Elles ont fait grève pour leurs libertés…©Ngengeti ~Alavolee-Onafly

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Quels qu’en soient, en réponse à ces hypothétiques causes, du côté des femmes, certaines à travers le globe,  ont décidé qu’il fallait un changement et comment elles devaient y aboutir. Voici donc quelques unes des raisons de leur grève de « S3x3  faible»: ©Ngengeti ~Alavolee-Onafly

Elles ont fait grève de s3x3,

… pour avoir de l’eau dans leur village. Elles l’ont obtenu.

… pour avoir une route et désenclaver leur village. Elles l’ont eu.

Elles ont fait grève de s3x3,

…incluant les prostituées au mouvement de pression contre les autorités, pour sortir le pays de la crise politique post électorale meurtrière. Elles ont été fortement notées.

… pour que leurs voix soient entendues lors des pourparlers, suite à la guerre civile qui a décimé la population, afin que la paix soit enfin proclamée, mais surtout maintenue et respectée dans le pays. Elles ont pu être entendues. ©Ngengeti ~Alavolee-Onafly

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Une de ces grévistes a écrit son mémoire relatant ces événements en mentionnant que : « la grève du sexe qui dura de longs mois, n’ont eu que peu ou pas d’effet concret, mais qu’elle a été extrêmement utile pour obtenir l’attention des medias ». Réf. Slate

Par ailleurs, il a également été noté que : «En général,  les grèves du sexe semblent avoir plus de succès quand les femmes concernées ont peu d’autonomie économique, quand leurs demandes sont précises et réalistes et quand elles possèdent la force du nombre. » Réf. www.Lorientlejour.com/article/775

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Nous sommes maintenant, peut être à quelques dizaines d’années, ci ce n’est siècles plus tard.

En pleine « civilisation » mondiale dite technologiquement avancée, qui envoie les appareils sophistiqués explorer le système solaire,  pendant qu’elle surf sur les paradoxes extrêmes du digital et du AI – l’intelligence artificielle ; la puissance nucléaire et les nanoparticules. Cette civilisation dite avancée nourrie encore les conflits due au manquer d’eau potable et de nourriture, dans des contrées pas si lointaines de sa toute puissante modernité.

©Ngengeti ~Alavolee-Onafly

Malheureusement, dans certaines contrées, cette stratégie de la greve du s3xe, serait loin de fonctionner car les populations qui y vivent en pleine crise qui dure depuis des décennies sans espoir de fin proche, subissent parmi d’autres atrocités, les violences s3x3xuelles, utilisés comme arme de guerre par les groupes armés.

Il en est de même lorsque les traditions ou la culture sont prises comme prétexte pour supprimer tout moyen d’expression quel qu’il ait été ou puisse être, afin d’assoir le pouvoir de quelques-uns.

Les personnes brimées, vivant sous ce genre de menace permanente, ont moins de liberté de choisir ce mode de négociation.

Quel recours alors ?

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Dans ce monde actuel, et plus précisément une des contrées qui fut à la une des journaux, pendant une durée dictée par ce qui fait l’actualité dans les media,  les femmes sont à nouveau poussées à bout. 

Les femmes sont de nouveau : objets. 

Elles ne peuvent parler. Elles sont simples femelles.

Celles-ci sont réduites à leur plus simple expression : leurs vagins, ce fameux s3x3, pour remplir leur devoir, et leurs mains, leur outil de travail.

Elles sont réduites à rester dans leurs maisons, chambres et cuisines.

Elles sont ménagères, cuisinières, mères et soumises par obligation et non par choix, conviction ou nécessité économique.

 Alors qu’elles passaient déjà leurs examens de formation et avaient des diplômes ou des fonctions autres et des emplois ; qu’elles contribuaient déjà positivement à l’économie familial et local, qu’elles s’épanouissaient ; se découvraient des capacités, des talents, humaines…

Elles sont à nouveau simple outil d’exploitation, corvéable à  merci, sans limite.

Elles ne peuvent maintenant même plus sortir se retrouver dans un salon de thé ou se faire coiffer dans des salons, entre autres activités dites féminine. Ces salons, comme divers établissements de restauration, d’enseignement et de formation ainsi que nombreuses autres activités, sont bien-sûr en passe de fermer, non pas faute de clients, mais surtout pour la simple raison que les femmes qui les font tourner ne sont plus autorisées à y faire des merveilles, y travailler, tout court.

Celles qui les fréquentent ne sont plus permises de mettre leur petit nez hors de chez elles, aussi docile, soumis, discret qu’il soit, ou même incognito -car entièrement couvert.

Pareillement, le parc public où elles amenaient les enfants jouer et se défouler, respirer l’air frais, ne leur est plus accessible.

Voila les enfants et donc l’avenir, directement brimés aussi… ©Ngengeti ~Alavolee-Onafly

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Elles ont fait grève pour leurs libertés…©Ngengeti ~Alavolee-Onafly

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