Épisode 4

Ecrit par Ally Le Génie


Auteur : Les histoire de krist
......????....Épisode 4..........

(Un jour est passé, Elisabeth n'a pas de nouvelles
de son fils. Elle s'inquiète énormément. Deux jours
passés mais toujours rien, son téléphone ne passe
pas, elle commence à paniquer. Elle appelle tous
ses amis qu'elle connait mais personne ne l'a vu.
Elle se rend chez Jérémy, le boss pour qui, il
entraîne ses enfants. Celui-ci aussi se demandait
pourquoi il n'est pas venu entraîner des enfants).
Jérémy : je me demandais aussi pourquoi il n'est
pas venu entraîner mes enfants sans donner
d'explications.
Elisabeth : mon fils n'est pas du genre à disparaître
comme ça, je suis sûr que quelque chose lui est
arrivé.
Jérémy : alors il faudrait commencer à le chercher
dans les hôpitaux, peut-être qu'il lui est arrivé
quelque chose.
Elisabeth : vous avez raison.
Jérémy : si vous le trouvez, appellez-moi.
Elisabeth : d'accord, je le ferai. Et au fait, tutoyez-
moi s'il vous plaît.
Jérémy : d'accord, tu peux me tutoyer aussi. Au fait,
dis-moi, tu ne voudrais jamais te remarier, ton mari
ne reviendra pas de toutes façons ?
(Elle le regarde seulement).
Jérémy : désolé, je ne voulais pas dire ça. Je
voulais juste te dire que tu es vraiment une très
belle femme avec un grand amour maternel et tu
mérites vraiment d'être heureuse.
Elisabeth : merci, je dois vous laisser.
Jérémy : bien sûr.
(Élisabeth s'en va. Elle commence à chercher dans
les hôpitaux et elle finit par trouver son fils dans le
coma à l'hôpital. Elle en informe Jérémy. Les
enfants de Jérémy Alex et Alexis (jumeaux) qui
aiment beaucoup Krist demandent à leur père
pourquoi il n'est pas venu alors leur père les prend
dans sa voiture et les amène à l'hôpital pour voir
Krist).
Elisabeth : je vous en prie monsieur, prêtez-moi de
l'argent pour soigner mon fils et il formera vos
enfants gratuitement pour rembourser.
Jérémy : non, non, mais tu plaisantes, ne t'inquiètes
pas, je vais m'occuper de lui.
Elisabeth : vraiment ?
Jérémy : oui, je vais m'occuper de tout.
Elisabeth : merci monsieur, que Dieu vous bénisse
et qu'il augmente votre richesse.
Jérémy : merci, j'aimerais tant m'occuper de toi
aussi si tu m'en l'occasion.
Isabelle : qu'est-ce que tu veux dire ?
(Alexis arrive).
Alexis : papa, est-ce que Krist est mort ?
Jérémy : non fiston, il dort simplement, il va se
réveiller plus tard mais pas aujourd'hui.
Alexis : quand ?
Jérémy : très bientôt j'espère. Bon Elisabeth, j'ai
une affaire à régler au travail, mes enfants peuvent
rester avec toi ? La bonne a pris son congé.
Elisabeth : bien sûr pas de soucis.
Jérémy : merci, au-revoir les enfants. Soyez sages.
Les deux : au-revoir papa.
(Ainsi, Jérémy prend en charge tous les frais
médicaux de Krist. De l'autre côté, Isabelle n'a pas
de nouvelles de Krist depuis 4 jours, son cœur allait
exploser. Elle l'appelle avec le téléphone de ses
amies mes ça ne passe pas. Au cinquième jour,
puisque ce sont les vacances, elle sort à 05h du
matin pour se rendre chez Élisabeth mais ni elle, ni
son fils n'étaient là. Son inquiétude devient
tellement grande. Elle commence à chercher Krist
dans les hôpitaux et elle finit par le trouver, Krist est
toujours dans le coma. Depuis ce jour, elle ne rentre
plus à la maison, elle dort à l'hôpital après deux
jours et Krist se réveille de son coma. Sa mère et
Isabelle étaient là, la joie remplissait leur cœur. Les
docteurs sont venus s'occuper convenablement de
Krist. Krist et Isabelle se serrent très fort les mains.
Solange avait fait recours à ses hommes qui ont
cherché dans les hôpitaux et ont trouvé Isabelle. Il
l'ont arraché dans les bras de Krist pour la ramener
à la maison et sa mère la prive de sortie. Elisabeth
conseille à son fils de laisser tomber Isabelle).
Elisabeth : mon fils, tu es tout ce qui me reste sur
cette terre, je ne veux pas te perdre toi aussi, s'il te
plaît, laisses tomber cette fille.
Krist : je l'aime maman et s'il faut mourir pour elle,
je mourrai.
Elisabeth : c'est très égoïste ce que tu dis mon fils,
si tu meurs alors tu m'emporteras avec toi.
Krist : non maman, ne dit pas ça, tu mérites d'être
heureuse.
Elisabeth : je ne peux être heureuse seulement le
jour où je verrai mon fils réussir, construire une
maison, rouler une voiture, épouser une femme et
avoir des enfants.
Krist : tu as raison maman, je vais construire une
grande maison et on va y habiter ensemble, Dieu
est grand.
Elisabeth : c'est vrai, mais tu ne peux pas réaliser
tout cela si tu restes avec cette fille, tu pourrais
perdre la vie. Regardes ce qui t'es arrivé, je t'ai
cherché deux jours avant de te trouver ici.
Krist : tu as raison maman, quand j'irai mieux, j'irai
rompre cette relation.
Elisabeth : c'est la bonne décision mon fils, je sais
à quel point vous vous aimez mais cet amour est
impossible. Dieu t'en donnera une autre. Au fait, j'ai
oublié de te dire, monsieur Jérémy a réglé tous tes
frais médicaux.
Krist : vraiment !
Elisabeth : oui mon fils, c'est un homme
merveilleux.
Krist : tu as raison, il est généreux et bienveillant. Il
est aussi veuf maman, tu as le droit de te remarier.
Papa aurait voulu que tu sois heureuse et tu en as
le droit. Tu t'es tellement occupé à prendre soin de
moi que tu t'es oublié maman, il est temps que tu
penses un peu à toi.
Elisabeth : ce n'est pas moi qui va l'épouser mon
fils.
Krist : il me pose souvent des questions à ton sujet
maman et tu as vu qu'il m'envoie chaque jour des
salutations pour toi, il ressent quelque chose pour
toi maman alors il est temps d'ouvrir à nouveau ton
cœur et d'être heureuse. Tu l'as dit, monsieur
Jérémy est un homme merveilleux. En plus, il
m'aime beaucoup et il me paie bien plus que ce
que je devrais percevoir.
Elisabeth : d'accord mon fils. Attends je vais
l'informer.
(Elisabeth informe Jérémy par téléphone et celui-ci
rentre de son travail et amène ses enfants à
l'hôpital pour voir Krist. Ils étaient tellement
heureux, ils considèrent Krist comme leur grand
frère. Jérémy discute avec Elisabeth un peu à l'écart
pendant que les enfants restent avec Krist).
Jérémy : regardes-les, on dirait qu'ils ont le même
sang.
Elisabeth : c'est vrai, ils s'aiment beaucoup.
Jérémy : on forme une belle famille non tu ne
trouves pas ?
Elisabeth : si.
Jérémy : l'autre jour, mon fils nous avait coupé en
cours de discussion et on en a jamais reparlé.
Alors voilà, mes enfants ont besoin d'une mère
Elisabeth, veux-tu bien me faire cet honneur de
devenir aussi la mère de mes jumeaux ?
(Elle regarde son fils qui lui fait un clein d'œil).
Elisabeth : oui, ça sera avec joie.
Jérémy : merci Elisabeth, ton fils et toi viendriez
vivre désormais chez moi.
Elisabeth : vraiment ?
Jérémy : oui, je veux toute ma famille prêt de moi.
Elisabeth : merci.
(Krist fait encore quelques jours à l'hôpital avant
d'être libéré et lui et sa mère vont habiter désormais
dans la villa de Jérémy).
*Chez Rémy.
(Isabelle est privée de sortie, sa vie devient de plus
en plus un désastre. Elle fait pitié, ses frères ont de
la peine. Ce soir, ils parlent à leur père).
Seth : papa, il faut que tu fasses quelque chose
pour ma sœur.
Stella : oui papa, Isabelle est très malheureuse ces
derniers temps.
Rémy : qu'est-ce qui lui arrive cette fois-ci ?
Seth : maman l'a privé de sortie papa et elle ne
mange même pas.
Rémy : quoi, pourquoi elle a fait ça ?
Stella : tu sais pourquoi papa. Quand je vois cette
situation de ma grande sœur, j'ai peur papa. Est-ce
que je n'aurais pas aussi le droit d'aimer qui je
veux ?
Rémy : bien sûr que non ma chérie, quand tu seras
grande, tu aimeras qui ton cœur choisi d'aimer. Je
vais parler à votre mère à son retour.
(Solange rentre et Rémy va lui parler)?
Rémy : tu peux me dire pourquoi tu as privé ma fille
de sortie ?
Solange : tu n'étais pas là quand elle avait dormi
deux jours dehors ?
Rémy : et alors, elle était juste chez son copain.
Solange : j'en reviens pas que tu cautionnes cette
relation Rémy.
Rémy : je ne suis pas né riche Solange, mais je me
bat et c'est également ce que fait ce garçon.
Solange : moi je ne veux pas de lui.
Rémy : tu ne veux pas de lui d'accord, mais je ne
veux pas que tu fasses du mal à ma fille. Comme
je ne parle pas, j'ai l'impression que tu oublies qui
t'a épousé Solange, fais très attention. Ma fille doit
sortir, voir ses amies et si tu continues à lui faire
du mal, tu vas quitter cette maison. J'en ai terminé.
(Il s'en va).
Solange : quoi ?
(Isabelle ne sort jamais de sa chambre. Son père
va lui parler et lui a convaincu de manger. La
privation de sortie a donc été levée mais sa mère
la prévient).
Solange : je te surveille Isabelle, si je te vois chez
ce garçon ou avec lui, je le fais tuer, et je ne blague
pas, tu en as déjà eu la preuve.
Isabelle : nous connaîtrons tous la mort un jour
maman alors si tu veux ôter la vie à ton prochain,
assures-toi que tu es immortelle parce que ça sera
paradoxal que celle qui a le pouvoir de donner la
mort meurt aussi. Mon amie me disait souvent
qu'elle détestait sa mère et je lui demandais
toujours comment peut-elle détester sa propre
mère, celle qui l'a porté neuf mois dans le ventre,
qui a souffert pour l'accoucher et qui l'a élevé
jusqu'à ce qu'elle grandisse ? Mais maintenant je la
comprends, on peut vraiment détester sa mère et tu
sais quoi maman, le mot détester n'est pas assez
fort pour exprimer ce que je ressens pour toi.
Solange : Isabelle je suis ta mère.
Isabelle : si seulement je pouvais changer cela
maman, si seulement je le pouvais.
(Elle quitte devant sa mère).
A suivre...
REGRET D'UNE MÈRE ,...