La bagarre
Ecrit par Yayira Bénédicte
Ella
Ifunanya Adéléké
-
Oh… hummm… oh je viens. Criais-je en tirant
sur les draps
-
Jouis, jouis sur ma bite Anya. Dit-il en me
donnant des coups butoir
Je ne tardais pas à rejoindre le septième ciel en criant de
plaisir. Cet homme c’est comment me prendre, chaque fois je prends mon pied
comme si c’était la première foi. Bien sûre c’est Fred, mais ne vous y méprenez
pas c’est que sexuel, on se fait un coup rapide certains soir quand il me
dépose à mon appart. On entre on se met bien comme deux affamé, on dine et il
rentre chez lui, au boulot on est complètement professionnel et aucun de nous
n’a parler de ce qu’on fait depuis notre
retour de Kigali, moi ça me convient comme ça, pas d’engagement pas de promesse
rien, ce n’est pas mon genre de toute façon, juste un bouche trou. On ne se
prend pas non plus la tête, je ne sais pas s’il voit quelqu’un, j’en doute de
toute façon, et puisque moi non plus je n’ai personne ça roule le temps que ça
roule.
-
Tu es sérieuse que tu ne sais pas cuisiner
Ella ? demande-t-il alors que je suis entrain de renverser l’emporter
qu’on avait fais, c’était de la viande de mouton braisé et coupé en petit
morceaux avec du piment et des oignons, on a rajouté de la mayonnaise sur le
tout. je bavais déjà
-
C’est forcé de savoir cuisiner ?
demandais-je en posant le plat sur la table
-
Tu ne compte pas te marier ? dit-il en
commençant à manger
-
Si, est-ce que savoir cuisiner est une
condition si ne quoi none pour se marier ? demandais-je en m’asseyant à
mon tour pour manger
-
Tu comptes nourrir ton mari comment ?
-
Bah les chefs et les bonnes sont là pour ça
non ? en plus y’a des restaurants partout
-
Et si vous n’avez pas les moyens pour prendre
un chef ou diner dans un resto chaque soir ?
-
Que je vais faire quoi avec un fauché ?
s’il ne peut pas prendre un simple chef c’est que ce n’est pas la peine, je
n’ai rien à faire avec un type qui ne peut pas m’offrir ce que je veux
-
Et qu’est-ce que tu veux ? des employés
en pagaille pour que tu te tourne les pousse à ne rien faire
-
Pas que des employés en pagaille, des voyages,
des vêtements de marques, des sacs de designers , vivre la belle vie, c’est
pour ça que je suis née
-
Et toi tu ne comptes pas travailler ?
-
Pourquoi travailler si mon mari est plein aux
as ?
-
Ah ok, je vois. Dit-il simplement
Il ne dit plus rien jusqu’à ce qu’il s’en aille. J’ai dis quelque
chose de mal ? Non je ne crois pas j’ai juste dis ce que je pense, je suis
une princesse et je ne mérite pas moins qu’un prince. Je vais prendre ma douche
et je viens me mettre devant la télé tout en travaillant sur mon intervention
de demain, lorsqu’on sonne à ma porte. Je me lève paresseusement pour allé
ouvrir. Je suis surprise de voir Mayira et mon frère, elle a deux valises et
son visage baigné de larme et mon frère à une mine grave
-
Qu’est-ce qui se passe ? pourquoi vous
faites cette tête vous deux ?
-
Bonsoir Ella, je vous laisse. Dit mon frère en
s’en allant
J’aidais Mayira à faire entrer ses valises, elle prit place sur le
fauteuil alors que j’allais à la cuisine lui apporter à boire.
-
C’est quoi cette tête que tu fais ? lui
demandais-je après avoir pris place près d’elle
-
C’est ton frère Ella, ton frère ne veut plus
de moi. dit-elle en se mouchant
-
Ahiii commença ? tu m’avais dis que
c’était un petit problème et que tu
étais là pour tout réglé alors qu’est-ce qui n’a pas marché ? demandais-je
-
Ton frère me trompe avec l’une de ses employés
et il me quitte pour elle
-
Une de ses employés ? Femi sortir avec
une de ses employé ? ce n’est pas possible, tu dois te tromper, il ne ferait
jamais une chose pareil ! dis-je avec conviction
-
Je t’assure que c’est vrai, elle a même passé
la nuit chez lui alors que j’étais là, elle à même osée me gifler
-
Nooon ! tu blagues, tu blagues Mayira,
elle t’a giflé et mon frère n’a rien dit ?
-
Il n’a pas levé le petit doigt pour me
défendre bien au contraire
-
Ça ne ressemble pas du tout à Alex ce que tu
dis là, et c’est qui cette fille, je vais lui faire sa sauce demain
-
Je ne connais pas son nom, elle est noir avec
des formes vulgaire, elle ressemble à la chanteuse gabonaise là
-
Ne me dis pas que c’est la fille impolie là
pardon, Natasha ou je ne sais quoi là, si c’est elle je vais mal la taper
demain, je ne vais même pas la louper
-
Je ne connais pas son nom, mais je crois que
c’est elle !
-
Laisse j’en fais mon affaire. Dis-je en
tournant en rond dans le salon, demain dès que j’arrive au boulot je vais lui
régler son compte ! lui promis-je
J’essayais de la consoler comme je pouvais, mon frère ne peut pas
laisser une femme aussi belle que Mayira pour se mettre avec une souillon
pareil ! En plus elle est impolie comme pas possible, demain je vais bien
lui régler son compte ! J’irai au boulot à 5h s’il le faut rien que pour
ça ! Mayira fini par s’en dormir, moi je mis plus de temps à dormir parce
que je devais finir mon boulot et mon cœur était trop gros pour que j’arrive à
dormir même.
Le matin, je m’apprêtais pour le boulot alors que Mayira dormais
encore, elle en a besoin. J’imagine comment elle doit se sentir après la
trahison de mon frère, mais lui il ne perd rien pour attendre. Quand j’arrive
au boulot, j’arrive au boulot à 9h moins 20 minutes, mon émission est à 12h
donc j’attends qu’elle finisse son 6/9 à la radio pour la confronté. Je ne
porte pas d’escarpin aujourd’hui, un jean, des basquets et un haut simple. Je
suis assise dans le couloir à l’attendre en trépignant d’impatience !
Je la gifle dès qu’elle sort du studio
-
Non mais t’es malade ? dit-elle en me
rendant la gifle
-
La malade ici c’est toi, sorcière !
dis-je en lui attrapant les cheveux.
On commença à se battre comme des chiffonnières, elle prit très
vite le dessus sur moi alors que j’essayais tant bien que mal de me défendre en
la traitant de tout les noms de putes, certains filmaient, certains riaient
alors que d’autre essayais de nous séparer
-
C’est quoi se bordel ! la voix de me
frère claqua
Tout le monde se dispersait alors qu’elle me lâchait, nous étions
toute deux dans un sale état, moi ma perruque au sol, mon haut déchiré et le
visage en feu, elle sa robe déchiré au point que sa poitrine soit exposée et sa
lèvre inférieur enflée et blessé.
-
Dans mon bureau tout de suite toute les deux.
Et vous gare à la personne qui osera publier quelque chose sur les réseaux
sociaux. Si l’info fuite je mènerai une enquête et la personne sera virée sans
préavis. Dit-il en s’adressant à ceux qui filmaient
On le suivie dans son bureau, de par sa démarche simplement
montrait le degré de sa colère.
-
Je peux savoir ce qui vous prend de vous
donner en spectacle de la sorte de si bon matin ? ça ne va pas !
attaqua- t-il lorsque que nous fûmes tout les trois ans le bureau
-
Ça va parfaitement, il fallait bien quelqu’un
pour réglé le compte de ta pute ! dis-je avec véhémence
-
Quoi ? firent-ils tout les deux
-
Oui, comme tu es tombé si bas pour coucher
avec un truc pareil au point de la laisser porter main à Mayira, j’ai décidé de
lui réglé son compte !
-
Tu es bien malade ma chère, tu m’attaques pour
ça ? ta copine là elle n’a pas de mains pour se défendre ?
demanda-t-elle scandalisé
-
C’est baiser avec mon frère qui te donne les
ailes n’est-ce pas ? tu penses qu’il va faire quelque chose de sérieux
avec toi ? il te lâchera dès qu’il aura fini avec ton sale con
-
Mon sale t’emmerde idiote, tu te prends pour
qui en fait ? u….
-
Vous allez la fermer ? fermer la tout de
suite. Dit-il en tapant les mains sur la table.
Il eu un silence immédiat, il nous regarda un moment avant de
prendre la parole
-
Mademoiselle Assandy rentrez chez vous, vous
avez une mise à pieds de 10 jours avec effet immédiat
-
C’est moi qu’on attaque et c’est moi qui écope
d’une mise à pied ? ça c’est la meilleure ! dit-elle en le regardant
-
Veuillez nous laissez seul. Dit-il à son
endroit, sur un ton qui n’admet aucune réplique
Elle sortir en claquant la porte, il me regarda un long moment
avant de me demander de m’asseoir. Je
voulais faire genre je suis trop énervé mais la façon il m’a regardé là je me
suis assise en même temps
-
Tu es normal Ella ? tu vas bien ?
commença-t-il
-
Je vais très bien même. Dis-je en croisant les
bras sur ma poitrine
-
Tu viens au boulot attaqué Natasha de quel
droit ? de quel droit tu oses ?
-
De quel droit je n’ose pas ? parce que tu
la baise n’est-ce pas ?
-
Si tu ne mesure pas ton langage pour me parler
jeune fille tu ne tarderas pas à sentir le poids de ma main sur ta joue. Tu as
fumée la wi ?
-
…….
-
Tu te prends pour qui pour te permettre de
décider avec qui je couche ou pas ?
-
Donc tu laisse ta copine de longue date pour
cette…cette chose et tu penses que je vais rester là les bras croisés ?
-
Ta copine que tu viens défendre là elle t’a
dit pourquoi on a rompu ? elle t’a dit ce qu’elle a fait ? vas
demander et pose lui bien la question. Ne te permets plus, jamais et je dis
bien jamais de te mêler de ma vie sentimental ou sexuel. Et tu es virée !
-
Pardon ? dis-je choqué
-
J’ai dis tu es virée maintenant sors de mon
bureau j’ai du bureau, et n’oublie pas d’aller demander à ta copine pourquoi on
a rompu et pourquoi elle est rentré
-
Tu me renvois moi ta sœur ! moi ton sang
à cause de cette pute ?
-
Je te renvois à cause de ton comportement très
peu professionnel, ça aurait été n’importe qu’elle employé je l’aurais virée et
toi tu ne fais pas exception, dehors !
J’étais choquée, attends, il me vire pour de vrai ? Moi sa
propre sœur il me vire alors qu’il donne juste une mise à pied à l’autre ?
Waouh ! Si je ne connaissais pas ma famille j’aurais dit qu’elle là
envouté mis aucun de nous ne peut être envouté. Je sors de son bureau encore
plus énervé, je vais appeler mon père !
Assandy Eloïse
Natasha
-
Donc tu dis qu’elle c’est battu avec toi à
cause de ça ? demanda Anastasie en nettoyant mes lèvres et mon visage avec
de l’alcool
-
Oui, ash doucement !
-
Pardon mama, mais elle est folle hein ta belle
là ; j’espère que tu ne l’as pas loupé c’est quel sauvagerie ça ?
s’indigna-t-elle
Dès que je suis sortir du domaine, j’ai pris la direction de chez
elle, j’étais dans un sale état et je ne me voyais pas rentrer chez moi comme
ça ma mère allais m poser trop de questions, je l’ai donc appelé pour lui dire
que j’allais chez elle puisque j’avais le double de ses clés. Elle arriva chez
elle quelque minute après moi, laissant ce qu’elle avait à faire à l’institut.
Je n’arrive toujours pas à comprendre ce qui c’est passé ce matin et s’est à
moi qu’il donne une mise à pied ?
-
Je crois
que Alexandre à réagis en tant que patron, ça ne se fait pas de se
battre à son lieu de travail. Dit Ana après que je lui ai expliqué la réaction
d’Alex
-
Moi j’ai fais quoi ? elle m’a attaqué et
je me suis défendu, je devais donc ne rien faire parce que c’est sa sœur ?
-
Je n’ai pas dis ça, mais essaye de te mettre à
sa place aussi
-
C’est bon laisse tombé. Dis-je alors que mon
portable sonnait pour la énième fois.
C’est Alexandre et je ne compte même pas décrocher, il m’appel même
pour quoi ? je passais le reste de la journée avec Ana, j’appelais mes
enfants vers 19h30 pour parler avec eux et leur expliqué que je n’allais pas
rentrer ce soir mais qu’ils devaient faire le devoir. Auré m’informa que leur
répétiteur était là, et que tonton Alex aussi était passé, j’écoutais les
babillages de Mila avant de raccrocher,
pendant que Ana allait ouvrir la porte parce qu’on avait sonné
-
Bonsoir Anastasie, puis-je voir Natasha
stp ? entendis-je Alexandre demander. Mon cœur commença à battre comme si
on avait appuyé sur le bouton accéléré
-
Bonsoir Alexandre, Natasha n’est pas ici.
Répondit Ana
-
Sauf ton respect Ana, je sais qu’elle est ici,
je suis passé chez elle, elle n’y était pas et je sens son parfum d’ici !
-
Hummm. Fit Ana en se poussant pour le laisser
passé
Il entra, me salua, salutation à laquelle je répondis à peine. Ana
lui à boire mais il refusa poliment
-
On peut parler Éloïse ? me demanda-t-il
-
Je t’écoute. Dis-je simplement
-
On peut aller autre pars stp ?
Je voulais dire non, mais Ana me faisais déjà les grands signe, je
pris mon portable et mon portemonnaie avant que nous ne sortions de chez Ana
-
Réconciliez vous bien là-bas hein. Me chuchota-t-elle
-
Tchhhrrrr tu es folle. Lui dis-je
Alexandre lui souhaita une bonne soirée avant de s’en aller. Le
trajet se fit en silence jusqu’à chez lui. Il alla dans la cuisine alors que
moi j’étais assise au salon. Je pensais qu’il allait boire ou un truc du genre
mais au bout de 30 minutes il était toujours en cuisine. Je me levais pour
aller voir, je trouvais monsieur torse nue entrain de cuisiner, sa chemise et
sa veste poser dans un coin de la cuisine. J’allais prendre ses vêtements sans
rien dire et j’allais les mettre dans le paner à linge dans la salle de bain.
Je retournais m’asseoir devant la télé en attendant qu’il finisse sa cuisine.
Environ une heure plus tard il me demanda de le rejoindre dans la
cuisine, la table était faite. Il avait cuisiné des spaghettis avec une sauce
bolonaise, ça avait l’air appétissant. On mangeant en silence et c’était
vraiment bon j’avoue, je ne savais pas qu’il cuisinait si bien
-
Ça
va ? demanda-t-il en faisant
allusion à ma lèvre
-
Ça va. Dis-je en continuant à manger.
On débarrassa ensuite ensemble et je fis la vaisselle. Il n’était
pas dans le salon quand je suis sorti de la cuisine, je m’assis donc devant la
télé
-
Tu
viens ? me demanda-t-il en réapparaissant avec une serviette noué à
sa hanche
Je le suivie dans la chambre puis dans la salle de bain, ou il
avait coulé un bain avec des pétales de rose et des bougies. Il joue à quoi en
fait ? Il entreprit de me déshabiller et je me laissais faire, jusqu’à ce
que je me retrouve toute nue et lui aussi. Il me fit entrain dans le bain et
prit place derrière moi, et commença à me laver doucement
-
Je suis désolé pour cette journée babe. Dit-il
doucement à me caressant avec l’éponge.
-
Tu n’as pas été juste avec moi Alexandre, pas
du tout, je n’ai rien fais si ce n’est me défendre ! en retenant mes
larmes
-
Je sais, il fallait que je donne l’exemple,
que tu l’as cherché ou pas vous vous êtes battu et c’est intolérable
-
Elle m’a attaqué dès que je fus dans son champ
de vision, je devais croiser les bras et la regarder ? tu as vu comment je
suis sortie du domaine ? presque nue, ma poitrine était dehors, ma robe en
lambeaux, ma bouche en sang
-
Elle était dans un sale état aussi Elo, mais
ce n’est pas une raison je sais. Je m’excuse en son nom et je m’excuse aussi
pour ce qui c’est passé avec Mayira. Ella n’aurait pas du réagis comme ça et je
ne l’excuse en rien. Je t’ai donné une mise à pied premièrement pour que tu
puisses souffler, tu as l’air à bout ses derniers temps, et vu l’état dans
lequel tu étais ce matin je me suis dis que quelques jours de congés te ferais
du bien alors voir ça comme un congé
-
Et mon émission ? mes auditeurs ?
j’aime ce que je fais, je ne vois pas mon travail à la radio comme une corvée,
bien au contraire cela m’aide à m’épanouir alors m’en priver d’un coup comme ça
ce n’était pas juste. Dis-je en me laissant aller contre lui alors qu’il me
tirait dans ses bras
-
Je suis désolé babe. Dit-il en m’embrassant la
tempe. Pourquoi tu n’es pas venu ici en quittant le domaine ? tu as le
double des clés
-
Je ne voulais pas croisé la mère de ton
enfant. Dis-je sur un ton de jalousie
-
Elle n’est pas enceinte. Dit-il comme s de
rien était
-
Comment ça elle n’est pas enceinte ?
-
Elle a mentis, hier matin je suis allé avec
elle à l’hôpital et il s’avère que c’est un mensonge, je n’ai pas pu t’en
parler parce qu’on ne sait pas vu hier, et je ne voulais pas qu’on en pale au
téléphone
-
Ok, je vois. Dis-je songeuse, donc elle ment
qu’elle est enceinte pour garder un homme ? eish y’a des personnes qui
sont nées avant la honte
-
Je veux déménager. Me dit-il
-
Déménager ? pour quoi ? tu n’aime
pas l’appart ?
-
Si, mais je veux quelque chose de plus grand
pour que les enfants puisse venir passer les week-ends avec nous les fois ou tu
passe le week-end avec moi, parce que je sais que tu es là mais ton esprit est
très souvent là-bas et tu penses être une mère irresponsable parce que tu n’es
pas trop là en semaine et que le week-end tu dois te partager entre eux et moi
-
Comment tu sais tout ça ? je n’ai jamais
rien dis. Dis-je étonné
-
Je t’observe, et j’apprends à te connaitre.
Dit-il en me pinçant le téton droit. Je veux une maison basse avec jardin et
piscine comme ça ils pourront jouer plus aisément
-
Maison avec piscine ?ils ne voudront plus
rentrer chez nous dis-je en riant
-
C’est le but. Dit-il en riant aussi
-
Tu veux me voler mes enfants !
-
Pas que les enfants je vous veux tous. Dit-il
en descendant ses mains plus bas.
-
Tu es punis aussi, dis-je en tapant ses mains,
puisse que moi j’écope d’une mise à pied a boulot toi aussi tu es mis à pied
-
Faut savoir dissocier ton boss de ton homme,
ce n’est pas pareil
-
C’est pareil Alexandre. Dis-je en essayant de me
détacher de lui
-
C’est Femi par Alexandre, Alexandre est resté
au boulot. Dit-il en me serrant contre lui
On resta un moment dans le bain à discuter de tout et de rien,
avant de sortir de là. On alla se coucher l’un dans les bras de l’autre, moi je
continuais mon bavardage alors que lui somnolait déjà. Cet homme me rends
vraiment mou, j’avais prévu ne pas lui parler pendant des jours, ne pas mettre
pieds chez lui, ne pas décrocher ses appels pour lui montrer mon mécontentement
mais me voilà entrain de caresser sa barbe alors qu’il dort, et mon cœur se
sent apaisé.