Engrenage - Episode 4

Ecrit par chrochro241

Suite directe de l'épisode 3


*** Dans la tête de Savana ***

 

Je regarde Rom qui ferme le couvercle de sa machine à laver et la met en marche après y avoir mis  un peu de savon en poudre. Je le regarde faire, sans vraiment comprendre son attitude à se mettre à poil comme ça à la cuisine. Depuis que je suis chez lui c’est bien la première fois que je le vois se mettre à poil comme ça dans la cuisine. Je me demande il est normal ou bien il est dérangé.

 

- Rom ça va ? demandai-je avec inquiétude !

- Oui ! Très  bien !

- On ne dirait pas que tu vas bien.

- Ah bon ? Et pourquoi ?

- Bah, regarde-toi !

 

Il se regarde de la tête aux pieds et me regarde.

 

- Il y a quoi ? me demande-t-il, l’air de rien.

- Tu es à poil dans la cuisine.

- Et alors ?

- Gène toi, quand même !

- Me gêner pourquoi ? Je te signale que je suis chez moi. Je fais ce que je veux. Je marche nu si je veux. Dit-il à haute voix.

- Hum ! Fis-je en le regardant bien.

- Quoi ?! Ça te dérange de me voir comme ça ? dit-il à haute voix en levant les bras.

- …

 

Je préfère ne pas répondre. Je tourne les talons pour retourner devant le four. Il m’attrape soudain par la main et me tire vers lui et m’oblige à me tenir face à lui. Mais je lui tourne vite le dos. Il m’élance et me serre contre lui.

 

- Laisse-moi ! Dis-je !

- Quoi ? Tu boudes ?

- Hum !

- Parle-moi ! dit-il en me chuchotant à l’oreille droit.

- Tu m’as parlé fort. Je n’aime pas ça. Dis-je, en lui tournant toujours le dos

- Ah bon ?

- Hum ! hum !

- Désolé ! Je suis vraiment désolé.

- - Tu as chié ! dis-je.

- Chié ?

- Je veux dire que tu as merdé en me parlant fort pour rien.

- Pardon !

- En plus, tu es dérangé !

- Dérangé ? Je ne comprends pas !

- On dirait que tu es devenu un fou pour te foutre à poil comme ça dans la cuisine.

- Ne fais pas ta prude Savana.

- Hum !

- Tu crois que je ne t’ai pas remarqué regarder vers ma bite !

 

Ce n’est pas faux ! Mais bon… les yeux n’ont pas de freins.

 

- J’avais jeté un œil c’est œil comme ça. Je n’avais pas vu grand chose. Dis-je machinalement !

- Comme cela, tu verras mieux !

 

Et sur ses mots, il me tourne brusquement sur moi-même. Je me retrouve face à lui.

 

- Tu vois ça bien maintenant j’espère. Dit-il en souriant.

- Rom tu es vraiment dérangé. Dis-je en baissant les yeux sur son pipi.

- Alors, comment tu la trouves ma bite? Dit-il en tenant la base de sa verge avec 2 doigts amolli.

- Sans vouloir te vexer, hum… c’est trop petit ton zizi là ! Dis-je pour le taquiner.

- Tu ne le vois pas dans toute ma splendeur.

- Hum !

- C’est le moins que je puisse dire !

- Bof, bof ! C’est terrible vu comme ça.

- Prends là dans ta main, Dit-il en m’enlaçant à la taille.

- Je suis en train de préparer.

- Allez, stp !

- Hum !

- Stp ! Allez Savana, soit sympa !

- Hum ! Et Manou (la nounou) ?

- Pourquoi tu parles d’elle ?

- Elle venir ici.

- Oui ! Mais j’ai verrouillé la porte à clé.

- La fenêtre de la cuisine est ouverte. Elle peut regarder par là et nous voir.

- Pas si tu fais vite.

- Hum !

- Aller, bébé !

- Tu as le culot d’insister !

- Parce que je le veux vraiment.

- …

- …

- …

- Pfff ! Dis-je en poussant un léger soupir d’agacement.

- Vas-y ! Fait !

 

Je secoue la tête, irritée.

 

- Bon… Tu veux que je prenne ton sexe dans ma main et que je te masturbe ?

- Oh, oui, j’en meure d’envie ! Dit-il en souriant comme un gamin.

- Ah ça commence bien hein ! Dis-je en le voyant sa bite se dressée toute seule.

- Tu m’excites trop !

- Vraiment ? Mais je ne fais rien. Dis-je avec petit sourire en coin.

- Si ! Tu es là à te balader à moitié à poil.

 

Il n’a pas tort. Depuis qu’il s’est découvert sexuellement et mutuellement fait jouir, je me déplace dans sa maison simplement vêtue d’un haut qui lui appartient. Cela fait 3 jours que je porte un marcel bleu pour homme que je lui ai emprunté. J’aime beaucoup porté ça en restant dans la maison. En plus il y a le parfum et l’odeur de son propriétaire dessus. Ça sent trop bon !

 

- Comment ça je me balade à moitié nue ? di-je, en faisant semblant de ne pas comprendre.

- Regarde-toi !

- Y a quoi ? dis-je en souriant.

- Tu ne vois pas comment t’es habillé là ?

- Hum ! dis-je en regardant de la poitrine aux pieds.

 

En regardant sur moi, je vois juste son marcel-là qui est ample sur mon petit corps mince. J’avais beaucoup tiré sur le col au niveau de ma poitrine pour en faire descendre le sous le creux de mes seins pour en faire un col du genre décolleté plongeant. En plus d’avoir aussi le col sous les aisselles pour rendre le haut échancré. Le résultat donne un marcel certes ample et de taille XXL mais déformé et parfait pour exhiber ma plastique. En haut, ma poitrine en balcon lourdement chargé est presque entièrement exposée. Mes gros mamelons sont presque dénudés et bien visibles à qui veut les voir. Seulement on ne voit pas mes aréoles et mes tétons qui sont couverte chaque bretelle du marcel. En bas, le marcel m’arrive ne bas au-dessus des cuisses qui sont exposé au trois-quarts. Je porte en dessus un shorty, petit short très court, qui s'arrête juste au-dessus des fesses, et non en dessous comme le boxer ordinaire.

 

En fait, je m’exhibe un peu car ça fait déjà 3 jours qu’on flirte ensemble. Je lui laisse aussi me toucher quand il veut mais il m’a encore touché sexuellement parlant avec son pipi. Pourtant on dort sur le même lit où je suis souvent nue prétextant avoir chaud la nuit. Or, c’est pour mieux l’exciter et l’inciter à me baiser. Il ne fait rien. On ne dirait pas qu’il a me baiser ! Pourtant je vois bien qu’il bande à mes côtés. Je n’ai pas posé de questions. Je me dis qu’il ne veut pas se précipiter. Une partie de moi pense qu’il est peut-être impuissant, d’où sa réticence pour se décider à faire gouter  son pipi que veux sentir dans ma cave. Mais bon je garde espoir qu’il veut juste aller doucement avant qu’on passe à l’acte proprement dit.

 

 

- Je ne vois pas ce que tu veux dire.

- Tu es à moitié nue et tu ne te gêne même pas !

- J’ai de bonnes raisons de ne pas me gêner. Depuis le jour de mon arrivé ici chez lui, tu n’avais cessé de me dire de faire comme chez moi, y compris dans ma façon de m’habiller. Vrai ou faux ?

- Vrai ! Je reconnais !

- Voila ! Cela n’a pas l’air pas de te déranger. Pareil, pour Manou, la nounou, et la dame de ménage qui vient tôt le matin faire le nettoyage.

- Oui ! mais il y a quelque chose qui me dérange ?

- Quoi ?

- Ton joli p’tit cul rond ! Dit-il en posant ses mains sur les petites fesses rondes.

- Lol ! Je ne vois pas comment ça peut te déranger.

- Ça me fait fantasmer.

- Ah bon ? Fantasmer ? dis-je, flattée, avec la mine amusée.

- oui ! dit-il avant de faire un bisou sur la bouche.

- Hummm ! Fis-je en l’embrassant un peu alors qu’il malaxe mes fesses.

- Tu sais, hier soir, je me suis branlé à coté de toi en regardant tes fesses pendant que tu dormais nu couchée à plat ventre.

- Noon ! tu plaisantes ! dis-je, surprise et un peu choquée par son aveu.

- Pas du tout !

- Oh ! Tu t’es vraiment masturbé ?

- hum ! hum ! dit-il en hochant la tête pour affirmer.

- Tchuips ! Toi vraiment tu es dérangée. Dis-je en faisant une moue boudeuse.

 

Vraiment c’est quel wéh ça ? Il a une femme nue pour lui dans son lit et trouve mieux de se masturber au lieu de me baiser. Bon c’est vrai que je me suis endormie, épuisée par les jouissances multiples qu’il m’avait donné avec ses doigts en moi. Je n’aurais été contre si il m’avait réveillé pour faire une partie de jambes en l’air. Tchuips ! Ça m’énerve son délire là ! Et son pipi qu’il garde bande maintenant contre mon  ventre. Je m’écarte de lui mais me tire vers lui pour se coller à moi.

 

- Laisse-moi ! Dis-je en boudant quand je pense qu’il me fait perdre mon temps dans son lit.

- Allez Savana, laisse toi aller.

- Me laisser faire pour faire quoi ?

- Tu verras la suite.

- Hum ! Dis-je en tirant la bouche sur un côté.

 

Sans me faire prier, je me saisis de son pipi tendu. Car le salop m’avait quand même émoustillée avec son corps présentement nu et sa bite bandée. Et désireuse de provoquer son désir sexuel, je guide sa bite vers mon mont de venus caché par mon shorty sur lequel je frotte le gland de haut en bas en faisant des pressions doucement vers ma fente. Je le regarde dans les yeux, en agissant ainsi.

 

- Branle-moi ! dit-il doucement.

 

Je le regarde deux secondes avant de branler doucement sa verge du bout des doigts tandis que son gland est en contact avec ma fente à travers le tissu du shorty barrant l’accès à ma cave.

 

- Comme cela ? Dis-je, en le branlant son pipi qui sans nul doute prenait de la raideur.

- Oui ! Mais soit plus entreprenante !

- …

- Surtout ne te gêne pas !

 

Du coup, je secoue un peu plus fort sa virilité prenait de l’ampleur et de la raideur. Je me branle franchement et commence à bien le masturber fermement. Son sexe raidit et se gonfle d’avantage dans ma main qui l’enserre. Rom remonte ses deux mains de mes hanches à mon dos, en soulevant dans le même mouvement le bas de son marcel que je porte. D’un coup, il le passe au-dessus de ma tête, le faisant glisser au passage sur mes bouts qui ont réagis et se sont dressés. Je me retrouve simplement vêtue de mon string, avec mes mamelons découverts à l’air et sans protection.

 

Sans attendre Rom se courbe pour se pencher sur ma poitrine. Il gobe d’un coup l’un de mes deux gros biberons entres ses lèvres et mord le bout durcit. Je pousse un soupir et frissonnant de plaisir en le sentant téter mon sein. Je ferme les yeux doucement et savoure l’instant, en sentant sa langue s’agiter et agacer mon téton qui est ensuite gobé, aspiré, mordillé puis tiré lentement avec les dents. Je me crispe et émet un léger son de douleur, tout en ressentant un délicieux frisson me parcourir le corps. J’humecte mes lèvres d’un coup de langues avant de mordre ma lèvre inférieure tandis qu’au fond de moi j’apprécie vraiment cette bouche qui dévore agréablement mon sein. Il plonge son visage sur mes gros mamelons et fourre son nez entre mes seins. Je le regarde faire ça et souris. Je frissonne lorsque sa langue, très habile, se met à lécher ma peau entre mes seins.  Je suis très sensible des seins et Rom sait s’y prendre pour m‘émoustiller à partir de là.

 

Son visage se décolle de mes seins avant que sa penche sur le large mamelon droit et absorbe le téton en entier. Dans sa bouche, sa langue titille la pointe du sein avant de la sucer en longueur. J’observe Rom téter mon sein. Les yeux fermés, il se délecte de mon sein comme un bébé gourmand. Je souris, attendri par cette action. Je ne peux ensuite étouffer un gémissement émit par ma bouche lorsque le coquin mord la pointe de mon sein.

 

- Je vais te prendre sur la machine à laver ! dit-Rom en chuchotant à mon oreille.

- Humm ! Dis-je, en souriant, la tête dans les effluves du désir grandissant.

 

Rom descend mon shorty et le fait glisser doucement le long de mes jambes jusqu’à mes cheville. La seconde suivante, je me sens soulevé du sol et installé sur la machine à laver le linge qui tournait. Il relève mes cuisses et les ouvre largement. J’ai cru une seconde qu’il va s’enfoncer d’un coup entre mes cuisses et me prendre enfin. Au lieu de cela, il penche sa tête vers mon entrejambe. Je devine ses intentions.

 

- Désolé si je ne suis pas très propre ! Dis-je, un peu gêné par son regard sur ma fente poilu.

- Pas de soucis !

- ….

- Tu sens la femelle en chaleur et j’aime ça ! dit-il n humant mon sexe.

- …

 

Je le regard en me pinçant les lèvres. Son nez est face sur mon entrecuisse, sa langue sort de sa bouche et glisse sur l’entrée de mon sexe. Il déloge mon clitoris de sa cachette et l’agace en le lapant d’une façon savamment dosée. Je tremble en le sentant me le lécher du bout de sa langue. Il s’enfouie ensuite cette dernière dans mon sexe et s’agite doucement dans ma cave. Je pousse un long soupir en fermant les yeux. Je dois reconnaitre qu’il s’y prend bien.

 

J’ondule du bassin pendant qu’il me lèche. A vrai dire je gigote car je sens qu’il me chatouille quelque peu tellement il ne fait qu’effleurer mes parties intimes avec sa langue. Les yeux clos, je bascule la tête en arrière en creusant mon dos. Je sourire d’aise et ronronne de bonheur en le laissant faire. Je savoure l’instant. Je dois l’avouer, aucun de mes amants ne m’avaient léché. Tous ne pensaient qu’à leur plaisir. Je ne leur tiens pas rigueur car moi-même je voulais juste qu’il me saute vite fait et bien fait.

 

- Ouiiiiiiiii ! Aaaah ! Dis-je en gémissant sans pouvoir me retenir.

 

Le plaisir monte au summum puis vient la jouissance. Rom me laisse et je profite pour reprendre mon souffle. Je ressens une intense sensation d’eau sur mon sexe tremblant de plaisir.

 

- Alors bébé ! C’était bon ? dit-il avec un sourire narquois.

 

Je souris seulement pour lui répondre. J’ai du mal à parler car je reprends mon souffle. Je suis épatée par le plaisir que je venais de connaitre. Rom vient m’embrasser. Je réponds à son baiser. Ses lèvres et sa langue ont un gout particulier qui est pas du tout déplaisant. Tandis que je l’embrasse je tends la main vers son bassin pour loucher sa bite. Sn sexe est bien tendu et prouve que le désir de Rom pour moi est bien réel. Je décolle ma bouche de la sienne et regarde vers sa bite. Je suis admirative en voyant le bout rosé de son pipi. Cela me donne envie de la sentir dans mon ventre.

 

- Prends-moi ! Dis-je, en le suppliant du regard.

 

Rom se faufile entre mes jambes qu’il relève. Pour l’aider, en lui facilitant la tâche, j’avance mes fesses vers le bord de la machine à laver le linge qui tourne depuis un moment. J’écarte mes cuisses le plus possible. Il place son membre tendu face à ma fente. Son gland se présente à l’entrée de ma chatte. Et sans plus d préambule, il entre d’un coup et s’enfonce dans ma cave de toute sa longueur. Il m'enfile sa bite et se colle étroitement contre moi. De ce fait dans le même mouvement, son sexe gonflé de désir s’enfonce dans le mien détrempé. Je le sens le gland être pousser de force dans mon ventre vers le fond.

 

- Arrrkkkkk !, criais-je en manquant de m’étrangler dès qu’il a forcé l’entrée serré de mon sexe.

 

La pénétration me coupe le souffle. Ma chatte étroite pour ce gros sexe se contracte mais laisse entré le visiteur qui se loge en moi avec une facilité démontrée par tout mon eau qui trempe ma cave.

 

- Ta chatte est si étroite. J’aime ça ! dit-il en restant loger en moi.

- Bouge-toi au lieu de parler !

- A tes ordres ! dit-il avant de commencer à se mouvoir.

 

Les premiers va et vient son pénible. Mais plus il bouge en moi, je m’accommode à sa présence. Son sexe commence à me faire d’agréables frottements en moi. Un vrai plaisir ! Je ferme les yeux et souris. Je savoure enfin le plaisir de le sentir en moi. J’ai tellement espéré et attendu ce moment. J’ouvre grandement les yeux que j’avais refermés sous la pression du plaisir. Je regarde entre nos deux corps. Je suis fascinée par l’emboitement qu’il se fait constamment.

 

Bien positionné entre mes cuisses, il les surélève l’une après l’autre en continuant de bouger son bassin pour faire aller et venir son sexe dur dans le mien conquis à sa cause. Mon sexe à l’intérieur alors que la bite l’écarte et se crée un passage pour aller aussi loin que possible. Je retiens bruyamment mon souffle en recevant chaque coup de butoir qui stimule mon plaisir.

 

Un moment, je subis les assauts, immobile. Puis, je me retrouve bien rapidement à bouger du bassin et à aller à la rencontre de cette bite me fait agréablement du bien lorsqu’elle va et vient en coulissant dans ma cave suintante en frottant plaisamment les parois de mon sexe. Mon corps est secoué par les coups de bassin puis par ce trop-plein de plaisir grandit avant de m’assaillir. Mes fesses décollent du bord de la machine à laver le linge et reviennent dessus lorsque le bassin dur de Rom tape violemment contre mon sexe pour que la bite entre le plus profondément possible dans mon ventre.

 

Rom se bougent encore et toujours plus rapidement avant que je réalise qu’il est en train de me pilonner. Je cris bruyamment et jouis en me tortillant sous lui. Je tressaille et écarte les jambes instinctivement sous l’effet du plaisir.

 

Rom ne s’arrête pas là ! Il continue de me prendre et me pilonne de son sexe bien ferme. Je gémis et m’appuie sur mes bras. Au même moment la machine à laver le linge en marche tourne plus vite et plus fort. Apparemment c’est le programme essorage qui est en cours. Je subis les assauts de mon amant en geignant. Le goût du tchouk (la baise) est devenu si intense. La pénétration est tellement plaisante que j’en oublie tout autour moi. Mes pensées sont concentrées entre mes cuisses et sur cette bite s’enfonçant en moi et remplissant mon sexe chaud et détrempé. Tout ceci me donne tant de plaisir. J’ai l’impression qu’au fil des coups de reins, mon corps s’affaiblit. Mon sexe semble sécher au fil des frottements de la bite en moi.

 

Aussitôt, je suis réactive et ne peux contenir des râles de plaisir. Les coups de reins de Rom s’accélèrent encore. J’ai le sexe en feu, mais je ne veux pas que tout s’arrêter. C’est si bon  tout ça ! Le plaisir est trop intense. Je tourne un peu les hanches et de ce mouvement circulaire naissent de nouvelles sensations encore plus fortes et sensibles que les précédentes. La jouissance revient d’un coup alors que le programme essorage de la machine à lave le linge se poursuit de plus belle.

 

- Oh oui ! Oh ouii ! Aniembié ! Oh ouiiiiiiiiii ! Dis-je en perdant la tête avant de me sentir partir.

 

Mon sexe se contracte, entrant dans la danse en communion avec la bite de Rom. Il se retire de moi et m’embrasse. Petit à petit, je reprends mes esprits. Je prends conscience de ce qui vient de se passer. Je regarde autour de nous et repousse vite Rom lorsque je vois la marmite que j’ai laissée au feu. Rom veut me retenir.

 

- Laisse-moi ! Je dois regarder la marmite au feu. Dis-je ne lui désignant le four du doigt.

 

Il me laisse. Toute nue,  que je me précipite devant le four pour soulever le couvercle de la marmite. Je pousse un soupir de soulagement en voyant que ce n’est pas brulé. Rom vient voir aussi.

 

- C’est brulé ? demande Rom en m’élançant.

- Non ! Mais ça faillit bruler.

- Ah ok

- La sauce a séchée. Heureusement que j’avais laissé la cuisson à feu.

- Si ça avait brulé on mangerait l’amour aujourd’hui. Dit-il avant de faire des bisous dans le cou.

- Lol ! L’amour ne se mange pas mais se savoure !

- Si tu le dis ! J’ai encore envie de toi. dit-il en collant son sexe bandé contre mes fesses.

- Ah non ! Regarde comme on est à poil dans la cuisine.

- Et alors ?

- Pense à Manou qui cuisine ici !

- Elle n’est pas là.

- Oui mais je trouve qu’on ne devrait pas faire ici ce qu’on vient de faire et que tu veux encore faire.

- Je suis chez moi !

- Oui mais…

- Tu parles trop !  Parler là c’est maladie !

 

Sur ce, il commence à m’embrasse dans le cou. C’est agréable mais le fait d’être nue dans la cuisine ne me plait pas.  Je me détache de lui. Il me tire vers lui mais je le repousse à son grand étonnement. Il me regarde pendant que j’ajoute un peu d’eau dans la sauce. Je vais vers la machine à laver le linge pour ramasser au sol le shorty et le grand marcel que je portais. Je quitte aussitôt la cuisine pour me rendre dans ma chambre. J’entre dans la salle de douche  et m’assois sur le WC pour uriner.  

 

Rom me rejoint pendant que j’urine. Il est tout nu. Il semble boudé. Il boude même pourquoi ? Tchuisp ! Qu’il boude s’il veut je m’en fou ! J’ai envie de l’ignorer mais je ne peux détacher mon regard de  sa bite bandé qui est tendue et légèrement penchée vers le bas. On dirait qu’elle perd de sa vigueur. Je lève les yeux et croise ceux de Rom me regarde avec l’air sévère. Je souris.

 

- C’est comment ? demandai-je en souriant.

- …

- …

- …

 

Je me pince les lèvres doucement en voyant s’il ne veut pas parler. Il se tourne pour sortir mais je l’attrape vite le bras pour le retenir.

 

- Tu es vraiment fâché contre moi ? demandai-je, inquiète.

- …

 

Il me répond pas et me dévisage. Je baisse les yeux pour ne pas le regarder. Je vois son sexe qui commence à ramollir. Je ne rappelle pas avoir sentir Rom jouir. Cela me donne une idée ! J’attrape la bite qui se penchait et la branle lentement. Mon geste suffit à la faire raidir en quelques allé et retour de ma main le long de verge devenue turgescente. Je tire Rom vers moi en lui tenant la bite. Il se laisse faire docilement. Je profite qu’il se tienne face à moi pour diriger son gland vers ma bouche. Je le lèche doucement dans un premier temps avant de tourner lentement ma langue tout autour. Je regarde dans le même temps. Ce dernier me fixe avec un air moins dur. Je gobe et suce son gland goulument pendant de main branle doucement sa verge gonflé.  Une seconde après, je l’engloutie lentement et entièrement dans ma bouche. Je m’active a le sucer avec douceur et lenteur en creusant mes joue. Je sens Rom me détendre. Plus je le suce et le pompe, plus je me sens pouillé.

 

Assise sur le WC, je lui offre une longue gâterie. Il se retire malheureusement… Il me lève, me retourne de force, appuie sur mon dos pour que je me penche en avant. Ii colle à mon dos et attrape mes larges mamelons qui pendent lourdement et les malaxe en pinçant les bouts. Je soupire et Je me laisse faire docilement faire et savoure avant qu’il pénètre ma fente avec sa bite que je sentais frôler mes rondes petites fesses. Il me l’a met d’un coup sec, m’arrachant un cri que je refoule et qui passe pour un soupir bruyant.

 

Il m’agrippe par les hanches et commence à cogner son bassin dur sur mes fesses que je sens rebondir à chaque coup de butoir qu’il m’assène violemment. J’encaisse tous les coups avec une certaine joie. Je suis déjà affaiblie par notre 1er round dans la cuisine. Malgré cela je l’accompagne dans ce second round. Par ses coups de reins, il cogne fort sur derrière… Je geins et serre plus les dents que mes yeux que je ferme. Les coups de reins redoublent d’ardeur et de violence sur mon petit derrière qui subissent les frais. Cela pourrait me tuer parce que là j’avoue que Rom est en train de m’assassiner.

 

Je soupire et geins en subissant ce pilonnage musclé. Je me cambre, instinctivement, lui tendant mon postérieur alors qu’il me culbute sans pitié. Il me donne des coups de reins si forts que cela me pousse en avant et me fait mal aux fesses. Je n’arrive à contenir que difficilement des gémissements. J’en viens à saisir un de mes seins qui se ballotaient sous les coups de reins que j’encaissais. Je me mets à pétrir très fort mon sein avec ma main pendant que Rom n’ont finit pas de me baiser très fort. Ses coups de butoirs ont raison de moi. Je jouis et cris en mon plaisir sans retenu. Il me baise encore avant de se retire de moi et m’asperger le bas du dos de semence tiède. Il s’essuie sur mes fesses pendant que je reste immobile et me remets de mes émotions.

 

Peu après je suis sous la douche avec Rom.

 

- Ça t’arrive de baiser comme tu viens de faire ? Demandai-je à Rom.

- Ça dépend !

- De quoi ? Demandai-je, très curieuse.

- Euh… mon état d’esprit ! Je crois !

- tu étais brutal ! On dirait que tu voulais en finir avec moi. Dis-je, la mine amusée.

- Pardon de t’avoir brutalisé ! Je n’étais juste lâcher pour qu’on en profite bien.

- C’est toi qui en as bien profité vu comment tu me cognais fort.

- Ah bon ? Désolé chéri ! C’était pour ton bien.

- Non ! Ton bien !

- Tu n’as l’air d’avoir aimé ça.

- Si !

- Ok ! On retient ça !

- En tout cas j’ai eu ma dose. Je ne crois pas que j’aurais encore envie demain avant de rentrer chez moi à Lambaréné.

- Tu veux déjà rentré ?

- demain ça fait une semaine que je suis chez toi. Et on avait convenu que je reste avec toi une semaine ici puis je rentre chez moi.

- …

 

Rom ne dit mais je le vois son regard fuyant le mien. Il fait soudain une tête de chien abattu. Je suis surprise et confuse.

 

- Rom…

- Ok ! C’est bon ! Tu rentreras demain chez toi. dit-il en parlant

- Oh ! m’exclamai-je, abasourdie.

- Oh quoi ? C’est ce que tu veux non ? dit-il en haussant le ton.

- …

 

Sur ce, il sort de la douche. Je reste plantée là en essayant de comprendre l’attitude de Rom. A vrai dire je ne comprends pas surtout en voyant comment il s’emporte. Je suis perdue !

 

A SUIVRE !

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