Fire

Ecrit par DIDIlaviemouventée

Partie 32 


**Kelly and AMOR Muller**  


Après la mort de Yoann, Kelly est allée s’installer chez lui quelques mois après qu’un notaire ai informé Kelly de la situation de son testament, avant leur mariage il avait déjà mis ses volontés si jamais quelque chose lui arrivait par précaution tout revenait à Kelly et les enfants s’il y’en a et une part a YOHANNA si jamais YOHANNA devait en bénéficier il faudrait qu’elle s’installe avec Kelly dans la maison ou attendre sa majorité. D’ailleurs c’est la seule chose que je n’ai pas comprise dans ce testament je ne sais pas quel différent Yoann avait avec Chloé on ne le saura jamais ce qui est sûr il avait entamé les démarches pour avoir la garde exclusive 


Brigitte Muller : il n’a pas mentionné pourquoi ? Quel était ses raisons 


Le notaire : avant sa mort nous avons longuement discuter à ce sujet et il a été évasif mais il m’a bien fait comprendre que sa fille ne serait pas bien dans les mains de CHLOÉ qu’il avait appris quelque chose de grave à son sujet, et qu’il avait réussi à avoir la garde de Yohanna Muller 


Kelly : je n’étais au courant de rien 


Maman : tu es sur 


Kelly : maman j’étais au Cameroun avec lui à aucun moment on a eu cette discutions, je pensais que tout allait bien avec Chloé du moins à cause de leur fille 


Monsieur Muller : apparemment non 


Brigitte Muller : si je comprends bien, il a eu la garde, mais maintenant qu’il n’est plus et malheureusement   Kelly n’a pas le statut de veuve vu qu’il n’était pas encore mariée est ce qu’elle pourrait quand même vivre avec Yohanna ? 


Notaire : normalement c’est à vous la famille du défunt de prendre la petite s’assurer de son éducation ses études 


Kelly : je suis sans mot, mais je ne comprends pas comment c’est possible 


Warren : vous pouvez poursuivre s’il vous plait 


Notaire : étant donné qu’il ne ce sont pas marier comme le voulait Yoann, Madame ANDEME  ne pourra pas avoir la petite avec elle 


Brigitte Muller : tu vas bien Kelly ? Tu m’as l’air bien pâle 


Kelly : le bébé qui me donne des coups et cette histoire que je ne découvre que maintenant 


Brigitte : il est pressé de sortir 


Warren : Kelly, tu veux que je te ramène ? 


Brigitte : les coups de mon petit-fils ne tue pas 


Warren : je sais maman mais avec cette nouvelle je comprends parfaitement qu’elle ne se sente pas bien 


Brigitte :  tu veux boire quelque chose un verre d’eau Kelly ? 


Kelly : oui merci, je veux d’abord écouter le notaire après si tu veux bien me déposer à la maison sans problèmes 


Warren: okay 

 

Mr. Muller : Yoann me surprend, mais je ferai des enquêtes pour savoir la raison de cette décision soudaine s’il n’a pas dit mot surement grave 


Kelly : pauvre Yohanna 


On a encore prix 45 min avec le notaire et je suis rentrée avec Kelly, elle se posait beaucoup de questions sur le testament moi-même j’étais inquiète et je ne voulais pas le montrer, surtout que ma 


Kelly : maman, on n'était pas mariée et il avait déjà fait un testament je ne comprends rien et même là j’ai carrément ses biens 

Maman : c’est ce qu’il voulait, le défunt donc il faut le respecté sa famille n’a pas broncher sur ce qui était dedans à part l’affaire de sa fille mais toi tu es dépassée 


Kelly (triste) : bizarre 


Maman : il n’y a rien de bizarre ne commence pas 


Kelly (en larme) : maman je n’ai pas encore fini de pleurer Yoann, son argent Ne m’intéresse pas ce que je veux c’est mon Yoann et maintenant sa on va finir par croire que son argent m’intéresse 


Maman : de la quand même à penser ça c’est cruel 


Kelly : eh la vie 


Maman : ton père nous attend 


Kelly : où ? 


Maman : mais à la maison 


Arrivée à la maison on a expliqué le déroulement, même Kenneth ne comprenait pas exactement 


Papa Kenneth : comment se passe ta grossesse ma fille 


Kelly : la fatigue, je crois que je déprime un peu 


Mamie : pas qu’un peu 


Kelly (voix roc) : je n’ai toujours pas accepté la mort de Yoann, je ne sais même pas ou j’en suis et tout ce qui se passe en ce moment ne m’aide vraiment pas, je suis fatiguée de tout papa, je n’en peux plus je sature  


Papa Kenneth : on te comprend on sait tous ce que tu endures, on ne te blâme pas mais il faudrait que tu penses à cette nouvelle vie qui pousse  en toi , tu es mal tu as mal tu n’arrives pas à comprendre mais c’est la vie la vie est dure rien n’est facile ce sont les épreuves d’aujourd'hui qui te rendront fort  tu dois te relever je veux que tu prennes le temps de pleurer ton fiancé mais la ton  enfant n’a pas besoin de ressentir ton mal être il faut que tu sois plus forte que ça  


Kelly : je sais papa, je ne pensais pas que ça devrait être aussi dure 


Papa Kenneth : ta famille est là pour t’épauler, t’écouter et on est et on restera toujours là pour te réconforter te crier dessus quand ça ne va pas être là dans tes peines et joies pour le moment ta première préoccupation le déroulement de tout jusqu’à la naissance bébé 


Kelly : oui papa 


Papa Kenneth : il ne suffit pas de me dire oui papa, je veux entendre je vais le faire je vais me battre pour mon enfant 


Mamie : et oui il te faut une santé de fer pour ton enfant 


Papa Kenneth : tu connais déjà le sexe de l’enfant ? 


Maman : oui 


Kelly : oui j’ai même l’échographie si tu veux je te le montre tout à l’heure


Papa Kenneth : okay et tu as mangé ?


Kelly : avant de sortir j’ai pris un fruit 


Papa Kenneth : tu as intérêt de bien t’alimenter 


Maman : je vais faire à manger 


Papa Kenneth : pas de Ndolet s’il te plait 


Maman : tu as toujours mal au ventre ? 


Papa : oui 


Mamie : ça t’apprendra à manger dehors 


Papa : j’ai compris ça, chérie mais pardon prépare autre chose 


Mamie : heureusement tu as une bonne femme qui t’aime sinon tu aurais bien manger le Ndolet que tu refuses la 


Papa : qu’est ce que je ne ferai pas sans toi ma dulciné épouse


Maman : la ta bouche devient mielleuse


( rire )   


Kelly :je vais me coucher 


Maman : repose-toi bien ma puce mais je vais te réveiller pour manger 


Kelly : d’accord


Mamie : bisous ma puce 


Kelly : bisous mamie 


Mamie : le bebe sera bien gâté avec tout ce qu’il a 


Maman : oui on a fait tellement des courses 


Papa : le trousseau que j’ai vu mon petit fils aura le temps de porter tout ça 


Maman : bien sûr on a pris vraiment différents âges jusqu’à ses 4 ans 


Mamie : ekie 


Papa : maman je t’assure que si tu montes dans la chambre du bébé les vêtements sont plein y’a meme plus de place 


Mamie : ah, au moins il a tout jusqu’à ses 4 ans 


Papa : maman toi-même tu connais ta fille, elle a commencé elle ne va pas arrêter


Mamie : mais elle gâte son petit-fils je ne vois pas le mal   

 

Papi : elle a déjà choisi le prénom ? 


Maman : non 


Papa : mais je dois encore monter le berceau 


Maman : mais tu vas faire sa quand ? 


Papa : demain 


5 mois ** 


Il est 18h on est arrivée en catastrophe à l’hôpital j’avais des fortes contractions douloureuses régulières quand ça commencé je ne voulais surtout pas venir ce matin pour ne pas entendre “ désoler madame ce n’est pas le moment 


Kelly : ça fait mal maman 


Maman : j’appelle l’infirmière ? 


Kelly : je veux la péridurale 


Maman : okay 


Kelly : attend je vais appuyer sur le bip au lieu que tu te déplaces 


Maman : c’est vrai 


Maman m’accompagne, durant tous mes rendez-vous une vrai maman poule elle a participé à tout elle voulait être présente étant donné que le papa n’est plus


Maman : tu veux boire quelque chose ?


Kelly : avec les contractions là 


Maman : il faut supporter 


Kelly : depuis je supporte mais maman tu es passée par là tu sais ce que ça fait ce n’est pas une petite douleur 


Mamie : ah Mouff la petite douleur là te dépasse 


Kelly : mamie c’est horrible 


Mamie : au contraire c’est très bon, c’est comme le piment Camerounais il pique mais est très bon malgré la douleur là on le mange toujours, c’est pareil avec l’accouchement il fait mal mais ça n’empêche pas les femmes d’avoir 4, 9 enfants 


Kelly (attrapant la barre du lit) : Aie Aie, moi c’est fini  


Mamie : c’est ce qu’on dit toujours, et puis tu es jeune tu auras le temps d’en faire autant que tu voudras 


Kelly : Akié mamie comment je souffre et je vais encore faire un enfant 


Mamie : c’est la douleur qui te fait dire ça 


Kelly : je suis triste par ce que Yoann n’est pas là 


Mamie : il aurait aimé être là mais maintenant tu n’es plus seule 


La sage-femme : mais le bebe arrive vous n’avez plus le temps d’une péridurale, le col est ouvert 


Kelly : hein 


Mamie : Kelly tu vas pousser comme au village 


Kelly : aie 


La sage-femme : on va passer à la salle d’accouchement qui assistera à l’accouchement le papa n’est pas encore là ? 


Kelly :  ma maman 


Maman : tu es sur au pire ta mamie peut prendre le relaie 


Mamie : ah non, ta fille a besoin de toi moi je vais juste prévenir la famille


Kelly : aie 


La douleur de l’accouchement ses affreux je n’ai jamais autant eu mal, en plus je n’ai pas eu la péridurale


A 19h mon petit AMOR MULLER NZE est né, quand je l’ai tenue dans mes bras c’était magnifique magique ce sentiment d’avoir son bout de chou tout petit pleurer je ne voulais plus le lâché y’a rien de plus beau que de devenir mère 

 

Mamie : il est beau mon arrière-petit-fils en bonne santé DIEU merci Kelly, tu as vraiment fait du bon boulot 

(Cris du bébé) 


Maman : il a faim 


Kelly : un futur gourmand 


Mamie (le levant) :  AMOR, descendant de FOKOUI et des NZE tu seras un homme beau fort, intelligent comme ta maman et feu ton papa notre sang ne se perd pas ton sang est des nôtres Dieu fera des bonnes choses pour toi tu es l’enfant de l’amour de tes parents tu seras amour comme ton prénom toute épreuve te rendra fort et sage tu es béni, tu apportes aujourd’hui la joie dans nos vies 


Maman (essuyant les larmes) : je suis grand-mère 


Mamie : nsàmbumntane NDIKa’fu yeeeeeeee ahhhh mNdikafuuu nsambumntane mentambia’kob nto’fannjanzwa


Papi : kokondotila


Ils se sont mit à chanter 


1 ans et 9mois plus tard 


Je me souviens encore de lui comme s’il était toujours présent dans ma vie, je suis fâchée contre moi-même, contre Dieu de me l’avoir enlevé ! 

   

Un sentiment d'injustice. Il était en parfaite et santé puis soudainement, il a fallu cet accident, une séparation définitive. Je me sens seule au Monde et différente. J'éprouve un immense chagrin, je ne parviens pas à cacher mon désespoir. Ils ne cessent de prendre des nouvelles de moi, mais je ne souhaite pas m'exprimer à ce sujet. Mon travail m'aide également à "penser à autre chose", de ne plus penser à cette douleur profonde. Par moment, je crois avoir refait surface, mais il ne suffit qu'un objet ou ses vêtements, me remémore mon amour et je retombe dans cette dépression... Mes amis et ma famille, ont appris la nouvelle. Ils étaient présents pour moi afin de me démontrer que je n'étais pas seul dans cette épreuve, ma mère m'a dit "Courage ma fille, tu en auras besoin pour un certain moment pour remonter la pente mais le temps t'aidera non pas à oublier mais à diminuer ta peine".  

Ses mots sont clairs mais leur sens est tellement atroce, douloureux qu'il m'a fallu des jours, voire des années pour que ma tête comprenne leur signification.  

     

Kelly (sanglotant) : Yoann revient, s’il te plaît. 

  

Maman : Kelly calme toi !  

  

Kelly : Maman il est parti je vais faire comment, nous avions des projets ! Maman je lui avais promis que j'allais changer ! il doit revenir je vais changer non Dieu ne peut pas me faire, ça pas maintenant !  

  

Maman : … demeurant silencieuse.  

  

Kelly (sanglotant) : j’ai trop mal maman.  

  

Maman : ... 

  

Kelly : Yoann, j’ai arrêté tous mes bêtises   

  

Maman : Chérie s’il te plaît dors un peu ne me fait pas ça, je sais que tu en veux à la terre entière mais tu ne peux pas le suivre.   

  

Kelly : ... 

  

Maman : Tu ne dors plus, ne manges plus, ne souris plus. Tu veux mourir ?  

  

Kelly : ... 

  

Maman : Dors s’il te plaît   

  

Kelly : Je n’ai pas sommeil, regarde ses vêtements je dois les ranger. Il préfère lorsque tout est propre.  

  

Maman (me regardant ébahis) : Je sais bon si tu ne dors pas, mange attend je vais te servir.  

   

Je me lève pour la cuisine je ne sais plus quoi faire ou dire ma fille n’est plus la même. Cela fait un bon moment que je réside chez ma fille depuis le décès de Yoann, un décès qui nous a tous surpris. J'essaye de mon mieux d’être présente, afin de l'aider à affronter cette épreuve.   

Je réchauffe le plat je lui mets en petite quantité si jamais elle en veut encore je vais la resservir au lieu de gaspiller surtout que c’est ces temps-ci c'est difficile de la voir manger.  

Je mets tout sur un plateau contenant ; verre de jus, riz et viande. 

   

J'entends un bruit strident dans la chambre. J'ouvre la porte. 

 

Il s'agissait de Kelly demeurante allongée à terre, entourée d'une mare de sang. Je me précipitai vers elle. Je la pris dans mes bras, pour vérifier si elle était consciente. Elle avait les yeux fermés et ne réagissait à aucune de mes gifles et même lorsque je la suppliais de se réveiller ! 

  

Moi : Kelly ne me fait pas ça ! Eh Dieu oh ne me l’enlève pas s’il te plaît. Pas ma seule fille


Amor : mamie 


Moi : chéri j’arrive reste dans ta chambre 


Je compose le numero des urgences, le temps me semble bien long jusqu’à ce qu’il arrive heureusement Amor est resté dans sa chambre je ne voulais pas qu’il voit sa maman dans cet état quand ils sont sortis avec ma fille j’ai pris mon petit-fils, le changer je devais garder la tête froide j’ai appelé mon mari 


AMOR : mamie


Moi : chéri, on va à l’hôpital 


AMOR : 


Kenneth devait me rejoindre au urgence, il est arrivé bien avant nous heureusement avec papa 


Papi : qu’est ce qui s’est passer 


Moi (en larme) : je suis dépassée papa   


Kenneth : AMOR vient avec moi on va prendre du café ou du jus 


Moi : papa, après la naissance elle a fait une dépression comme tu sais la et quand elle a essayé de se relever elle a encore sombré et aujourd’hui c’est le jour de la mort de Yoann 


Papi : on doit prendre une décision drastique sinon on la perdra 

Moi : oui 


Papi : ça ne peut plus continuer 


Alain : il faut déjà qu’elle emménage elle a besoin d’etre dans une autre atmosphère 


Papi : exactement en plus je ne comprends pas pourquoi tu l’as laissée vivre dans cette maison avec autant de souvenir, elle continue à vivre dans son passé on sait tous que Yoann ne reviendra plus et il faut qu’elle fasse son deuil 


Alain : elle doit aussi voir un psychologue 


Moi : okay 


Papi : dans tous les cas elle n’a plus le choix 


Alain : elle doit se ressaisir 


Papi : il faut que tu fasses ses bagages comme elle est encore ici tu ranges sa maison tu nettoies 


Alain : s’il faut meme ma femme viendra t’aider 


Papi : tu ramènes ses affaires chez toi et je pense que Kenneth sera du meme avis que nous 


Moi : il est meme fâché par ce qu’il n’a jamais été d’accord de son départ 


Papi : et il a raison, tes sentiments on prit trop le dessus mais il faut maintenant qu’on fasse correctement les choses 


Alain : AMOR a vu sa maman dans cet état ?


Moi : non 


Alain : elle fait vraiment n’importe quoi elle oublie qu’elle a un enfant tchip 


Papi : la dépression


Sandrine : bonsoir, comment elle va ? 


Moi : on ne nous a encore rien dit 


Sandrine : Alain toi tu blagues avec la dépression ce n’est pas juste une affaire des blancs comme quand tu entends là c’est sérieux 


Papi : effectivement ce n’est pas à prendre à la légère regarde le résultat aujourd’hui 


Alain : elle devient un danger pour elle-même 


Deux Heure d’attente enfin on a pu la voir mais personne n’a fait allusion à ce qui s’est passé en n’avait convenue d’attendre qu’elle récupère et quand elle sera déjà hors de l’hôpital 


Alain : tu ne fuis mon regard 


Kelly : 


Alain : tu as perdu la parole ? 


Kelly : non 


Alain : en tout cas je vois que ça va tu as vu AMOR ? 


Kelly : oui 


Alain : il s’inquiétait pour sa maman 


Kelly (triste) 


Le lendemain je suis allée avec Sandrine on a vidé les armoires nettoyer la maison les affaires de Yoann on n’a pas touché 


Sandrine : cette maison je n’aime pas trop ce qu’elle dégage 


Moi : comment ça 


Sandrine : je ne sais pas comment expliquer ça un peu de tristesse la mort mais viens on fait vite on quitte ici 


Moi : j’ai déjà fini 


Sandrine : okay je vais mettre déjà sa dans la voiture 


Moi : d’accord 


++1 mois plus tard ++ 


Tonton Alain : toc toc 


Kelly : oui tonton 


Tonton Alain :  je peux ? 


Kelly : oui 


Tonton Alain : ah aujourd’hui tu souries 


Kelly : tu es seul ? 


Tonton Alain : non Sandrine est en bas elle veut discuter avec toi mais je voulais d’abord saluer notre bebe 


Kelly : je suis le tonton 


Tonton Alain : je t’ai ramené une surprise 


Kelly : ah bon 


Tonton Alain : tu verras ça tout à l’heure 


 Kelly : merci 


Sandrine : je suis jalouse 


Kelly : mais de quoi 


Sandrine : bonjour ma puce 


Kelly : bonjour tata 


Sandrine : ça va ? 


Kelly : oui ça va 


Sandrine : chéri tu peux nous laisser s’il te plait 


Tonton Alain : okay 


Sandrine : depuis la dernière fois comment ça se passe à la maison ? 


Kelly : ça va 


Sandrine : okay et AMOR 


Kelly : il est trop calme, il ne fait pas trop de bêtise il ne me fait pas trop parler 


Sandrine : il est sage 


Kelly : oui 


Sandrine : tu as depuis demander pardon à tes parents ? pour ce qui s’est passer quand tu as voulu mettre un terme à ta vie sans oublier que tu allais laisser ton fils orphelin de père et de mère


Kelly : pas encore mais je compte le faire 


Sandrine : tes parents ont eu mal de te voir souffrir sans savoir quoi faire j’ai vu ta maman te pleurer par ce qu’elle ne savait plus comment trouver un moyen de te faire sortir de la toute la famille était triste 


Kelly : j’étais trop mal et je le suis toujours mais ça va mieux 

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