Engrenage - Episode 2

Ecrit par chrochro241

*** Dans la tête de Savana ***

 

Il accentue sa prise sur moi par mes cheveux, m’obligeant à fléchir un peu encore mes jambes. Je ne me débats pas pour me défendre. Des frissons parcourent mon frêle corps. Je tremble comme feuille tellement je suis impuissante face à ce qu’il m’arrive. Seigneur ! Cet homme qui me tien fera de moi ce qu’il veut. Je le sens ! Il profite par la même occasion pour bien appuyer son bas ventre contre mes petites fesses rondes et réceptives au contact du corps à corps.

 

De sa main droite, il tire doucement ma tête en arrière qu'il dépose contre son épaule droite, avant de descendre sa main gauche sur mon épaule dénudé puis dans mon cou avant de descendre doucement rejoindre plus bas ma poitrine nue et naïvement protégée de mon bras gauche. Celui-ci placé maladroitement sur mes seins est enlevé sans y opposer la moindre résistance, cédant à la main inquisitrice de Rom la place libre offerte sur ma généreuse poitrine dressée et secouée au rythme de ma respiration. Je ne pouvais faire autrement. Je suis consciente de mon impuissance et de l’inutilité de mon bras pour protéger mes seins. Rom enveloppe un de mes seins totalement accessible, puis le second qu'il commence à malaxer vigoureusement tout en me regardant dans la glace comme pour en voir les effets de ses attouchements et l’expression qui s’en suit sur mon visage.

 

Etant sensible des seins, j’ouvre doucement la bouche mais aucun son traduisant mon émoi n’en sorti, hormis un léger soupir. Alors que mes yeux se ferment lentement au fur à mesure que je sens la main malaxant mon sein figurément. Je ferme les yeux complètement pour me protéger de la cruelle réalité reflétée dans la glace du miroir. Mon esprit cherche encore désespérément à échapper de cette réalité, celle d'une jeune femme soumise et offerte mais honorée de caresses entreprenantes et assez plaisantes d’un point de vue. Mon corps et mes sens s'affolent littéralement et sensiblement suite à la prolongation de ces caresses sur mon sein. Je garde les yeux clos, ma bouche est maintenant incapable de retenir de fréquents et profonds gémissements de satisfaction au traitement sur mon sein, plus ou moins savamment martyrisé.

 

Ma tête docilement posée par la force sur son épaule, la bouche de Rom s'active goulûment avec sa langue chaude et humide sur la peau de mon cou. A nouveau je me tortille comme s’il me chatouille. Rom colle son nez sur mon cou et inspire dessus profondément comme s’il ne pouvait certainement pas s'empêcher de sentir profondément cette odeur sur mon cou et qui semblait beaucoup l'exciter, vu la fougue avec lequel il m’embrasse ensuite dans le cou. Sa main droite libère mes cheveux et descend rapidement le long de mon dos, marquant son passage par la pression d'un doigt tout le long de ma colonne vertébrale. Cette pression du doigt a comme effet de me faire frémir en plus de m'inciter à creuser plus encore le dos et le plier davantage puis de ce fait accentuer encore ma chute de reins, à la manière d'une femme cabré.

 

Arrivée au niveau de la ceinture de ma petite robe, dont le buste avait été abaissé sur le bas ventre quelques secondes plus tôt par mes mains, Rom passe son doigt promeneur entre ma peau et la lisière de l'élastique séparant mon bustier et le pan bas de la robe sous mes reins. Son geste du doigt fait trembler mon corps, encore une fois. Car si mon esprit était bien trop loin et trop confus pour s'en rendre compte de ce qu’il prépare... Je ne suis pas surprise, n’inquiétée, lorsque je sens l'élastique de ma robe se met à descendre doucement sous la pression des doigts de Rom, qui lentement mais sûrement, commence à dénuder le peu qui restait encore couvert à partir du bas mon ventre jusqu’à la hauteur de mes cuisses.

 

 

Lorsque la lisière de l’élastique, ceinturant ma petite robe sur mes reins, est ensuite descendue à mi fesse, voir un rien plus bas encore, Rom passe une main dessous dans mon dos. Et à l’aide d'un doigt bougent du haut vers le bas, il touche la petite raie qui sépare mes petites fesses rondes. Il va jusqu'à frôler mon petit trou, me faisant sursauter et instinctivement serrer quelque peu les fesses et la rondelle. J’ouvre mes yeux qui étaient resté clos depuis un moment, et les garde grand ouvert, J’exprime un mélange indescriptible d'émotions, dont le soulagement est l'une d'elles lorsque la main inquisitrice de Rom continue sa trajectoire bien plus bas pour venir se placer sans pudeur entre mes cuisses, ouvertes et dociles.

 

Nos regards se croisèrent dans le miroir à l'instant précis où d'un doigt, décidément très habile, il entrouvre mes grandes lèvres intimes, faisant frémir mes petites lèvres. Ma bouche grande s’ouvre lentement au fur à mesure de la progression du doigt sur ma fente. La tête lovée contre l'épaule de mon Maître, mes petites fesses cambrées, les jambes légèrement fléchies et les cuisses entrouvertes, je sens le doigt m’explorer en profondeur. J’ai senti d’abord un, puis très vite un second doigt me remplir. Les effluves de mon excitation grandissante commence à couler impudiquement sur les doigts de Rom… un majeur et un annulaire, en en juger par leur taille respective. Ses doigts qui l'instant d'après pénétrait mon intimité inondée. Je soupire légèrement pendant qu’ils s’enfoncent directement dans ma fente humide et tremblante de plaisir. Celle-ci les reçoit et se contracte à leur passage lorsqu’ils l’écartent à l’intérieur et se créent un passage plus profond pour aller aussi loin que possible dans leur exploration de mon intimité. Je retiens bruyamment mon souffle et déglutis. Rom me regarde dans à travers la glace en face de nous alors qu’il me doigte avec douceur et lenteur.

 

Sentant mes jambes trembler et s’affaiblir sous mon poids à cause de l’émotion, je pose mes mains sur le bord du lavabo où je m’agrippe car j’ai besoin d’un équilibre pour ne pas m’écrouler suite aux deux doigts vraiment habiles se bougent en moi plus rapidement, en entrant et sortant de cette cavité suintante et mourante d’envie d’être bien rempli pour être ainsi comblée. Pendant un moment, je subis l’assaut des doigts qui me font un bien fou. Je sens une première vague du gout (le plaisir) naître profondément au creux de mon bas ventre et venir mourir sur mes lèvres où sortent désormais des gémissements langoureux de ma bouche ouverte et incapable de se fermer. Mes gémissements de plus en plus bruyants et intense annoncent à mon maître qui bâillonne ma bouche de sa main libre. Mes cris de plaisir sont habilement étouffé par Rom dont la paume devient probablement marquer l'empreinte de mes dents tant qu’il appuie fort pour me contenir.

 

 

Excitée par ses doigts qui me liment agréablement bien, je me retrouve bien rapidement à onduler le bassin. Les phalanges des doigts caressent plaisamment les parois de mon sexe en feu, touchant les zones sensibles qui stimule mon excitation. Ensuite, très vite après, j’ai le gout… le vrai gout (plaisir), celui qui rend folle, celui que j'aime si fort. Oui, le vrai gout qui fait aimer le sexe comme une drogue ! Ça vient… ça grandit… puis ça monte et monte encore, lentement mais surement. Désormais rien ne s'aurait l'empêcher d'émerger et me faire exploser d’excitation.

 

Je serre mes petites fesses rondes pendant que je sens la paume dure de la main de Rom en train de taper violemment sur mes fesses avant que les doigts entrent le plus profondément possible dans mon sexe en contrebas et se bougent encore et toujours plus rapidement.

 

En tournant les doigts dans ma foufoune ruisselante, Rom m’arrache brusquement un cri strident. Mon corps, tout comme mon sexe, se contracte brusquement. Je suis secouée par ce trop-plein de gout qui me monte à cerveau. Mon être embrasé connait une telle jouissance comme je ne l’avais pas sentie depuis longtemps. On aura dit un grand feu d’artifice s’allumant tout d’un coup en moi. C’est tellement intense ! Je crie en me tortillant d’extase… La jouissance vient de loin, je la ressens d’abord dans mes orteils, puis dans mes pieds, ensuite mes cuisses flageolantes, enfin dans mon ventre jusqu’à ma tête en folie… Elle se propage partout et me fait crier bruyamment. Je me laisse tomber sur Rom qui me tient. A moitié consciente et le regard hagard, j’ai le cœur battant la chamade.

 

J’halète en reprenant mon souffle et mes esprits. Je ne me rappelle pas bien des secondes qui ont suivies ma jouissance. Je ne peux pas dire que j'ai perdu connaissance mais pourtant, il m’a fallu un peu de temps pour émerger et revenir de loin on l'on m'avait emmenée, quelque peu de force, mais de manière pourtant très agréable si bien je ne regrette rien de tout ce qui s’est passé.

 

Lorsque j’émerge en ouvrant grand les yeux, ma peau est perlée de gouttes de transpiration qui témoignent de la sueur suite à la chaleur ambiante qui m'avait envahie à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Je me sens plus détendue mais les muscles de mes ne répondent plus solidement. Je suis comme incapable de bouger, de me décoller de Rom. C'est lui qui, de ses mains sur mes hanches, me redresse avec une force surprenante comme si j’étais un poids plume. Je suis agréablement surprise et émerveillé par sa force.

Je reprends mes esprits, mon corps encore un peu anesthésié par les sensations fortes de ma jouissance, lorsqu'il pose ses mains autoritaires sur le creux de mes reins à la naissance de mes fesses.

 

- Je veux désormais que tu te cabres et garde le dos plié.

- Je vais être physiquement déformée.

- Tu seras plus belle et ta silhouette n’en sera qu’embellit.

- Mais…

- Il n’y a pas de « mais ». Tu es trop droite comme un « i » quand tu te tiens debout.

- …

- S’il te plait, fait ce que je te dis.

- …

- Cambre ton dos quand tu es débout. Tu me remercieras bientôt quand tu verras les bienfaits de cette posture.

- D’accord ! Dis-je avec un petit sourire.

- Je ne dois pas te le rappeler. Donc n’oublie jamais de bien cambrer le dos en ma présence.

- Ok ! Mais dis-moi pourquoi tu insistes pour que je le fasse.

- Parce que c’est une posture très féminine. J’aime voir la femme débout dans cette posture.

- Ok, chef ! Dis-je avec un petit sourire en cambrant aussi le dos.

- Lol !

 

Obéissantes à la lettre, à celui que je reconnais à présent comme mon maître, et potentiel petit copain, je me cambre le dos, docilement. Mes fesses se cambrent à souhait dans le même mouvement de mon dos cambré. Je n'attends pas une autre remarque avant de gonfler ma poitrine nue à l’air sans ressentir une once de gêne. Je lui présenter ouvertement et fièrement mes gros biberons joliment dessinés et formés sur ma poitrine en balcon. Ils sont toutefois moins fermes que tout à l'heure sous le bustier de ma robe qui les soutenait en haut. En revanche, ils sont plus durs et plus arrogants. Pointant leurs bouts durcit par mon excitation, ils narguent Rom ostensiblement pour l’inciter à les toucher. Je les sens lourds mais je suis satisfaite de les avoir ainsi libre à l’air sous le regard admirateur de Rom.

 

Comme s’il avait lu à cet instant en moi, Rom empoigne mes seins et les soupèse en puis les secoue, l'un et l'autre, avec ses mains. Il semble aimer mes seins.

 

- Ils te plaisent beaucoup, hein, petit cochon. Dis-je avec un petit sourire espiègle.

 

Comme réponse, Rom me sourit, avec une mine satisfaite qu'il affiche sans lâcher mes biberons. Puis il me tourne un peu pour lui avant de pencher son visage vers moi. Je l’ai laissé m'embrasser, tendrement puis profondément avec la langue dans ma bouche obéissante qui s'ouvrit pour l'accueillir avec passion avant de se retirer pour que chacun reprenne son souffle. Rom repasse une main sur mes seins, saisi un téton encore gonflé de plaisir avant de le pincer fortement, me faisant frémir et m'arrachant un cri de surprise et de douleur délicieuse.

 

L'instant d'après elle se décolle de moi avec le sourire. Il ouvre la porte qu’il avait fermé pour nous enfermé dans la petite pièces du toilette visiteur. Il est sur le point de sortir lorsque je l’interpelle :

 

- Rom, c’est tout ?

- Pardon ? dit-il en se tournant vers moi.

- C’est tout ce que tu voulais faire avec moi ?

- Oui ! Pour le moment !

- Tu es sérieux ? dis-je, assez surprise de sa réponse.

- …

 

Ma question l’étonne et semble le prendre de court car il ne trouve rien à dire avant de se reprendre.

 

- Je ne te comprends pas ! Dit-il !

- …

 

J’ai eu envie de lâcher un long « tchuiiips ! » car son incompréhension et sa confusion, m’agace. Alors je descends ma petite robe abaissée qui me ceinture à mi fesses et la laisse tomber à mes pieds. Je suis toute nue devant lui. Ses yeux deviennent ronds et sa bouche se forme en « o ». il me regarde sans rien dire mais reste admiratif devant ma nudité.

 

- Maintenant, tu comprends ? Dis-je, une fois

- …

- Tu veux me laisser en plan comme ça. Tu n’as pas envie de finir ce que tu as commencé ?

- Ah ! Désolé ! J’en ai envie ! Mais je ne veux plus te brusquer ou te forcer. Ce serait te violer.

- Ok, je vois ! Et maintenant ?

- Maintenant quoi ?

- On baise ?

- Oh ! S’exclame-t-il en regardant étonnée, avec les yeux.

- Tu n’as pas envie ?

- Je n’ai pas dit ça !

- Approche donc ! Dis-je en le faisant signe du doigt de s’approcher.

- …

 

Il ne dit rien et ne bouge quelques secondes, le temps de me regarder et d’approcher. Sans un mot, mes mains caressent la bosse de son short, tendu comme une toile de tente par l’érection du mamba en dessous. Puis je dégrafe le short qui d’un geste glisse en bas et tombe sur les pieds de Rom. Sa bite apparait, courte mais épaisse, dure et d’une vigueur insolente vu comme elle se dresse et demeure tendue vers moi. Je m’agenouille devant lui et passe ma main droite sur cet objet de mes désirs.

 

Je donne un premier coup de langue sous le gland rose. Rom grogne et soupire tandis que sa bite réagit par une brusque secousse qui la fait se redresser un peu plus haut puis revenir à l’horizontale à sa hauteur de départ. Je sourie en coin en voyant cette réaction instantanée. Puis en douceur. Je lèche un peu le gland avant de l’engloutir lentement dans ma bouche en même temps que la moitié de sa bite. Elle a un gout particulier. Je m’active a le sucer avec douceur et lenteur en creusant mes joue. Je lui montre ainsi la douceur de ma bouche, le plaisir de mes caresses buccales et la joie du sexe orale ou tout simplement d’une vraie pipe.

 

A deux mains il me tient la tête et enfonce toute sa bite dans ma bouche. Il sort et rentre assez brutalement. Je creuse mes joues, et suis le mouvement en l’aspirant à chaque introduction. Je lève les yeux pour le regarder et voit une certaine impatience et excitation affiché sur son visage. Je reste docile et attentive à son action dans ma bouche, vu les coups de reins qu’il fait doucement. En à peine une dizaine de coups de reins de plus dans ma bouche, il accélère la cadence d’un coup avant de se figer pour éjaculer en grande quantité dans ma bouche. Sapristi ! Quelle rapidité ! Mais quelle quantité !

 

Je le laisse se vidé avant de me retirer et cracher tout derrière moi dans le WC. Puis je reviens vers lui le nettoyer avec ma bouche. Je remarque qu’il bande encore. Cela me donne envie de le sucer encore. D’une main, je le masturbe délicatement. Puis je relève sa bite, et glisse ma langue le long de la verge jusque sur les couilles. Rom apprécie vu le sourire qu’il affiche. Il écarte un peu les jambes pour me faciliter l’accès de ma bouche a ses boules de viandes que je lèche et suce une à une. Puis ma bouche chaude et humide glisse sur son bâton de chair qui semble gardé sa vigueur.

 

Alternant les petits coups de langue coquins, voire vicieux, les suçons torrides, les pompages en bien profond, je me délecte de sa bite plutôt belle je dois dire mais pas longue comme j’aime de de préférence car je suis physiquement mince et « profonde » en bas là-bas donc capable pour recevoir une bite longue et grosse, chose que j’aime sentir en moi en particulier pour sentir quelque chose sinon ce serait une insulte à mon égard et un manque de respect à mon vagin.

 

Je suce Rom dont la bite este tout même agréable, tout en caressant ses bourses. Manifestement il apprécie la patience que je fais preuve, aussi la douceur et la lenteur que j’applique pour lui tailler une pipe. Je l’entends grogne faiblement par un raclement de gorge, entre deux soupirs évocateurs de plaisir.

 

Pendant un moment, j’accentue un peu plus mes caresses buccales, et en quelques coups de langue subtils, quand un autre jet chaud jaillit sur mon palais. Juste après vient son éjaculation, beaucoup moins importante. Je crache à nouveau et le reprends en bouche. Dans ma bouche, sa bite se vide débande doucement, se laissant caresser au bout par ma langue habile. Un bruit de chasse d’eau résonne dans l’air après que je me sois levé en laissant la bite toute propre et molle.

 

Rom se rajuste, et moi je ramasse simplement ma robe gisant au sol.  

 

- Merci ! Tu viens de me donner la meilleure pipe de ma vie.

- Merci, Rom ! Mais tu exagères en compliment.

- Non, je suis sérieux.

- Ok, contente de le savoir.

 

Sans hésitation, je dépose un bisou sur ses lèvres et sors à poils de la pièce. Je tourne les talons et me cambrer le dos. Heureuse et légère, je regagne ma chambre, toute nue, dans une démarche chaloupée.

 

A  SUIVRE !

ENGRENAGE