HISTOIRE 11 : Déchéance . 1ière partie

Ecrit par Le Kpetoulogue

Histoire 11 : << Déchéance >> 1ière Partie


Dame Astride, célibataire et sans enfants. Une femme modèle et adulée dans son quartier. Toujours souriante, elle affiche un visage radieux. Si elle ne le dit pas, personne ne se douterait qu’elle a 35 ans. Un corps très bien entretenu par un sport assidu et constant. Une peau d’ébène qui brille de mille feux, un regard de braise si envoûtant, si ses yeux étaient les portes de l’enfer, on s’y jetterait volontiers. Elle sait prendre soin d’elle. En semaine quand elle sort de chez elle, on a l’impression de voir une directrice d’une très grande entreprise. D’ailleurs elle est patronne d’une agence de placement pour des jeunes filles, la plupart sans diplôme, provenant des quartiers précaires de la ville, ou de certaines villes et villages du pays, voir même d’autres pays qui désirent travailler en tant que servante, ou pour le ménage dans des immeubles ou des hôtels. Dans le milieu elle a une très grande renommée. Parce que chacune des filles qu’elle emploie arrive très rapidement à s’en sortir … enfin certaines parmi elles. Aujourd’hui elle a rendez-vous avec plusieurs nouvelles filles, quand elle arrive au bureau, dans la salle d’attente se trouve une dizaine de filles. Elle s’approche d’elles pour les saluer. Chacune des filles est émerveillée par la classe qu’elle affiche, elle est d’une élégance et d’une beauté qui donne simplement envie d’être elle. Sa coiffure a l’air de couter cher tellement, on peut voir ses cheveux lui descendre dans le dos, ils sont d’un noir brillant et soyeux. Ça se voit que ces mèches ont dû lui coûter très cher. Au cou elle porte un collier dont le joyau au milieu brille de mille feux et repose sur ses seins bien garnis et bombés très certainement par le soutien-gorge qu’elle porte. Dans son ensemble tailleur, elle donne juste l’impression d’être imposante, de pouvoir absolument tout accomplir. Et cet ensemble tailleur lui va tellement bien, elle est à la fois classe, élégante, sexy et sensuelle. Son tailleur met en valeur ses formes plantureuses, des formes qui semblent avoir été taillées avec précision. Le haut de son ensemble laisse entrevoir un décolleté, pas très osé comme décolleté, cela laisse juste entrevoir de quoi vous faire saliver, on peut juste voir un bout de seins, mais cela vous attire tel le chant d’une sirène. Il serait difficile pour un homme de se concentrer en ayant une discussion avec elle, tellement son corps fait rêvasser l’esprit. Sa jupe lui couvre les deux tiers des cuisses, elle porte de longs collants qui lui couvrent les jambes jusqu’à un peu plus haut sous sa jupe, tel une devinette obsédante on aimerait savoir où est ce qu’ils s’arrêtent et surtout, qu’est-ce qu’il y a sous cette jupe. Sa démarche est sulfureuse, on pourrait passer des heures à la regarder se dandiner avec une telle élégance, chaque pas qu’elle pose est empli d’une telle confiance en elle, on aurait dit qu’elle marche sur le monde. Ses formes bougent, se cadencent à l’unisson avec chacun de ses pas, quelle femme !!!

Dame Astride : << Mesdemoiselles comment allez-vous ?? On vous a donné à boire ?? >>

Après que les filles aient répondu à sa salutation, dame Astride les regarde un instant. Elle en choisi soigneusement 3 parmi elles, et demande aux autres de suivre sa secrétaire qui va se charger de leurs entrevues. Elle se dirige dans son bureau avec les 3 filles qu’elle a choisi. Une fois-là, elle leur demande de s’asseoir pour avoir une discussion sérieuse. Le temps de rapidement faire connaissance. La première s’appelle Cynthia, une camerounaise, Elle est arrivée il y a quasiment un an à Abidjan et travaillait comme serveuse dans un bar, malheureusement à cause d’un réaménagement de la mairie, le bar a été détruit parce que mal construit. Depuis elle n’a pas encore trouvé d’autre emploi. Physiquement Cynthia est grande, 23 ans, 1m80 facilement, peu de forme, avec une taille fine, elle aurait certainement pu finir mannequin dans une autre vie. La seconde se nomme Adja, alors elle, elle a fuguée, elle était venu de Bouaké pour travailler chez une tante à Abidjan, mais cette dernière la maltraitait. Elle la battait pour un oui, pour un non. Elle l’obligeait à travailler quasiment toute la journée sans le moindre repos et le tout pour absolument rien du tout, vu qu’elle ne percevait pas de salaire. C’est le cas d’énormément de jeunes filles malheureusement. Physiquement Adja est moins grande que Cynthia, 1m60, mais son teint est clair, comme on le dit femme claire ne doit pas souffrir. Outre son teint clair, son visage on dirait celui d’une adolescente de 15 ans, et pourtant elle en a 20. Difficile de juger la forme de sa poitrine sous la robe qu’elle a porté mais elle doit en avoir soit une petite soit une moyenne, par contre ses fesses sont assez impressionnants quand même. Malgré la robe on devine ses courbes à ce niveau-là, et elle doit cacher un très beau cul. Quant à la dernière Stéphanie, elle semble la plus instruite parmi elles toutes, malheureusement les études ne lui ont pas réussi. On va dire que cela n’a jamais été son fort et voyant qu’il gaspillait inutilement son argent, son père l’a juste déscolarisée et fatigué de son comportement, il lui a demandé de faire ce qu’elle veut. Elle est la plus jeune, 19 ans à peine, physiquement c’est aussi une bombe. Elle s’est mise sur son 31 pour venir à cet entretien, on ne dirait même pas qu’elle vient postuler pour une femme de ménage.

Dame Astride : << Alors mesdemoiselles, vous voulez travailler comme femme de ménage c’est bien cela ?? avez-vous une certaine expérience dans le domaine ?? >>

Adja : << Madame moi je faisais beaucoup le ménage chez mes parents, et chez ma tante, donc oui, je connais ça >>

Cynthia : << J’ai été serveuse, ce n’est pas très diffèrent, donc je pense m’en sortir >>

Stéphanie : << Hum … >>

Dame Astride : << Et toi ? Stéphanie c’est ça ? une certaine expérience ? >>

Stéphanie : << Madame moi je ne suis pas là pour ça, c’est une amie à moi qui m’a parlé de vous, elle m’a dit que vous pouviez m’aider à rapidement avoir beaucoup d’argent, si j’étais prête à faire quelques sacrifices >>

Le visage de Dame Astride s’est rapidement renfrogné

Dame Astride : << Peux-tu me dire le nom de ton amie s’il te plait ?? >>

Stéphanie : << Euh … c’est-à-dire que … elle m’a demandé de garder l’anonymat. Elle dit que vous n’aimez pas trop qu’on parle de vous en dehors du boulot >>

Dame Astride : << Effectivement je déteste que mes employées parlent de mes affaires à n’importe qui … surtout des gens que je ne connais pas et dont je ne sais pas si je peux leur faire confiance >>

Stéphanie : << Vous pouvez me faire confiance madame … >>

Dame Astride : << Bien, est-ce la raison pour laquelle tu t’es vêtue ainsi ? tu sembles déjà être très au courant du travail que tu réclames >>

Stéphanie : << Oui madame >>

Cynthia : << Excusez-moi, mais de quel travail elle parle madame ? >>

Dame Astride : << Cela t’intéresse aussi ?? >>

Cynthia : << Ha madame, moi j’ai besoin d’argent, s’il y a mieux que femme de ménage là je veux bien hein >>

Dame Astride : << Il y a mieux oui en terme de gain, vous pourrez rapidement gagner beaucoup d’argent … si et seulement si vous être prêtes à faire quelques sacrifices >>

Adja : << Sacrifice waa ?? Ha madame moi je ne veux pas faire les choses de fétiches hein >>

Dame Astride : << Hein ? Hahahaha mais nooon, il ne s’agit pas de fétiches >>

Adja : << Donc c’est quoi ?? >>

Stéphanie : << Mais calme toi elle va t’expliquer >>

Dame Astride leur explique alors qu’effectivement elle gère bien une entreprise de placement de jeunes filles en tant que femme de ménage, mais pour certaines d’entre elles, principalement celles que la nature a gâté un tant soit peu au niveau de la beauté physique, il y a moyen d’avoir bien plus que le simple salaire d’une femme de ménage, si bien sur elles sont prêtes à faire ce qu’il faut pour cela

Adja : << Ha mais madame c’est quoi on doit faire ?? >>

Stéphanie : << Vous les dioulas on doit tout vous expliquer quoi ?? vraiment, en gros c’est pour gérer bizzi >>

Adja : << Hein ?? Ladjilaaa, noon hein, moi je ne suis pas venu ici pour ça >>

Cynthia : << … >>

Dame Astride : << Ne parle pas à ma place tu veux bien Stéphanie ?? Ecoute moi Adja, ce n’est pas exactement du bizzi, mais c’est quand même de la prostitution, mais c’est mieux organisé, mieux structuré. Mes clients et mes employées doivent tous passer un test médical pour que je m’assure qu’ils soient en bonne santé vu que beaucoup sont contre le port du préservatif. Ensuite le salaire minimum est de 300 milles par mois >>

Adja : << Hein ?? 300 mille madame ?? >>

Dame Astride : << Oui 300 mille Adja, et ça c’est pour commencer, certaines de mes employées touchent jusqu’à 1 million, bien sûr plus le salaire est haut, plus les services demandés sont assez ….vicieux on va dire. Et cela c’est sans compter les cadeaux des clients si vous réussissez à les satisfaire au-delà de leurs attentes, des filles ont obtenus ainsi des voitures, des appartements, des commerces pour certaines, tout ce que vous obtenez des clients en bonus est à vous, je ne prends aucun pourcentage là-dessus, mais par contre nous établissons un contrat de 5 ans, et durant ces 5 années vous n’avez pas le droit de rompre le contrat, vous n’avez pas le droit de tomber enceinte en plus donc vous devrez prendre des pilules et si jamais vous tombez quand même enceinte vous devrez avorter, vous n’avez bien sûr pas le droit de parler de cela à quiconque, et vous n’avez pas le droit d’avoir de relation amoureuse ou autre qui vous empêcherait de venir travailler … donc mesdemoiselles ?? êtes-vous d’accord ?? >>

Stéphanie : << Moi je suis d’accord madame, je peux commencer quand ?? >>

Madame Astride : << Ne sois pas si pressée, comme je l’ai dit tu n’es pas encore prise, je dois vous faire passer des tests médicaux pour m’assurer que vous êtes en bonne santé et pas enceinte >>

Adja : << Ha madame … ca la … moi on m’a pas élevée comme ça des >>

Madame Astride : << Je ne t’oblige à rien, si tu veux tu peux travailler comme femme de ménage, je peux te mettre dans l’autre groupe de filles de tout à l’heure, celles dont s’occupe ma secrétaire en ce moment même. Tu pourras avoir un salaire de 50-60 mille par-là, mais ça serais vraiment dommage, la façon dont tu es jolie, tu peux rapidement gagner beaucoup plus d’argent hein, tu n’as pas envie de t’habiller dans de belles tenues ?? voyager ?? visiter les grands hôtels ?? avoir une voiture même ? >>

Adja : << …. >>

Stéphanie : << Mais tu hésites pourquoi même ?? Tout à l’heure dans la salle d’attente tu n’étais pas en train de dire aux autres là que tu avais fuguée de chez ta tantie ?? Ou bien tu veux retourner dans ton village on va te prendre pour te donner à un vieux là-bas tu vas être sa septième femme, il va t’enceinter pour te laisser dans la pauvreté ?? >>

Adja : << Ahii ?? Je n’ai pas dit ça …. Mais quand même … >>

Dame Astride : << Et toi Cynthia ? tu me parais bien silencieuse >>

Cynthia : << Ha Madame moi comme je l’ai dit j’étais serveuse, j’ai déjà couché avec des clients pour de l’argent, si j’avais su qu’il y avait un circuit comme ça, il y a longtemps que j’y serais entrée >>

Dame Astride : << Alors pourquoi me sembles-tu inquiète ? tu as un autre problème ?? une maladie ? tu es enceinte ?? >>

Cynthia : << Nooooon, c’est juste que contrairement aux deux-là, moi je n’ai pas beaucoup de formes, donc je ne sais pas… >>

Dame Astride : << Si je vous ai choisi tous les 3 c’est parce que vous correspondez parfaitement aux critères que recherchent mes clients, donc tu n’as pas à t’en faire pour cela … Donc il ne reste plus que toi Adja, qu’est-ce que tu décides ?? >>

Adja : << Hum … madame est ce que je vais aller à Doubayi ?? >>

Stéphanie : << On dit Dubaï >>

Dame Astride : << Hahahaha quelle jeune fille innocente, Dubaï va être comme ton nouveau quartier même, ne t’inquiète pas, faut juste que tu te donnes à fond, toi-même tu verras >>

Ainsi finissait une journée de recrutement comme une autre pour Dame Astride. Quelques jours plus tard, elle recevait dans une somptueuse villa à Betry, un homme accompagné de deux gardes de corps. Elle semblait lui faire faire le tour des locaux, vu son attitude vis-à-vis de lui, c’est comme si elle parlait a son supérieur

Dame Astride : << Comme vous le voyez, cette villa est équipée avec le confort le plus moderne possible, je suis sûre que vos associés y seront très à l’aise monsieur Edouard >>

Edouard : << Oh vous savez mes associés ont des goûts assez spéciaux, ils sont déjà habitués à utiliser vos services mais cette fois ils réclament quelque chose de plus … quelque chose d’unique >>

Dame Astride : << Et bien suivez-moi, je suis sûre que vous trouverez votre bonheur parmi mes filles, il y en a eu des nouvelles ces derniers jours, voyez donc leurs prestations >>

Dame Astride le conduisait vers une autre pièce de la villa. Longeant un couloir, plus ils avançaient, plus des bruits se faisaient entendre. C’était comme des gémissements, comme un brouhaha de gémissements. Plusieurs voix s’entremêlaient et se confrontaient. On aurait dit un concours pour savoir qui gémis le plus. Une fois devant la porte, après avoir ouvert celle-ci, l’on pouvait apercevoir qu’un grand salon y a été aménagé. Un grand et luxueux salon d’où on peut voir un spectacle fantasmagorique. Des seins, des fesses, des pénis, des corps nus de tout genre et de toute forme partout où se pose le regard. Partout dans la pièce se trouve des hommes et des femmes en train de s’envoyer à l’air. Les hommes portent tous un masque pour cacher leur identité très certainement. Tandis que les femmes étaient toutes à visage découvert. Elles semblaient toutes être très jeunes, certaines ne semblaient même pas encore majeures. C’était tout bonnement une partouze, une partouze géante. Sur un canapé on aperçoit Adja en compagnie d’un client. Vêtu d’un string exotique. Vous savez ces strings qui ressemblent à des maillots une pièce. Avec des bretelles qui descendent jusqu’au vagin ou se trouve le plus gros morceau de tissu de l’ensemble et qui repart en fil fin entre les fesses pour ensuite se séparer dans le dos et rejoindre les bretelles. Adja était vêtu d’un string de ce genre, les bretelles lui traçaient sur ses petits seins et le morceau de tissu devant cacher sa nudité étaient écartés sur le côté pour faciliter l’accès à son vagin. Son vagin était d’ailleurs occupé par le sexe de son client qui semblait être très clairement un vieil homme. Le ventre gros et le torse un peu poilu.


Adja : << Tonton tu as une grosse pine hein mmmh >>

Son client : << C’est bien, bouge doucement comme ça … et approche ta bouche … sort ta langue … >>

Avec un masque lui couvrant la moitié du visage, il tournait la tête de Adja pour tournoyer sa langue autour de la sienne et l’embrasser. Dans le même temps ses mains pressaient les petits seins d’Adja tout en essayant d’allonger ses petits têtons en les tirant

Adja : << Mmmh Aie Tonton … doucement...aahh aaah mmmh >>

Elle qui était encore réticente il y a quelques jours semble s’être rapidement habituée. Mais ce n’était pas le seul spectacle de la pièce, ailleurs on pouvait voir une autre fille assise les pieds enlacés autour de son client en train de le pomper, ses fesses rebondissaient sur la queue en elle tel une balle de ping pong. Ailleurs deux filles suçaient l’une après l’autre la bite d’un homme tandis que ce dernier jouait de ses doigts dans leurs vagins tout en savourant le plaisir qu’elle lui procurait. Monsieur Edouard lui continuait de regarder tout en se baladant dans la pièce, il ne semblait pas encore avoir trouvé sa perle rare. Son attention fut accaparée par une scène dans un coin de la pièce ou une jeune fille se trouvait au milieu de 5 hommes. C’était Stéphanie. Au milieu de ces hommes elle était en train de contempler les queues arquées, qui la braquaient comme des épées la mettant en garde. En les palpant elle sentait leur dureté

Stéphanie : << Vous avez de très jolis membres messieurs >>

L’un de ses clients : << Dépêche-toi de nous sucer >>

Un autre client : << Oui fais vite, je meurs d’envie de sentir ta bouche sur mon pénis >>

Stéphanie : << A vos ordres messieurs >>

L’un après l’autre Stéphanie engloutissait leurs queues, elles étaient toutes, soit petites, soit de tailles moyennes, donc c’est sans aucun mal qu’elle leur faisait tâter de sa gorge profonde. Enroulant sa langue autour de chaque bite qui pénétrait sa bouche, pendant qu’elle en suçait un, elle branlait deux autres avec ses mains. Ou alors elle allait jusqu’à engloutir deux bite en même temps dans sa bouche. Elle était très habile, sa langue passait et repassait le long de chacun de leurs pénis, allant jusqu’à leur lécher leurs testicules. Au bout d’un moment ils se mirent à jouir sur son visage et sur ses seins, quasiment eux tous. Il n’en manquait qu’un, ce dernier s’assit sur un canapé et souleva ses jambes en demandant à Stéphanie de lui lécher l’anus. A quatre pattes, elle s’approcha de lui, énormément de poils se trouvaient entre ses fesses, on pouvait à peine distinguer son anus, mais ce n’est pas cela qui allait arrêter Stéphanie. Elle commença par engloutir sa queue tout au fond de sa gorge, se forçant elle-même comme si elle voulait se fait vomir, cela eu pour effet de faire dégouliner de sa bouche énormément de salive qui se déversa sur la queue de son client et sur ses testicules. Empoignant sa queue elle se mit à le branler tout lentement, partant de la base de sa queue jusqu’à son gland. Encore et encore. Dans le même temps elle gobait ses testicules et jouait à tournoyer sa langue tout autour d’eux. Mais elle ne s’y attarda pas, faisant adroitement couler sa salive le long de son périnée, la petite ligne descendant du milieu des testicules jusqu’à l’anus. Se frayant un chemin du bout de sa langue à travers cette forêt de poils, Stéphanie eu à faire que quelques tours de langue autour de son anus pour que son client jouisse dans un râle bruyant. Il a jouit tellement violemment que le sperme a jaillit pour s’éclabousser jusqu’à dans le dos de Stéphanie.

Monsieur Edouard quant à lui n’en a pas loupé une miette

Edouard : << Et bien spectacle fort intéressant >>

Dame Astride : << C’est une de nos nouvelles recrues, vous convient -elle ?? >>

Edouard : << Pas mal en effet, mais mes clients veulent quelque chose de mieux >>

Dame Astride : << Poursuivons alors, peut être veulent-ils une femme qui a la forme d’une miss ? jetez un coup d’œil par là-bas>>

Au fond de la pièce un bar avait été aménagé, pour désaltérer les clients et les employées qui avaient une ou deux parties de jambes en l’air. Un client était assis à ce bar en train de savourez un verre d’alcool la main posée sur les fesses d’une fille courbée sur sa queue. Il s’agissait de Cynthia. En levrette debout sur ses longues jambes de biches, elle s’appliquait à astiquer avec son vagin la queue de l’un de ses clients. Oui l’un de ses clients car dans le même temps elle en suçait un autre qui se tenait devant elle. Légèrement plus grande qu’eux, elle devait plier les genoux pour être à la bonne hauteur

Cynthia : << mmmh aaa haaah ça vous plait messieurs ?? mmh >>

L’un de ses clients : << Oui c’est bien mmh tu suces biien aah >>

L’autre ayant fini son verre, attrapa Cynthia par les hanches, comme pour passer aux choses sérieuses. Il se mit à prendre possession du rythme et la pénétrer de plus en plus vite. Cynthia avait du mal à tenir en équilibre vu que malgré sa taille, elle portait quand même des talons. Le client qu’elle suçait demanda à celui de derrière d’y aller molo, pour qu’elle puisse continuer de mieux le sucer

L’autre client : << Attend, j’ai une meilleure idée >>

Il demanda à Cynthia de venir s’asseoir sur lui en face à face. C’était un peu compliqué à cause du siège qui était vraiment petit, mais tant bien que mal Cynthia réussit à s’asseoir sur ce client. Ce dernier ne tarda pas d’ailleurs à lui enfiler sa bite dans son vagin et la tenant par ses plates fesses, il invita son partenaire à lui fourrer sa bite dans son anus

Cynthia : << Attendez ... Une seconde … s’il vous plait, je voudrais un pot de lubrifiant >>

Au bar il y avait un homme qui se chargeait de servir à la fois des verres, ou des choses comme des lubrifiants, des préservatifs pour ceux qui en voulaient, ou d’autres jouets sexuels. Cynthia après avoir pris le lubrifiant en versa un peu sur sa main pour enduire les alentours de son anus avec, ensuite elle en versa encore cette fois pour l’introduire a l’intérieur de son anus. L’anus étant une zone qui ne s’auto lubrifie pas, il faut bien l’humidifier avant tout rapport. Et Cynthia n’a pas lésiner sur le lubrifiant. Elle passa le lubrifiant a son autre client qui attendait impatiemment derrière elle, pour que ce dernier aussi se lubrifie la queue. Une fois fait il pointa son gland sur son anus et commença à la pénétrer tout en douceur. Il ne se pressait pas, il prenait son temps pour bien s’introduire. Cynthia quant à elle, sous l’effet de cette intrusion dans son anus, se cramponnait fermement à l’homme sur qui elle était assise. Ce dernier ne bougeait pas et attendait patiemment que son ami ait totalement pénétré le petit trou de Cynthia.

L’un des clients : << C’est bon ? je ne te fais pas trop mal ?? >>

Cynthia : << Non assst mmmh sssst non non aaah, ça va allez-y mmmh >>

Une fois que le signal fut donné par Cynthia les deux hommes commencèrent à bouger à l’unisson chacun dans un de ses orifices. Monsieur Edouard la regarda un moment se faire prendre simultanément par deux hommes et détourna le regard un peu après, comme si ce n’était toujours pas ce qu’il recherchait. Un peu plus tard il quitta la pièce avec Dame Astride pour aller dans un bureau de la villa.

Dame Astride : << Alors aucune de mes filles ne vous plait ?? >>

Edouard : << Chère Astride voyez-vous, je dois signer un contrat avec certaines personnes, parmi eux se trouvent des arabes, des européens, ce contrat m’est important, ces gens sont déjà des clients de votre … centre de divertissement ou ont eu à participer à certaines de vos soirées, mais ils veulent plus, ils veulent voir un spectacle inédit, quelque chose qui vas stimuler leurs sens. Vos filles sont bien, même très bien, mais elles ne peuvent que leur donner du déjà vu >>

Dame Astride : << Ha … >>

Edouard : << Ne vous en faites pas, en vérité je prépare un spectacle pour tout a l’heure, il ne me manquait plus que le clou du spectacle, une pièce maitresse qui va accaparer toute leur attention et il se trouve que cette pièce …. C’est justement vous >>

Dame Astride : <<HEIN ??? PARDON ??? QU’EST-CE VOUS RACONTEZ ??? >>

Edouard : << Ce n’est pas la peine de hausser le ton, je ne suis pas sourd >>

Dame Astride : << Exc…excusez-moi, c’est juste que …je ne fais pas ce genre de choses, je trouve juste des filles, je suis une femme respectable >>

Edouard : << Respectable ?? une femme respectable vous dites ? … HAHAHAHA, ne me faites pas rire Astride, vous n’avez absolument rien de respectable à utiliser d’autre filles afin de vous enrichir. Est-ce que vos filles sont au courant que vous obtenez sur le dos de chacun quasiment 80% de ce que vos clients paient pour coucher avec elles ?? Vous allez jusqu’à utiliser des mineures, vous n’avez rien du tout d’une femme respectable >>

Dame Astride : << Je refuse de faire cela >>

Edouard : << Vous croyez que vous avez le choix ?? Prendrez-vous le risque de finir en prison si je dévoilais au grand jour votre bisness ?? Officiellement absolument rien du tout ne lie aucun de vos clients à cette entreprise, et même si je vous ai financé, rien ne me lie à cette entreprise non plus. Par contre tout vous lie, absolument tout, souhaitez-vous savoir quelle est la peine encourue pour proxénétisme ? et pire encore pour proxénétisme sur mineure ? >>

Dame Astride : << …. >>

Edouard : << Allons, ne soyez pas apeurée, nous n’en arriverons pas là n’est-ce pas ?? mes associés doivent arriver dans quelques heures, je vous suggère d’aller vous préparer pour ce qui vas suivre >>

Aux environs de minuit passé à l’intérieur de la villa, dans une autre pièce un peu moins grande que la première, se trouvait quelques invités, une place avait été aménagée dans la pièce pour que tout le monde puisse voir le spectacle qui allait s’y tenir. D’ailleurs sur cette place s’y avance Monsieur Edouard sous un masque équipé d’un micro

Edouard : << Mesdames et Messieurs je vous souhaite la bienvenue, merci à tous d’avoir répondu présent ce soir. Pour certains les activités qui se déroulent sous cette demeure sont quelque chose de tout nouveau, tandis que d’autres y sont habitués, mais le spectacle que vous allez voir ce soir sera quelque chose de nouveau pour tout le monde, maintenant je vous demande d’applaudir celle la même qui vas égayer votre soirée … DAAAAAME ASTRIDE >> … A Suivre …



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