HISTOIRE 7 : Prostituée par amour . 1ière partie

Ecrit par Le Kpetoulogue

Histoire 7 : << Prostituée par amour >> Partie 1


Jour heureux pour Leila, elle vient tout juste de se marier civilement avec Kader, son petit ami depuis maintenant cinq ans. Elle est radieuse dans sa robe de mariée et les invités font la queue pour féliciter le jeune couple. Il faut dire que Leila ne laissait personne indifférent dans son entourage, partout où elle passait, elle attirait les regards, qui ne serait pas intéressé par une femme aussi belle ? Une jeune femme dans la vingtaine, élancée sur son 1m85, Dieu avait longuement pris son temps pour sculpter une telle femme. Que ce soit au niveau de ses formes envoutantes et sauvages, de son teint d’ébène uniformément ciré, que de son regard de braise. Un simple sourire d’elle pourrait faire chavirer le cœur de n’importe quel homme. Elle faisait la fierté de Kader qui ne manquait pas une seule occasion de bomber le torse quand les regards se focalisaient sur sa femme à chaque fois qu’ils sortaient. Après tout c’est lui l’homme d’une femme aussi belle. Kader quant à lui avait 30 ans maintenant. Il était cadre dans une grande société de la place. Pour Leila ce fut le bonheur absolu, au moins pendant un an, le destin joue de drôles de tours.

Ce jour-là alors qu’elle s’apprêtait à fêter c'est un an de mariage en toute intimité avec son homme, elle reçut un appel d’un hôpital. Kader avait fait un terrible accident, toute paniquée elle n’eut que le temps de prévenir ses parents et ceux de Kader, elle retrouva son homme à l’hôpital dans un très sale état. Pendant de très longues heures, les docteurs ont fait absolument tout ce qu’ils pouvaient pour essayer de sauver Kader. Tandis que dans le couloir Leila était en pleurs, elle craignait énormément pour la vie de son homme. Heureusement l’opération s’est plutôt bien passée, si on peut dire cela. La vie de Kader n’était plus en danger mais il était malheureusement dans le coma. Et le docteur lui annonça qu’à moins d’une opération très couteuse, Kader risque de perdre l’usage de ses yeux. Les jours passaient, les semaines et ensuite les mois, toutes les économies que Leila avait faites se sont consumées dans les frais d’hôpital de Kader qui ne donnait toujours aucun signe de vie. Les frais d’hospitalisation de Kader étaient vraiment couteux, Leila ne travaillait pas, elle espérait que Kader se réveille avant que leurs économies ne finissent. Mais plus le temps passait, plus la pression augmentait et l’espoir disparaissait petit à petit. C’est à ce moment-là qu’elle eut l’idée de contacter l’entreprise de Kader qui jusqu’à présent ne lui avait point fait signe. Ces derniers étaient très bien au courant de l’accident de Kader, peut-être il y aurait une certaine assurance dans son contrat qui pourrait subvenir aux frais d’hospitalisation. Ce jour-là Leila reçut un cadre du nom d’Achille, envoyé par l’entreprise pour discuter de tout cela.

Achille : << Bonjour Madame Keita, comment allez-vous ?? >>

Leila : << Je vais bien monsieur et vous ? je vous apporte de l’eau à boire ?? >>

Achille : << Non non ça va ça va, alors je vais entrer dans le vif du sujet madame. Notre entreprise comprend parfaitement la détresse dans laquelle vous vous trouvez, malheureusement votre mari n’a souscrit à aucune de nos assurances, donc nous ne pouvons prendre en charge les soins d’hospitalisation >>

Cette nouvelle attrista énormément Leila, l’entreprise semblait être son dernier espoir.

Leila : << Il … Il n’y a vraiment rien que vous pouvez faire pour lui ?? absolument rien ?? >>

Achille : << Vu qu’il ne peut pas travailler pour nous, nous avons dû trouver une solution très rapidement, parce qu’il était le chef d’un de nos départements, cela a failli nous créer énormément de soucis à nous aussi, comprenez qu’il nous est très difficile de prendre en charge les soins de votre mari >>

C’est une Leila au bord des larmes qui commença à supplier Mr Achille, elle se disait qu’il devait forcement y avoir une solution, c’est impossible qu’une aussi grande entreprise laisse un de ces employés, de surcroit un cadre, sans essayer quoi que ce soit, ne serait-ce que par compassion ils pourraient quand même lui donner une somme pour tenir les frais d’hospitalisation pendant quelque temps

Achille : << Hum … vous savez, Kader vantait beaucoup votre beauté au travail, et maintenant que je suis devant vous, je vous avouerais que vous êtes infiniment plus belle que ce qu’il nous disait, je vous dis cela parce que même si nous ne pouvons pas directement aider Kader, il se peut que nous ayons un boulot à vous proposer, je tiens à être sincère avec vous, c’est seulement pour cela que mes patrons m’ont demandé de venir vous voir >>

L’atmosphère de la pièce avait changé, Leila n’étant pas stupide, elle a senti tout de suite la proposition indécente qui arrivait. Elle coupa net Monsieur Achille sur sa lancée, et lui demanda de partir, hors de question qu’elle s’adonne à ce genre de bassesse

Achille : << Pas de soucis Madame, néanmoins tenez ma carte de visite, au cas où vous changez d’avis, vous n’avez qu’à m’appeler >>

Loin d’elle l’idée de se laisser abattre, Leila commença à chercher du boulot par ci par là, malheureusement pour elle, elle n’avait pas de diplômes, elle avait dû abandonner ses études juste après ses fiançailles. Elle commença donc à faire des petits boulots par ci par là, maquilleuse, coiffeuse, mais le salaire était peu, vraiment peu, Les dettes commençaient à s’accumuler sur elle. Et l’état de Kader ne s’améliorait pas, elle passait le voir chaque jour à l’hôpital mais ce dernier ne donnait aucun signe de vie. Elle avait de plus en plus peur qu’il ne meurt si elle n’arrivait plus à payer ses frais. Ce soir-là en rentrant chez elle, elle pria, beaucoup plus que d’habitude, encore et encore, jusqu’à ne plus avoir de voix, au point d’être tellement fatiguée qu’elle s’endormit. A son réveil alors qu’elle voulait faire un peu de rangement, elle tomba sur la carte de visite de Monsieur Achille … après quelque minutes d’hésitation elle finit par l’appeler. Ce dernier ne tarda pas à lui rendre visite. Après quelques salutations, et des échanges pour prendre des nouvelles de son homme

Achille : << Alors je suppose que si vous m’avez finalement contacté, c’est parce que vous êtes intéressée par notre offre ? >>

Leila : << Oui... Oui... C’est bien ça >>

Achille : << En êtes-vous sûre ?? Car comme vous devez vous en doutez, ce n’est pas un travail ordinaire que je vous propose >>

Leila : <<Même…même si je dois vendre mon corps, j’y suis préparée, mais est … est ce que ça sera bien payé ?? >>

Achille : << Pour l’argent ne vous en faites pas, selon vos performances, si vous convainquez mes supérieurs, nul doute que vous gagnerais même bien plus que ce que gagnait votre mari >>

Leila : << Mes performances ? Comment ça ? je ne comprends pas ? >>

Achille : << C’est juste une formalité, mes supérieurs veulent s’assurer qu’en plus d’être extrêmement belle, que vous serez en mesure de remplir a bien n’importe quelle mission qu’ils vous confieront >>

Leila :<< Et quand est ce que je dois le faire ?? >>

Achille : << Demain je passerais vous chercher dans la soirée >>

Leila : << D’accord >>

Achille : << Tenez ceci c’est pour vous préparer, c’est n’est pas une avance ne vous en faites pas, mes supérieurs veulent juste que vous compreniez que vous avez beaucoup à gagner en acceptant ce boulot >>

Achille lui avait remis une enveloppe, quand il s’en alla, Leila compta l’argent qu’il y avait dans l’enveloppe, et ce n’était pas moins de 500 mille. Son mari ne gagnait qu’environ 1million 500 mille pour son salaire. Et là on venait de lui donner 500 mille, juste pour se préparer. Quoi que craintive pour la suite, Leila semblait au moins avoir un espoir de soigner son Kader. Le lendemain comme convenu Achille est passé la chercher alors qu’elle était au chevet de son mari, ils se sont ensuite rendus dans la commune du plateau. La voiture s’est garée en face d’un gigantesque immeuble, vu l’heure celui-ci semblait vide, ils ont juste croisé les gardiens à l’entrée. Apres avoir pris l’ascenseur, ils se sont arrêtés à un étage et Achille a conduit Leila dans une pièce en lui demandant de l’attendre là. Un salon avait était aménagé là, c’était une pièce tout à fait banale sauf qu’au mur il y avait un miroir sans tain. Leila ne se doutait pas que derrière cette vitre se trouvait trois hommes, les patrons de l’entreprise. Il s’agissait de Mattias qui était le président de l’entreprise, et de Charles et Didier qui étaient ses associés. Alors que Leila observait la pièce, Achille fit son retour avec un autre homme et un document en main

Achille : << Bon madame Leila, vous allez devoir travailler dur pour gagner de quoi payer les frais d’hospitalisation de votre mari, c’est un contrat de 3 mois, si vous acceptez le contrat vous ne pourrez refuser absolument rien de tout ce qu’on vous demandera de faire. De plus selon notre accord, nous garderons le secret bien évidement sur vos activités, cela se passera dans la plus totale discrétion, donc vous n’aurez rien à craindre. À partir d’aujourd’hui et jusqu’à la fin de notre contrat je serais votre superviseur, est ce que cela vous convient-il ? >>

Leila se dit qu’elle n’aurais qu’à endurer cela que pendant 3 mois , si en 3 mois elle peut gagner suffisamment pour s’occuper des frais d’hospitalisation de Kader, et plus encore de quoi ouvrir un petit commerce, alors pourquoi pas ? Elle accepta donc le contrat

Leila : << Oui... c’est d’accord... >>

Apres avoir signé et tout, l’homme que Achille avait ramené dans la pièce semblait impatient, il se faisait appeler Kounta

Kounta : << Bon Achille on peut commencer maintenant ?? >>

Achille : << Un peu de calme Kounta >>

Leila : << Hum … ? >>

Achille : << Madame Leila je vous présente Kounta, il sera souvent votre partenaire de travail pour les 3 mois à venir, mais aujourd’hui il est là pour vous tester, maintenant pouvez-vous, vous déshabiller s’il vous plait >>

Leila surprise : << HEIIIN ???!!! >>

Achille : << Enlevez vos vêtements s’il vous plait Madame, je ne doute pas que vous êtes une très belle femme, cela se voit, mais je dois m’assurez que vous avez le corps qu’il faut >>

Leila : << Je … je comprends >>

Pendant qu’elle se déshabillait le cœur de Leila battait a 1000 a l’heure, elle ne se sentait pas prête à faire cela, se déshabiller comme ça, devant deux inconnus, on pouvait sentir la gêne sur son visage, elle était toute timide et honteuse. Au bout d’un moment elle était complètement nue, les mains croisés dans le dos. Derrière le miroir sans tain, les patrons de l’entreprise ne loupaient pas une miette de la scène et commentait le corps de Leila.

Didier : << Hum … ses seins sont bien plus gros que ce que je pensais >>

Mattias : << Et vous avez vu ses larges auréoles ? Ça fait vraiment salope >>

Charles : << J’aime beaucoup son cul, il est vraiment gros et bombé >>

De retour dans la pièce, Achille avait demandé à Leila de faire des tours sur elle-même, histoire que ses boss admirent entièrement son corps. L’expression de honte qui se lisait sur son visage et dans ses gestes les excitaient grandement. Au bout d’un moment

Achille : << Maintenant Madame Leila vous allez devoir nous montrer ce que vous savez faire …. Kounta c’est à ton tour >>

Comme s’il n’attendait que ça depuis son arrivée, Kounta se débarrassa de ses fringues, il était vraiment musclé, cela se voyait qu’il passait beaucoup de temps à la salle de sport. Que ce soit au niveau des pectoraux, des bras, des cuisses, tout était massif et semblaient dur comme du roc. Quant à sa queue, elle était tout autant imposante. Leila fut choquée en la voyant le seul partenaire sexuel qu’elle avait eu dans sa vie n’était que son homme

Kounta : << Eh viens me sucer >>

Leila s’approcha timidement de Kounta, s’agenouilla sans détacher son regard de sa queue tendue juste en face de son visage. Elle était intimidée, très intimidée par un sexe aussi énorme. Elle qui n’avait connu que le sexe de son mari

Kounta : << Ma chérie qu’est-ce qu’il y a ? Dépêche-toi de me sucer >>

Leila : << O… Oui … je … je vais le faire >>

Leila se demandait si elle pourrait prendre dans sa bouche une bite aussi grosse, elle approcha timidement sa langue pour en sucer le gland, ensuite les côtés, petit à petit elle passait sa langue sur les coins et les recoins de cette queue sans pour autant vraiment la prendre en bouche, en vérité elle ne savait pas comment elle pourrait piper un truc aussi gros. Elle s’y prenait très maladroitement, et Kounta le lui reprocha cela.

Leila : << Je... je suis désolée … je n’ai pas eu l’occasion de faire beaucoup cela avec mon mari … donc je suis inexpérimentée en cela >>

Kounta : << On s’en fout, suce ma queue ma chérie, attrape ça bien, serre ca bien, met ça dans ta bouche et utilise ta langue oorh >>

Leila : << Hum … d’accord >>

Leila saisit fermement sa queue et commença à la branler, tout en léchant le gland, petit à petit elle commença à l’entrer dans sa bouche, elle se donnait vraiment de la peine, mais cette queue était tellement imposante qu’elle pouvait à peine arriver au milieu de celle-ci au risque de s’étouffer. Kounta lui n’était pas satisfait, ce n’était pas satisfaisant, elle s’y prenait toujours mal. Il lui attrapa la tête pour enfoncer sa queue plus loin dans sa gorge

Kounta : << Ouvre bien ta bouche je vais l’utiliser pour me faire plaisir moi-même. Mmmh… je dis OUVRE TA BOUCHE >>

Forçant l’entrée de sa bouche, Kounta pénétra sauvagement celle-ci, et enchaina les coups de reins à l’intérieur. Leila tentait de suivre son mouvement en enroulant sa langue de part et d’autre de celle-ci. Kounta accélérait tellement le mouvement que Leila avait l’impression qu’il voulait lui trouer la gorge avec sa queue. Elle tentait de le repousser, mais vu son gabarit Kounta avait évidemment plus de force qu’elle. Apres maints efforts elle réussit quand même à se dégager et commença à tousser plusieurs secondes pour reprendre son souffle

Kounta : << Ooorrh tu es nulle hein, tu ne sais pas piper ?? C’est ma pine qui est trop grosse ou quoi ? >>

Leila : << Je … je suis désolé … pardon >>

Pour la suite Kounta se coucha à même le sol, et lui demanda de venir grimper sur sa queue. Leila quoi que hésitante s’approcha quand même, elle allait le faire, elle allait coucher avec un autre homme que son mari, elle allait prendre dans son vagin, un autre pénis que celui de son homme. Et pas n’importe quel pénis, un pénis qui fait plus de deux fois la taille de celui de son homme. En grimpant sur Kounta, elle saisit sa queue et l’approcha de son sexe qui avait fini par délicatement se mouillé de cyprine, néanmoins est ce que cela suffirait pour faire glisser cette énorme chose en elle ? Elle en doutait. En allant à son rythme elle s’empalait lentement sur la queue de Kounta. Essayant de prendre en elle autant que possible de ce monstre. Kounta restait impassible et la regardait faire. Il ne semblait pas satisfait de la performance de Leila. A peine un tiers de sa queue avait pu pénétrer en elle.

Leila : << Mmmmh …. C’est énorme ….aaaah aaaah … mmmh >>

Kounta : << Ma chérie bouge sérieusement c’est quoi ça ? bouge bien ton cul putain >>

Leila : << Oui …ouii d’a..d’accord >>

Leila faisait vraiment de son mieux mais en ce qui concerne le sexe, elle était vraiment inexpérimentée. Avec Kader ils avaient attendu d’être mariés avant de passer à l’acte. Et Durant leur 1 an de mariage, ils n’ont pas eu l’occasion de s’adonner aux plaisirs du sexe, en partie à cause de travail de Kader qui lui prenait énormément de temps. A Force de pomper une partie de cette grosse queue, Leila commençait à ressentir un sentiment d’aise, son corps commençait à ressentir du plaisir dans cette situation, elle chevauchait aussi vite qu’elle pouvait la queue de Kounta. Ses gros nibards se balançaient dans tous les sens. Derrière le miroir sans tain, les patrons appréciaient le spectacle qui s’offrait à eux. Une jeune fille inexpérimentée, timide, qui s’adonnait à ce genre de bassesse. Kounta quant à lui perdait patience, la saisissant par la hanche il lui donna un coup de reins si puissant et brutal, que Leila eu l’impression que sa queue avait cogné dans le fond de son utérus. Kounta la saisit fermement et pris les commandes, il enchaina à une vitesse que Leila trouvait ahurissante les vas et vient en elle. Elle se demandait comment il pouvait être si rapide. C’est comme si il essayait d’allumer un feu de bois en elle

Leila : << Mmhh Aaaah aaah aaaaha dou…doucement …aaaah aaaah mmmmh mmmhh >>

Kounta : << ooorh ta gueule >>

Kounta la défonçait sans retenu, tellement que Leila fut obligé de se coucher complément sur son torse, Kounta en profita pour saisir fermement ses fesses et a les claquer à l’unisson avec ses pénétrations. Il lui mettait de violentes fessés

Leila : << Mmhh Aaaah AIIIE AIIIE arrete ….aaah aaah mmmh St...stoooop … mmmh Aaaahhummùm mmmh >>

Leila sentait un plaisir soudain envahir tout son corps, elle n’avait jamais ressentir tel sensation auparavant, c’était brusque et ça montait rapidement, Elle commença à se crisper et s’accrocha fermement a Kounta qui lui continuait sur sa lancée. Un énième puissant et profond coup de rein réussit à venir à bout de Leila, qui dans un râle bruyant commença à jouir en se redressant

Leila : << AAAAAAAHHHHHH OUIIII OUIIIIIIIIIIIIIIIIII MMMMMHHHHHH AAAaaaahhhhhh >>

Elle resta là à trembler avec la queue de Kounta en elle, c’est comme si toutes ses forces l’abandonnaient, comme si elle devenait aussi légère d’une plume, et comme si un lourd sommeil l’envahissait. Kounta se retira d’elle, et la regardait continuer de trembler couchée a même le sol pendant un bon moment. Quand elle recommença à récupérer ses esprits, Leila se disait avoir été amenée à ce fameux 7ième ciel, tellement c’était intense, un autre homme que son mari avait réussi à la faire jouir. Kounta l’avait remarqué

Kounta : << Ma chérie ton mari ne t’a jamais fait jouir ?? >>

Leila : << Hein ?? … c’’est …c’est-à-dire que … >>

Kounta : << Une femme qui ne connait pas les plaisirs du sexe ne peut pas faire ce boulot, aujourd’hui je vais te montrer à quel point mougou est doux >>

Kounta la releva avant de lui plaquer le visage contre le miroir sans tain, il écarte grandement sa chatte et recommença à la pénétrer fougueusement. La maintenant par les fesses il accélérait les pénétrations en elle, Leila accoudé sur le miroir ne faisait que recevoir tout en gémissant, ses gémissements s’accentuèrent au rythme des pénétrations sauvages de Kounta. De l’autre côté du miroir sans tain, les patrons avaient le visage perverti de Leila juste devant eux. Elle ne se doutait pas que trois hommes la regardaient attentivement sans louper la moindre expression de son visage, ses seins étaient collés sur le miroir et ils pouvaient voir à quel point ses auréoles sont énormes.


Charles : << On dirait qu’elle commence à aimer ça, regardez son visage, une vraie salope >>

Mattias : << Je sens qu’elle va beaucoup nous divertir >>

Didier : << Elle va surtout nous rapporter gros >>

Kounta lui il s’en donnait à cœur joie, il voulait montrer à Leila tous les plaisirs du sexe. Tout en continuant de la défoncer il commença à malaxer ses seins dans tous les sens, à les presser et à pincer ses tétons qui étaient déjà durs et tendus, pendant de long moment, avant de s’attaquer à son clitoris

Leila : << Nooon …mmmh aaaah pas la … oouiii mmmhh aaaah aaaah mmmmh mmmh mmmmmh hhhmùmmmm >>

Leila ne se doutait pas un instant que ça serait autant incroyable, elle prenait bien plus de plaisir qu’elle ne le pensait, tout son corps entier réclamait encore une nouvelle jouissance, c’est comme si elle découvrait le sexe pour la première fois. Après l’avoir longuement prise par derrière, Kounta se retira. Durant ce bref instant Leila qui avait déjà du mal à tenir sur ses jambes à cause de plaisir tomba au sol. Kounta ne tarda pas à la rejoindre par terre, alors que Leila reculait, il la saisit par les talons et la ramena à lui, il souleva ses pieds à sa tête et la pénétra encore plus sauvagement. Dans cette position c’est comme si son énorme queue touchait l’âme de Leila qui jouit encore à la première de ses violentes pénétrations. Mais contrairement à tout à l’heure, Kounta ne lui laissa pas le temps de récupérer, il continua de la défoncer encore et encore, il voulait graver dans son corps cette sensation toute nouvelle pour elle. Qu’elle s’en souvienne à chaque fois qu’elle fera l’amour.

Kounta : << Tu as jouis encore ?! C’est bien, je vais tellement te mougou que tu vas devenir prisonnière de tes orgasmes >>

Leila : << Aaaah ouii ouiii mmmh c’est booooon ….mmmh comme ça …. Oui ouiiiii ouiii je te sens … mmmhh aaaah …je …je vais…je vais jouiiiir … ooooh OUIIIIIIIIII AAAAAAAH MMMMMHHHH >>

Cette fois ci Kounta aussi venait de jouir avec elle, remplissant son vagin de sa semence. Le fait de penser qu’un autre homme que son mari venait de jouir en elle prolongeait sa jouissance. Leila était couchée par terre toute essoufflée avec le sperme de Kounta qui s’écoulait de sa chatte.

Kounta : << eeeh viens nettoyer ma queue maintenant, suce moi bien et nettoie tout ce sperme >>

Leila quoi que épuisée se redressa et s’exécuta, elle lui lécha proprement le pénis pour le nettoyer de toute trace de semence. Elle était toute en sueur malgré la climatisation, ses magnifiques formes semblaient luire a la lumière de l’ampoule. Apres cela, Achille qui était arrêté tout ce temps dans un coin de la pièce, s’approcha d’un microphone

Achille : << Alors messieurs ? satisfait ?? >>

Mattias : << Oui Achille, c’était excellent, tu as mis la main sur une foutue bonne femme >>

Achille : << Merci beaucoup monsieur >>

Didier : << Fais-moi voir l’état de sa chatte >>

Kounta obéissant aux ordres, vint soulever une Leila complétement épuisée et quasiment endormi, il la mena devant le miroir sans tain avant d’écarter ses jambes et montrer aux patrons de l’entreprise, la chatte de cette dernière, complétement défoncée et encore grandement ouverte après le passage de sa bite … A suivre …


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