Josée Larissa , la nouvelle pépite gabonaise de muswada.

Ecrit par Muswada

Si le nom de cette étoile montante de la littérature gabonaise ne vous dit rien,  alors c’est que vous n’avez pas encore lu  << Mon mari cet inconnu >> , << Le mari de ma meilleure ami >> , << Les liens d’amour >>  ou encore sa dernière histoire publiée sur Muswada intitulée << la puissance de la parole >> .

Mais qui est donc Jola  ( comme l'appellent affectueusement  ses lectrices ) ?  Muswada vous dit tout  à travers cette  interview qu’elle a bien voulu nous accorder .

Team Muswada : comment vous allez Josée Larissa  ? Merci d’avoir accepté de nous accorder cette interview.

Josée Larissa : Bonjour à vous la Team, je me porte très bien par la grâce de Dieu. Et merci à vous pour cette invitation.

Team Muswada : Pourriez-vous vous présenter aux lecteurs en quelques phrases ?

Josée Larissa : Alors que puis-je dire sur moi? Josée Larissa sont bel et bien mes prénoms et je me fais appeler "JOLA" depuis déjà plusieurs années. Je suis M.B Josée Larissa. J'ai un certain nombre d'années (rires), je suis gabonaise à 100% et aussi un peu du monde dans mon cœur (sourire) . Pour ce qui est d'un homme dans ma vie , la réponse est oui et pour des enfants , oui et non. Oui parce que j'en élève depuis déjà plusieurs années et non parce qu'ils ne sont pas de moi. Je suis quelqu'un d'extraverti et d'introverti aux grés de mes humeurs. Mes amis disent que je suis timide jusqu'à ce que je prenne la parole et là on ne peut plus m'arrêter. (Rires) Je suis aussi une grande adepte du JE ME FICHE PAS MAL DE CE QUE TU PEUX PENSER DE MOI DU MOMENT OÙ CE QUE JE FAIS EST EN ACCORD AVEC MES PRINCIPES ET MES VALEURS. Du coup, il est très difficile de m'atteindre avec la négativité et je n'accorde pas grande importance à tout ce qui ne me permet pas de grandir positivement dans tous les aspects de ma vie.  (sourire) .

 

Team Muswada : Que faites-vous d’autres dans la vie à part l’écriture ?

Josée Larissa : Dans ma vie de tous les jours, je suis une étudiante en droit des affaires qui normalement aurait dû finir de soutenir son mémoire de fin d'études depuis longtemps mais qui ne le fait pas parce qu'il paraît que je suis trop occupée à chercher l'argent. (Rires) Ce n'est pas moi qui le dit hein, ce sont mes proches. En parallèle je suis dans le monde de l'entrepreneuriat pour me faire de l'argent et une grande partie dans mon service à l'église.

 

Team Muswada : Parlez-nous un peu de votre passion pour l’écriture. Quand et comment avez-vous décidé de vous mettre à écrire ?

Josée Larissa : J'ai toujours eu une imagination très débordante et une réelle passion pour les mots. Aussi bien que je me suis lancée dans l'écriture des poèmes quand j'étais encore en cours élémentaire. Je me souviens même que des amies à moi et mes grandes sœurs venaient souvent me voir pour me dire de leur écrire quelque chose qu'elles devaient envoyer à leurs copains ( Rires) J'ai même eu à écrire deux poèmes pour deux de mes amies qui s'adressaient au même garçon (Rires) C'était trop drôle. Des poèmes, j'ai écrit des petites pièces de théâtre que j'ai gardé dans mon journal intime qui malheureusement m'avait été volé à l'école. (Collège) J'avais eu tellement mal que j'avais décidé d'arrêter d'écrire jusqu'à ce que je tombe sur mes premiers "Harlequins" à 14 ans. Je découvre un nouveau monde de l'écriture et je ne m'en passe plus jusqu'à ce que j'atterisse par hasard sur une page Facebook d'une chroniqueuse. C'est alors que le déclic se fait et je décide de coucher sur un papier ma toute première histoire (La puissance de la parole) écrite de bout en bout. Il est important de signaler que j'ai toujours été, et cela dès ma plus tendre enfance, quelqu'un qui aimait raconter des histoires d'abord à moi-même et après aux autres. Chaque soir avant de m'endormir, j'inventais une histoire complète et c'était pareil à mon réveil.


Josée  larissa


Team Muswada : Comment vous vient votre inspiration ?

Josée Larissa : Je ne saurais véritablement le dire. De tout et de n'importe quoi. J'entends un mot, je vois une image, un bruit, même le silence et automatiquement mon cerveau démarre au quart de tour. Vous savez, je suis quelqu'un qui parle beaucoup, aussi bien de vive voix que par des écrits, je suis très bavarde. Du coup, là où quelqu'un d'ordinaire utilise deux ou trois mots pour qualifier une situation ; mon cerveau, lui, invente toute une histoire (rires) . Il suffit que ce soit un sujet sur lequel je peux faire passer un message et c'est bon.

 

Team Muswada : Quels outils utilisez-vous au quotidien pour écrire ?

Josée Larissa : Pour écrire au quotidien, j'utilise plus mon téléphone portable qui est littéralement une extension de ma personne et que je peux utiliser partout où je vais. Rarement un ordinateur sauf en cas d'urgence.

 

Team Muswada : Comment faites-vous pour garder un bon rythme d’écriture ?

Josée Larissa : La vérité est que j'aime tellement ça qu'à la moindre occasion, je saute dessus. C'est souvent chaud avec mes activités mais j'essaie autant que faire se peut, et ce peu importe les occupations, d'écrire un chapitre par jour sauf dans les cas extrêmes où ma journée de 24 heures me paraît être une de 2 heures de temps.

Team Muswada : Comment avez-vous connu Muswada ? Et que pensez-vous de cette plateforme ?

Josée Larissa : J'ai connu Muswada par l'intermédiaire d'une chroniqueuse Kaynaliah que je suivais à l'époque sur Facebook. Elle avait fait un post où elle indiquait le lien d'une de ses histoires qu'elle avait publié sur la plateforme et en cliquant dessus, j'étais arrivée sur Muswada. Même si j'avoue que mes débuts avec le site étaient assez compliqués mais bon aujourd'hui, c'est tranquille. (Sourire) Je n'ai pas de soucis majeur avec cette plateforme et j'y passe des moments de fous rires avec des abonnés aussi fous que les chroniqueurs (ses) qu'ils suivent.

 

Team Muswada : Que pensez-vous de la littérature Africaine aujourd’hui ? Et surtout comment vous la voyez évoluer d’ici 10 ans.

Josée Larissa : La littérature Africaine est comme tous les autres arts, c'est-à-dire méconnue et très peu connue, non seulement du public Africain, mais aussi d'ailleurs.

Pourtant il y a énormément de talents cachés ici. Il suffit de jeter un coup d'œil et le bon, pour s'en rendre compte.

J'espère que d'ici à dans 10 ans , elle aura la place qu'elle mérite et qu'elle pourra être citée comme littérature de référence dans les quatre coins du monde.

 

Team Muswada : Avez-vous des livres publiés ou des histoires en vente sur Amazon ? ( Si oui , vous pouvez les citer avec les liens pour l’achat )

Josée Larissa : Non, je n'en ai pas. Pour l'instant , je publie uniquement sur Muswada.  Mais j'y pense, c'est en projet (clin d'œil)

Team Muswada : Avez-vous déjà soumis certains de vos manuscrits à des maisons d’édition ?

Josée Larissa : Non, pas encore.

Team Muswada : Avez-vous songé à une adaptation cinématographique de vos histoires ?

Josée Larissa : Oui, j'y ai songé. Comme je disais plus haut, petite déjà, je m'inventais des histoires , j'étais à la fois, scénariste, réalisatrice, productrice et actrice dans mes histoires (Rires) Donc oui.

Team Muswada : A quel personnage de vos histoires vous vous identifiez le plus ?

Josée Larissa : (sourire) Pour dire vrai, tous mes personnages, protagonistes ou secondaires, sont en quelque sorte une partie de moi, même les méchants (rires) . Mais à choisir, je dirai que le personnage de Rayonne dans l'histoire LES LIENS DE L'AMOUR est celui dans lequel j'ai mis beaucoup de ma personnalité, donc c'est celui à qui je m'identifie le plus à bien des égards.

 

Team Muswada : Quelle est la fonctionnalité qui n’existe pas encore su muswada et que vous pensez qu’il faut absolument ajouter à la plateforme ?

Josée Larissa : Pour ce qui est de la fonctionnalité, les émojis autres que les cœurs, seraient les bienvenues et permettraient aux gens de mieux exprimer certaines émotions. Aussi, la possibilité d'insérer une image lorsque nous partageons un sujet de conversation avec nos abonnés.

 

Team Muswada : Merci pour cette belle interview qui tend vers sa fin, un dernier mot à vos lecteurs ?

Josée Larissa : Que pourrais-je dire encore ? Si ce n'est de garder le sourire et ce quelque soit la situation que nous traversons. Dieu est présent et Il n'oublie personne. Tant que vous avez la vie, alors l'avenir ne peut être que meilleur.

Mes abonnés, LES PRÉCIEUX (SES) comme je les appelle affectueusement savent que je les aime gros comme ça. Surtout qu'ils n'oublient pas de prendre soin d'eux et de leurs proches.

 

Leur Chroniqueuse Jola est toujours là pour les servir. La bise !

 

Merci encore à vous la Team Muswada, de m'avoir proposée cette interview et portez vous bien.

Josée Larissa , la n...