Je t'aime

Ecrit par Lari93

Hicham Diallo

 

Je suis chez mes parents nous sommes vendredi et je n’ai pas mis pied dans mes locaux d’Abidjan.

Je n’ai pas la tête à travailler mes instants Eva depuis mon retour m’ont fait oublier le travail.

En plus j’ai des employés qualifiés, je pense qu’ils peuvent tenir quelques jours sans moi sur leur dos.

Mais, cela n’empêche que je vérifie de temps en temps mes mail pour éviter les surprises désagréables.

J’ai passé la matinée avec mon fils qui a pris plaisir à me raconter toutes ses aventures chez ses grands-parents.

J’ai ensuite contacté mon assistante sur Dakar pour m’assurer qu’elle a effectué les réservations nécessaires pour la petite folie que j’ai envie de faire.

Ensuite, j’ai contacté un détective avec qui je travaille depuis longtemps.

J’ai besoin de savoir qui est « Patrick Gadji ».

Mieux vaut savoir avec qui je livre bataille.

Enfin, J’appelle Eva afin que mes plans ne tombent pas à l’eau.

Pour une fois que je décide de profiter de la vie, il faut que tout se passe bien.

 

Moi : Allô mon cœur.

Eva : Allô, tu vas bien ?

Moi : Parfait, c’est plutôt à toi je dois la question ?

Nous sommes rentré tard et tu es allé au boulot.

Tu arrives à te concentrer ?

Eva : (Rire) T’inquiète. Le matin j’étais un peu lourde mais ça va mieux.

Alors, tu es avec le petit.

Moi : Oui, depuis ce matin je suis avec eux.

Eva : Ok.

Moi : Pourrais tu prendre une semaine de congé à compter du lundi ?

Eva : C’est brusque tu ne trouve pas ?

Je dois prévenir des semaines avant et non sur un coup de tête.

Et pourquoi dois-je prendre une semaine ?

Moi : (Ahhhh non c’est foiré pensais-je) Essaie Bébé s’il te plaît c’est important.

Et fait moi confiance c’est une surprise trésor.

Eva : j’essayerais.

Je dois récupérer Hicham chez tes parents ce soir.

Je te dirais si oui ou non j’ai obtenu la permission.

Moi : Sinon, je peux toujours contacter ton patron ?

Eva : Surtout pas, Je m’en occupe.

Moi : Ok travail bien et à ce soir. Bisous je t’aime.

Eva : Ok bye. Bisous

 

Même si elle ne le dit pas encore je sais qu’elle m’aime et à des sentiments pour moi.

Et je saurais gagner sa confiance progressivement.

 

Ma mère : Eva, elle va bien ?

Moi : Oui et elle passe chercher Fared ce soir.

Ma mère : Ah oki. Et vous deux ?

Moi : Maman ?

Ma mère : Quoi Hicham, je suis ta mère et je te connais.

Tu l’aime cette fille et ça crève les yeux.

Vous avez un enfant ensemble, alors faudrait bien que tu décides si oui ou non tu veux être avec elle ou pas.

Moi je l’aime bien.

 

Moi : Ah oui ça crève aussi les yeux que tu l’aime bien (elle se met à rire).

Ma mère : Aller dis moi en plus.

Moi : Bon toi Dis moi d’abord, tu n’as jamais aimé les filles avec qui je suis sortie ces dernières années.

Pourquoi elle ? D’ailleurs tu sais que j’ai une copine non ?

Elle : Quoi ? Cette Binta-là ? c’est elle que tu appelles copine ?

Elle est fausse cette fille.

Comme tous les autres avants elle.

Mais, Binta elle a un truc qui m’insupporte.

Et crois-moi cela n’a rien avoir avec ses origines et autres.

Bref, une chose est sûre mon enfant, ces filles n’était pas ce qui te fallait.

Mais Eva, comment te l’expliquer ?

A notre première rencontre, je me suis bien senti en sa présence et c’est toujours le cas.

En plus d’être belle, elle est bien éduquée et intelligente.

Et elle est la seul qui a fait briller la flamme dans tes yeux.

A ton anniversaire, vous étiez simplement magnifique et fusionnel.

Je te sentais bien avec elle. Tu as l’air d’être ne paix.

Alors, si elle te rend heureux que puis je demander de plus ?

 

Moi : Ah M’a. Tu as tout dit.

De mon côté, J’essaye de la mettre en confiance et de gagner son cœur.

Mais je crois que son mariage là brisé, et elle se terre derrière une carapace.

Ma mère : Elle t’aime. J’en suis sûr.

Mais comme tu là dit, elle a aussi peur.

Alors, soit au-dessus de tout ça et fait le nécessaire pour la rassurer.

Mais avec l’autre, tu as rompu ? si ce n’est pas le cas tu devrais t’y mettre avant la proclamation du Divorce.

Moi : Je ne l’ai pas vue Durant mon voyage à Dakar.

Ma mère : Débarrasse-toi de cette mauvaise herbe, sinon tes efforts ne serviront à rien.

Moi : Je sais M’a. Mais on parle d’une personne ?

Ma mère : Ah moi je t’ai tout dis.

Bon je vais préparer les affaires de Fared.

Tu sais on rentre le week-end prochain sur Dakar.

Débrouille-toi pour Qu’Eva le laisse venir passer les grandes vacances avec nous et toute la grande famille.

Il ne faudrait pas que toi et ta personne gâche mes plans.

Moi : (La femme ci) j’y veillerais.

(Elle sort et me laisse seul. Cette maison me rappelle tout nos séjours à Abidjan et ceux depuis l’enfance.)

C’est à l’environ de 19h30 min qu’Eva arrive à la villa.

Fared est déjà prêt, mais mes parents ont insisté pour qu’elle dîne avec nous.

Elle finit par accepter.

Elle est assise juste à côté de moi.

 

Papa : Comment tu vas ma fille ? Et le travail ?

Eva : Je vais Bien papa. Et ça se passe bien côté travail.

Papa : Hicham m’a dit que tu es dure côte affaires, et même avec lui (elle regarde l’air étonné) ?

Mais c’est une qualité surtout dans ton domaine, il y a trop d’entrepreneur malhonnête.

Eva : Merci Papa. Le marché est difficile et il faut faire attention.

Maman : Tes parents, vont-ils bien ?

Cette semaine en allant déposer le petit à l’école je n’ai pas croisé ta mère.

Eva : Ah oui, elle est en formation à l’ambassade. Ils le font régulièrement pour toutes les écoles françaises du pays.

Maman : D’accord, transmets les nos salutations.

Nous comptons rentrer le week-end prochain et nous souhaitons leurs dire merci avant de partir.

Grâce à eux aujourd’hui nous avons eu encore un magnifique petit fils.

Eva :  Ok maman, je leur dirais.

Moi : (à voix basse) Tu l’as obtenu ?  (Elle me regarde et sourit sans rien dire).

Tu sais que je suis impatient madame ?

Eva : (Dans le même ton que moi) la patiente est une vertu monsieur.

(Hummm dis-je en grognant)

Après le dîner, nous échangeons encore avec mes parents.

Ensuite nous prenons congés d’eux.

Je raccompagne Eva à sa voiture, installe Fared et ranger ses affaires.

Moi : Alors, Tu me le dis ou pas ?

Eva : Oui j’ai obtenu l’autorisation de mon Boss.

 Je peux savoir maintenant ce que tu comptes faire ?

Moi : (Je me rapproche d’elle en la coinçant à sa voiture, mes yeux dans les siens) Demain soir toi et moi on prend un vol pour plusieurs destinations et ceux en une semaine.

Alors tu as toute la matinée demain pour régler tous les détails avant notre départ.

Sache que tu n’auras pas besoin de beaucoup d’habits parce que je t’assure que je le les enlèverais tout le temps (en posant un baisser sur son front).

Prévois des tenus de plages et de Safari.

Eva : Et c’est ainsi que tu me le dis et Hicham ?

Moi : Fared resteras avec tes parents, parce qu’ici mon père désapprouve que je te tourne autour. Il estime que tu es encore une femme mariée et que je dois attendre ton divorce.

Eva : Ton père est pieu et à des principes.

Il n’a pas tort.

Je ne pense pas que ce voyage soit une bonne idée.

Moi : Quoiii ???

Je vois comment les autres hommes te regardent et je ne compte pas leur laisser ma place.

En plus, j’ai trop attendu pour t’avoir encore dans mes bras (En essayant de l’embrasser).

Eva : (Rire) Je ne suis pas une proie facile, Tu es le seul après mon mari.

Moi : Je sais (En l’embrassant, cette fois je réussi.) et sa restera ainsi.

Sauf que, C’est moi qui serais ton seul et futur mari.

Eva : Je n’ai pas dit Oui !

Moi : Tout ton corps dit le contraire princesse.

Eva : Bon, il faut que je rentre.

Moi : Un dernier bisou s’il te plaît (Elle le fait et monte dans le véhicule).

Champion prend soins de maman. Je serai là demain soir.

Hicham Jr : Ok papa (Je lui fait un bisou sur le front).

 

Eva Loba

 

La journée c’est fait au pas de courses.

Je suis épuisé.

J’ai fait des emplettes dans la précipitation.

Je suis allé rapidement au spa question de tout rendre parfait (rire).

Pareil, pour mes valises.

Je n’ai pas oublié mes contraceptions, cette fois ci je les ai bien rangés.

En allant déposer votre fils chez mes parents, il m’en a fait voir de toutes les couleurs.

Hicham ne voulait pas rester avec ses grands-parents sous prétexte qu’il veut partir avec moi.

Il a fallu que mon père lui propose un programme de balade avec ses cousins pour qu’il arrête de pleurnicher.

L’enfant ci, Vraiment.

Quand ma mère m’a demandé ou j’allais, j’ai menti pour dire qu’il s’agissait du boulot.

Je ne sais pas ce qui m’a pris.

Mais je ne veux pas leur donner aussi de faux espoir sur moi et le père de mon enfant.

Moi-même je n’arrive pas à mettre un nom sur notre situation alors comment en parler ?

 

Je suis assise à côté de son père épuisé.

Je sais qu’on a embarqué dans un vol en direct de Cotonou.

Je me suis endormi sans m’en rendre compte.

C’est Hicham qui m’a réveillé.

Moi qui pensais qu’on sortait de l’aéroport, je me trompais.

Nous avons embarqué dans un petit porteur en direction du nord du pays.

Moi : On va où ?

Hicham : Un endroit magnifique selon moi.

(Je ne dis plus rien)

Nous avons débarqué dans une petite ville où un véhicule où était inscrit Pendjari lodge nous y attendait.

C’est au levé du jour que nous sommes arrivés dans cet endroit Digne d’une carte postale du Kenya.

 

Moi : Nous sommes au Bénin ?

Hicham : Oui, au Parcs national de Pendjari.

Nous y sommes juste pour 02 jours.

Moi : on aurait dit le Kenya. C’est beau ici.

Hicham : Et tu n’as encore rien vu. Attend regarde le levé du soleil.

(Le véhicule s’arrête juste prêt d’un coure d’eau pour nous permettre d’admirer le spectacle. Hicham me prend dans ses bras et je me laisse aller. J’avoue que j’adore et je me sens bien.)

Moi : Mon Dieu que c’est beau.

Hicham : Pas plus beau que la merveille qui est dans mes bras. (Il m’embrasse et je ne résiste pas. Cet homme sait trop y faire avec moi. Il me rend fragile.)

Nous arrivons à l’hôtel et je fonce sur le petit déjeuner installé à la terrasse de notre bungalow.

Hicham n’a pris que du café.

Moi, je me suis régalé.

Moi : On va faire du safari ?

Hicham : Oui, tu vois qu’il y a des merveilles prêtes de nous ? pas besoin d’aller jusqu’au Kenya.

Moi : Oui j’ignorais tout de cet endroit. Merci pour la découverte.

Hicham :  De rien trésor.

Moi : Mais Pourquoi les gens ne font pas la promotion de ce parc ? On s’obstine à voyager soit au Kenya ou en Afrique du Sud alors qu’il y a un si bel endroit en Afrique de l’Ouest.

Hicham : Ce parcs est au croisé de plusieurs frontières le Burkina, nord Ghana, le Niger et le Bénin.

C’est la zone du Sahel si on peut le dire ainsi et il est infesté de soi-disant islamistes radicaux et terroristes.

Des délinquants qui utilise la religion pour justifier leurs bêtises.

De plus, il y a eu des enlèvements de touristes et même l’assassinats d’un Guide.

Tout ceci combiné à dépopulariser la zone.

Mais maintenant l’état du Bénin a mis les moyens nécessaires pour sécuriser la zone, alors il n’y a plus rien à craindre.

Moi : Ah je comprends mieux.

Le déjeuner terminé, je file en chambre prendre une douche.

A peine ai-je commencé, que Monsieur ouvre la cabine en tenue d’Adam et se glisse sous mon bain.

Hicham : Il n’ait pas bien de prendre la douche seul (en me faisant des bisous dans le dos).

Moi : Je suis grande et je peux le faire toute (Je ne finis pas ma phrase quand je sens ses doigts me caresser ma grotte et son autre main me presser un sein. Je gémis direct.)

Hicham : Tu disais mon Cœur ? (Oh merde il m’a eu. Tout compte fait on est venu aussi pour ça non ?)

Je le laisse faire et je ne suis plus que gémissements.

Quand, il me pénètre c’est l’extase.

Je ne sais même plus combien de fois il m’a fait jouir.

Il me prend par l’arrière un long moment, je l’entends grogner.

Au passage, il me presse les fesses.

Rien de désagréable car c’est sans l’intention de faire mal, juste du plaisir et j’adore.

Ensuite, il me retourne et me soulève.

J’ai l’impression d’être une plume dans ses bras.

Je me retrouve face à lui.

Hicham : Je t’aime Eva et mon cœur t’appartient depuis notre premier soir.

Je t’aime mon amour (Je le sens a bout, il grogne de plus en plus fort. Alors, je me serre plus à lui. Au bout de quelques minutes il se déverse en moi. Quand il reprend ses esprits, je descends de sa taille malgré la douleur dans mes jambes et nous terminons le bain ensemble).

 

Cet homme fait l’amour comme un cheval, il est super endurant et en a dans le pantalon.

Quand je pense que nous sommes qu’au début de notre séjour, mon palais tremble déjà.

Avant de quitter la chambre pour la visite du parc, je n’oublie pas de prendre mon cachet.

Je ne suis pas encore sa femme pour tomber une seconde fois enceinte.

 

La journée était époustouflante, voir les animaux sauvages d’aussi près c’est simplement magnifique.

Éléphants, antilopes et j’en passe.

Le guide qui très professionnel ne nous a pas ennuyé une seule seconde.

Le soir après le dîner et le feu de camp, mon lion à moi ne pouvais pas s’endormir sans prendre sa ration.

Le lendemain nous sommes allés visiter une autre zone du parc, « les cascades de kota ».

Franchement, c’est un endroit merveilleux.

Je ne pouvais pas penser qu’il avait un endroit pareil si près de mon pays.

Le lever comme le coucher du soleil, sont époustouflants.

 

Hicham : Demain nous partons pour les maladives (pendant le dîner), puis au cap.

Moi : Tu as préparé un vrai trip.

Hicham : il y a des années que je n’ai pas pris de vacances, et je voulais le faire avec toi mon cœur.

Moi : je suis ravie.

Hicham : Mon cœur tu permet que je prenne quelques minutes après le dîner pour consulter mes mails ?

Je ne voulais pas travailler mais c’est plus fort que moi (dit-il gêner)

Moi : (Rire) Je comprends et c’est normal.

Tu as plusieurs personnes sous ta responsabilité et il faut que tu sois rassuré.

Hicham : Merci de me comprendre trésor.

Aussi, (Dit il fermement) j’ai mis tes cachets à la poubelle. Comme les autres fois d’ailleurs.

(Je reste sans voix. Il parle de mes pilules. Il se lève, me fait un bisou et part regarder ses mails. Je suis énervé mais je ne dis rien.)

 

Franchement, je ne sais comment vous expliquer le reste de notre séjour.

Tout était incroyable, j’ai même oublié l’histoire de mes cachets.

 

Nous sommes dans le vol retour sur Abidjan, les mains dans les mains à lover dans l’avion comme un jeune couple de retour de leur lune de miel.

Nous avons séjourné dans des hôtels étoiles cinq étoiles.

C’était juste magnifiques.

Les maladives et le cap en Afrique du Sud sont des endroits à visiter, je vous les recommande.

J’ai découvert ces endroits avec lui et j’avoue que j’ai adoré chaque instant.

Je me suis senti unique et vraiment aimé.

Hicham a veillé à ce que chaque instant soit inoubliable.

Je ne le savais pas autant romantique.

Il m’a fait sentir unique.

J’avoue que mon cœur a craqué et c’est juste laisser emporter par cet homme amoureux et attentionné (je pense).

Mais j’ai peur de me tromper une seconde fois, comme avec Patrick.

Je n’ai même pas envie qu’on rentre sur Abidjan, Mais mon petit roi me manque tout aussi fort.

Lors de notre dernier appel vidéo, il a reproché à son papa de m’avoir envoyé loin de lui, dans un français à se plier de rire.

C’est sûr que tout le monde sait chez les Loba que j’étais avec Hicham Diallo et non pour le travail.

 

Hicham : J’aimerais que tu me laisse participer à tous les besoins du petit. Je sais que ce n’est pas un problème pour toi bébé mais c’est mon rôle de père.

Et si je dis aussi que je prends tout en charge, tu ne le voudras jamais, n’est pas ?

Tu sais dans ma culture et mon éducation, il est tout à fait normal que je le fasse surtout avec le moyen que j’ai.

C’est mon rôle de père et mari si tu veux bien de moi après ton divorce.

Mais juste pour dire que sa ne fait pas de moi un dictateur ou quelqu’un qui cherche à te contrôler ou te rendre dépendante.

Ma mère n’a jamais travaillé, mais mon père ne lui jamais manquer de respect pour de l’argent.

Mieux, il trouvait le fait qu’elle prenne soins de nous et lui était trop comme charges.

Et j’aime cette conception de la vie.

Mais je sais aussi qu’aujourd’hui pour bon nombre de la femme, il est important d’avoir une vie professionnelle.

C’est aussi l’évolution de notre société et j’admire toutes ses femmes qui arrivent à fusionner les deux.

Moi : (Rire) Qui te dit que moi, je n’aimerais pas qu’on me prenne en charge malgré le fait que je travaille ?

C’est cool tu sais (rires) de ne rien dépenser et en plus tu as beaucoup d’argent Hicham Diallo.

Hicham : Tu es sérieuse ?? Je le ferais volontiers tu sais ?

Moi : (j’éclate de rire) Je tiens à mon indépendance pour l’instant.

Le jour où je serais madame Diallo peut-être tu joueras ton rôle d’époux.

J’accepte que tu participe aux charges de ton fils.

Hicham : Merci. Mais alors on est ensemble princesse ?

Moi : Après cette torride semaine et bien avant, je crois que je vais prendre le risque d’essayer.

Je ne vais pas laisser un homme abuser ainsi de moi sans engagement (Rire).

Hicham : (La joie sur son visage est indescriptible, il m’embrasse) Merci trésor, je ne te décevrais pas. Je t’aime.

Moi : Je t’aime aussi.

 

NB : la suite ce soir.

L' épouse d'un Autre