<< La voie à suivre >> Chapitre 13

Ecrit par Le Kpetoulogue

Chapitre 13


Oui, la frontière entre justice et vengeance est infime. Il suffit d’un rien pour la franchir et devenir soi-même ce que l’on déteste. Paul se trouvait juste devant cette ligne. L’adrénaline, la rage, la satisfaction d’avoir enfin riposté, l’euphorie de réaliser qu’il pouvait se défendre… Tant d’émotions se mélangeaient en lui. Mais il devait faire un choix.

Alors, lentement, Paul s’abaissa. Il ramassa son sac, arrangea sa tenue et, sans un mot, tourna les talons en direction de son collège. Comme Luqman l’avait dit, son trou n’était pas si profond. Il se sentait léger. 

Luqman : « Alors, c’est la voie que tu as choisie… »

Il s’apprêtait à partir lorsque M. Bathily l’interpella.

M. Bathily : « Attends un instant »

Même s’il était satisfait de voir Paul se défendre, M. Bathily ne pouvait ignorer qu’un autre élève venait d’être mis à terre. Il se précipita vers l’harceleur, qui était encore sonné, et l’aida à se relever. Une fois qu’il eut repris pleinement conscience, il lui tendit une bouteille d’eau pour qu’il puisse se rincer la bouche du sang qui s’y était accumulé. Puis, d’un ton ferme, il le réprimanda.

M. Bathily : « Ce que tu as fait est inacceptable. J’espère que tu as compris la leçon et que tu laisseras Paul tranquille à l’avenir »

Le garçon hocha rapidement la tête. Il n’avait de toute façon plus la moindre envie de s’approcher de Paul après ce qu’il venait de prendre.

M. Bathily se tourna ensuite vers Luqman.

M. Bathily : « Alors, c’était ça, ta façon de l’aider ? »

Luqman haussa un sourcil : « Le problème n’est-il pas résolu ? »

M. Bathily : « La violence n’est pas une solution, monsieur Luqman »

Luqman : « Ça dépend du monde d’où l’on vient. »

M. Bathily : « Pardon ? Qu’est-ce que tu veux dire ? »

Luqman détourna légèrement le regard, puis haussa les épaules.

Luqman : « Rien, monsieur. Je dois aller en cours… »

Il fit quelques pas, puis s’arrêta.

Luqman : « Et au fait… Ça, ce n’était pas de la violence. Paul s’est juste défendu. »

M. Bathily l’observa s’éloigner. Pendant un instant, il eut l’impression que Luqman était… déçu. Comme s’il avait espéré une autre issue.

En réalité, Luqman savait ce qu’il aurait fait à la place de Paul. Une partie de lui aurait voulu qu’il réponde coup pour coup, qu’il rende au centuple ce qu’il avait subi. Parce que c’est ce que lui aurait fait. Il le savait bien. Il y avait une part d’ombre en lui. Une part qu’il s’efforçait de museler. De garder sous scellé. 

Pendant ce temps, de son côté, Leila avait enfin rassemblé tous les documents et autorisations nécessaires pour se présenter au poste de présidente du conseil des étudiants.

Il fallait maintenant qu’elle aille officiellement poser sa candidature auprès d’un autre censeur, qui était aussi professeur dans l’université. C’était M. Koua 

Leila : « Venez, vous allez m’accompagnez pour déposer mes documents »

Yohan : « Ahii ? Papiers la pèse combien de kilos et tu veux qu’on t’accompagne encore dans ça la ? » 

Leila : « S’il vous plait çaaa … vu que vous allez m’aider »

Yohan : « Non, moi j’aime pas vraiment la vibe (l’impression) que dégage M. Koua. Mogor (ce type) la, est trop bizarre » 

Leila : « Et toi Luqman ? Tu veux bien m’accompagner ? » 

Luqman : « Si tu veux » 

Une fois devant le bureau de M. Koua, Leila tapa à la porte, mais personne ne répondit. Il devrait pourtant se trouver à son bureau à cette heure. Elle toqua à nouveau et, cette fois-ci, elle eut une réponse.

M. Koua : « Oui ? Entrez. »

Une fois à l’intérieur 

Leila : « Bonjour, Monsieur. »

M. Koua : « Ah, mademoiselle Touré. Que puis-je pour vous ? »

Leila : « Je suis venue déposer ma candidature pour la prochaine élection du conseil des étudiants. »

M. Koua : « Ah, cette année, Éric va avoir un adversaire ? Haha. Asseyez-vous et montrez-moi ça, que je vérifie si tout est en ordre. »

Alors qu’ils étaient assis, M. Koua feuilletait les documents que lui avait apportés Leila. Cette dernière sentait que Luqman était quelque peu mal à l’aise. Il observait le bureau de M. Koua avec une certaine attention.

Leila : « Il y a un souci, Luqman ? »

Luqman : « Hum… rien de spécial. »

M. Koua : « Bon, tout est en ordre, mademoiselle Touré. Je vous souhaite bonne chance. »

Leila : « Merci, monsieur. »

Une fois hors du bureau, Luqman demanda à Leila quel genre de personne était M. Koua. Il était censeur mais aussi professeur d’une matière à l’université. Elle ne savait pas grand-chose de lui, vu que c’était un professeur qui ne sortait pas vraiment du lot.

Physiquement, M. Koua était un homme de petite taille, à la silhouette enrobée, avec un ventre légèrement proéminent. Son visage rond, marqué par des traits fatigués, n’avait rien d’attirant. Ses cheveux, clairsemés et mal coiffés, semblaient souffrir d’un cruel manque d’attention. Une légère odeur de tabac flottait parfois autour de lui, et ses vêtements, bien que corrects, donnaient souvent l’impression d’avoir été enfilés à la hâte. Il ne faisait pas partie de ces enseignants charismatiques qui marquent les esprits, et la plupart des étudiants ne prêtaient guère attention à lui, hormis pour ses cours.

Outre le fait qu’on dise qu’il soit de la même famille que le président de l’université, il n’y avait rien d’autre à dire sur lui. Il dispensait bien ses cours, et on ne l’avait jamais vu dans quoi que ce soit d’étrange.

Leila : « Il y a un souci avec lui ? »

Luqman : « C’est sans doute rien. »

À l'intérieur du bureau de M. Koua, il expira comme un soulagement quand Leila et Luqman sortirent. 

M. Koua : « Oouh Hahaha, on a failli se faire surprendre hein… n'est-ce pas Grâce ? » 

Sous son bureau se trouvait une étudiante, la bouche pleine de sperme. Il semblerait que durant tout ce temps, elle se trouvait sous la table en train de lui faire une fellation 

M. Koua : « Ta petite bouche est vraiment incroyable. Regarde comment tu m'as fait jouir mMmH, vas-y avale moi tout ça » 

Un peu hésitante, Grâce finit par avaler le sperme de Mr Koua. Elle sortit ensuite d'en dessous de la table et arrangea sa tenue. Alors qu'elle s'apprêtait à son tour à sortir du bureau, M. Koua l'arrêta

Koua : « Un instant, il y a quelque chose que je voulais te faire essayer aujourd'hui »

Grâce : « … » 

M. Koua sortit de son tiroir un petit plug en métal 

Grâce un air effrayée : « Monsieur ?? » 

M. Koua : « Oooh. Allez, c'est tout petit. Tu ne vas rien sentir. Allez, viens-la et écarte-moi ses magnifiques fesses »

À contre cœur, Grâce obéit à Mr Koua. Elle se pencha sur son bureau après avoir soulevé sa jupe. M. Koua écarta sur le côté son string, et après avoir écarté ses fesses, il prit un moment pour admirer son cul 

Koua : « Quel joli anus est-ce que tu as. Mmmh j'ai hâte de m'amuser avec ça » 

L'entendre dire des choses si obscènes gênait terriblement Grâce, mais elle restait silencieuse

Grace : « … «

Koua lécha le plug pour suffisamment l'humidifier avant de le pénétrer tout en douceur dans l'anus de Grâce 

Grace : « Aah… Mmh … »

Koua : « C'est parfait. Garde ça jusqu'à tout à l'heure » 

Grâce : « Ahii ? Comment ça tout à l'heure monsieur ?? »

Koua : « Repasse me voir dans mon bureau après les cours, je n'ai pas encore fini de me décharger » 

Grace : « Mais monsieur ? Je dois aller au culte avec mes parents ce soir » 

Koua : « Ha oui c'est vrai… Ha mais c'est dommage pour le culte alors. Ne t'en fais pas, Dieu ne disparaîtra pas le temps d'une soirée. Je t'attends ici tout à l'heure »

L'air renfrogné, Grace ne savait pas quoi à répondre à cela. Elle se contenta de ressortir du bureau de M. Koua et se diriger vers sa salle de classe. En chemin, des amies à elle la saluèrent mais tellement perdues dans ses pensées que Grâce ne les remarqua même pas. Une fois dans sa salle de classe, Grâce était pensive durant tout le cours. Il y a une question qui lui revenait sans cesse en tête alors qu'elle regardait le paysage par la fenêtre 

- A quel point est-ce que c’est haut ? 

Elle regardait l'horloge en espérant que le temps s'arrête, qu'il cesse de s'écouler définitivement. Mais plus elle espérait cela, plus chaque seconde qui passait lui paraissait aller bien trop vite. La fin des cours arriva bien plus tôt qu'elle ne le pensait. Pendant que tous ses camarades de classe sortaient de la classe, Grace y resta quelques minutes. Comme si elle avait besoin de rassembler son courage pour affronter une épreuve. Tout était devenu subitement calme autour d'elle. Elle sortit de sa classe et se dirigea vers le bureau de Mr Koua. Elle marchait lentement, espérant ne jamais y arriver. Mais chaque pas qu'elle faisait la rapprochait de plus en plus de son bureau. Une fois devant, elle hésita longtemps à toquer à la porte. Elle priait surtout pour qu'il ne soit pas là, que le bureau soit vide. Elle n'avait clairement aucune envie d'être là. Elle aurait aimé être partout sauf ici 

Alors qu'elle était hésitante à taper, la porte s'ouvrit. C'était M. Koua 

Koua : « Ha tu es là finalement, je m'impatientais. Qu'est-ce qui t'a pris autant de temps ? » 

Grace : « J'étais avec… des amies. Elles… elles ont tardé à partir » 

Koua : « Ok je vois. Entre ma belle » 

Grâce entra dans le bureau de Mr Koua. Elle sentait son pouls accélérer à cause de la peur qu'elle ressentait. Quand elle l'entendit fermer à clé sa porte, c'est comme si son esprit s'écroulait à cause de la peur qu'elle éprouvait. M. Koua se rapprocha d'elle et commença à lui faire des caresses. La touchant partout où il le pouvait. Elle le laissait faire, espérant que cela finisse au plus tôt 

Koua : « J'espère que le plug est toujours là où il devait être » 

Grace : « O-Oui monsieur »

Koua : « Parfait, fais-moi voir »

Comme tout à l'heure, Grace se pencha à nouveau sur le bureau de M. Koua et releva sa jupe. Il écarta à nouveau son string et tout doucement il ressortit le plug. 

Koua : « Waaa ça t'a fait un joli petit trou mmMh » 

Koua enfonça subitement son visage entre les fesses de Grace et commença à en humer l'odeur. Cela l'excitait terriblement 

Koua : « Mmmh j'adore ton odeur MMmmh » 

Grace était terriblement dégoûtée par tout ce qui se passait sur le moment. Elle prenait sur elle pour ne pas pleurer, tant elle se sentait sale. Grace laissait M. Koua faire ce qu'il voulait, priant de toutes ses forces que cela se termine au plus tôt. Elle sentait sa langue aller de sa chatte à son anus, en s'appliquant à tout lécher sur le chemin. Grace en voulait à son corps de ressentir des frissons, d'exprimer par moment des gémissements faisant croire à M. Koua qu'elle aimait ça alors que non. Cela la débectait mais sa chatte mouillait face aux coups de langue de M. Koua. Il lui mettait des doigts à la fois dans la chatte et dans l'anus en les bougeant simultanément, tout en caressant son clitoris et s'efforçant de l'aspirer

Grace : « MmH … aAanh … aananH … mMMH »

Koua : « Mmmh, on dirait que tu aimes bien ça ma petite Grâce.  Ta chatte est tellement délicieuse »

Elle aurait préféré se couper la langue plutôt que de gémir, mais des frissons incontrôlables traversaient son corps. M. Koua savait où toucher pour faire réagir son corps

Koua : « Allez agenouille-toi ; maintenant je veux sentir ta bouche » 

Alors que Grâce s'agenouillait en s'efforçant d'éviter de croiser le regard de M. Koua, ce dernier ôta son pantalon présentant sa queue à Grace. Elle était hésitante à obéir à son ordre 

Koua : « Et bien quoi ? Ce n'est pas la première fois Grace, donc ne fais pas ta sainte ni touche et fais-moi du bien. Suce ma queue » 

Grace : « … » 

Grace rapprochait lentement sa bouche de la queue de M. Koua qu'elle trouvait infecte. Son sexe dégageait une forte odeur de pisse. Elle ne le trouvait tellement pas propre du tout. Ce n'était pas la première fois pour elle qu'il l'obligeait à lui faire une fellation, mais à chaque fois, elle trouvait cela tellement dégoûtant. Exaspéré d'attendre que Grace se décide, M. Koua saisit sa tête et enfonça subitement sa bite au fond de la bouche de Grâce 

Grace : « MMMMHHHH ???!!! » 

M. Koua : « Ooh Mmh Ouiii cette bouche mmmH Je ne peux pas m’en passer »

Grâce se sentait comme étranglée, elle avait du mal à respirer parce qu'à chaque fois qu'elle cherchait à le faire, la forte odeur de pisse lui frappait aussitôt dans le visage. M. Koua se servait de sa bouche comme un masturbateur. Vu qu'il te tenait par sa tête, il accélérait et diminuait la cadence au gré de ses envies. Grace essayait de le repousser mais elle n'avait pas suffisamment de force face à son gabarit. M. Koua continua de lui baiser la bouche pendant un bon moment jusqu'à ce qu'il veuille passer à autre chose. Quand il se retira finalement de sa bouche, Grace ressentait une forte envie de vomir. 

Grace : « BEEUUUURRKK !!! EEEUUUURRK !!! » 

Malgré que rien ne sortait de sa bouche, si ce n'est que des filets de salive, l'envie de vomir persista un bon moment. Grace voulait vomir jusqu'à ses intestins. Elle essayait de reprendre son souffle et ses esprits, mais M. Koua ne comptait pas lui en laisser le temps 

Koua : « On n'a pas le temps de tout ça, allez penche-toi sur le bureau » 

Grâce semblait ne pas avoir la force de se relever. M. Koua la saisit pour la pencher sur le bureau. Il versa sa salive sur son gland et pénétra violemment la chatte de Grace 

Grâce : « IiihHHgg !!! » 

Sa queue n'était pas longue mais assez large, au point que Grace se sentait écartelée. Ce n'était pas la première fois qu'il la baisait, mais elle avait terriblement du mal à s'habituer à la largeur de sa queue. La tenant par ses hanches, M. Koua commença à se mouvoir en elle 

Koua : « Ta chatte est trop bonne Mmmh J'adore comment tu me serres la bite » 

Grâce : « Aaanh AaAIIE mMmh Aaagh aaaAAie » 

Grace avait plus mal qu'autre chose. Le dégoût qu'elle ressentait continuait de s'accentuer pendant que M. Koua lui prenait son pied. Il fanfaronnait, cela l'amusait. Il kiffait ce moment. Il se pencha au-dessus de Grâce et essaya de l'embrasser en lui tournant le visage sur le côté, mais elle résista. Elle ne voulait pas embrasser un tel homme, cette situation la dégoûtait suffisamment 

Koua : « Oh ? Tu ne veux toujours pas m'embrasser ? Mmh ok je vais m'amuser autrement »

Koua commença à enfoncer son pouce dans l'anus de Grâce. Il lui doigtait le cul tout en se synchronisant sur ses va-et-vient. La gêne que ressentait Grace grandissait au fur et à mesure. M. Koua avait espéré quelques gémissements, mais Grâce s'efforçait de retenir tout ce qui pourrait sortir de sa bouche et cela commença à agacer légèrement M. Koua qui sentait son plaisir diminuer

Koua : « Arrête de te retenir ! Je veux t'entendre gémir comme une petite salope » 

Exaspéré, M. Koua comme pour exprimer son mécontentement envoya une violente claque sur la fesse de Grâce 

Grace : « IIIIGGGGHHHHH !!! » 

Koua : « Oh d'où sort ce gémissement ? Tu aimes les fessées hein, on dirait »

Koua commença alors à enchaîner les fessées de plus en plus violemment, soutirant gémissements et cris de douleurs à Grâce 

Grâce : « AaaAIIIEE mMMh Aaaanyh AAAnNGH aAaaIIiIIEEEE » 

Plus il la fessait, plus M. Koua sentait la chatte de Grâce se contracter autour de sa queue. Cela amplifiait le plaisir qu'il ressentait. Pour Grâce, c'était autre chose. Elle commençait à avoir terriblement mal au bas-ventre. À cause des violentes fessées qu'elle venait de recevoir, elle sentait des sensations de brûlures sur ses fesses. Mais le pire, c'était qu'elle en voulait à son propre corps de sortir des bruits aussi insolites et d'attiser l'excitation et le plaisir de cet homme dégoûtant qui farfouillait comme bon lui semble dans son intimité 

M. Koua : « Aaah Je Je  vais JjOo jOUoUIIIR ooOoH mmmh OooH oooUIIIIiiiii » 

Sans crier gare, M. Koua déchargea son foutre à l'intérieur de Grâce. Il resta en elle pendant un long moment pour s'assurer que la moindre goutte de son sperme se déverse en elle. Quand sa sensation de plaisir s'estompa, il se retira d'elle en écartant sa chatte et admirant son sperme en découler 

Koua : « Tu es tellement bonne ma petite salope » 

Grace : « … » 

Vu qu'il semblait finalement satisfait, Grâce se rhabilla aussi vite qu'elle put pour sortir de ce bureau. 

A Suivre …


La voie à suivre