La maison hantée Saison III Chapitre 9
Ecrit par Verdo
Les chroniques de Verdo Lompiol
La force de l'écriture
SAISON III
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**** chapitre 9 : La méchanceté ****
*Ville de Lomé*
**** Sébastien****
Êtes-vous d’avis avec moi qu’un père responsable doit tous sacrifices pour assurer le bien-être de ses enfants et de sa famille. Eh bien, c’est en quelque sorte ce que j’ai fait en ce qui concerne ma fille Gladys. Même si mes actes ne sont pas lucides, au moins j’ai réussi à éloigner ce garçon de mauvaise conscience d’elle. Voici comment j’ai procédé.
Au début mon cœur a été meurtri lorsque je me suis rendu compte qu’elle est tombée enceinte. Comme je l’avais dit précédemment dans un chapitre, je me bats nuits et jours pour qu’ils, mes enfants aient un avenir assuré alors je n’allais pas rester les bras croisés en laissant ce Kyrielle détruire sa vie. Alors je me suis approprié l’histoire comme si c’était la mienne en m’embourbant corps et âme là-dedans. C’est en ce moment que j’ai retrouvé les traces de cette fille Lopez à qui j’ai promis une sacrée somme d’argent pour qu’elle confirme tout ce je lui dirai devant un tribunal.
Tout d’abord je suis parti au palais de justice de la ville où se trouvait un de mes anciens contacts qui m’a aidé à lui délivrer un faux acte de naissance, ce qui prouve qu’elle est mineure. Après cela, je l’ai forcée à porter une plainte contre Kyrielle contre une somme de cinq millions francs. Ce qui fut fait et à présent qu’il est derrière les barrots, cette fille doit disparaître pour ne pas par culpabilité un jour aller tout raconter à la police. J’aime ma fille et je suis prêt à tout sacrifier pour elle, même s’il faut que je salisse les mains. En aucun cas, je n’aimerais plus voir ce Kyrielle tourner autour d’elle, même s’il l’a mise enceinte.
**** Lopez ****
Cet homme vient de m’appeler pour qu’on se voit. Que veut-il encore ? J’ai déjà fait tout ce qu’il m’a demandé ! J’espère qu’il ne doute pas de mes intentions. De toutes les façons, je dois me rendre à la police et tout leur raconter et s’il le faut leur remettant les cinq millions qu’il m’a donnés. Pour la rencontre, je ferai tout pour qu’il ne remarque rien. Hum, dans quel merdier je me suis fourrée putain ! Moi je voulais juste que Kyrielle paie ce qu’il m’a fait mais cet homme a outrepassé les limites. Je ne porterai pas tout ce fardeau après.
**** Gladys****
Pourquoi faut-il que papa mette Kyrielle en prison ? Je ne cautionne pas ce qu’il a fait ! Même s’il m’a trompé avec cette fille, mon père ne devrait pas s’interférer dans cette affaire. Il a déjà bien fait de me faire sortir de prison mais en retour y renvoyer Kyrielle ; je ne suis pas d’accord. Au début, je croyais juste à une histoire de flirt entre lui et moi mais ces derniers évènements me prouvent que mes sentiments pour lui sont vrais et sincères. C’est vrai maintenant, je suis amoureuse de lui en plus de ça je porte son enfant dans mon ventre. Malgré tout ce qui s’est passé, je ne cesse de penser à lui et au fond de moi, je garde un peu d’espoir qu’on se remettra un jour ensemble et fonder si possible une famille. C’est pour cette raison que je ne laisserai pas mon père s’entremettre entre nous. Je ferai tout mon possible pour le faire sortir de prison.
**** Madji ****
Comme dans un rêve, Naomi est placée en garde à vue depuis quelques jours et si je ne fais rien, elle sera déférée en prison. Hum, c’est vrai qu’elle est une emmerdeuse mais je ne peux pas la laisser en prison. Ma tentative de négociation avec le docteur et le commissaire a échoué la dernière fois mais ce matin avec un peu de prière, je me remis en confiance et partis le voir à nouveau dans son bureau à l’hôpital.
Lui : Monsieur Madji, je pense avoir été clair avec vous l’autre fois !
Moi : Oui monsieur le docteur. Je le sais mais vous savez dans la vie, arrivent souvent ce genres de situations et si vous-même vous savez que vous n’avez pas la capacité de les gérer, il vaut mieux se soumettre à l’autre côté pour trouver une alternative. Je suis revenu une deuxième fois ; pas pour vous manquer de respect ; mais que vous repensez à votre décision. J’ai cinq enfants à la maison qui ont besoin de leur maman. Si elle va en prison, comment me prendrai-je avec eux ? Docteur je sais que vous êtes un homme bien et vous me comprenez. Je vous payerai ; ça je vous le promets mais permettez que ma femme soit libérée pour que j’ai l’esprit tranquille pour me consacrer à mon boulot et vous payer. Je vous assure que cette fois-ci, je tiendrai parole. Ayez pitié s’il vous plait, ayez pitié d’un pauvre homme.
Lui : Hum, Madji. Bon, je ne vais pas paraître le méchant dans cette histoire. J’ai commencé le bien (un bon acte) et je ne finirai pas par le mal ; être le responsable de l’incarcération de votre femme. Voici ce qu’on va faire :
Vous allez amener ici votre femme et devant le commissaire on va signer un engagement dans lequel elle acceptera de faire les tâches de technicienne de surface à la clinique jusqu’à l’épuisement des deux cent et quelques mille francs.
Moi : Okay docteur, je vous remercie pour votre grand cœur. Que Dieu vous bénisse. Je vais tout faire pour qu’elle accepte cette proposition. De toutes les façons nous n’avons pas le choix. C’est le seul moyen pour elle de retrouver sa liberté.
**** Channel ****
Fabrice pense que je lui fais porter la grossesse d’une autre personne. Il peut faire toutes les analyses sur cette terre, il n’aboutira qu’au même résultat. Sincèrement, j’ai envie que tout ceci s’arrête. S’il veut rester tant mieux mais au cas contraire je ne l’empêcherai pas. J’en ai assez fait pour lui et je crois être capable d’élever toute seule mes deux enfants. A cause de lui, je suis en prison ! Qu’il fasse ce qui bon lui chante.
**** Thérèse ****
Ce matin, mère m’a envoyé à la boutique lui payer certains trucs. Après ma punition, c’est la première fois que je sors de chez moi. Ah, que le bon air m’a manqué ! Voilà sur qui le tombe ! Nick qui me suivait.
Moi : Nick ? Ça fait un bail ! Pourquoi me suis-tu ? Je pensais avoir été claire avec toi la dernière fois !
Lui : Oui mais je dois te parler Thérèse.
Moi : Parler de quoi encore putain ? Ecoute, en ce moment j’ai des problèmes à la maison et je n’aimerais pas que mon père me voit ici. Alors à plus. Ravie de t’avoir vu.
Lui : (l’attrapant par les bras) Non s’il te plaît Thérèse, ne t’en va pas ! S’il te plait, je suis amoureux de toi ! Je ne fais que penser à toi ! Donne-moi juste dix minutes pour qu’on discute.
Moi : Quoi ? Non Nick, ne me crée plus d’autres problèmes ! J’en ai déjà assez comme ça ! Lâche-moi.
Lui : Non Thérèse, je me battrai pour ton amour. Quoi qu’il arrive, nous devons discuter.
Moi : T’es fou ou quoi ? Je te demande de me lâcher ; je ne veux pas avoir d’embrouilles avec mon père. Laisse-moi partir.
Lui : Eh bien, dis-moi juste que tu feras l’effort d’arranger un rendez-vous pour nous deux.
Moi : Non, je ne crois pas que ça soit possible. Je n’ai pas la tête actuellement pour ces genres de trucs.
Lui : Alors là, pas question que tu t’en ailles !
Moi : Quoi ? Lâche-moi sinon je crie (…)
Sans que je ne le sache, Fabrice sortit de nulle part et se jeta sur lui. Ils ont commencé à se battre au point où toutes les intentions se tournèrent vers nous.
Moi : Arrête Fabrice s’il te plait. Fais le pour moi je t’en supplie.
Fabrice : Ce monsieur mérite une bonne correction. Il y’a un moment que j’attendais de lui défoncer le visage.
Moi : Non, s’il te plaît, Fabrice fais le pour moi !
Nick : Espèce d’enculé ; penses-tu me battre aussi facilement (lui assainissant un violent coup au visage qui lui fait saigner).
Fabrice : Merde ! Il m’a cassé le nez ! Espèce de mauviette ! Tu vas me le payer cher.
Dans ce brouhaha, mon père qui passait avec sa voiture vient voir ce qui s’y passait et il tomba nez à nez sur moi en train de me débattre entre les deux farfelus.
Karl : Thérèse ?
Moi : Oui pa…pa
Karl : (criant de toutes ses forces) Tu peux m’expliquer ce qui se passe ici ?
Moi : Euh … Euh
**** Cella ****
J’ai repris les activités de ma grande sœur comme elle me l’a demandé. Je passe tous les week-ends pour que les gérants me fassent les points sur ce qu’ils ont vendu dans la semaine. Avec Fernando, c’est le Big Love. Je n’ai jamais trouvé plus gentil garçon sur cette terre que lui. Après m’avoir soutenu lors de ma convalescence, il n’a cessé de m’épauler dans tout ce que je fais et ce qui est bien dans tout ça, il m’assiste à gérer le business de ma sœur. Parlant d’elle, je pense lui rendre visite dans la semaine pour lui faire les comptes rendus.
**** Luciano ****
Moi de retour du travail, je rencontre une belle demoiselle qui a attirée mon attention. Je m’approche d’elle et engageai la discussion.
Moi : Bonjour demoiselle.
Elle : Bonjour monsieur.
Moi : Moi c’est Luciano. C’est un plaisir pour moi de discuter ne serait-ce qu’une minute avec une si sublime créature comme vous.
Elle : Ah, je suis flattée. Moi c’est Augustine. Ravie de faire votre connaissance.
Lui : Puis-je me permettre de vous demander votre numéro de téléphone histoire qu’on se fasse plus connaissance un de ses jours ?
Elle : D’accord y’a pas de soucis. Le voilà (…)
Moi : Vous habitez dans les parages ?
Elle : Oui. Pas loin de ce supermarché-là. Je vis avec mon grand frère. Il s’appelle Nick.
Moi : Super. Je vis également avec mon petit frère Fabrice. Je vous ferai signe un de ces jours pour prendre un pot ensemble.
Elle : Okay sans problème.
*Village de Zogbédji*
**** Didi ****
Nos plans contre Nick sont en train de marcher à la perfection. Bientôt il sera incontrôlable. Qu’il aille au diable ce jeune garçon qui se croît le plus instruit de la planète. Il peut faire cent ans ou mille ans à la capitale mais je vous assure qu’il ne reviendra pas avec un seul diplôme. Moi Didi, la mère des sorcières j’ai parlé et que cela soit ainsi sur sa vie. Que la vengeance d’Avélie commence.
**** Avélie ****
Cette nuit-là, je me suis incrustée dans la chambre de Dovaldo et Leley sans qu’ils ne sachent. J’ai fait en sorte que personne ne me remarque au village. Alors lorsqu’il fut temps qu’ils viennent dormir, je les ai laissé faire. Ils se sont amourachés comme ils le peuvent et quand ils se sont endormis, je sortis de ma cachette (armoire) et je pris le petit vase que j’avais apporté pour l’occasion. Sortant deux plumes jaunes et noires de ma poche, je les mélangeai dans l’eau qui se trouvait dans le vase puis les pulvérisai avec. Leley, lui ne marchera plus jamais dans sa vie et Dovaldo n’aura plus jamais d’érection. A jamais il deviendra sexuellement faible jusqu’à ce que je le décide de nouveau. Comme ça ils sauront qu’on ne blague pas avec moi Avélie.
Après avoir terminé ma tâche, je ressortis sans qu’ils ne remarquent ma présence. Pour ce qui est de Nick, ce n’est que la partie visible de l’Iceberg. Et après que tout soit terminé, je massacrerai toutes ces sorcières de merde pour avoir tué mon seul fils unique Emmanuel. C’est une douleur que je n’oublierai jamais.
*Ville de Tsévié*
**** Thuram ****
Cet homme croit s’en sortir après m’avoir giflé de la sorte ? Je ne sais pas pour qui s’est-il prit pour faire un truc pareil. Croit-il être en France où tout est permis ? De toutes les façons, je ferai de tel sorte qu’il croupisse un bon moment au trou. Et Francine ? Pourquoi m’a-t-il caché cette autre vie d’elle ? Hum, on ne pourra jamais connaitre l’homme ! Elle avec qui j’ai passée tout ce temps ; je ne peux pas imaginer qu’elle avait un mari quelque part caché dans la nature. Bon, je crois revenir à ça plus tard. Pour le moment il faut que j’aille voir mon père.
Avant de sortir de la prison civile, je donnai des instructions fermes à mon élément. Qu’il ne laissera pas cet homme passer un coup de fil ou recevoir une quelconque visite. Juste une manière de lui montrer qu’on ne se moque pas de moi sans payer. Pour ce qui est de l’enquête concernant les deux fugitifs, le procureur en personne et Amandine ont pris l’affaire en main donc je suis un peu dégagé. La fois dernière, nous avons mis la main sur les deux taupes dont l’un fait parti de mon unité. Celui là même que j’ai pris soin de monter en grade pour avoir empêché Joseph de fuir, hum voilà cette même personne qui lui vend des informations contre de l’argent ! Dans cette vie, ce que j’ai déduit est qu’il ne faut jamais avoir la confiance absolue en un être vivant. Qui aurait pu imaginer que Steve que tout le monde apprécie ici chez nous fera un coup pareil ? En tout cas, la justice s’occupera de son cas.
Une fois arrivé chez moi, je me changeai et rejoignis mon paternel dans son appartement de l’autre côté de la ville. La tête qu’il faisait prouvait déjà la nature de ses résultats d’analyses. Je dois m’apprêter à écouter une mauvaise nouvelle alors je n’allai pas par mille chemins avant de lui poser la question :
Moi : C’est aussi grave que ça père ?
Lui : Ne t’en fait pas fils. Assois-toi. Ce n’est même pas la raison pour laquelle je t’ai fait venir. Prend place s’il te plaît (sourires). As-tu peur que ton vieux père s’en aille te laissant seule ? Je ne suis plus jeune Thuram et rassures-toi que tout se passera bien pour moi du moins après tout ce que je vais bientôt te dire.
Moi : Ecoute père, tu me fais déjà peur là. Dis-moi quelles sont les nouvelles ? J’aurai dû vite me libérer pour t’y amener. Alors qu’est-ce que les docteurs ont trouvé et qui te préoccupe à ce point ?
Lui : J’ai une tumeur cérébrale inguérissable fils. Et selon les docteurs, il ne me reste que pratiquement deux mois à respirer cet air frais de la nature.
Moi : Une tumeur cérébrale ? Co..co..Comment cela soit possible ? Il n’y a pas un moyen pour l’enlever ?
Lui : Non non fiston, ils ne peuvent rien faire. Son emplacement ne permet pas de faire une opération chirurgicale. Je risque soit la mort ou soit perdre toutes mes facultés physiques ainsi qu’intellectuelles. Tout homme qui vit doit un jour aller rejoindre ses ancêtres. C’est mon temps qui arrive et je dois me préparer avant qu’il n’arrive. Ne pleure pas pour moi fils. Je t’ai bien éduqué et je crois que tu t’en sortiras sans ton vieux père. D’ailleurs, tu le fais déjà depuis un bail. Après la perte de ta mère et de ta sœur, j’ai cru que tu n’allais pas t’en sortir mais c’est plutôt le contraire. Tu t’es surpassé pour donner le meilleur de toi-même en devenant ce que tu es aujourd’hui. Je suis fier de toi fils et de ce que tu es devenu. Ne pleure pas lorsque je m’en irai.
Moi : (Les larmes roucoulent) Père…..
Lui : Ecoute fiston, ce n’est pas le moment de pleurer. D’ailleurs, tu ne dois pas verser une goutte de larmes à ma mort. C’est vrai que tous les hommes ne sont pas parfaits mais moi j’ai été la pire des racailles de ma jeunesse. Il y a des choses que je t’ai cachées juste pour que tu gardes l’image de bon père et de modèle que tu portes à mon égard.
Moi : De quoi parles-tu papa ? Je t’aime comme tu es. Toi-même tu le sais. N’importe ce que tu as fait dans ton passé, cela fait parti de ton passé et je ne te jugerai pas pour ça. On commette tous des erreurs dans la vie père alors sache-que tu resteras toujours mon modèle et idole.
Lui : Oui c’est vrai, on commet certes des erreurs dans la vie mais il y a certaines qui nous marquent à jamais ; que l’on ne peut pas oublier. C’est pour cela que je préfère tout arranger avec les deux mois de temps qui me restent à vivre.
Moi : (Inquiet) De quoi parles-tu père ?
Lui : Hum fils, pardonne-moi pour ce que je vais te dire. Cela fait des années ; trois ans avant que tu ne naisses, moi et mes copains de l’époque avions violé une jeune femme qui a refusé mes avances.
Moi : Quoi ? Violer une femme ?
Lui : Oui fiston. Voici ce qui s’est passé (…..)
Moi : (Muet un long moment). Papa, comment as-tu pu faire un truc pareil à cette femme ? Comment père ? Pourquoi ?
Lui : Je reconnais mes erreurs fils. C’est pour cette raison que je veux arranger les choses avant ma mort. Je veux la retrouver et sa fille en plus qui est ta demi sœur.
Moi : Et tu penses que c’est facile comme ça père ? Cela fait plus de vingt huit ans ! Où la retrouveras-tu ? Pourquoi père ? Pourquoi ? Toi pour qui j’ai tant d’admirations et de respects ? Comment peux-tu me décevoir de la sorte et en plus de ça me le cacher depuis toutes ces années ?
Lui : Je suis désolé mon fils mais tu restes la seule personne qui peut m’aider. Elle s’appelle Rose Aghate Kampir.
Moi : (Le nom là me dit quelque chose) Rose Aghathe Kampir ? Tu as dit ?
Lui : Oui fils.
Moi : Ce n’est pas possible père ! Jésus Marie Joseph ! C’est cette femme pour qui j’ai travaillé avant de démissionner parce qu’elle avait séquestré Rachel !
Lui : Es-tu sûr fiston ?
Moi : Evidemment que oui. Il ne peut pas avoir deux personnes qui portent un même nom.
****Rachel****
Durant tout mon trajet de retour, je me suis plongée dans mes pensées et sans cesse j’ai revu les évènements douloureux de ces derniers mois de ma vie. En plus de cela vienne s’ajouter une mère inconnue. Sans doute j’aurai besoin d’une épaule sur laquelle pleurer et qui pourra m’aider à résoudre mes problèmes. J’ai pensé à Arsène mais sans vous mentir je n’éprouve pas encore de sentiments à son égard alors je me tournerai vers Thuram. Après tout ce qui s’est passé, il n’a cessé de me courir après pour me demander pardon. Je pense donc lui donner une deuxième chance. Une chance de vivre cet amour incommensurable qui nous lie. Je vais lui téléphoner pour qu’on en discute.
Recap du chapitre :
1- Quel sort est réservé à Sébastien et Lopez?
2- Gladys par amour réussira-t-elle à affronter son père ?
3- Naomi retiendra-t-elle la leçon ?
4- Thérèse encore dans des ennuis à cause de Fabrice et Nick?
5- Que pensez-vous du comportement de Fabrice et de Nick?
6- Quel sort sera réservé aux deux sorcières ? Avélie et Didi?
7- Thuram et son père réussiront-ils à se faire pardonner?
8- La décision de Rachel? Est-elle la bonne?
À Samedi prochain pour la suite.
Par Koffi Oliver HONSOU
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