À 24h, je reçois un message. C'est pas trop tôt.

Je vais la prendre. Quand elle entre dans la voiture,

Moi: Je n'ai pas droit à un petit bisou?

Magnim: Moi je n'ai pas droit à une voiture?

Sur le moment, je n'ai pas compris puis! J'ai coupé le moteur.

Moi: Tu parles de quoi?

Magnim: Tu m'avais dit qu'il n'y avait rien entre vous mais vous êtes toujours ensemble jusqu'à tu l'embrasses dans la rue? Alors que tu me dis être fatigué et étendu à la maison?

Moi: C'est pour ça que tu ne m'as pas appelé à midi?

Magnim: J'avais besoin de sérénité pour pouvoir mener à bien mon travail.

Moi: Descends!

Magnim: Pardon?

Moi: J'ai dit: descends. Ne m'oblige pas à te faire descendre de force.

Elle reste assise en regardant devant elle, donc elle n'a pas peur de moi?

Je descends et vais ouvrir sa portière à toute volée. J'essaie de la prendre dans mes bras pour la faire sortir, elle se débat.

Mais à quel moment, ça a dégénéré? Descends de ma voiture, c'est un problème?

J'ai peur de lui faire mal mais là elle me pousse à bout.

Moi: Magnim Tchaa, je ne vais pas me répéter. Descends immédiatement de la voiture et commence à marcher sinon tu vas le regretter.

Elle descend, je prends mon portefeuille. Elle se dirige vers les télé-taxi quand je l'attrape par le bras.

Moi: Pas si vite, suis moi tranquillement sinon je vais te donner la fessée que tu mérites devant tout le monde. Tu sais que personne ne va m'arrêter, c'est à la mode maintenant.

Je mets une main sur son dos pour la guider. Par chance, il y a le réceptionniste de la fois dernière, je lui glisse juste ma carte.

Le valet nous amène dans notre suite Idylle, elle est "notre" maintenant.
Krkrkr!

Nous entrons dans la chambre.

Magnim: Mattia, je suis fatiguée. Laisse moi rentrer chez moi.

Moi: Je sais que Abigaël est chez ta mère et ton fils?

Magnim: Il est sensé aller en boite puis il rentrera à la maison.

Moi: Tu as 5 minutes pour le prévenir que tu ne rentres pas.

Magnim: Tu penses vraiment que je vais te regarder me donner des ordres?

Moi: Je suis qui pour toi, Magnim?

Magnim:...

Moi: Je t'assure que quand on sortira d'ici, tu sauras me répondre.

Je vais dans la salle d'eau me laver les mains et passer un peu d'eau sur mon visage.

Je l'entends bouger.

Moi de la salle de bain: Magnim si tu sors de cette chambre, il n'y aura plus de retour en arrière. Je ne parle plus avec mon père depuis 25 ans, j'ai décidé en 5 minutes que ma femme et moi, c'était fini. Si tu veux tester, sors!

Je reviens dans la chambre et la trouve assise sur le lit avec les yeux pleins de larmes.

Moi: Viens dans mes bras, je ne veux pas que tu pleures.

J'ai commencé à l'embrasser tendrement, au début elle ne répondait pas puis elle s'est laissée transporter.

Avec ses bras autour de mon cou, je lui ai ôté sa robe. Elle avait une espèce de bustier transparent dans le dos et un string blanc.

Nous nous embrassions avidement, nos dents se sont entrechoqués plus d'une fois.

Moi: Mets toi à plat ventre sur mes cuisses pour que je puisse t'enlever le bustier.

Elle s'exécute.

Au lieu d'enlever le bustier, je promène mes mains sur ses fesses bien rondes.

J'aime le contraste entre ses fesses laiteuses et mes mains noires.

Je les prends à pleines mains et les appuie.

Elle gémit.

                      ****Magnim****

Moi: Hmmm!

J'aime comme il me touche les fesses, je suis en train de perdre le contrôle de la situation.

Puis je sens une forte claque sur ma fesse gauche.

Moi: Aie!

Sur ma fesse droite

Je gigote, essaie de me libérer mais il a son bras gauche qui m'immobilise.

Mattia: Tu m'as laissé m'inquiéter et te chercher dans toute la ville pour ça?

Vlan! Fesse gauche!

Moi: Aie! Ça fait mal Mattia.

Vlan! Fesse droite

Mattia: Tu te comportes comme une enfant Magnim, je dois te corriger.

Oh Dieu c'est quoi ça? Je suis tombée sur un fou.

Les coups sont assénés méthodiquement avec une intensité et une cadence constantes.

Je sens mes larmes couler.

Moi: Pardon Mattia!

J'ai les fesses en feu. Je ne me débats même plus.

Je sens qu'il craque mon string, je pleure silencieusement.

Vlan! Vlan!

Les claques sont moins intenses et se rapprochent toujours plus de mon vagin.

Mattia: Tu vas encore prendre des décisions hâtives sans me parler?

Vlan!

Moi: Non, non. Jamais.

Je n'aurais jamais imaginé devenir une femme battue.

Vlan! Celui ci arrivé sur ma fente, ce qui est bizarre c'est que je mouille.

J'ai honte.

Moi: Pardon Mattia!! Pardon!!

Il me redresse sur lui, tirant sur mon bassin. Mon ventre est sur ses cuisses maintenant et mes fesses à l'air. J'ai les jambes fléchies.

Il débusque mon clitoris, le titille, le pince puis Vlan! Vlan! Vlan! Sur mon clitoris!

Je pars dans un long râle, mon corps est secoué de soubresauts; je murmure des choses incohérentes.

Mes genoux touchent par terre, mon bourreau me caresse les cheveux.

Mattia: Chut c'est fini! Chut!

Il m'enlève finalement le bustier et me met délicatement sur le lit. Je suis couchée sur le ventre.

J'essaie de me remémorer pourquoi je suis dans cette chambre, comment je m'appelle...

J'entends le bruit de l'eau dans le jacuzzi. Il vient me prendre pour m'immerger dans l'eau. Le contact de l'eau chaude sur les fesses endolories m'a fait pousser un cri mais après je me suis sentie mieux et me suis laissée aller pour pouvoir apprécier les remous.

Je suis toujours dans les vapes, il me prend dans ses bras.

Mattia: Magnim, tu es celle que je veux. Je ne dis pas que je vais me remarier mais j'ai vraiment envie d'essayer quelque chose avec toi. Mais il faut qu'on se respecte. Si tu me respectais, tu n'aurais pas pu me poser un lapin et éteindre ton téléphone pendant 6 heures de temps à cause d'un truc que tu as entendu.

Moi:...

Mattia: Je suis en train de miser gros sur cette relation auprès de moi-même, ne me déçois pas. Je suis très sensible sous mes airs d'homme sûr de lui donc traite moi bien s'il te plaît. Tu dors?

Moi: Non.

Mattia: Tu as entendu ce que j'ai dit? Je ne veux que toi et personne d'autre ok?

Moi: Ok

Mattia: Tu veux qu'on essaie?

Moi: Oui.

Mattia: Merci mon trésor! Tu ne le regretteras pas.

Il nous fait sortir de l'eau, me nettoie délicatement et me met dans le lit. J'évite de me mettre sur les fesses.

Je ne sais pas quand je m'endors.

Je me réveille juste dans les bras de Mattia.

Sa respiration régulière prouve qu'il dort.

J'en profite pour le toucher, je promène mes doigts sur sa poitrine puis fais descendre une main dans son boxer.

C'est chaud, je fais des vas et vient très légers.

Son sexe réagit, je ne sais pas s'il s'est réveillé.

Je continue et lui dépose des petits bisous mouillés sur le corps.

Une main vient agripper un de mes seins.

Mattia: Tu fais quoi?

Moi:...

Mattia: Tu ne pourras pas... Je risque de te faire mal.

Moi: Ça ne fait rien.

Il introduit un doigt et me trouve dégoulinante, un deuxième!

Han!

Il commence à me doigter violemment tout me maltraitant les seins. Il me mange littéralement les seins.

Mattia: Je ne veux pas te faire l'amour aujourd'hui. Quand tu seras prête à le faire, tu me diras et on le fera.

Moi: Han!

Mattia: Ok?

Moi: Ok.

Il me tête avidement et fait frénétiquement bouger ses doigts.

Moi: Ohh Kooosssss!!!

Je me laisse retomber toute tremblante sur le lit.

Mattia à mon oreille: Tu es ma reine trésor, je vais te faire devenir ma salope de reine.

Oh!

L'envie de l'avoir en moi est tellement forte que je le fais basculer, l'enjambe et m'empale sur son sexe érigé.

Aie!

Il grogne!

Je suis comme bloquée.

Mattia: Bouge trésor!

Moi: Ça fait mal.

Mattia: Tu as voulu la bicyclette, il va falloir la pédaler.

Il donne un violent coup de rein, je l'ai senti taper contre mon utérus.

J'hurle de plaisir et douleur mélangés.

Mattia: Putain tu es tellement chaude, tellement serrée, tu es tellement bonne ma reine.

Je suis sur lui mais c'est lui qui fait tout le travail.

Mattia: Caresse toi les seins!

Je deviens comme folle sous son regard brûlant.

Il appuie sur mes fesses encore brûlantes de ses claques et me ramone profondément pendant que je me caresse les seins.

J'essaie de les porter à ma bouche, je goûte mon lait.

Mattia: Oui ma reine comme ça!

Je suis encore en train de perdre le contrôle.

Il me soulève et me fait retomber sur sa verge, j'ai l'impression d'être une poupée désarticulée.

Mattia: Jouis pour moi, trésor!

Moi: Haaan, Haaan, hann!!

Je pars dans un tremblement , je le sens se raidir, grossir et je sens sa semence taper contre mon utérus.

Je me laisse retomber sur lui.

Nous sommes couverts de sueur, de lait...

Il me caresse tendrement le dos jusqu'à ce que je m'endorme.

Je me sens tiraillée, une sensation de bien être. Je me réveille avec son sexe dans le mien, c'est pas du viol ça?

Ce mélange de plaisir et douleur décuple mes sens. J'ai mal partout: entrejambe, seins, fesses.

Il est couché derrière moi et y va tout doucement mais profondément.

C'est comme si je venais de me réveiller.

Moi: La protection

Mattia toujours dans ses mouvements: Pardon?

Moi: On a oublié de se protéger.

Mattia: Et alors?

Je me tourne pour le regarder, il prend mes lèvres.

Il tient ma tête de sa main gauche et de la droite, me soulève la jambe droite et accélère.

Mattia tout contre mes lèvres: Et alors?

Moi: Han ! Non!

Mattia allant de plus en plus vite: Non?

Moi: oui oui oui ouiiiiiiii!!!

Il se répand encore en moi pendant que je m'endors à nouveau. Je n'ai aucune notion du temps.