LA SURPRISE

Ecrit par belleetrebelle


Oui oui, c’est comme ça qu’il fait. Au début de notre relation je trouvais cette attitude bizarre. Du coup je me faisais des films. Et si je me mets à parler quand il est au téléphone. Comment va réagir sa femme ? Et lui comment réagira-t-il ? Mais à quoi tout ça m’avantagerait vue que ça ne créera que des problèmes ? Une fois je lui ai demandé s’il n’avait pas peur que je lui crée des problèmes du fait qu’il appelle sa femme en ma présence ?

Georges : je sais que tu es quelqu’un de bien donc je ne vois pas pourquoi tu voudrais nous créer ce genre de problèmes. Sauf si je me trompe

Je n’avais pas voulu continuer avec cette conversation. Et plus tard je me suis juste habituée avec ce système.

 

Après avoir discuté avec sa femme et sa fille il a raccroche et nous sommes partis. Quand il ne passait pas son séjour chez moi il allait à l’hôtel dont il est le proprietaire. Il avait donc insiste a ce qu’on y fasse un tour question pour lui de se débarbouiller avant de se rendre à la réception. Moi je voyais seulement le temps passer et mon sommeil qui n’avertit pas souvent avant de prendre possession de moi. Je craignais de ne pas être à la hauteur et de ne pas jouer mon rôle d’accompagnatrice. Mais bon c’est toute calme que nous avons pris le taxi pour l’hôtel.

J’ai toujours le cœur qui bat quand je me rends à cet endroit. Assumer son rôle de maitresse c’est avant tout d’avoir un mental de résistant et un cœur gros comme le ballon. A chaque fois que je suis arrivée ici, c’est comme si sur mon front était écrit voilà la pute du boss. Seulement les regards veulent seulement me tuer. Georges a beau parler mais c’est à contrecœur que je le suis souvent. A nos débuts j’étais plus à l’aise dans un autre hôtel ou dans ma maison. Mais avec le temps je me suis habituée, car parfois monsieur arrivait et si je ne voulais pas venir le voir bah on ne se voyait pas tout simplement (ps : c’est un champion dans le chantage affectif). Bien-sûr le regard des femmes sur moi est plus dur que ceux des hommes. Et mon homme de dire que c’est parce qu’elles aimeraient à ma place et comme il ne l’est accorde même pas son sourire, c’est normal quel se comporte de cette façon. Vous allez sans doute vous posez la même question que moi au début. « Et si elle vont dire à sa femme qu’il a une maitresse ». Georges de dire que sa vie familiale et sa vie professionnelle sont parfaitement sous son contrôle.

Si je vous dis que cette relation ne m’a pas donné quelques cheveux blancs et des sueurs blanches depuis le début ce serait vous tromper.

Un soir alors que nous étions chez moi sa femme a appelé à plusieurs reprise et lui il ne voulait pas décrocher disant qu’il allait rappeler plus tard. Apres elle a abandonné. C’était une première et moi j’ai voulu en savoir plus.

Moi : pourquoi tu ne prends pas ?

Georges : je t’ai dit que je rappellerais plus tard.

Moi : vous avez des soucis ?
Georges : non

Moi : moi je ne veux pas les problèmes, je ne serais pas tranquille j’essaye de joindre mon mari et il ne prend pas le téléphone.

Georges : je saurais quoi lui dire, ne t’inquiète pas. Tu sais (quand il arrive déjà à « tu sais » c’est que la situation devient très sérieuse) j’ai remarqué qu’à chaque fois que je l’appelle ou qu’elle le fasse tu es mal à l’aise et je n’aimerais pas que tu te sentes mal dans ce sens-là. Je préfère donc limiter au maximum de te faire souffrir.

Moi : mais ça tu pouvais me l’expliquer. Tout compte fait je me suis déjà habituer à vos appels et ça ne me met plus vraiment dans mes états quand vous discutez.

Georges : je te connais ma petite chérie, ta petite jalousie dans le calme la va te tuer. Ca va aller, ok ? Allez viens dans mes bras.

A l’hôtel…

Gérant : bonjour boss, bonjour madame

Georges : alors monsieur Pierre comment allez-vous ce matin.

Gérant : nous sommes-la boss, on gère la galère.

Georges : un grand boss comme toi tu pleures la galère. Regarde tout ce que tu gères. (C’est tout mon homme ça, toujours en train de taquiner).

Gérant : rires (il rit et s’avoue vaincu)

Georges : tout est prêt la haut ?

Gérant : oui boss

Georges : ok grand boss, merci.

Suis-je entrain de rêver au bien quelque chose se prépare ici. Allons seulement…

Nous sommes monte au 5eme niveau au lieu de prendre la route de sa chambre normalement il se dirige dans la suite qui se trouve au fond du couloir.

(Peut-être l’heure du sacrifice a sonné, façon mon cœur bat ici, ma mère va mettre sa tête ou si jamais je ne ressors pas de cet hôtel vivant)

Georges : c’est quoi ce visage, calme toi ton heure n’a pas encore sonne si c’est ça qui t’inquiète, dit-il en se moquant de moi.

Moi : j’esquisse une sorte de sourire qui le fait tout simplement pouffer de rire. Il me sert dans ses bras en me rassurant.

Georges : je me change juste et nous ressortons. Je suis encore le patron ici à ce que je sache, donc je peux dormir ou je veux.

Moi : (je ne dis plus rien et avance tout simplement)

(Georges)

C'est toute tremblante que je la conduis dans la suite. Je ne sais pas pourquoi elle a peur. C'est vrai que si j'avais été à sa place j'aurais eu cette frousse surtout avec les histoires qu'on écoute souvent sortir des hôtels. Ne vous inquiéter pas je ne vais pas manger votre sœur, je lui ai préparé une surprise haut de gamme. Ca fait plus de deux semaines que je suis sur ce projet. Et il ne faut pas que sa peur me gâche mon travail.

Moi : respire et détends-toi

Jolie : c'est ce que j'essaye de faire depuis.

Je la retiens sur le côté et j'ouvre la porte.

Moi : (me plaçant devant elle). Tu peux entrer. (Elle reste ébahie devant la porte).

Allons entrer ma belle! Tu as perdu ta langue chérie. Cette nuit je veux la passer dans en ta présence. Je veux te remercie d'être ce que tu es. De m'avoir accepté dans ta vie bien que je sois marie. Je veux également te remercie d'être a mes cotes même quand je suis agaçant qu'un enfant.

(Je ferme sa bouche qui était restée entre-ouvert depuis qu'elle est entrée dans la chambre)

Jolie : ohh, la mouche n'entrera pas dans ma bouche et puis même je suis sure qu'il ne peut pas en avoir dans ce lieu.

Moi : viens on va faire une petite visite

 

(Jolie)

Je ne suis pas encore remise de ma surprise. Je suis prise au dépourvue, le tour si il a dérange.

Georges : nous commençons ici, suis moi

Nous prenons la route de la chambre. Le décor est juste à faire tomber plus d’une. Les pétales de fleurs qui étaient blanc a l’entrée sont maintenant bleu dans la chambre. Et sur le lit un grand cœur bleu avec au milieu un cadeau bien pose m’attend.

Il avance, prend le cadeau et me l’offre

Georges : c’est pour toi tu peux l’ouvrir maintenant ou après sa dépend de toi.

Moi : maintenant, parce que je ne sais pas ce qui m’attend devant. Je peux faire une overdose de surprise comme les blagues. (ca le fait rire), j’ouvre le paquet comme un enfant devant un bonbon. C’est en larme que je fonce sur lui, le couvrant de baiser. (Le dernier NIKON D5300) Je ne sais comment te remercier.

Georges : je t’ai dit que c’est moi qui te remerciais.

(Georges)

Nous continuons la visite jusque dans la cuisine ou sa dernière surprise l’attend. Je tiens à réaliser un de ses fantasmes ce soir. J’espère seulement être à la hauteur.

Moi : viens t’assoir ici (lui indiquant la paillasse)

Jolie : hummm

Je prends son dernier cadeau et m’approche d’elle. Elle a les yeux revolvers. (Rires) je le pose près d’elle et me place entre ses jambes pour lui voler un baiser. Mes mains passent entre son entrejambe et l’a fait tressaillir.

Jolie : j’ai juste l’impression que je suis dans un compte de fee.

Moi : pourtant tu ne rêves pas. Ça fait longtemps que je veux t’offrir ce cadeau. Profites-en et laisses-toi aller. Ouvres-le s’il te plait !

(Jolie)

Je n’arrive pas à croire qu’il est fait ça. Je me dépêche d’enfiler la tenue sexy qui se trouve dans le cadeau. Mon corps et tout feu tout flamme quand il m’attache  les yeux « je ne suis pas sure de supporter ». Monsieur ne m’écoute même plus car il est occupé à me sucer le teton.

Je sens que demain je vais être malade, le boss la va seulement me comprendre car ma soirée ne fait que commencer.

Maitresse un jour, m...