas là avec ta famille donc rentre s'il te plaît !
Glory (bègue d'un coup) : Dominique je...
Moi (voix joyeuse) : Allez ! Tu as vingt minutes pour arrivé chez tes parents et si ta mère te demande, tu étais avec tes potes à toi à l'hôtel. Je sais, je sais, je suis une femme en or. Bisous !
J'ai raccroché, en allant me doucher et mettre une culotte avec un bermuda ample afin de faciliter mes mouvement .
Moi : tu peux me donner un seau d'eau avec du piment ?
Elle (perdue) : heu
Moi : il y'en a ici n'es pas ?
Elle : oui madame tout de suite.
Moi : merci.
La fille m' a apporté le piment, je l'ai mis dans le seau plein d'eau et me suis mis à mélanger avec ma main gantée. La manière dont mes eux piquent, je risque une irritation si ma peau est touchée (rire). Puis je suis allé prendre un gel de douche que j'ai caché sous un oreiller. Avant de sortir l'enveloppe kaki dans laquelle il y'a tout ce dont j'ai besoin.
Moi (a moi même) : tu ne serai pas un peu sociopathe toi ? Non non pas possible. Je suis amoureuse de mon mari, j'aime mon fils et j'adore mon travaille. Je penses que je suis normal, juste un peu en colère.
Au lieu de l'attendre assise, j'ai lancé le coup de fil vers maman. Nous avons discuté une dizaine de minutes avant que je ne raccroche.
J'étais sur le point de rappeler Mireille quand j'ai entendu des pas se rapprocher et Glory entré dans la pièce avec son regard de stressé. Mon pauvre chéri !
Moi (souriante) : bonjour mon chéri, excuse moi de ne pas t'embrasser mais tu sais pourquoi !
Glory (désolé) : ma chérie je....
Moi : hum hum hum va prendre une douche et brosse tes dents s'il te plaît, tu sens la chatte à Mireille !
Je crois n'avoir jamais utilisée une expression aussi vulgaire mais bon, aux grands mots grands moyens. C'est mon père qui doit se retourner dans sa tombe.
Glory : Dominique
Moi : on parlera quand tu aura pris une douche, j'ai encore douze jours ici je te signale !
Il n'a plus rien ajouté et est entré dans les toilettes. J'ai sorti vite fait le gel de douche de sa cachette avant de la finir sur les carreaux en marbre.
Je me suis levé juste au côté opposé afin de l'y attendre, une de ses ceintures Hugo Boss en main, jai relâché la boucle pour faire plus de dégâts. Sans oublier mon seau à côté.
Glory sort de la douche en serviette, deux pats dans la chambre, il glisse comme dans un toboggan en hurlant.
Le premier coup de ceinture le prends à partir du dos, la boucle lui arrache une fine peau en faisant une ligne et du sang se met à couler(hum la boucle était donc une mauvaise idée). Il pousse un cri qui effrayant.
Je change alors la ceinture de côté et me met à le fouetter proprement pendant qu'il cri comme un enfant.
Moi (exteriorisant ma rage) : c'est moi que tu as voulu prendre pour une conne Glory ? Moi (fouet) je t'ai aidé à être l'homme que tu es(fouet) je suis ta femme (fouet) ta femme (fouet) et j'ai droit à plus de respect (fouet) de ta part (fouet). Tu l'as ramené (fouet) chez moi (fouet) manger à ma table (fouet) manger mes plats (fouet)! (fouet)! (fouet)! (fouet)! (fouet)! (fouet)!
Il essaie de se relever pour m'arrêter mais retombe a chaque fois. J'aurai trouvé ça drôle si je n'avais été aussi en colère.
Je prends le seau plein d'eau pimenté et je le lui renverse sur son corps. Le résultat de ne fait pas attendre, à entendre ses cris, il est en train de souffrir le martyre.
Moi : quand les effets du piment ce seront instempés, prend connaissance du contenu de cette enveloppe et lis ma lettre. J'en ai fini avec toi.
Les grandes maison sont tellement favorable pour ce genre de chose. Et dire que juste à côté quelqu'un est en train de crier et personne ne l'entend parceque j'ai bloqué la chambre de partout (rire). Je me sens mieux !
Je suis aller demandé à une domestique de me préparer une autre chambre car celle ci aura besoin d'être nettoyer.
Moi : et s'il te plaît prépare un seau de lait que tu apportera à monsieur dans la chambre.
Elle : un seau de lait ?
Moi(souriante) : oui ma grande, (lui tendant les clés) attend une heure avant d'y aller .
Elle : o-kay
C'est un poussant un soupire de soulagement que je suis allé me servir un grand verre de jus de fruit avant de rejoindre ma belle mère devant ses séries à l'eau de rose. Elle n'est pas belle ma vie ?