Suite de l’épisode 7 :

– Rom vous a-t-il dit qui pourrait le sortir de ce gâchis? Dit Mr Bill By-Nzé en dansant le slow avec Savana.

– Il m’a dit que vous le pouviez! C’est pourquoi je vous ai demandé d’intervenir pour lui.

– C’est exact ! Je suis le seul à pouvoir le tirer d’affaire. Je ne voudrai pas voir sa vie professionnelle ruinée car c’est un bon élément pour notre banque. Je l’aime bien.

– Je vous serai extrêmement reconnaissante d’intervenir pour le couvrir. Dit-elle en parlant vite.

Mr Bill By-Nzé sourit, car il espérait bien qu’elle dise cela !

– Mais ce serait prendre un bien grand risque que de le couvrir ! dit-il !
– Il n’y a pas donc d’espère pour lui ?
– Peut être bien !

– …

– Je vois que vous tenez beaucoup à lui.

– C’est le cas !

– Donc vous l’aimez !

– Oui !

– Il vous aime ?

– Il ne le dit pas ! Mais le monte par ses gestes d’attention et d’affection !

– Je vois ! Mais savez-vous qu’en amour il faut parfois prendre des risques ou faire quelques sacrifices pour la personne qu’on aime ? Tout ça au nom de l’amour !

– Euh… non ! Je ne crois pas que faire cela est bien.

– Oh que si ! C’est une preuve d’amour.

– Si vous le dites !

– Je le dit bien en connaissance de cause. Vous connaissez Jésus ?

– Le christ ?

– Oui ! Jésus-christ !

– Evidemment !

– Savez-vous pourquoi il s’est laissez maltraité et rabaissé puis crucifié sur la croix ?

– Euh… Non !

– Il l’a fait au nom de l’amour qu’il a pour nous !

– Quoi ? Vous plaisantez ?

– Non !

– Vous n’êtes pas sérieux !

– Je le suis ! Grace à son sacrifice Jésus christ nous a sauvez. C’est écrit dans la bible !

– …

– Savez-vous que l’amour supporte tout, endure tout, pardonne tout, résout tout ?

– Je crois ! C’est ce qu’on dit !

– Et savez pourquoi on le dit ?

– …

– Parce que c’est vrai ! La preuve par ce que Jésus Christ subit depuis la trahison de son disciple Judas jusqu’au moment de sa mort après son parcourt de lamentation lorsqu’il portait sa croix.

– …

Savana est perdue et confuse avec toute cette histoire que Mr Bill By-Nzé lui raconte.

– Pourquoi vous me racontez tout ça ? dit–elle avec air sceptique.

– Pour vous faire réfléchir !

– Sur quoi ?

– Le souci de Rom !

– Où voulez-vous en venir ?

– Je tenais à vous faire comprendre que dans la vie, de nos jours, qui ne tente rien n’a rien !

– …

– On n’obtient pas quelque chose qu’on souhaite ou désire sans prendre des initiatives ou bien des risques par une décision difficile qui nécessite de faire quelques sacrifices. Seul la fin compte et justifie les moyens pris en conséquence.

– …

– Vous aimez Rom et vous vous souciez vraiment de lui. C’est admirable ! Cela démontre que vous tenez à lui et que vous êtes une femme bien. Mais par amour, seriez-vous prêtes à faire des choses pour lui aidez ?

– Euh… et bien… Oui, je pense ! Mais ça dépend !

– Le ferez-vous donc si cela pourrait aidez Rom à se sortir d’affaire ? Pour régler son souci que vous connaissez.

Savana sent son cœur s’affolé car elle réalise qu’elle est dans une situation d’un engagement critique. Cela ramène à devoir s’arranger avec Mr Bill By-Nzé.

– Je… Je ne sais pas ! C’est compliqué !

– Je vous comprends ! Mais la vie est ainsi faite. Tout commence par une décision. Ou un choix !

– …

Un silence s’installe entre eux alors que le slow se fait entendre. Mr Bill By-Nzé et Savana ne cesse de danser ce slow qui semble durer une éternité pour Savana. Elle réfléchit à cette conversation sans vraiment avoir toute sa tête tellement elle est partagée par des sentiments contradictoires entre raison et amour. On dit que le cœur qui aime a ses raisons que le raison ignore et s’oppose.

– Si j’accepte un arrangement avec vous… Que… qu’en sera-t-il exclament ? Demande-t-elle la voix tremblante.

– Rien de bien méchant ! Mais je vous demanderais juste quelques faveurs en compensation.

– Quels faveurs ? dit-elle.

Savana pose cette question en faisant mine de ne pas comprendre alors qu’elle le sait déjà.
– Des services que vous allez devoir faire !

– Que… devrai-je faire ?

– Etre bien gentille avec moi pour me faire plaisir sans discuter. Et j’en ferais autant pour vous dans l’intérêt de Rom. Vous acceptez le deal ?

– …

Savana sait plus quoi dire. Elle sent qu’elle tient là la chance qu’elle espérait pour aider Rom. Mr Bill By-Nzé qui tient là l’occasion qui cherchait pour arriver à ses fins. Il suffit qu’elle dise « oui ». Voyant le silence de Savana qui n’arrive pas à se décider il déduit qu’elle accepte car dans ce cas de figure qui ne dit mot consent, parait-il !

Sur ses mots, Mr Bill By-Nzé empauma ses fesses avec avidité. Savana est affolée par ce geste de main inattendu sur ses fesses en plein piste de danse. Elle regarde autour pour voir si Rom ou quelqu’un le remarque alors qu’elle sent la main baladeuse et les doigts vicieux suivre les courbes de son petit cul. Elle sait pertinemment qu’elle doit se laisser faire. Elle a peur et son cœur bat à la chamade.

Mr Bill By-Nzé prend la situation a son avantage. Il plaque discrètement ses deux mains sur ses rotondités avenantes du postérieur de Savana et les malaxe voluptueusement. Il n’y va pas de mains mortes. Savana est abasourdie et se crispe. Elle sait et demeure soumise par contrainte en se laissant toucher par le patron de Rom qui la tient dans sa pince.

Mr Bill By-Nzé en profite pour imposer ses désirs.

– Tout ce que je veux c’est toi. Je veux que tu fasses tout que je te dirais pendant ce week-end !

– …

– Je veux que tu sois à moi pendant tout le week-end !

– Rom saura !

– Rom n’en saura rien !

– Mais….

– Il n’y pas de « mais » qui tienne. Et ne discute pas ! Obéis simplement !

– …

– Si tu fais bien tout ce que je te dis, je dis bien « tout »n dès je règle le souci de Rom au travail.

– …

Savana réfléchit mais elle perturbé tout de suite par les caresses qu’elle subit aux fesses. Elle jette un coup d’œil circulaire histoire de voir si quelqu’un peut voir Mr Bill By-Nzé lui tripoter le cul. Son dos est tourné vers des musiciens peuvent voir les mains sur ses fesses. Le tissu fin de sa robe n’est pas d’une grande aide et constitue à peine une barrière face aux attouchements discrets sur la croupe que Mr Bill By-Nzé malaxe avec plaisir. Il éprouve une joie immense lorsqu’il sent au travers de la robe les fesses laissées nues par le string. Si seulement il peut claquer les doigts pour faire disparaitre la robe et voir enfin Savana à poil dans toute sa splendeur.

Mr Bill By-Nzé remonte sa main sous son aisselle et empaume le coin du bonnet du soutien-gorge. Il avance sa main et pétrit rudement le gros nibard bien ferme au travers du bonnet du soutien-gorge qui le contient. Il presse le mamelon si bien que le bout s’en échappe du bonnet et pointe à travers la robe. Mr Bill By-Nzé le voit et pince du coup le téton érigé.

Savana se tient tranquille et reste soumise pendant que Mr Bill By-Nzé la touche le nichon. Il use de sa main droite dans le dos de celle-ci pour se serrer contre elle, tout en pressent contre son ventre sa bite gonflée par un désir à l’horizontal.

Le cœur de Savana bat la chamade alors que son visage couvert de rougeur. Heureusement qu’elle est noir sinon on verrait qu’elle est rouge comme une tomate. Elle s’efforce de ne rien laisser paraitre malgré la honte qui l’envahit.

La danse du slow se poursuivait depuis lors et semble avoir duré une éternité lorsqu’en fin le slow se termine et que Mr Bill By-Nzé se sépare de Savana qu’il conduit à sa chaise.

Voyant que Rom n’est toujours pas revenu et est occupé à discuter ailleurs, Mr Bill By-Nzé profite pour s’assoir avec Savana et ne perd pas de temps pour user de son pouvoir sur elle. Il faut battre le fer quand il est encore chaud pour le fçonner.

– Remonte ta robe en bas! Dit Mr Bill By-Nzé avec autorité.

– Quoi ? Là ?

– Oui !

– …

– Tu refuses? Dit Mr Bill By-Nzé en le voyant muette sans agir.

– …

Savana se pince les lèvres et glisse ses mains sous la table pour retrousser sa robe lentement mais surement. Mr Bill By-Nzé est ravi de la voir s’exécuter.

– Pousse tes fesses vers le bord de la chaise avant de remonter la robe jusqu’au-dessus des cuisses. Dit-il avec avidité.

Elle obéit et quand il voit qu’elle a fini, il s’empresse de glisser sa main sous la table pour toucher la cuisse nue. Il la caresse la cuisse, baladant sa main le long de la peau, et plonge la main à l’intérieur des cuisses et atteint l’entrejambe. Il aime tout de suite le contact de ses doigts sur la barrière de tissu contrant les grandes lèvres de fente. Il sent la chaleur qui se dégage du sous- vêtement touché par ses doigts. Il n’hésite pas à avance doucement ses doigts et caresser la fente à travers cette frêle petite barrière de tissu qui la protège. Il est ému de la toucher le sexe et de sentir la chaleur et la moiteur cachées en bas, là-bas.

Elle se tient raide sur sa chaise, légèrement adossée en alors qu’il lui malaxe rudement la chatte au travers du string dont le bout de tissu sur la douce fente est soyeux. Il regarde Savana et la sent excitée et gênée. Sa poitrine en balcon se soulève plus rapidement, donnant une vision sur ses larges mamelons sous le fin tissu de sa robe. Sa respiration est plus rapide et saccadée au fur à mesure qu’elle se laisse malaxer l’entrejambe. Elle essaie de cacher son trouble en restant impassible. Ce qui amuse son bourreau qui accentue ses caresses pour la voir sombrer.

– Etes-vous d’accord pour notre arrangement ? Mr Bill By-Nzé sans cesser de la caresser la moule.

Emoustillée, car chauffée par la main du patron malaxant savamment sa fente, Savana pousse un soupir d’excitation et se racle la gorge avant de pouvoir parler :

– Euh… O… Ou… Ou… Oui ! Dit-elle en bégayant.

Mr Bill By-Nzé rit en la voyant s’exprimer de cette façon. Honteuse, elle jette un coup d’œil circulaire pour vérifier que personne ne leur prête une attention particulière.

La main de Mr Bill By-Nzé accentue son emprise l’entrejambe conquis.

– Sage décision ! Rom a vraiment de la chance de t’avoir. Tu es sacrément une bonne fille. Dit-il.

– …

– Ecarte tes pattes ! Je veux dire tes cuisses ! Ouvre-les, en grand ! Puis laisse-moi faire !

Choquée, elle s’exécute misérablement sans un mot pour lui livrer un accès aisé et total à son entrejambe protégé par le string qu’elle sent mouillé. Il glisse la main dedans s’extasie lorsque touche la fine toison pubienne avant d’atteindre la fente entièrement dénudée. Il retire la main sous le string pour caresser d’avantage la fente à travers. Savana frisonne et sent qu’il vient de pousser le tissu de son string sur la fente et qu’un doigt s’enfonce elle tout doucement.

Bien qu’abritée par la lourde nappe, Savana se sent rougir et se pince les lèvres alors que le patron de son mari lui masse la chatte vigoureusement pendant ce qui commence à être pour elle un des pires instants de sa vies.

Honteuse, humiliée et bien plus que furieuse de devoir jouer le jeu de la fille entièrement soumise aux désirs encore inconnu du patron pervers, elle réalise que les attouchements qu’elle subit actuellement à contrecœur sur la chatte commencent vraiment à l’exciter. Elle a beau s’efforcer à penser autre chose ou ignorer royalement la situation, mais son excitation grandit et les sensations qu’elle ressent deviennent très fortes. Elle sent que le patron sait s’y faire pour caresser une femme. Elle est curieuse de savoir ses limites et jusqu’où il peut aller pour la soumettre.

Elle respire avec de plus en plus de peine, tout en restant impassible. Elle a bien du mal à s’empêcher de s’agiter sur sa chaise alors qu’elle sent la main frotter sa chair chaude vigoureusement par petites pressions. De plus, deux doigts courbés vers le bas pénètrent sa fente avec une douceur et une lenteur insupportable car les sensations que cela lui procure la font frissonner et l’émoustille. Elle se surprend à s’entendre émettre un faible gémissement.

– Je vois que tu aimes ça, petite coquine. Dit Mr Bill By-Nzé en lui enfonçant les doigts.

– …

Elle se pince les lèvres en soupirant. Son regard croise celui du patron qui sourit, l’air de rien, commence à la fourrer les doigts plus vite. Elle sourit faussement et lentement. Elle sent sa chatte se contracter au passage des doigts qui s’enfoncent en elle. Après quelques secondes, elle sent l’explosion imminente puis un choc au niveau des reins. Mr Bill By-Nzé comprend de ce fait qu’elle est sur le point de jouir. Ça tombe bien car il est curieux de voir quelle expression elle a quand elle jouit.

Savana, avec une peur intense d’attirer l’attention sur elle à ce moment-là, tente de toutes ses forces de refouler les émotions stimulées en elle par la jouissance non désirée qui arrive à un point de non-retour. Elle a l’impression d’être sur le point d’exploser sur place. Elle ne peut s’empêcher de bouger légèrement et instinctivement les hanches. Elle glisse doucement sur la chaise vers le bas de la table et écarte les cuisses de plus belle alors que des spasmes de jouissance commencent dans son bas-ventre et secoue son ventre.

Elle avale sa salive et gémit faiblement, en se tortillant sur sa chaise avant de refermer brusquement les cuisses sur la main de Mr Bill By-Nzé qui avait accélérer les va et vient des doigts dans la cavité mouillée de la fente. Elle frissonne longuement de plaisir en jouissant malgré elle. Elle explose en voyant des petites étincelles devant ses yeux. Elle pousse un léger soupir et resserre les cuisses brusquement. Le pire pour elle, à ce moment, est que le plaisir qu’elle ressent. C’est si bon pour ses sens, qu’elle ferme les yeux et laisse le long frisson stimulé par la jouissance  parcourir son corps alors que les doigts se faufile en elle à travers la fente déja bien humide.

Quiconque la regarde se douterait de ce qui lui arrive.

– Mais tu mouilles bien dis donc. Dit Mr Bill By-Nzé.

Ses mots du patron la sort de la torpeur.

– En plus tu jouis comme une salope débutante ! Dit Mr Bill By-Nzé.
Il parle en souriant et rit. Humiliée et rabaissée, Savana baisse les yeux. Elle reste ainsi quelques secondes avant de retirer vivement, d’un coup, la main posée sur son entrejambe et son string. Ce qui surprit le patron. Elle se lève aussi, sa robe se baisse dans le même mouvement. Savana quitte la table sans un mot pour chercher Rom afin de partir d’ici. Mais elle se ravisse lorsqu’elle le voit de dos. Un sentiment de trahison et de culpabilité l’assaillit lorsqu’elle songe à vouloir tout lui dire de sa conversation. Elle a honte de ce qu’elle vient de vivre surtout d’avoir jouit et apprécié cela.

Elle tourne les talons et se dirige rapidement vers la sortie de la salle et prend la direction des toilettes situé. Elle marche avec élégance et précisément. Elle trouve les toilettes réservées aux dames dans un recoin un peu loin de la salle des banquets. Elle s’enferme dans une cabine et se dépêche de faire une petite contorsion pour soulever la robe du bas vers le haut, au-dessus des fesses.

Elle s’assoit sur le WC pour se mettre à pleurer silencieusement alors qu’elle utilise un peu de papier toilette pour essuyer son entrejambe où elle sent une humide intense ayant mouillé son string par l’écoulement de sa cyprine.

A  SUIVRE !