<< Hypnose >> 1ière partie

Ecrit par Le Kpetoulogue

<< Hypnose >> 1ière partie 


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Devant une scène de cul, Papis 29 ans sont en train de se masturber. Il semble particulièrement friand de cette catégorie de porno. Sur son écran, on y voit une femme mariée en train à se faire défoncer par son amant en lui suppliant de la baiser de plus en plus profondément et lui disant que sa bite est bien plus grosse que celle de son époux et qu’il la pénètre bien plus loin que lui. Papi est complètement absorbé par la vidéo, tout en la regardant il se branle et finit par jouir juste quelques secondes avant la fin de la scène.

Papis : << ouais j’aime trop ce genre de porno. Mais bon maintenant que je me sois mis bien, faut que je termine mon taf>>

Papis avaient passé la majeure partie de sa vie en Europe. Il avait fait des études en IDA (informatique développeur d’applications) Malheureusement pour lui, il n’a pas pu y vivre longtemps vu qu’il a été rapatrié à cause d’activité frauduleuses. De retour à Abidjan, il s’est installé à Angré et travaille pour une société informatique. En Europe, Papis avait développé une certaine faculté dans le domaine de l’hypnose. Ça ne marchait pas à chaque fois, mais il arrivait à flouer les gens avec ce don. Principalement des gens avec qui il avait une certaine affinité. C’est d’ailleurs cela qui lui avait valu des soucis avec la justice française. De retour à Abidjan, Papis avait décidé de développer une application d’hypnose qui pourrait l’aider à mieux hypnotiser les gens et c’est sur cela qu’il travaillait depuis plusieurs mois. Papis descendaient ses poubelles et étaient en pleine réflexion. Il avait installé son application sur son téléphone et était en train de peaufiner deux trois trucs, quand il entendit la douce voix de sa voisine.

Sa voisine : << Bonjour papis comment tu vas ? >>

Cette voix il pouvait la reconnaitre entre mille. C’était celle de Djamila. Une charmante jeune femme, elle n'était âgée que lui d’un an ou deux. Une femme incroyablement belle et toujours soigneusement habillé

Papis : << C-ça ... Ha Djamila ... ça va bien et toi ? >>

Djamila : << Tu es réveillé tôt hein >>

Papis : << Haha je n’ai même pas dormi de la nuit et comme je vis seul, faut bien que je sorte les poubelles moi-même >>

Djamila : << Hihihi si seulement mon mari pouvait m’aider à sortir les ordures comme toi tu le fais Papis >>

Papis : << Haha vraiment ? >>

Djamila : << Je pense que j’aurais dû me marier avec un homme aussi serviable que toi Papis >>

Papis : << Hein ?? >>

Papis ne pouvaient s’empêcher d’admirer le cul de Djamila dans sa jupe. Les formes de Djamila étaient vraiment dans la moyenne. Ce n’était ni exagéré, ni trop peu. Vraiment pile dans la moyenne. Elle faisait dos à Papis et s’abaissait pour ramasser ses sachets d’ordures afin de les mettre dans la benne. Mais à chaque fois qu’elle s’abaissait, son cul attirait le regard de Papis. C’était vraiment un très beau cul à voir. Papis mourraient d’envie de la baiser, il se dit sur le coup qu’il devrait peut-être essayer son application d’hypnose pour voir si ça marche ou pas 

Papis : << Au fait Djamila, je développe actuellement une application qui pourrait permettre aux gens de mieux se relaxer… >>

Djamila : << Ah bon ? Sérieux ? Quelque chose d’aussi pratique existe de nos jours ? >>

Papis lancèrent l’application sur son téléphone qu’il présenta ensuite à Djamila, en lui disant qu’il lui suffisait juste de regarder attentivement les spirales tout en écoutant un fond sonore. Il passa un de ces airpods à Djamila pour qu’elle puisse écouter le bruit. Papis se rapprochèrent suffisamment d’elle afin de poser sa main sur son épaule. 

La gestuelle semblait faire partir de son jeu d’hypnose. Djamila insouciante regarda attentivement les spirales et il ne fallut que quelques secondes pour qu’elle se sente comme aspirer à travers les spirales. Quand Papis le senti bien détendu et comme quelque peu ailleurs, il était temps pour lui de voir si son application marchait. Habituellement quelqu’un sous hypnose peut dévoiler n’importe lequel de ses secrets. Mais Papis voulait commencer par quelque chose de simple 

Papis : << au fait, si tu as un quelconque problème tu peux m’en parler hein. Bon avec ton homme, vous semblez être le couple idéal donc je suppose que c’est impossible que vous ayez le moindre souci n’est ce pas ? >>

Djamila : << Hum … j’ai quelques soucis effectivement … >>

La sensation de Djamila était bizarre. Elle se sentait comme en sécurité, comme confiante de tout dire à Papis

Djamila : << Maintenant que tu m’en parles, dernièrement je n’ai eu aucun rapport sexuel avec mon mari, j’étais suspicieuse donc j’ai mené mon enquête et j’ai découvert qu’il me trompait avec une étudiante d’à peine 20 ans. Il ne veut pas avoir de rapport avec moi, alors qu’il baise cette gamine pratiquement chaque semaine. Tu ne trouves pas ça injuste et cruel. Il couche avec une autre femme alors qu’il m’a moi, sa femme légale. On a eu à se disputer plusieurs fois par rapport à ça mais il continue de la voir et chaque jour qui passe la tension est de plus en plus insoutenable à la maison. Mais je ne peux pas le quitter, il est le père de mon enfant et il me met à l’abri de tout besoin >>

Pendant qu’elle parlait, Djamila se rapprochait de Papis au point de se coller complètement à lui. Était plus petite que lui, Papis pouvait voir à travers son décolleté. Sentir les seins de Djamila contre sa poitrine commençait à dangereusement l’exciter. 

Djamila : << C...c’est pour ça que j’ai pensé à me venger de lui, en baisant moi aussi avec un autre homme >>

Djamila était vraiment toute proche de Papis, elle ne cessait d’avancer son visage vers le sien. Son regard devenait de plus en plus vicieux. Ça se voyait clairement qu’elle était chaude alors qu’ils se trouvaient tous les deux dans la rue. Ça commençait à être un peu gênant pour lui vu qu’ils attiraient quelques regards des passants. Djamila quant à elle ne voyait que Papis, elle semblait ne même pas se rendre compte de ces gestes 

Djamila : << Ça te dérangerait d’avoir une liaison avec moi ?? >>

Papis : << Hein ? >>

À ce moment précis, à cause d’une mauvaise manipulation Papis sortent de l’application et Djamila repris subitement ses esprits 

Djamila : << eh … hein ?! … Qu’est-ce que j … qu’est-ce que je disais ? >>

Djamila se souvint aussitôt de ces mots à l’instant et une terrible honte s’empara d’elle. Elle avait avoué tout cela inconsciemment Djamila : << Attend … attend Papis, c’est faux hein, je mentais … m-m mon mari ne me trompe pas, Eh Dieu … maïs … et j-je je ne pense pas à le tromper aussi hein >>

Djamila était dans tous ces états, elle était vraiment paniquée. Très paniquée par tous ses aveux qu’elle venait de faire à l’instant 

Papis : << Calme toi Djamila, tu es en train de faire jusqu’aux gens sont en train de nous regarder >>

Djamila se couvrit le visage pour cacher sa honte et remonta au pas de course à son appartement en s’excusant auprès de Papis. Ce dernier compris son malaise mais était surtout heureux de voir que son application fonctionnait. Du moins ça lui montrait de bons résultats. Mais il lui fallait encore s’assurer que ça marchait vraiment à tous les coups et après ce que Djamila venait de lui avouer, il comptait bien se servir d’elle comme cobaye. Papis avaient très peu de scrupule, tout ce qui l’intéressait était son propre profit personnel.

Les jours qui ont suivirent, Djamila évitait autant que possible le regard de Papis et cette situation ne l’arrangeait pas vraiment. Du coup il l’invita chez elle, afin qu’il puisse régler ce petit différent. Du moins c’est le prétexte qu’il lui donna. Quoique ‘hésitante, Djamila accepta quand même. Elle appréciait beaucoup Papis et ne voulait pas vraiment que leur entente s’arrête là. 

Une fois chez lui, Djamila était assise sur le canapé, la tête baissée. Elle avait toujours du mal à affronter le regard de Papis. Ce dernier avait tout préparé pour que Djamila soit là plus à l’aise et la plus détendue que possible. La clim était activée à une température idéale, il y a eu un doux parfum dans l’air. Un parfum que Djamila lui avait déjà dit beaucoup aimée. Il lui donna un verre de jus à boire. Tout était fait pour qu’elle se sente le plus à l’aise que possible 

Djamila : << Papis je ne suis pas encore prête à te faire face après tout ce que j’ai dit. Je n’arrive pas à croire que j’ai dit cela, vraiment c’était une simple blague. N’y fais pas attention et n’en parlons plus s’il te plaît >>

Papis : << Du calme Djamila s’il te plaît. Détends-toi et soit relaxe. Maintenant je veux entendre ce que tu penses réellement au fond de toi >>

Djamila : << Ahi ? Comme je te l’ai dit, je blaguais, je m’amusais. Ce n’était rien de sérieux >>

Alors qu’elle essayait encore une fois de faire comprendre à Papis qu’elle ne pensait pas vraiment ce qu’elle lui avait dit la dernière fois, ce dernier présenta son téléphone avec l’application d’hypnose juste devant les yeux de Djamila. Il l’avait amélioré depuis la dernière fois, et maintenant juste l’image tourbillonnante suffisait à pénétrer profondément dans l’esprit de sa victime 

Papis : << Maintenant s’il te plait dis-moi tout Djamila. Tu veux avoir une liaison avec moi n’est-ce pas ? >>

Djamila : << Aaah ... aaah >>

Djamila avait énormément de mal à ôter son regard de la spirale sur l’écran de Papis. Et plus elle regardait, plus elle se sentait aspirée. C’était comme si son esprit s’étourdissait, ça avait un effet apaisant. Et si au début elle était effrayée, rapidement elle s’apaisa. Elle perdit en un instant le contrôle sur son esprit et commença à s’exprimer librement comme si elle avait ingurgité un sérum de vérité. Elle était complètement sous hypnose et il ne lui était plus possible de dire un quelconque mensonge. Son côté le plus caché se dévoila subitement, même son regard avait changé. Une femme que Papis avait toujours connue comme étant timide, avait maintenant un regard empli de désir

Djamila : << Oui. Mon mari me trompe et ne veut plus me satisfaire alors ça serait très injuste si je ne me faisais pas plaisir de mon côté n’est-ce pas ? Je suis encore très jeune même si j’ai un enfant. Évidemment je veux encore m’adonner au plaisir du sexe et m’amuser >>

Papis : << Je vois. Alors tu es actuellement une perverse femme excitée >>

Cette phrase de Papis sonna dans la tête de Djamila comme un ordre, comme une directive à suivre. Elle passa aussitôt une main sous son body, ensuite sous son soutien-gorge et commença à se caresser le téton et avec son autre main, elle se caressait le clitoris par-dessus son string et tout cela sous le regard excité de Papis. Il la trouvait tellement belle avec cet air pervers qu’elle affichait. Sous hypnose, Djamila lui obéissait au doigt et à l’œil. Papis lui demandèrent de le suivre dans sa chambre ou il ôta en un éclair ses vêtements avant de s’asseoir sur le bord du lit, la queue tendue vers les cieux. Djamila était admirative face à cette bite gorgée de sang, elle s’impatientait de pouvoir la toucher, la caresser, la sentir. Mais elle était comme bloquée, elle ne pouvait rien faire sans que Papis ne le lui ordonnent et Papis était du genre joueur. Il demanda à Djamila de se déshabiller tout doucement et tout en se branlant il la regardait faire. Il avait tellement rêvé de ce corps, tellement imaginé ses courbes, tellement fantasmer sur sa nudité qu’il en tremblait d’excitation maintenant que c’était face à ses yeux 

Tout doucement Djamila souleva son body et l’enleva par le haut. Elle avait un regard si vicieux posé sur Papis et principalement sur sa bite. Elle semblait avoir tellement envie de la dévorer qu’elle se mordait les lèvres tout en se déshabillant. Après avoir retiré son haut, elle baissa aussi sa jupe. Sous ses vêtements elle portait une magnifique lingerie de couleur noire qui épousait parfaitement sa silhouette, l’embellissait et allait avec son teint. Cette femme n’était pas qu’incroyablement belle, elle avait du style 

Papis : << Tourne sur toi-même >>

Obéissant sagement, Djamila commença a tourné sur elle-même pour donner un aperçu sur l’ensemble de son corps à Papis. Le regard de ce dernier se délectait de chacun des angles de vue qu’il avait sur le corps de Djamila. C’est comme s’il immortalisait ce moment dans sa mémoire 

Papis : << mets-toi à quatre pattes et vient me sucer la queue >>

Tel un félin, Djamila se mit à quatre pattes et s’avança lentement vers la bite de Papis. Du désir elle en avait tellement au point ou sa culotte commençait dangereusement à se tremper. Une fois la bite de Papis à son porté, elle posa ses mains à la base de sa queue et commença aussitôt à l’engloutir dans sa bouche. Papis en eurent la chair de poule tellement il trouvait incroyable la bouche de Djamila. Cette sensation qu’il avait de sentir son pénis se faire engloutir et déglutir de la pulpeuse bouche de Djamila, il ne l’avait jamais connu. Peut-être était-ce son obsession pour cette femme, mais en fouillant dans sa mémoire aucune femme ne l’avait si bien sucé de toute sa vie au point de crisper ses orteils et lui donner la chair de poule … À suivre …


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