<< Jeu d’infidèles >> 3ième partie 

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Pendant qu’ils marchaient, Paul animait la conversation. Ce n'était pas vraiment quelqu’un de bavard, mais plutôt quelqu’un qu’on aimait entendre parler. Il savait tenir une conversation, mais il savait aussi écouter. On ne voyait jamais le temps passer en discutant avec lui. À force de marcher, leurs pas les conduisirent à un lac. Efia se doutait que Paul l’avait très certainement fait sciemment parce que dans leurs adolescences, ils venaient beaucoup tous les deux à ce lac. C’est d’ailleurs là, qu’elle fut surprise alors qu’elle se lavait toute nue dans le lac par ce dernier

Paul : << Tu te souviens de la première fois qu’on s’est vus ? >>

Efia : << Hum … j’en ai encore honte aujourd'hui >>

Paul : << mais non, tu n’as pas à avoir honte. Avec du recul c’était très certainement l’un de mes plus beaux souvenirs >>

Efia : << Vraiment ? >>

Paul : << Hum la vie nous réserve des surprises et tu sais … s’il n’y avait pas eu Tahina, tu es très certainement celle que j’aurais épousée >>

Le cœur d’Efia commença à s’emballer en entendant ses mots. Elle savait qu’il la baratinait, elle en était consciente, mais elle ne pouvait s’empêcher d’être bêtement souriante 

Efia : << Tu me blagues j’en suis sur >>

Paul : << hum … je me demande comment est l’eau ce soir >>

Efia : << Hein ? >> 

Paul commença a ôté un à un ses vêtements. Efia était un tout petit peu gênée mais elle ne détachait pas son regard de son corps. Son corps d’adolescent avait tellement changé. C’était maintenant le corps d’un homme. Il était plus musclé, mieux bâti. Un beau mâle alpha d’un mètre 90. Et son sexe était toujours aussi impressionnant alors qu’il était encore au repos. Paul s’avance dans l’eau et marcha jusqu’à ce que l’eau lui arrive au genou 

Paul : << allez viens, l’eau est bonne >>

Efia : << Euh non ... il fait froid, je vais attraper un rhume >>

Paul : << bien sûr que non, allez s’il te plaît viens. Rien que toi et moi comme au bon vieux temps >>

Efia n’arrivait plus à réfléchir correctement. La situation commençait à devenir dangereuse. Elle ne devait pas se permettre ça, elle était mariée et il l’était aussi … mais qu’est-ce qu'elle le trouvait beau. Tellement attirant. Elle commençait déjà à se sentir chaude. Elle ferma les yeux un instant pour essayer de reprendre ses esprits quand tout à coup elle se sent comme soulever 

Efia : << EHIII ? QU-Qu’est ce que tu fais ? >>

Paul : << Tout va bien Efia, il n’y a que toi et moi. Tout va bien >>

Paul la conduisit dans l’eau ou il la reposa à terre. Ensuite il l’enlaça et resta collé à elle un très long moment. L’eau était vraiment agréable ce soir. Paul restait là sans rien dire, et Efia ne cessait d’être de plus en plus excitée simplement en restant collé à lui. Il la tenait dans ses bras et elle pouvait entendre son cœur battre dans le silence de la nuit. 

Efia : << est-ce que tu m’aurais vraiment épousé s’il n’y avait pas eu ta femme ? >>

Paul marqua un silence avant de répondre, il saisit le menton d’Efia pour diriger son regard vers le sien. Il la regarda intensément, avec passion avant de délicatement poser ses lèvres sur les siennes. 

Efia : < <Mmmh ?!!! >>

Efia se devait de le repousser, elle savait qu’elle devait le repousser mais cet baiser aspirait toutes ses forces. Elle était comme impuissante face à lui. Elle se laissa emporter par la tendresse de ce baiser. Les lèvres de Paul étaient tellement délicieuses qu’Efia ne remarqua que trop tard qu’il avait déboutonné sa culotte et était en train de la baisser 

Efia : << Mmmh on ne devrait pas >> 

Paul : << Oui … tu as raison mais tu es tellement belle … je ne peux te résister ! Rien que toi et moi juste le temps d’un instant comme à l’époque >> 

Efia : << Hum … >>

Paul avait déboutonné la culotte d’Efia afin de facilement fait passer ses mains à l’intérieur. Il s’attendait à croiser un dessous mais elle ne portait strictement aucun dessous. Elle saisit fermement ses fesses tout en continuant de l’embrasser. Ses fesses étaient tellement molles que son sexe commença à entrer en érection. Efia le sentait devenir de plus en plus dur et était partagé entre l’idée de tenir son sexe ou de ne rien faire. Elle mourrait d’envie de le saisir, mais quelque chose la retenait. Elle avait un certain remord, elle savait pertinemment que ce n’était pas bien. Paul sentit son hésitation, il lui fallait la faire oublier ses craintes, qu’elle ne pense plus à rien d’autre qu’a lui et seulement à lui. Tout en s’agenouillant, il baissa la culotte d’Efia jusqu’à ses orteils. Vu qu’il se trouvait dans le lac, la culotte fit complètement mouillé et il n’y avait pas qu’elle qui était mouillé car Paul aperçut la chatte d’Efia qui commençait à déjà bien être trempée. Efia restait là immobile à ne rien faire, elle se couvrait le visage avec les mains comme pour cacher sa timidité. Paul passa ses bras entre les jambes d’Efia et les remonta jusqu’au niveau de ses cuisses avant de la soulever subitement en écartant ses jambes qu’il posa sur ses épaules 

Efia : << EEHIIIYY >> 

Efia eut un sursaut de peur en voyant qu’elle se faisait à nouveau soulever. Paul avait son visage entre ses jambes et commençait à lui lécher la chatte. Il se trouvait là, arrêter majestueusement dans le lac avec Efia sur ses épaules et sa bouche dans la chatte de celle-ci 

Efia : << Mmmh >>

Paul ne faisait pas semblant de lécher. Sa langue farfouillait dans l’intimité d’Efia. Allant et revenant et se baladant dans tous les sens. Il buvait sa mouille comme s’il était assoiffé depuis des lustres. Léchait son clitoris qui se gorgeait de sang a force d’être excité. Efia avait les pieds qui tremblait et s’agrippait fermement à la tête de Paul 

Efia : << Aaanhh mmmmh OooOOHHHHhh AaaaHhHHHHhhh >>

Tout en léchant la chatte d’Efia, Paul malaxait ses fesses. Elle n’avait pas de si grosses fesses dans ses souvenirs. Le corps de la femme change de tellement de manière. Et la chatte d’Efia était délicieuse, il savourait avec tellement de plaisir de boire à sa source. Mais il avait maintenant envie de se sentir à l’intérieur d’elle.  Quand il arrêta subitement de la lécher, Efia crut qu’il allait la redéposer à terre jusqu’à ce que Paul s’arrête à mi-chemin et l’empala subitement sur sa bite qui se tenait déjà au garde à vous

Efia : << AaaawWWWnnHHHHH MmmMMMMmhhhhh >>

Elle était tellement chaude, Paul crut se retrouver dans un four. Peut-être était-ce la fraicheur de la nuit et de l’eau qui rendait leurs corps si chauds mais la chatte d’Efia était tellement agréable. Paul commença par de légers va et viens, histoire que sa bite ressente bien toutes les saveurs du vagin d’Efia. Celle-ci s’accrochait fermement à Paul et mouillait continuellement. Sa bite était encore plus grosse que dans ses souvenirs et la remplissait totalement. Elle avait l’impression de se faire empaler sur un bras d’homme. Chaque fois qu’il la remontait et la redescendait, c’était comme si sa chatte glissait le long d’un toboggan interminable et quand ça touchait le fond elle frissonnait de plaisir. Cet homme avait une si bonne bite. Bientôt Paul commença à accélérer le mouvement. Efia était comme un poids plume entre ses bras vus comment il la baisait avec fougue. L’aisance avec laquelle il bougeait le corps entier d’Efia sur sa bite c’était comme s’il n’utilisait que sa main. Comme si elle pesait autant qu’une plume entre ses mains. 

Efia : << Aaanw aooOOouiii MMmmhh Ouiiiii Encoooore cooOommme caa oOOoOOUIII >>

Paul : << Putain qu’est-ce que tu es bonne ! mmmMh ta chatte m’aspire tellement OoHH MMhmm Annhh >>

Leurs gémissements résonnaient dans les alentours mais ils s’en foutaient de se faire surprendre. Ce moment-là n’était rien qu’à eux et seulement à eux. Paul se déplaça vers le beau de la rivière où l’eau diminuait. Il palpa le sol avec la plante de ses pieds pour trouver un endroit confortable et s’y assit tout doucement en prenant garde que sa bite ne sorte pas de la chatte d’Efia. Une fois confortablement assis, il se mit à l’admirer. Efia ne savait pas trop ce qu’elle voyait dans son regard. Étaient-ce des sentiments refoulés ? ou alors le feu ardent du désir. Le fait est qu’elle était hypnotisée par la beauté de cet homme. Elle savait pertinemment que cette magie qui s’opérait là, en ce moment ne durerait que le temps d’un soir, mais elle voulait en profiter. Elle enlaça ses bras autour de Paul et l’embrassa tout en bougeant son cul sur sa bite. 

Paul : << Mmmmh >> 

Les grosses fesses d’Efia frappaient l’eau du lac en pompant la bite de Paul. Elle avait un excellent jeu de rein et cette sensation de froid et de chaud ne faisait qu’accentuer l’excitation de Paul. Efia avait l’impression que sa bite continuait de grossir en elle alors qu’elle avait déjà une taille bien imposante mais cela lui plaisait. Sa chatte mouillait encore et encore sur cette belle queue qui appartenait à l’homme qu’elle avait toujours aimé. Et cette excitation faisait que sa chatte se resserrait de plus en plus autour de la queue de Paul, il sentait qu’il ne tarderait pas à jouir mais il ne voulait pas jouir dans cette position. Il arrêta subitement Efia dans son élan et la fit sortir de l’eau. Ils marchèrent quelques pas sur la berge et il a collé à un arbre. Il voulait jouir en prenant son cul en levrette. Cela aurait été un péché de baiser un aussi gros cul et de ne pas la prendre en levrette. Efia se courba en prenant appui sur le tronc de l’arbre. Elle se cambra du mieux qu’elle pouvait afin de permettre à Paul de bien la prendre 

Paul : << Putain ton cul est devenu si beau, si gros >>

Efia : << prends-moi je veux sentir ta bite en moi >>

Mais plutôt que d’obéir à Efia, Paul s’agenouilla et plonger son visage entre les fesses d’Efia. Il voulait encore la lécher, il désirait s’étouffer entre ses magnifiques grosses fesses. Paul se mit à lécher tout son entrejambe. On dirait qu’il dégustait un plat de qualité. Il léchait sa fente et les lèvres de sa chatte et remontait jusqu’à son anus qu’il léchait également 

Efia : << MmmMMHH AAANHH OOoOOoohhhmmmmm IOiiHiiIIIiuuUuuMMM >> 

La langue de Paul était si adroite, Efia avait l’impression que sa chatte fondait à son contact. Il la léchait tellement bien et à tellement qu’elle se disait qu’il devait avoir plusieurs langues dans sa bouche. Elle passa ses mains sous son croc top et commença à se caresser les seins. Elle se mordillait les lèvres essayées d’atténuer ses gémissements mais c’est à ce moment que Paul se releva pour lui insérer de nouveau sa bite. Jusqu’à présent il ne lui avait pas encore montré toute la puissance qu’il avait dans les reins. Paul saisit ses hanches bien fermement et commença à la défoncer à une allure effrénée. Ses coups de reins se faisaient de plus en plus violents. On aurait dit qu’il cherchait à entièrement pénétrer dans la chatte d’Efia. Mais pourtant Efia ne ressentait que du plaisir, il la baisait avec violence mais pas avec brutalité mais elle ne pouvait s’empêcher de crier 

Efia : << Aaanhh AANHHWH OOOhH oUIIiiOOooo EeEEnncoooOoore OooHhH mmMhh >>

Paul : << PUTAIIIN MMMHHHH TA CHATTE EST BOONNNE ANNNH ANNHH ANNHH MMMMH >>

Les coups de reins de Paul étaient si profonds et si intensifs que les jambes d’Efia commençaient à trembler de nouveau. Elle se releva pour mieux se tenir à l’arbre, et Paul qui était sur le point de jouir la coinça totalement à l’arbre en enlaçant l’arbre. Sa queue montait tellement profondément dans la chatte d’Efia qu’on aurait dit que ça lui pénétrait l’utérus 

Paul : << MmMMH Je JoOoOOuuuUUIIISSSS >>

Efia : << OooOOOOHHHHHHH UuUHuuuuuGGHGHHHHMMmmm >>

Ils restèrent tous les deux, l’un dans l’autre coller à l’arbre durant un bon moment comme pour savourer les derniers instants de cette jouissance. Une certaine tristesse envahit Efia, elle se disait que la magie était finie et que cela ne se reproduirait sans doute plus jamais 

Paul : << Efia tu sais … je … >>

Efia : << Shut … ne dis plus rien s’il te plaît. Tu as été formidable ce soir et ça me suffit >> 

Paul : << Oui mais … >> 

Efia : << S’il te plait Paul … ne dis plus rien >> 

Ils allèrent prendre un bain ensemble dans le lac avant de se rhabiller et de se séparer là où ils s’étaient retrouvés. Chacun d’entre eux rentra se coucher auprès de son conjoint comme si de rien n’était, comme si rien ne s’était passé.  Paul tarda un peu à trouver le sommeil, il admirait la belle femme qu’il avait dans son lit, son regard était si insistant que cela finit par réveiller Tahina 

Tahina : << hmm chéri ? Tu es rentré il y a longtemps ? >>

Paul : << un tout petit peu >>

Tahina : << J’espère que ta soirée a été ?>>

Paul : << Magnifique, mais rendors-toi. Je te raconterais ça un de ces jours >>

Tahina : << D’accord bébé >> … À Suivre …