HISTOIRE 52 : << Carla et ses drôles d’amies >> 1ière partie

Tout un restaurant vient d’être réservé par un groupe d’étudiantes. En tout 5 jeunes filles. Le serveur qui passe prendre leurs commandes ne peut s’empêcher de trembler. Ce n’est pas juste qu’elles sont incroyablement belles, elles sont très intimidantes parce que toutes filles de personnes haut placées dans le pays. Alors qu’elles vont s’asseoir pour attendre d’être servi, elles commencent à discuter. Carla est la nouvelle venue dans le groupe, elle a rejoint l’université cette année et est la fille d’un ministre, en terme de statut on peut dire qu’elle est mieux placée que ses autres amies. D’une taille moyenne, elle était légèrement claire de teint, on sentait sur elle qu’elle n’avait pas vécu au pays mais en Europe. Elle avait des comportements de ‘’ blancs ‘’ comme on aime le dire ici. Dans ses gestes, comme dans sa manière de parler. Du moins dans ses débuts, elle réussit néanmoins a bien s’acclimater avec le langage ivoirien et tout. Elle était incroyablement belle, vraiment très belle, plusieurs étudiants ont essayé de la draguer, mais elle les envoyait balader. Elle a vécu la majeure partie de sa vie en Europe en compagnie de sa mère. Cette dernière l’a vraiment gâté, Carla était le genre de fille à avoir tout ce qu’elle voulait, quand elle le voulait. Des dépenses exorbitantes et la plupart du temps inutile. Son père a voulu qu’elle vienne passer une année avec elle, histoire qu’elle n’oublie pas ses racines. , elle est revenue au pays juste le temps d’une année en quelque sorte, et pour ne pas être la a ne rien faire, son père l’a inscrite dans une université de renom ou se trouvent que des enfants de boss comme on le dit. Carla s’est rapidement liée d’amitié avec 4 autres filles qui trainaient ensemble. Il y a d’abord la présidente du conseil des élèves Leaticia, une fille d’une taille moyenne 1m75, elle est très à cheval sur l’image qu’elle donne. Toujours correctement habillée, une démarche droite, un langage droit. Ce n’est pas pour rien qu’elle fut choisie comme présidente des étudiants. Elle n’aime pas le désordre, elle affiche la plupart du temps un air sévère, pas parce qu’elle regarde mal les gens, juste que c’est comme ça que son visage est. Très séduisante, des tas de mecs ont bien voulu tenter leurs chances mais bon elle a une tendance à rabaisser les garçons et cela les découragent. Ensuite vient Fatim, la plus grande du couple, une taille de miss 1m85, ses yeux de biche ne laissent aucun homme indiffèrent. Ses formes si finement taillées, elle a vraiment tout ce qu’il faut pour être une miss, excepté le langage, elle est assez terre à terre, un peu trop même en fait. Ensuite Leslie, elle a environ la même taille que Leaticia, mais en termes de forme elle est de loin la plus en forme. Des seins et des fesses difficiles à cacher même dans des vêtements amples. Et comme pour abuser, elle n’hésite pas à mettre ses formes en valeur, soit une jupe beaucoup trop courte, ou alors un décolleté bien plongeant. C’est une allumeuse et elle ne le cache pas du tout et enfin vient Meely, la plus courte du groupe, voire de toute l’école, 1M59 , une taille comme l’igname. Néanmoins c’est de loin la plus mignonne justement à cause de ça, sa petite voix douce fait vibrer les cœurs, on dirait une poupée qu’on a envie de câliner

Carla : << Ce n’est pas si mal de venir dans un pauvre restaurant comme celui-ci de temps en temps >>

Leslie : << Mais réserver tout le restaurant juste pour déjeuner c’est pas permis à tout le monde >>

Fatim : << 1million pour réserver ce restau c’est quand même un bon deal >>

Meely : << Je suis sure qu’on aurait pu racheter tout le restau même >>

Leaticia : << Nous ne sommes que des étudiantes, vous savez très bien comment les gens sont friands de ‘’ bad buzz ‘’ dans ce pays, on ne doit pas faire quoi que ce soit qui puisse faire la une sur les réseaux sociaux >>

Leslie : << Tu dis ça mais c’est assez bruyant dehors, pourquoi avoir envoyé autant de garde de corps Carla ? >>

Carla : << ha c’est rien ça, j’ai juste réquisitionné des militaires en leur disant que c’était un ordre de mon vieux, on n’allait pas venir se promener dans un quartier paumé qu’on ne connait pas sans protection n’est-ce pas? >>

Leslie : << Ha mais tu as fait fort quand même des >>

Pendant qu’elles déjeunaient tranquillement, le proprio du restaurant et son assistant ne semblaient pas du tout serein. C’est la première fois que cela se passait dans leur petit restaurant. Des corps habillés de partout.

L’assistant : << Patron il y a beaucoup de militaires dehors des, et puis ils sont en train de se servir dans frigo la, d’aller leur dire de payer ?? >>

Patron : << Il ne faut pas te taire hein, faut nous créer des problèmes seulement, tu n’as pas dit tu es bête ? Les filles qu’ils accompagnent la ne sont pas tes camarades, celle qui est au fond à gauche là son visage ne te dit rien ? >>

A y regardé de prêt, l’employé vit qu’elle ressemblait beaucoup à un ministre très populaire dans le pays.

Patron : << Je suis quasiment sûr qu’elles toutes sont des enfants de boss, tu ne vois pas leurs tenues scolaires ? Cette école la si ton papa n’est pas au moins directeur générale d’une grande société tu ne peux pas mettre ton pied la bas >>

Un employé : << Ha ça, c’est que si j’en drague une là mon avenir est assuré >>

Patron : << Petit faut pas faire je vais prendre ma chaussure pour te fouetter ici, faut pas me créer des problèmes, va à la cuisine la bas imbécile >>

Revenons à nos jeunes étudiantes, elles avaient finis de manger et étaient en train de discuter un peu de tout et de rien. Carla était beaucoup curieuse par rapport à leurs quotidiens. Disons que de son côté les choses étaient assez strictes, elle n’avait pas autant de liberté que ces amies surtout depuis qu’elle était revenue au pays

Carla : << Dis-moi Leslie comment va ce footballeur sexy avec qui tu sortais la ? >>

Leslie : << Stéphane ? Il est nul au lit, un vaurien de chez vaurien, il sait archi pas baiser du tout, donc on a rompu il y a quelque jours >>

Meely : << Toi tu as fini avec mougou pan tes gars la quoi, des que tu les baises tu les jette >>

Leslie : << Bof les garçons qui ne savent pas baiser ne sont pas intéressants, mais bon ce ne sont pas les propositions qui manquent sur mon insta , dès que je poste une photo ça vient comme ça vient et je suis tombé sur un site de rencontre peu connu la , les gens sont très en chaleur la bas >>

Meely : << Tu vas encore publier une photo ou tu mets tes seins en valeur pour les attirer, tu ne changes pas quoi >>

Carla : << Quel site ça ? Affaire nous >>

Leslie leur expliqua que ce n’était pas grand-chose de spécial, mais le vendredi dernier elle a eu un rendez-vous avec un homme plutôt âgé, disons qu’il pouvait avoir l’âge de son père. Elle ne sait elle-même pas pourquoi elle a décidé de le rencontré, elle avait tellement été déçu des hommes de son âge sexuellement parlant, qu’elle voulait essayer un homme mur pour voir ce que cela donne. Et l’homme en question était quand même assez beau, élégant et il sentait terriblement bon. Elle ne s’attendait pas à grand-chose, mais juste à cause de l’effet séducteur qu’il dégageait, elle l’a suivi dans un hôtel et ce fut juste sensationnel. Le tonton l’a complètement sonné en deux rounds, jamais un homme l’avait baisé comme ça. C’est-à-dire quand il a fini son second round, pendant qu’il partait fumer une clope elle était affalée sur le lit, elle perdait ses repères même, tellement le tonton l’avait fait jouir. C’était bien plus que ce qu’elle espérait mais elle en voulait encore. Il lui a dit n’avoir emporté que deux préservatifs avec elle, donc elle lui a dit d’oublier ca et de venir la baiser sans. A peine elle lui a dit ça que le tonton fut de nouveau excité. Leslie leur décrivit son sexe, ce n’était pas long mais large et des nerfs on dirait des autoroutes tellement ils étaient visible. Et sa bite pesait d’une manière, c’est-à-dire quand il la pénétrait, elle sentait que quelque chose était entré. Elle était couché sur le dos, il a écarté ses jambes et prenait appui sur ses cuisses pour la défoncer, jamais elle aurait cru prendre autant de plaisir dans la position du missionnaire. Sa queue accélérait comme pas possible en elle, il ne lui fallut pas longtemps pour jouir ; mais le tonton lui n’en avait pas encore fini, il avait une endurance incroyable, il l’a baisé encore et encore dans cette position jusqu’à en jouir. A peine il a fini de jouir qu’elle s’est endormie transporté par le plaisir qu’il venait de la procurer.

Leslie : << Voila c’est en gros ce qui s’est passé, si vous voulez une compensation, sortez avec des sugar daddy, ils ont de l’argent et sont très énergétiques mine de rien, à mon réveil le vieux avait laissé une enveloppe de 500 mille sur la table >>

Carla : << Hum mais tu n’as pas de soucis d’argent, pourquoi tu veux sortir avec des sugars daddy >>

Leslie : << Ça me fait un effet de malade de me dire que je me vends pour du sexe, j’en avais pas besoin des 500 mille donc j’ai fait partager ca a des familles de mendiants vers chez nous la >>

Carla : << Hum je crois que je comprends ce que tu veux dire, et vu qu’ils paient pour ça, ils doivent te baiser comme si leurs vies en dépendaient pour ne pas avoir l’impression d’avoir jeté de l’argent par la fenêtre >>

Leslie : << Voilà, exactement >>

Leaticia : << Hum les vieux ne sont pas du tout esthétiques >>

Carla : << Hum mouais, je ne pourrais pas le faire avec un homme âgé je pense >>

Fatim : << Les beaux hommes ne se soucient pas de leur argent, de leur prestige, de la taille de leur bite ou de leur technique. En fait plus ils sont petits plus ils sont adorables >>

Leslie : << Vous voulez allez quelque part ensuite ?? >>

Meely : << Allons au ciné, il y a un chic film a l’agenda >>

Fatim parlait mais personne ne la calculait vraiment, elle avait des penchants un peu bizarres, donc personne ne semblait vouloir écouter ce qu’elle avait à dire, elle s’énerva et frappa sur la table

Fatim : << TCHAI ECOUTEZ MOI YA QUOI ??? >>

Carla : << Haha … calme toi Fatim, moi je veux bien écouter ce que tu as à dire >>

Fatim : << J’étais sure que tu allais dire ça Carla, toi au moins tu es une vraie amie à l’écoute, contrairement aux autres la >>

Fatim leur raconta que ce jour-là elle accompagnait son vieux dans une ville de l’intérieur du pays-là. Il voulait aller inspecter une de ses entreprises-là, il en a tous un tas à travers le pays. Et du coup pour ne pas l’avoir dans ses pattes, il lui avait donné de l’argent pour se divertir ailleurs .Donc pendant qu’elle faisait du shopping aux alentours, elle est tombé devant un jeune homme qui ressemblait beaucoup à une fille. Elle a longuement dut le regarder pour se rendre compte que c’était un garçon. Il devait avoir 15 ans par là. Un mignon petit garçon du nom de Moussa. Apres avoir rapidement sympathisé avec lui, le jeune homme a décidé de la suivre faire son shopping, en vrai lui il espérait juste recevoir une petite somme, vu qu’il était là pour aider les dames a porter leurs bagages et tout, histoire de se faire un peu d’argent. Sauf qu’une fois dans la boutique, dans la cabine d’essayage, plutôt que de choisir des vêtements pour elle, elle a choisi des vêtements pour Moussa, et ces vêtements étaient des vêtements de fille. Moussa a commencé à se sentir un peu gêné, lui il ne voulait pas ressembler à une fille. Fatim l’avait fait porter un croc top, des collants et une jupe et elle était aux anges en le voyant ainsi

Fatim : << Tu es troooop mignon >>

Moussa : << Hum grande sœur moi je ne veux pas m’habillé comme une fille hein, jupe et puis collant ? Hum grande sœur ?? >>

Fatim : << J’ai promis que je vais te donner de l’argent non si tu fais ce que je te demande ou bien ? >>

Moussa : << Hum … oui >>

Fatim : << Alors comment tu te sens la maintenant ?? >>

Moussa : << Ha grande sœur, je me sens bizarre des … >>

Fatim : << Hum donc tu bandes quand tu te sens bizarre ?? >>

Moussa n’avait pas remarqué que toute cette situation l’avait excité. La jupe qu’il portait se faisait soulever par son sexe qui était devenu tout à coup tendu, vu comment Fatim ne cessait de coller ses seins contre lui. Elle voulut jeter un coup d’œil dans son caleçon et fut surprise de voir que malgré son jeune âge il avait une queue plutôt grande. Fatim le positionna devant le miroir et tandis qu’elle lui caressait ses tétons, elle le branlait aussi. Cette sensation était toute nouvelle pour Moussa qui ne s’était auparavant jamais masturbé et n’avait jamais eu de rapports sexuel. Mais Fatim s’y prenait tellement bien, délicatement sa douce main montait et redescendait le long de sa queue. Dans le même temps sa langue farfouillait à l’intérieur de l’oreille de Moussa qui sentait quelque chose monter en lui. Il semblait devenir esclave de cette nouvelle sensation, au bout d’un moment il lâcha une énorme quantité de sperme sur le miroir sous le regard joyeux de Fatim … A Suivre …

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