ET SI ON SE DONNAIT UNE CHANCE 2

Ecrit par Lari93

Annabelle Tanoh

Je viens garer au parking payant de l’aéroport FHB, je préfère être automne à mon retour de voyage.

Je retrouve deux collègues dans le salon d’embarcation. Je leur dis bonjours et je prends place à non loin d’eux côtés. Ils étaient surpris de me voir là, au départ j’avais pensé que c’était dû aux faites que hiérarchiquement j’étais au-dessus d’eux, j’avais le statut de directeur et eux était de simple cadre.

Ils devaient prendre fonction à Abuja.

Abriel : Madame TANOH, nous vous croyons avec le PDG, le DAF et Directeur Projet.

Moi : Benn non pourquoi ?

Abriel : Ils partent à Abuja avec le JET PRIVE de monsieur DASILVIERA et comme vous êtes directrice on vous y croyait.

Moi : Faut croire que non, j’ai revu mon billet de la Direction. Donc je suis ici.

Edgard : Vous êtes très courtoise madame, et toutes l’entreprise vous admire nous veillerons à rendre votre voyage avec nous agréable.

Moi : Merci (En leurs gratifiant d’un sourire).

Depuis notre dispute, Charles-Emmanuel et moi n’avions plus échangé.

J’avais essayé de le joindre sur son téléphone, mais mes appels son resté sans réponse.

Au bureau, à chaque fois que je souhaitais le voir sa secrétaire me donnais toutes sortes d’excuses.

J’ai donc laissé tomber.

Habituellement on voyageait ensemble, mais s’il m’a exclue ça veut dire qu’il ne voulait pas de ma compagnie. J’avoue que j’avais mal.

il m'a mis de côté.

Edgard et Abriel n’avait vraiment tenu compagnie durant le vol je ne m’étais pas ennuyer.

Arrivé à l’aéroport d’Abuja, une voiture m’attendait déjà pour mon hôtel. 

Les garçons étaient en navette pour un autre hôtel.

J’admirais cette magnifique ville depuis mon siège. Durant mon vol, j’avais pensé à changer si possible ma date de retour et profiter pour faire un peu de tourisme.

Mais bon on verra, parce qu’avec votre type là aussi on ne sait jamais.

Charles-Emmanuel DASLIVIERA

Nous sommes arrivés à Abuja depuis plusieurs heures, l’avantage de voyagé en privé.

Annabelle devrait être déjà là.

J’ai souhaité qu’un VTC luxe passe la récupérer à l’aéroport.

C’est vrai que c’est jour si je ne voulais pas la voir, mais elle mérite quand même d’être dans de bonne commodité durant ce séjour.

Pour le voyage, vous allez peut-être m’en vouloir, mais bon je ne nous voulais pas d’elle.

Je ne voulais pas attendre les bêtises qui sortent de sa bouche.

Le son de mon téléphone me sorti de mes pensées.

Moi : Allo. (Je souris quand je vois le nom du mon interlocuteur, Olivia) comment vas-tu ?

Olivia : Allo je vais bien et toi ? j’espère que je ne dérange pas, tu es un grand type !

Moi : (rire) t’inquiète, Je m’en sors. Quelle sont les nouvelles ?

Olivia : Quand allez-vous décider de vous parler, ou bien toi quand es que tu vas continuer de l’ignorer. Tu sais Charles, ta Bella est têtue, elle ne fera jamais le premier pas.

Pour elle les appels c’est déjà beaucoup et Je pense qu’elle regrette son acte.

Donc s’il te plait fais un effort.

Moi : Humm elle est venue se plaindre chez toi de mon attitude ?

Olivia : En quelque sorte c’est mon amie et elle me parle de son quotidien. Et je me suis dit qu’il fallait que je t’appel pour vous secouer un peu. Et aussi savoir tous les contours d’ombre de l’histoire.

Moi : je préfère t’évité les détails. J’aimerais savoir une seule chose Olivia, ton amie sort avec l’ami a son frère ?

Olivia : Qui ? Daniel ?? non il lui tourne juste autour.

Moi : Ok merci, j’essayerais de lui parler durant ce séjour. J’apprécie que tu te soucis de nous.

Olivia : De rien, je ne veux qu’Annabelle ratte l’opportunité d’être heureuse.

A notre rencontre j’ai vu cette lueur que tu avais dans les yeux quand tu parlais de ma sœur et je sais que tu étais sincère et que tu l’aime.

Mais s’il te plait, ne me dit pas que c’est Daniel l’origine de tout cette histoire.

Moi : En parti.

Olivia :  Je dois savoir pourquoi. Mais ignore ça, ce n’est rien d’important.je t’assure.

Moi : Venant de toi j’ai confiance (en riant).

 Olivia : tu peux dormir tranquille je surveille le terrain pour toi (en riant).je ne vais pas te prendre encore assez de temps le beau, passe une agréable journée, profiter de ce séjour et faites-moi des neveux.

Moi : Ah la bonne blague(rire), Merci et bye.

Olivia : bye.

Je pense qu’échanger avec Olivia ma fait du bien.

Si je veux cette fille il faut vraiment que je prenne les devants, en accepté d’entendre ce genre d’ânerie un bon moment.

Mais aussi éloigner ce vautour qui lui tourne autour.

Annabelle Tanoh

 

J’arrive à mon hôtel et je découvre ma somptueuse suite.

Il y avait un énorme bouquet de rose sur la table centrale du séjour.

Je me rapprocher pour l’admirer quand je découvre une carte ou on peut lire « A la voleuse de mon cœur, ma faiblesse et toute ma raison » signé C.D, cette note me fait automatiquement rougir, que c’est chou.

Mais votre Ga la, il m’ignore à Abidjan pour se souvenir de moi à Abuja.

Je prends ma douche et me glisse sous les draps avec la tête plein d’Etoile. Une chose est sure il m’aime toujours.

Je me réveille 03 heures plus tard pour me rendre au restaurant de l’hôtel.

J’y trouve son ami qui est aussi le DAF du groupe et le directeur projet.

Moi :  Bonsoir Messieurs.

Anderson : Bonsoir Miss, prenez place s’il vous plait.

Le directeur projet : Oui miss Tanoh, venez nous tenir compagnie.

Moi : Ok merci

Nous avions diner et bavarder un bon bout de temps avant que je prenne congé d’eux.

Anderson m’a informé que Charles avait eu une réunion avec monsieur FEMI dès leur arrivés.

Il est ensuite parti à Lagos pour affaire. Il sera de retour dans deux jours pour le gala de lancement des travaux.

Arrivé à ma chambre, j’établis mon programme touristique.

J’avais décidé de visiter Abuja la nouvelle capitale économique du Nigeria avec ses nombreux sites touristiques et sa gastronomie.

Le chauffeur qui était venu me chercher à l’aéroport m’avait informé qu’il était à mon entière disposition durant mon séjour.

Il n’avait pas vraiment de besoin de moi sur le suivi du projet, j’étais juste là sous la demande de monsieur Aladé.

Charles-Emmanuel DASLIVIERA

Deux jours sont passés

Je suis de retour à Abuja très tôt ce matin, le gala est prévu pour ce soir.

Anderson m’avais dit qu’Annabelle avec profiter de ses deux jours faire un peu de tourisme.

A peine, sorti de l’ascenseur je me dirige vers sa chambre la 617.

Je toc à deux reprises.

La porte s’ouvrit pour me laisser voir son doux visage, elle m’avait tellement manqué.

Elle était vêtue d’un peignoir et avais les cheveux un peu mouillés, elle venait surement de sortir de son bain.

Mes yeux l’admiraient de haut en bas, elle était surement nue là dessous.

Annabelle : Bonsoir Mr Das Hmmm, Bonsoir Charles (dit-elle timidement).

Moi : Bonsoir Bella, puis-je entrer ?

Elle se mis sur le côté pour me laisser passer, avant de refermer la porte.

Moi : Viens près de moi (en m’asseyant dans le canapé de cette suite).

Annabelle : je préfère rester debout.

Moi : viens s’il te plait (dans un ton plus ferme).

Elle s’assoit en mettant une petite distance entre nous.

Je me rapproche d’elle et avant qu’elle n’eu le temps de réagir, je la prends dans mes bras.

Elle résiste un moment avant de lâcher prise. Je lui fais des bisous dans le cou avant de prendre possession de ses lèvres.

Son goût ma tellement manqué.

Je commence à lui caresser les cuisses et elle y répond favorablement.

D’une main, Je parcours délicatement ses belles cuisses jusqu’à l’entrée de sa grotte, j’avais vu juste elle n’avait rien sous son peignoir.

Avec mes doigts, je titille son paradis et elle se met à gémir.

Moi : Tu m’as tellement manqué BELLA.

De mon autre main, je malaxe un de ses seins, en prenant le second en bouche.

On entendait que ses gémissements dans la pièce, je la sentais venir alors je stoppais toutes mes manœuvres.

Moi :  je ne vais pas te faire l’amour ici, trésor.

(Elle se mit à sourire et baissa les yeux pour ne pas soutenir mon regard remplir de désir).

Je la soulève de divan pour la chambre, elle s’accrocha à mon cou comme un bébé, et oui mon bébé à moi.

Arrivé dans la chambre, Je la pose délicatement sur le lit, enlevé rapidement mes vêtements pour l’y rejoindre.

Je lui écarte les jambes et commence à y poser de doux baiser sur tout son entre-jambe.  Je la sentais frissonner. J’ai continué mes caresser jusqu’à sa grotte pour laisser ma langue terminer le boulot. Son gout est exquis pourrais-je un jour m’en passé ?? je ne crois pas. Tout ce temps d’abstinence était une torture.

Je lui fais cunnilingus magistral, et elle a joui à plusieurs reprises.

Elle était suffisamment mouillée pour recevoir le petit Charles.

Je la positionne en levrette et la chevauche pendant plusieurs de longues minutes, ensuite je la retourne sur le dos en lui écartant les jambes en v avant de m’introduire encore en elle. Annabelle : Bébé ne t’arrête pas, s’il te plait ouiiiiiii.

Moi : Tu n’es pas au bout de tes peines mon cœur. Je ne suis pas encore rassasié de toi Bella.

Annabelle : vas y mon cœur, je t’aime mon amour.

Je finis par terminer ma course par un magistral missionnaire, je ne pouvais plus résister.

Moi : Tu m’aime BELLA ???? en accélérant la cadence. Tu es moi ma puce, à moi.

Annabelle : ouii oui ouiii charles je t’aimmme, je ne suis qu’à toi.

Moi : Je t’aime aussi Ma Bella (avant de me déverser en elle, nous avons joui ensemble).

Je n’avais pas pris de protection mais on est clean, bien vrai que nous avions fait nos différents bilans de santé, nous avions toujours utilisé des protections.

Mais aujourd’hui dans le feu de l’action je ne l’ai pas fait. Et même si je le voulais je n’en avais pas sur moi.

Je n’ai eu que des rapports avec elle, je lui demanderais plus tard si elle prend la pilule.

Nous avons encore fait l’amour à plusieurs reprises avant de nous endormir.

Je pense que nos corps étaient en manque.

 NB: Merci infiniment pour vos encouragements , je sais que vous vouliez tous des textes publiés de façon régulière , mais pour ne pas écorché notre histoire je ne peux faire autrement pour l instants. Mais je vous promet de faire le maximun .  Gros bisou à vous .

 
Annabelle ou Trisha