Essayage jouissif
Ecrit par QUEENEMMA
Je détestais faire les magasins. Je détestais porter les costumes trois pièces. Alors imaginez que je doive aller avec ma femme acheter un costume pour moi.
Mon degré de nervosité était à son comble. Me voici dans ce magasin de costumes en train de faire des essayages.
Pour certain l’enfer, c’est d’être assis dans un lieu de feu et de souffre. Pour moi c’est les magasins et les costumes.
J’en étais à mon troisième essayage. Je transpirais et étouffait dans les 3 pièces que la vendeuse m’avait proposé.
C’était le quatrième essai et j’étais épuisé. Le regard de ma femme ne me disait rien qui vaille. Il était terne. Elle n’avait rien dit jusqu’à présent. Juste fait des gestes pour dire : « no, next ».
Est-ce que cette femme savait la torture que je vivais ? Elle avait de la chance que j’étais fou d’elle.
Je lui fis une grimace d’exaspération. Elle me fit un de ses sourires qui signifiaient : ‘’ on y est, on y reste mon chou. Fais-toi une idée. ‘’
Pffff, me dis-je, je ne suis pas sorti de l’auberge.
Je fis contre mauvaise fortune bon cœur. Je m’assis dans le canapé du magasin en regardant Emma rechercher un modèle dans les rayons.
J’étais à deux doigts d’obtenir un contrat hyper important. Et je devais demain rencontrer un dirigeant important de la structure pour discuter de mon application. Cette appli valait de l’or ; ils l’avaient senti. Alors oui, mon avenir se jouait là. Mais, Eh, je suis un geek avec des dreads locks, en pantalon jeans, tee-shirt et basket. Les jours importants, je pouvais exceptionnellement me fagoter en pantalon, chemise soulier. Mais c’était tout.
Mais Emma avait jugé bon que je sois pour cette rencontre, je sois vêtu comme le responsable que j’étais. Elle m’avait alors « obligée » à faire les magasins pour trouver une tenue digne de ce nom.
Un grand gars de 36 ans comme moi en train de se faire trimballer par sa femme dans un mall en vue trouver un costume. Ai-je le choix les mecs, dites-moi ? Vous les connaissez. Quand elles veulent quelque, que pouvons-nous ?
Emma cherchait toujours « the perfect costume ». Je la regardais faire. J’étais lessivé. On en était cinquième magasin et tout ce que j’avais déjà essayé n’avait pas encore eu son assentiment.
Ma femme était une pointue de la mode. Elle était belle, sexy et du fait de son métier de chef d’agence dans une structure bancaire, elle était toujours bien mise. Nous luttions depuis quelques années pour un renouvellement intégral de mon style vestimentaire. Mais jusqu’à présent j’avais toujours su lui imposer ma volonté. Mais aujourd’hui là j’avais clairement perdu. Résultat, j’étais en train de chercher une tenue, depuis plus de deux heures, un samedi après-midi, alors que j’aurai pu mettre ses deux heures à profit.
Une des filles du magasin passa devant moi à plusieurs reprises en se tortillant le cul en me faisant un clin d’œil. Emma avait suivi le manège de la vendeuse. Elle eut un rictus et secoua la tête. Je connaissais ce genre de réaction. Emma allait la dégommer si celle-ci recommençait son manège encore une fois. Je souris. Plus vite on aura trouvé la tenue idéale, mieux ce serait pour nous tous.
Elle revint dix minutes vers moi avec deux lots de vêtements. Elle fit signe à la vendeuse de venir. Celle-ci s’avança avec le sourire aux lèvres.
· Ou sont les cabines d’essayage questionna-t-elle sèchement ?
· Là-bas, sur la gauche au fond. Veuillez me suivre monsieur, Répondit la jeune femme.
Elle fit mine de récupérer les vêtements des mains d’Emma, afin de me devancer.
· Vous faites quoi là ? demanda ma femme à la vendeuse
· (déconcertée) mais je guide votre mari à la cabine d’essayage.
· (récupérant les vêtements des amis de la jeune femme) Vous ai-je dis que mon époux ne pouvait pas s’orienter tout seul ?
· (choquée) … Madame, je…
· (coupante) Merci se sera tout.
La vendeuse s’en alla digérer son humiliation à la caisse. Cette fois sa démarche était moins assurée et provocatrice. Je me fis insignifiant pour éviter de morfler dans cette bataille. Et Je suivis ma première dame.
· Tu as fait fort Mme Cissé, la taquinai-je une fois arrivé en cabine.
· Elle est là pour servir les clients, pas pour leur faire du rentre dedans devant leurs épouses.
· Tu as peur de quoi, Mme Cissé ? je suis tout à toi.
· Ouais ça, fit elle en me mettant les vêtements choisis en main. Je vais te chercher des cravates assorties.
· (m’écriant), Quoi !!!!! bébé on avait convenu pas de cravates. Je les déteste.
· Tu serais super beau avec. Commence les essayages.
· (moi râlant)… ouais c’est ça.
Je débutai les essayages par un costume noir. Il était à ma taille. J’aimais assez bien l’image qu’il me renvoyait. J’avais l’air ‘’ classe’’.
Emma était de retour avec plusieurs cravates. Elle en choisit une et me la noua.
· (moi méfiant) D’où tu as appris à nouer les cravates toi ; dis moi
· J’avais un ex qui était très souvent en costard trois pièces. Je la lui nouais souvent lorsque j’étais chez lui.
Hum ! je ne sais pas pour vous. Mais je détestais l’idée de savoir que ma femme avait eu d’autres hommes dans sa vie. Nouer une cravate à un homme était un geste assez intime pour moi. Et non, je n’aimais pas ce type.
· Je le connais ? je sais qui c’est ?tentai-je
· Oui mais si je te le dis, je devrais te tuer.
· Humm, fis-je simplement pour commentaires. cette phrase signifiait que je n’aurai aucune information de plus.
Elle me retourna face au miroir puis me noua les locks en une queue de cheval grossière.
Waouh. Pour être totalement honnête, j’en jetais. J’avais plutôt pas mal comme geek.
· Alors ? comment tu te trouves ?
· SEXY ! répondis-je
· Oh oui bébé, je confirme, tu es SEXY… fit elle en me fixant du regard
Hummmmmm… ce regard, je le connaissais. C’était celui du désir. Elle me tira par la cravate et me glissa à l’oreille : « t’ai-je dit que te voir en costume et cravate me mets dans un état d’excitation assez. ».
Et elle me mordit sensuellement l’oreille.
Mayday, mayday, tsunami imminent ! je répète tsunami imminent ! Cette femme ci !
· Emma, pardon on est dans magasin des gens, fis-je en me défendant mollement
· Je sais, fit-elle en me mordant les lèvres cette fois ci
· (Entre plusieurs baisers) Hummmmmm…madame Cissé…si elle revient et …nous voit ainsi
· Je m’en fous… me répondit-elle simplement
En disant ces mots, elle glissa main sur ses fesses ; que dis-je sous sa jupe. Purée, elle n’avait pas de sous-vêtements. Cette femme là est une sorcière. Elle veut ma mort. Et moi comme un con, au lieu de résister, je me laisse faire en lui malaxant les globes. Je la sens gémir.
· Ma’aaa, regarde-moi ça, regarde ce que tu fais comme ça, fis-je en lui plaquant mon érection contre le ventre.
· Hummmmmm… tu veux que je fasse quoi avec, mon lion…
· Tu veux éteindre ça ?
Pour toute réponse, ma femme fit glisser la fermeture éclair de mon pantalon, fit sortir mon sexe fièrement dressé et le glissa profondément dans sa bouche. Je défaillis. J’étais surpris et impuissant. Ma femme me faisait une pipe mémorable dans une cabine d’essayage où on était à mesure de se faire surprendre à n’importe quel moment. Et l’excitation de cela était grandiose. Je regardais ma femme me lécher la queue luisante avec brio et je me laissais envahir par le flot de sensations que cela me procurait. Je faisais un effort surhumain pour ne pas me laisser aller à crier mon plaisir. Et cette femme ci, au lieu d’y aller doucement faisait tout le contraire.
· (Moi, haletant) Bébé… tu veux me tuer !!… Et si quelqu’un vient … ??
· (Me regardant droit dans les yeux) tu veux que j’arrête ?
· Non, fis-je vaincu, continue ma belle,
Elle me reprit la tige et m’appliqua un traitement encore plus corsé.je dus me serrer les lèvres pour ne pas hurler cette fois ci tellement c’était bon. Pour la première fois de ma vie, j’adorais une séance de shopping avec mon épouse. Si elle continuait à ce rythme j’allais exploser. Et pour etre honnête je crois que je ne serai pas contre cela. Tellement c’était bon.
· Oh babe… hummmm...haaa…yeah… you’re the best at that candie … l’encourageai-je en lui caressant la tête.
Je la sentis me gober les couilles et les aspirer goulûment. Je sentis mon esprit aller rejoindre mes ancêtres. Je rejetai la tête en arrière et me serrai fort les dents. Je savais que les bruits de succion étaient audibles pour quelqu’un de proche. Et malgré la crainte d’être surpris, je voulais finir cette séance d’essayage particulièrement jouissive. Je jetai un coup d’œil à ma déesse accroupie qui me prodiguait un plaisir sans nom. Elle était si belle avec ma queue en bouche. Voir mon pénis entrer et sortir de sa bouche était l’un des plus beaux spectacles qu’il m’était donné de voir. Et la cerise sur le gâteau, c’était de découvrir qu’elle avait mis la main à son puits d’amour, en train de se caresser le sexe elle aussi. Je le vis reprendre son souffle en émettant un joli gémissement dû à la caresse quelle s’infligeait. J’ai cru en devenir fou. C’était trop pour moi. Je le fis se lever et se retourner en tour de main, de sorte à l’avoir de dos. Mon premier geste fut pour ses seins dont je triturai les tétons sans ménagement. Elle les avait sensibles ma cocotte. Alors je savais exactement qu’à ce moment, un flot de sensations submergeaient d’eux. Elle gémit en frottant sa croupe contre mon pénis. Je lui levai la jupe et glissai mon bâton entre la raie de ses fesses. Purée !! ce qu’elle était humide à souhait. Mon pénis glissait tout seul entre la raie et atteignit l’entrée de son antre de plaisir. C’était trempé et chaud. J’eus envie d’y glisser immédiatement. Mais après le traitement gratifiant qu’elle m’avait infligé, il était de mon devoir de lui rendre la pareille. Je glissai mon doigt sur son bouton de plaisir. Elle frissonna. Je stimulais en même temps son clitoris et son téton. Hummmm… Mon bébé était en feu. En témoignait ses gémissements qu’elle contenait et sa façon de glisser ma queue contre sa raie. Toutes ces stimulations étaient pour elle un pur plaisir. J’aurai pu en rester là, mais j’avais besoin aussi de me vider les couilles vu l’état d’excitation extrême dans lequel j’étais. Je délaissai son clitoris, lui plaçai les mains en croupe sous les seins, et avant qu’elle n’ait pu émettre une protestation, je la possédai d’un coup sec. Jamais une pénétration ne m’avait semblée aussi délicieuse. Ma femme était si bonne à cet instant. Le juste accord entre la tiédeur, l’humidité et la contrition parfaite pour un vagin. Je lui fis un baiser dans le cou pour marquer mon plaisir. Elle creusa la taille pour me prendre plus profondément. Et je ne fis pas prier. Un léger bruissement se fit entendre. Mais cela ne me dérangea aucunement dans mon élan. Au contraire, cela eut le don de m’exciter grandement. Je lui fis de lentes mais profondes pénétrations à défaut de ne pouvoir me déhancher frénétiquement en elle. Chaque coup la faisait geindre plus fort.
· chuuuut mon Ange, lui susurrai-je langoureusement, je sais que c’est bon, mais contrôle toi sinon nous serons découverts.
· Oh oui, Babe…c’est bon
· (Lui chuchotant) tu aimes mon ange, n’est-ce pas ? est-ce que tu aimes quand ‘’papa’’ te prends comme ça.
Pour toute réponse, elle se déchaîna sur ma queue avec plus de frénésie. Tantôt elle ondula langoureusement, tantôt elle me gobait tout entier en maintenant contracté ses muscles internes autour de mon membre. C’était sa manière à elle de prendre le contrôle et aussi l’annonciateur de son plaisir imminent. Je la sentis se contracter soudain et me chuchoter : « je viens bébé, je viens ». Avant qu’elle ne se mette à crier son plaisir comme elle avait l’habitude lors de son plaisir, je lui mis la main sa bouche puis je la rejoins moi aussi quelques minutes après. Je tenais dans mes bras, serré contre moi, ma femme qui tremblotait encore sous l’effet du plaisir contenu qu’elle venait de connaitre. Les sensations étaient dévastatrices, au-delà de ce que j’aurais pu imaginer. Je nous laissai reprendre du souffle et je lui fis un baiser mémorable.
« Je savais que tu étais folle Madame Cissé, mais jamais je n’aurai imaginé que tu étais capable de ça. ». Elle me répondit par un large sourire signifiant : « et tu n’as encore rien vu. ». Elle me demanda de lui passer de quoi la nettoyer dans son sac. Pendant qu’elle se nettoyait et moi me rhabillait, un coup fut frappé à la cabine.
· Madame, fit une voix, on peut vous aider ?
Mon épouse soupira, exaspéré. C’était la voix de la meme pimbêche qui tortillait son cul tout à l’heure. Elle ouvrit la cabine et fit face à l’inopportune et zélée vendeuse. Elle la détailla de la tête aux pieds. Elle récupéra les vêtements que j’avais essayé tout à l’heure, les fourra dans les mains de la vendeuses en lui disant : « emballez moi ça. On le prend. Trouvez nous un autre aussi en bleu de la meme taille s’il vous plait. ». Elle ponctua ses dires d’un sourire figé qui ne laissa aucun doute sur l’amabilité quasi inexistante qu’elle témoignait à la vendeuse. Celle-ci s’exécuta, non sans lancer un regard furieux à ma guerrière d’épouse.je souris. Sacrée Emma. J’adorais quand elle marquait son territoire. Je la pris dans mes bras et lui fit un baiser au front.
· Tu sais que tu es la seule femme à mes yeux, lui dis-je sincère
· Je sais, me répondit-elle tout de go, avec un petit sourire victorieux.
Nous nous dirigeâmes vers la caisse. La fameuse vendeuse nous remit la facture. J’avoue qu’elle était salée. Pour deux costumes que je risquais de porter très peu. Contrairement à ce qui était prévu, je tendis ma carte bleue à la vendeuse. Emma me regarda surprise. C’était elle qui était censée m’offrir le costume vu que je n’en voyais pas la nécessité. Mais vu ce que cela avait créé en elle, je me devais bien de faire ça. C’était un minimum à mes yeux. Emma en profita pour me prendre un lot de chemises à manches longues et deux paires de boutons de manchettes. Je vous avais déjà dit que ma femme était une perle ? Comment regarder une autre devant tant de qualité de sa part. Nous repartîmes du magasin les bras chargés. Et contrairement à mes habitudes, je n’émis aucune protestation quand à trimballer une tonne de sacs d’emplette .cette séance de shopping avait été l’une des plus excitantes de ma vie.
J’installai les emplettes dans la voiture et nous nous installâmes. Au lieu de démarrer, je m’approchai de ma femme, lui fit un baiser des plus profonds et lui murmurai au visage :
· Bébé, tu sais que tu es la meilleure ! J’ai adoré faire du shopping avec toi aujourd’hui. Surtout faire les essayages.
Elle me sourit, me regarda intensément et me répondit avec un air énigmatique : « ah oui ! Ça tombe bien, j’ai de la lingerie à acheter. Ça te dirait de m’accompagner mon Amour ? ».
Mon sourire
s’élargit instantanément. je sens que cette journée de shopping sera pour moi l’une
des plus belles et l’une des plus jouissives que je n’ai jamais connu.
je vous avais déjà dit que ma femme était la meilleure n'est ce pas?
FIN