
La force de la prière
Ecrit par Lulu-marie
Chapitre 29: La force de la prière
Entrons dans la tête d’Aldrich et essayons de découvrir ce qui se passe.
**********
Il ne sait pas comment il a fait pour se retrouver dans la maison de Suzanne, pire dans son lit. Etonné, il se leva. Ses yeux se posèrent sur son portable et son porte monnaie qui se trouvaient au chevet du lit. Il les ramassa et prit la porte en disant à son fils qu’il sortait un moment. Quand est ce que j’ai quitté la maison ? Je devrais rentrer du boulot et rejoindre Daphnée. Et ce t-shirt que j’ai sur le corps qui n’est même pas à moi. Je ne sais même pas d’où ça vient. Ce sont les questions qu’il se posait. Des questions qui n’ont pas de réponse dans sa mémoire.
Il marcha sous ce chaud soleil pendant près de trente minutes avant de trouver un zem en direction de chez lui.
Il est seize heure, c’est clair que Daphnée sera au boulot se dit-il. En entrant dans la maison, il vît son véhicule et celui de sa compagne dans le garage donc pour lui, elle est à l’intérieur. Il franchit deux à deux les marches et se retrouva rapidement devant la porte. Il tourna la clé dans la porte et MERDE ! l’odeur l’envahissait aussitôt. C’est quoi cette odeur, qui a fait ça ? Se demanda-t-il.
Il appela sa princesse. Daphnée ? Silence Daph ?
Seul le silence le répondait. C’est d’ailleurs ce silence qu’il suivit en allant dans la chambre commune qu’ils partageaient.
Sans savoir ce qu’il cherchait, il alla vers le placard et l’ouvrit. Le placard était vide, il n’y avait plus aucune chose appartenant à Daphnée dans la pièce. Non ! Il voulu l’appelé et s’est rendu compte que son portable était à plat. Il le mit en charge aussitôt et voulu l’allumé mais voilà ce portable qui met du temps à démarrer.
Il n’est que 16h je vais l’attendre pensa t’il quand la fatigue le projeta sur le lit, il s’endormit sur le coup. Il fût réveillé par un terrible mal de tête et ses yeux qui tournaient. 20h et elle n’est toujours pas rentrée, Daphnée ne peut pas partir. On devrait rencontrer les parents demain. NON !!! se dit-il en tournant dans tous les sens.
Il se rappel qu’hier Suzanne devrait le voir elle lui a donné rendez vous dans un restaurant disant qu’elle avait quelque chose de très important à lui dire. Arrivé sur les lieux, elle s’est mise à lui parler de Daphnée qu’il ne devrait pas l’épouser qu’elle le trompait avec son ex. Il se rappel très bien que c’est à ce moment qu’elle l'avait énervé et qu’il s’est levé. Mais comment s’est il retrouvé chez elle c’est ce qu’il ignore. Il enleva le portable de la charge et lança son numéro mais ça ne sonnait pas. Il prit alors la clé du véhicule et sortit de la maison. Il n’avait plus les narines en place pour sentir l’odeur de nourriture pourrit qui empestait dans la maison.
Le voilà sur son lieu de travail, l’agent de sécurité lui dit qu’elle était déjà partie. Et ce mal de tête qui ne s’est toujours pas calmer. Il devrait savoir ce qui se passe. Il faut que j’aille chez Cindy elle est la seule qui peut m’éclairer en ce moment pensa t’il. Il s’est débrouillé tant bien que mal en conduisant jusqu'à chez elle.
Il salua Cindy et demanda d’après sa compagne. Celle-ci, étonné comme ci elle avait un fantôme devant elle cria : Aldrich mon Dieu tu es là ?
Aldr : Oui qui a-t-il ?
Cindy : Tiens viens t’asseoir
S’asseyant, il lui expliqua qu’il n’avait pas vu Daphnée, ni ses affaires et la maison empestait comme si on n’y avait pas mit pieds pendant des semaines. Celle-ci répondit
Cindy : En effet oui.
Des bourdonnements dans la tête, il répliqua : en effet quoi ?
Cindy : Aldrich tu ne te sens pas bien ?
Aldrich voyant deux deux. Non il n’allait pas du tout bien. Il répondait en lui disant qu’il avait mal à la tête
Cindy : Attends je t’aide.
Elle l’aida à prendre place à l’arrière du véhicule. Luttant contre ce mal, il lui demanda ou vont t’ils. Elle lui faisait comprendre qu’ils se rendaient chez sa mère et que Daphnée y était. Ce qui le rassura un peu. Mais ses douleurs qui le faisaient toujours grimacé.
Cindy : Tiens bon, nous sommes presque arrivés
En entrant dans la maison, il croit voir…. Non il voyait deux deux. Deux Daphnée ? Ma ma … dit-il en étant prit d’une toux jusqu’à en avoir mal dans le ventre. Plus il toussait, plus la douleur doublait dans sa tête. Les objets tournaient sous ses yeux, il voyait à l’inverse.
L’homme : Seigneur que ton nom soit glorifié. Puissance est ton nom Autorité est ton nom père
Sa mère : Seigneur…….
Il n’entendait plus le bruit que faisaient ses personnes autour de lui. Paroles plus chansons, il ne savait plus se qui se passait. Il souffrait le martyr.
Raaaaaaaaah, j’ai mallll,qu’est ce qui m’arrive, criât-il.
Il est allé au sol, plié par la douleur. Il a senti juste les mains qui l’enveloppait.
Toux+vomissemen
Toux + sang. Il ne savait pas pendant combien de temps ce supplice allait encore duré. Il tremblait, il avait froid et sa tête chauffait, Tout ce qu’il désirait c’est que cela prenne fin tellement il souffrait qu’il fit couler les larmes. Et tout ce brouhaha autour de lui n’arrangeait pas les choses. Il ne comprenait même pas ce qui se passait. Il n’en pouvait plus, il a beau crié, beau vomit, mais rien. Il perdit connaissance.
***Daphnée***
J’ai ressenti une douleur atroce quand il est allé au sol
Il s’est mit à vomit de l’eau rien que de l’eau puis subitement du sang
L’homme de Dieu n’avait pas arrêté la prière, Je l’ai prise dans mes bras. Il tremblait et avait le corps chaud. Mon Dieu que j’ai de la peine pour lui. Il ne va pas bien.
Moi (hurlant) : Il souffre
Personne ne m’écoutait, ils étaient tous emportés par la prière
Moi (le secouant) : Aldrich….. Aldrich. Il s’est évanouit amenons le à l’hôpital
Homme de Dieu : Donnez moi encore cinq minutes
Moi : Non c’est trop
Ma clémentine : Ma fille laisse le faire son travail
Moi : mais maman
Ma Clémentine : Juste cinq minutes Daphnée, ai confiance en Dieu
Homme : Père nous te remercions d’avoir écouté nos prières, nous te remercions de nous avoir ramené l’agneau égaré. Tu as dit que tu n’abandonneras pas tes enfants. A partir d’aujourd’hui je remets ton fils Aldrich entre tes mains
Pendant ce temps j’impatientais,
Eux : Amen
Moi : On peut y aller maintenant ?
Ma Clémentine : oui j’appel le chauffeur pour qu’il vienne nous aider à le mettre dans le véhicule.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me suis installée dans la voiture, j’ai posé sa tête sur mes jambes. Toute la colère que je ressentais s’est envolée en le voyant tellement j’ai de la peine pour lui. J’ai l’impression de vivre cette douleur qu’il ressentait.
Deux heures d’attente sur le banc je n’étais pas du tout apaisé.
Cindy : Calme-toi Daph
Moi : C’est quoi tout ça ?
Cindy : cette femme est une sorcière
Ma Clémentine : Dieu s’est déjà manifesté, il a délivré mon fils.
Docteur (apparaissant dans le couloir) : Les parents d’Aldrich Gogan
Nous (nous levant) : C’est nous
Ma Clémentine : Je suis sa mère
Cindy (me touchant) : Et elle sa femme
Docteur : Suivez-moi
Nous l’avons suivit dans son bureau et il a fermé la porte
Lui : prenez place mes dames
Moi : Il y a un problème docteur ?
Lui : Vous avez dit qu’il a vomit de l’eau et du sang ?
Ma clémentine : C’est exact
Lui : Se plaignait-il avant ça ?
Cindy : oui quand il est arrivé chez moi, il se plaignait des douleurs dans la tête
Lui : D’accord. Compte tenu des informations que vous nous avez données, nous lui avons fait des analyses. Et ce qui est étonnant c’est qu’il est en parfaite santé, les analyses n’ont rien révélés d’anormal. L’origine d’eau est peut être justifié mais le sang nous étonne toujours. C’est pour ça qu’on a procédé à un lavage d’estomac.
Ma Clémentine (souriante) : vous avez fait votre travail docteur
Je ne comprends pas comment cette dame peut être calme face à la situation.
Docteur : Rassurez-vous, il va bien, actuellement il dort, il est faible. A son réveil vous pouvez le voir. Pour le moment il a besoin de repos.
Nous nous sommes levées en le remerciant
Docteur : je vous en pris mes dames
Moi : Il n’y a pas de médicament à prendre ?
Docteur : Non avec les injections ça peut aller
Moi : d’accord
Nous sommes sorties de son bureau
Ma Clémentine : Puis qu’il dort et on ne peut pas le voir maintenant, je pense qu’on va rentrer d’abord. Je vais envoyer une des servantes avec le chauffeur passés la nuit ici. Je reviendrai demain matin.
Moi : Maman je ne comprends pas comment vous faites pour rester calme face à ça ?
Ma Clémentine : Face à quoi ma fille, seule Dieu a le dernier mot. Il a promit me ramener mon fils et c’est ce qu’il a fait ce soir. Ce n’est pas lui qui a dit demander on vous donnera, chercher vous trouverez, frapper et les portes vous seront ouvertes ?
Moi : Oui maman
Ma Clémentine : Mais alors ? Je n'est pas besoin de paniquer Il respecté sa promesse en me ramenant mon fils. Pourquoi avoir peur. Quand nous marchons dans la vallée de l’ombre de la mort nous ne devons pas craindre le mal. Car Dieu est avec nous, il nous guide et surveille nos pas. Il faut avoir foi en lui et lui remettre entièrement notre âme. Abandonne-toi à lui.
Moi : Vous êtes formidable
Ma Clémentine : Non c’est Dieu qui est formidable. Et une fois de plus ce soir, j’ai vu sa force se manifester dans la vie de mon fils. Vous pouvez témoigner avec moi ce soir par ce que vos yeux on vu, la force de la prière n’est ce pas ?
Cindy : Bien sûr, c’est étonnant
Ma Clémentine : Dieu contrôle la situation. Maintenant rentrer chez vous que Dieu vous protège.
Nous : Amen
Cindy (me regardant) : Tu vas rentrer aussi ?
Moi : oui
Je ne voulais pas le voir à son réveil qu’est ce que je peux bien lui dire. Toute cette histoire me paraît bizarre. Je crois que je n’ai plus rien à craindre maintenant qu’il est hors de danger.
[…]
***Aldrich***
Arielle (debout prêt de moi) : Bonjour Gogan enfin tu te réveil
Moi : Arielle ? Tu fais quoi là et (regardant autour de moi) je fais quoi ici ?
Arielle : C’est ce que tu vas m’expliquer après
Moi : Comment ? Je ne me rappel de rien
Arielle (s’asseyant près de moi) : Ah t’a mère m’a fait appel ce matin très tôt de venir te rejoindre ici, tu sais qu’elle a horreur des hôpitaux. Elle m’a raconté que tu t’es évanoui hier au cour d’une séance de prière
Moi : Ari je ne comprends rien. C’est ce que je vais chercher à savoir. Tu as parlé avec le médecin ?
Arielle : oui et tu peux sortir aujourd’hui même. D’ailleurs ça me faciliterais la tâche. Allez grouille toi j’ai des enfants moi aussi.
Moi : En parlant d’eux comment vont-ils ?
Arielle : tes neveux la sont de vrai casse pieds, ils vont bien.
Moi (me levant) : Ils te ressemblent
Arielle : moi ou toi, exactement quand tu étais petit et tu faisais chier maman dans toute la maison.
Moi : tu mens
Arielle : okay on va le redemander à ta mère. (Se levant) au fait cherches toi une femme hein c’est à elle de prendre soin de toi.
Je ne fis pas cas à sa remarque. Ma grande sœur m’a aidé à me lever et nous sommes rentrés à la maison. Tout ce que je voulais c’est comprendre ce qui m’est arrivé. J’ai trouvé Cindy sur place et je l’ai prise à part sur la terrasse. C’est là qu’elle m’a raconté tout ce qui s’est passé
Moi (n’en revenant pas) : J’ai fait ça ? Mais pourquoi je ne me souviens de rien.
Cindy : Tu ne peux pas savoir
Moi (me passant la main au visage) : Et durant tous ce temps je vivais chez Suzanne
Cindy : Oui et on a eu le résultat hier. Tu ne te souviens pas ce que tu as fait là-bas ?
Moi : Absolument rien ça m’étonne. Je me suis retrouvé dans son lit hier matin … Ouuf Mon Dieu. Plus d’une semaine tu dis ?
Cindy : oui .
Moi : C’est pour ça que Daph a quitté la maison
Cindy : Oui. Tu as été agressif, on ne te reconnaissait plus tu as tout cassé dans la maison et tu es arrivé jusqu’aux mains avec mon mari
Moi (dépassé) : Quoi ? Ce n’est pas vrai
Maman (derrière) : Oui c’est vrai
Maman et Arielle sont venues s’asseoir
Arielle : Maman m’a tout raconté mais depuis quand Suzanne trempe dans les fétiches, je ne savais même pas qu’elle était au Bénin.
Maman : mais c’est une sorcière. C’est sa mère qui est derrière tout ça.
Arielle : mais cette dame aussi
Maman : Je t’ai dit dans ce pays quand tu m’as ramené cette femme ici, qu’elle allait causer ta perte, pire tu es allé lui faire un enfant.
Arielle : Suzanne m’étonne hein. Et moi qui l’aimais beaucoup et prenait sa défense.
Maman : Mon fils était dans cette maison quand je suis partie la menacé. Elle a eu le culot de me dire qu’Aldrich est arrivé de ses deux pieds
Arielle : Vraiment certaines femmes sont bizarres. Est-ce qu’elle a besoin de faire ça pour avoir un homme à ses côtés ?
Maman (me regardant): Ce que tu dois faire c’est de prendre ton fils avec toi. Je ne veux pas qu’il soit élevé pas ces deux femmes. Ramène moi mon petit fils à la maison je vais m'occuper de lui.
Arielle : Maman c’est sa mère on ne prend pas un enfant à une mère comme ça
Moi : Oufff je reste sans voix
Maman : tu vois tous ce que tu as fait sortir hier ? Ce sont les choses qu’elle te fait manger, elle voulait te tuer. Je ne sais pas ce que tu as trouvé chez elle dans le temps.
Moi : Mon Dieu
Maman : C’est lui qui t’a sauvé
Moi (regardant Cindy) : Je suis désolé pour tout
Cindy : Non ne t’en fais pas c’est du passé. L’essentiel est que tu te sois retrouvé maintenant.
Moi : Merci Cindy
Cindy (se levant): Bon je vais y aller. Au fait il faut que tu envoies une des filles chez toi te faire le nettoyage.
Moi : Oh oui je vais le faire.
Cindy : Merci maman. La grande sœur au revoir
Maman (lui faisant la bise) : merci ma fille
Arielle: merci beaucoup madame.
Je l’ai raccompagné à sa voiture en lui tenant la portière.
Moi : Cindy je veux voir ma femme
Cindy : tu sais qu’elle est retournée chez ses parents ?
Moi (baissant la tête) : Je dois lui parler il faut qu’elle revienne à la maison.
Cindy : je vais lui en parler. Parce que tu ne peux pas te rendre comme ça chez ses parents surtout après ce que tu sais
Moi : oui. Aide-moi à la voir s’il te plait
Cindy : D’accord je te tiens informer
Moi : Merci et encore une fois présente mes excuses à ton mari
Cindy (souriant): d’accord bye
Je me suis éloigné, elle a démarré et s’en est allé. Je suis rentré retrouver ma mère et ma sœur.
Maman : prends place. Il faut que tu remettes ton adresse et les clés à Elise pour qu’elle aille te faire le ménage dans la maison.
Moi : Oui je vais l’enmené
Maman : Ton véhicule est de l’autre coté Cindy l’a ramené hier soir
Moi : Les clés sont avec toi ?
Maman : C’est sur ma commode
Arielle (sourire en coin) : Mais tu ne m’as pas parlé de la Daphnée. Et je te taquinais depuis tu ne pouvais pas me dire que le mariage c’est pour bientôt ?
Je me suis levé sans rien dire.
Arielle : Tu ne dis rien ? En tous cas je veux la voir paraît-il qu’elle est belle, donc je vais juger par moi-même.
Je l’ai laissé là avec sa mère, celle la elle aime trop taquiner et moi je n’ai pas la tête à cela maintenant. J’ai déposé Elise à la maison.
Moi : Tu trouveras tout ceux dont tu as besoin dans la pièce qui se trouve juste à côté de la cuisine.
Elise (retirant la ceinture) : D’accord monsieur
Moi : Tu as ton portable avec toi ?
Elise : oui
Moi : si tu finis appel moi donc
Elise (descendant) : d’accord monsieur
J’ai prit le chemin sans savoir où j’allais. Je suis allé me garer devant la maison de Suzanne. J'avais envie de descendre pour lui dire ce que je pense d’elle. Je sentais la colère montée et je suis sûr que si je l’avais en face de moi j’allais l’étrangler. J’ai fait demi-tour et je suis allé me garer au bord de la plage. Je m’assis dans le sable en regardant les vagues se soulevés. Comment j’ai fait pour me retrouver dans une situation pareille, qu’est ce qui s’est passé durant tous ce temps que j’ai passé là-bas ? Au boulot je n’ai pas été parait-il. Comment Suzanne peut elle me faire ça, si ma mère n’avait pas vite réagir, que comptait-elle faire de moi ? (me passant la main au visage) Mon Dieu.
***Suzanne***
Moi (entrant dans la chambre de maman) : Il n’est toujours pas rentré
Maman : mais c’est impossible
Moi : Maman qu’est ce qui se passe. J’utilise toujours tes produits pourtant
Maman : Suzy calme toi
Moi : Comment veux tu que je me calme si tout mes plans vont à l’eau
Mama : Rien ne va à l’eau
Moi (perdant patience): Dans trois jours je dois me marier. Aldrich est sorti d’ici hier et n’est jamais revenu
Maman : Suzanne laisse moi faire
Moi : Et si Clémentine avait fait queque chose ? Elle ne blaguait pas quand elle disait dans trois jours son fils devrait rentrer alors. Qu’elle force à telle ?
Maman : Elle n’a aucune force c’est nous qui détenons les forces
Moi (pouffant) : mais portant Aldrich n’est nul par ici
Maman : ai confiance en moi
Moi : C’est ce que je fais toujours
***Daphnée***
Cindy : Il veut te voir
Moi : Je ne veux pas. Je ne sais pas ce que je vais lui dire
Cindy : Je ne te comprends pas, il n’était pas en lui-même et tu as bien vu hier
Moi : Je sais. Mais Cindy qu'est ce qu’on va se dire ?
Cindy : Tu ne peux pas dire ça Daph
Moi : A vrai dire je ne sais vraiment pas quoi faire. Je l’aime toujours mais je ne sais pas. Quand je pense, il a quand même fait plus d’une semaine là-bas et ce qui s’est passé entre eux je ne sais pas.
Cindy : Tu ne dois pas penser à cela. Moi je suis toujours avec mon mari malgré le fait qu’il m’ait trompé avec une autre
Moi : C’est ton mari
Cindy : Justement et si c’était toi, tu allais faire quoi ? En plus ici Aldrich n’était pas conscient et nous le savons tous
Moi : Okay je vais parler avec lui mais juste ça, je ne compte pas repartir là-bas
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