Lara MEDEGAN

Ecrit par Lulu-marie

Chapitre 1 : Lara MEDEGAN
***Lara***
Elle : Laraaaa Laraaaa, Laraaa Laraaa n’est pas là ? Mais elle est où
Moi (accourant) : oui oui madame
Elle : je suis ton égal ? 
Moi (regardant mes pieds) : Non madame, excusez moi
Elle : tu étais où et je criais comme ça ? 
Moi : Madame j’étais….
Elle (me coupant) : Tu étais où inh, tu comptais ma voix d'abord c’est ça ?
Moi : Non tantie
Elle (vociférant) : Stop, prends les sous et vas au marché tu as oublié qu’aujourd’hui c’est samedi et que je devrais te rappeler d’abord que tu dois aller au marcher c’est cela ? 
Moi (petite voix) : Non madame
Elle : Tchrrrr prends les sous et dégage de ma vue. Et si je sors voir ma cuisine dans un sale état, tu me sentiras passé.
Je ramassai les sous qu’elle me jeta et sortis de sa chambre. Voilà comment débuta ma journée ce beau samedi matin d’été, c’est devenue une routine j’avais 16ans quand je perdis froidement mes parents d’abord ma mère décédé des suites d’une maladie d’hypertension, elle avait une crise papa l’a conduite à l’hopital mais elle s’en est allée le même jour. Un mois après je perdis mon père après une autre maladie que je n’ai jamais comprise. La souffrance de la vie. Une cousine de maman m’avait prise sous son toit, je passais en classe de première là ce n’était pas facile, mes études on été coupées, très vite j’étais devenue une charge pour ma tante disait son mari. Comme je devenais la cause de conflit dans son couple, elle m’a libérée. Ma maman est fille unique peut être si elle avait des frères et sœurs je ne me serais pas retrouver dans une telle situation. Très vite j’ai compris que je devrais faire face à mon destin, être forte pour vivre dans cette jungle qu'est la vie. Je me suis retrouvée à la rue, j'ai fait des mains et des pieds pour me payer la scolarité j'ai repris la première et je passais en terminale. Je n'arrivais plus à joindre les deux bouts entre payer la scolarité, trouver un endroit où crèché et subvenir à mes besoins c'était difficile j'ai du arrêter les cours. Mes grands parents maternel n’étant plus non plus, ce n’est pas ma famille paternelle qui s’occupera de moi parce que depuis le début on n’avait pas de relation. Même après la mort de mes parents, personne de ce côté ne s’était rapproché de moi pour demander quoique ce soit. Ils avaient juste débarqué à la maison un matin après l'enterrement de papa prendre possession de notre maison disant que c'est la maison de leur frère et qu'ils doutaient même de ma paternité. Bref j’avais 16ans à l’époque et aujourd’hui j’ai 24ans. Cela fait huit bonne années que je suis livrée à moi même, huit années durant lesquelles je me suis battue pour subvenir à mes besoins. Des fois je me réjouis de n'avoir pas de petit frère et soeur parce que je me demande comment allons nous nous en sortir. Comment allais-je leur épargné cette souffrance de vie. Excusez moi, il faut que je me présente, mon nom est….
(crie derrière moi): raaaaah toi la fille ci tu es encore là ? Tu fais quoi debout avec mon argent ?
Moi : excusez moi madame oh, j’y vais 
Elle : tu veux recevoir un coup de palette dans ton dos, attends moi encore un peu m’bcile
En pressant les pas, je suis sortie de la maison. Tchrumm comment elle s’est retrouvée derrière moi aussi rapidement ? Nana Benz. C’est comme ça que je l’appel nana benz, très grosse cette femme on dirait une baleine. Elle a du mal à se déplacer, trop de graisse dans le corps pff. Madame Hélène est une femme de la trentaine sans enfant. Mais à vu d’œil on lui donnerait banalement soixante et dix, tellement elle est grosse. Pas mariée mais elle a des pointeurs qui passent prendre leur part. Avec sa saleté qui voudra même d’elle comme épouse ? Elle passe son temps au lit même ses dessous elle a du mal à laver. Elle fait exprès à chaque fois de les glisser dans le linge mais je lui réglisse ça sous son lit. Qui viendra laver la merde de quelqu’un ? Ce n’est pas moi. 
C’est en écoutant la radio un jour que j’ai entendu l’annonce recherche d’une femme de ménage de 20 à 27ans. C’est ainsi que je me suis retrouvée dans la maison de madame Hélène alias nana benz. Oupss où est ce qu’on en était, avant qu'elle ne vienne nous interrompre ? Voilà mon nom est Lara MEDEGAN 24 ans, orpheline des deux parents, je me retrouve seule au monde. Je n'ai pas d'amie.
***Régina***
Régina ADANDE épouse HOUNTON, je suis coiffeuse, je fais ma manœuvre, je n’ai pas un salon, ceux qui me connaisse viennent souvent à la maison. Comme vous l’avez remarqué je suis mariée à Dylan HOUNTON bon ce n’est pas un mariage religieux ni civil, juste coutumier et ce n'était pas grand chose. les connaissances avec les deux familles. Nous sommes en Afrique et le coutumier compte beaucoup.Mon mari est un agent de police et nous vivons à Avotrou un quartier de Cotonou situé dans le premier arrondissement, je ne le savais pas c'est Dylan qui me l'a dit. Ma belle mère vit avec nous depuis bientôt un an. Au début je n’avais pas adopté cela mais nous n’avons pas suffisamment les moyens et c’est la mère de mon mari et son père n'est plus. Étant donné qu'il est le seul garçon de la famille, il se doit de prendre soin de sa mère. Paraît t’il qu’il faut rester bien loin de la belle famille pour éviter les problèmes mais je n’ai pas tellement le choix, après le décès de son mari, ma belle mère s’est installée ici. Au début elle était tellement gentille avec moi et elle m’aimait, j’étais comme une fille pour elle et elle était pour moi ma seconde mère. Les choses on vite changées parce que je n’arrive pas à concevoir. Sept ans déjà que je suis avec son fils, sept ans de vie de couple et je n’ai même pas eu un semblant de grossesse. J’ai quand même espoir en Dieu, j’ai foi parce que je sais qu’il ne m’abandonnera pas, rien ne lui ai impossible. 
Belle Mère : Régina ce n’est pas à toi que je parle ? 
Moi (sursautant) : ooh oui pardon maman, vous dites ? 
BM : j’espère pour toi que tu réfléchis à comment faire pour me donner un petit fils
Moi (soupirant) : …
BM : Je te disais tantôt que ma petite fille arrive, elle vient s’installer ici j’en avais déjà parlé à mon fils
Moi (surpris) : Il ne m’a rien dit pourtant
BM (méchamment) : c’est mon fils non, prépare toi à bien accueilli la petite Nanou et à l’installé.
Puis elle a tourné ses talons. L’installé où ? Dylan avec son salaire de simple agent de police n’a pas construit grand chose, il a prit une parcelle sur laquelle il a monté deux chambres, juste deux chambres et un salon, la clôture n’est même pas encore terminé, les briques sont encore là, il faut dire que le terrain est dans la brousse. On a déménagé à cause de la location. On arrivait plus à payer le propriétaire qui, du jour au lendemain avait augmenté le prix du loyer. Alors le terrain ci trainait depuis un temps, j’ai dû conseiller Dylan de faire quelque chose la dessus pour qu’on s’installe on pourra ainsi économiser les sous. Et c’est ainsi qu’au bout de neuf mois il avait monté les deux chambres salon. Nous sommes ici depuis trois ans. Quand nous sommes arrivés c’était pire, chaque jour, avec ma houe et mon balaie, je sarclais, entretenait quand mon mari partait au boulot et me laissait seule ici. C’est ma maison, notre maison qui viendra le faire à notre place ? Ma BM n’était pas encore avec nous, j’ai travaillé d'arrache-pied pour donner un beau visage à cette maison. Jusqu’à présent Dylan n’a pas prit d’électricité dans la maison, j’avais tellement du mal à vivre ainsi au début mais j'ai finis par m'y habituer. Depuis que ma belle mère est avec nous, elle a prit la deuxième chambre et moi je partage une chambre avec mon mari. Maintenant je dois encore hébergé sa petite fille (soupire) 
Toc toc toc
Moi (me levant) : C’est qui ? 
Elle : bonjour tata, c’est moi
Moi : ah ma chérie comment tu vas ? 
Elle : je vais bien, vous avez le temps, je veux me coiffer
Moi : bien sûr, tu veux faire quelle tresse ? 
Elle (sortant des paquets de mèches de son sac): J’ai deux paquets de mèches vous allez voir ce que je peux faire avec. 
Moi (souriante) : Je crois que ça peut aller suis moi que je t’installe à l’ombre et nous allons commencé.
Elle : Vous allez me faire un joli modèle inh
Moi : Ne t’en fais pas, je vais même te faire sortir le calendrier de tresse. J’ai un tout nouveau que j’ai prit au marché la semaine dernière, il y a de jolie modèle la dessus, tu n’as qu’à faire ton choix (m’en allant)
Elle : d’accord
Quand les clientes viennent c’est le seul moment où je me sens mieux et j’oublie tout soucis dans la maison de mon mari, ça me permet en quelque sorte de m’évader sur leur tête. 
J’ai étudié jusqu’en troisième j’ai passé deux fois le Brevet d’Etude du Premier Cycle mais je n’ai pas reçu, je n’ai pas voulu continuer, déjà que j’aimais m’amuser avec les poupées quand j'étais toute petite, je jouais à la coiffeuse. C’est comme on dit un don et c’est ainsi que je me suis retrouvée à 16ans entrain d’apprendre la coiffure, chose que j’ai vite fait de maîtriser cela n’a pas du tout été difficile pour moi. Et aujourd’hui j’adore ce que je fais même si je n’ai pas un bon emplacement pour installer mon salon pour le moment, ça viendra avec le temps. 
BM : Régina qu’est ce que je mange j’ai faim
Moi (soupirant) : Maman votre repas est sur la table basse ici au salon
Silence
Elle ne m’a plus répondu, comme si elle ignorait que son repas était ici. Je sais que c’est pour me provoquer ou pour me faire passer un savon, je fais tout pour ne pas tomber dans son piège. Elle est capable même d’aller raconter à son fils que je l’ai laissé affamé toute la journée. 
J’ai prit mon sac de travail et je suis sortie de la chambre, en allant rejoindre ma cliente sous le manguier où je l’avais installé.
Moi (lui tendant le calendrier) : tient, fait ton choix
***Mélissa***
Mathis (soulevant sa mallette) : Il faut que j’y aille 
Moi (me collant à lui) : tu vas me manquer 
Mathis (bisous sur le front) : A moi aussi 
Moi(le serrant plus fort) : Reste encore un peu s’il te plait 
Mathis : Je ne peux pas chérie, tu sais que si cela ne tenait qu’à moi, je ne bougerai pas d’ici. Mais …
Moi(le regardant) : …boulot y oblige. Tu reviens vite tu me promets ?
Mathis : Oui mon cœur
Moi : je te raccompagne à l’aéroport ? 
Mathis : oui tu prends ma voiture, je te laisse les clés
Moi : okay
J’ai conduit mon mari jusqu’à l’aéroport.
Moi ( Le serrant très fort) : tu vas me manquer Math
Mathis (desserrant l’étreinte) : ça suffit Méli
Moi (à bout) : Okay, appelle-moi dès que tu descends
Mathis : oui, chérie je vais y aller maintenant. 
Encore un langoureux baiser et nous nous sommes séparé. J'ai attendu qu’il s’en aille avant de tourner mes talons et de m’engouffrer dans la voiture. Qu’est ce que je peux bien faire un samedi matin. Je suis rentrée me recoucher en attendant. Mon mari m’a donné tout le confort qu’il faut, il ne veut pas que je travail. J'etais comptable dans une banque avant de le rencontrer. Il m'a simplement dit d'arrêter de travailler et c'est ce que j'ai fait. Et depuis, chaque mois il me verse le double de mon salaire. Avec ça, pourquoi je vais me gêner de travailler pour quelqu'un. j’ai tout le confort qu’il me faut. Alors pour m'occuper un peu, j’ai ouvert un magasin de chaussure que Mathis n'a pas aimé mais il a finit pas s'adapter. Je ne vais pas travailler mais au moins il me faut ça plutôt que de passer mes journées à la maison à ne rien faire. L'idée m'est venu comme ça de créer ce commerce. Mélissa OBAO l'ex comptable de SOUN BANK vendeuse de chaussure c'est beau non ? Lol. Je ne vends pas n'importe chaussures, j'importe les talons de la chine et du Japon et j'avoue que ça marche très bien. J’irai à la boutique totalement le soir j'ai des employés qui s'occupent du magasin en mon absence. Mathis DAGA est diplomate et il travail au ministère des affaires étrangères, ce qui fait qu’il est tout le temps entre deux avions. Il est parti aujourd’hui c’est pour revenir deux semaines après. C’est à cause de cela que j’ai ouvert ce magasin même histoire de me sentir moins seule. Honnêtement j’aurai aimé passé plus du temps avec mon mari ce jour, au lit profité de cette chaleur (soupire).
***Lara***
Klaxon de voiture : Pi pi pi
La voiture s’est arrêtée auprès de moi, le type qui s’y trouvait à baiser la vitre 
Lui : bonjour 
Moi : bonjour, je ne suis pas dans le quartier donc je ne saurai vous aidez
Lui (fronçant) : Je ne vous comprends pas 
Moi : je ne pourrais par vous aidez j’ai dit.
Lui : je ne vous ai encore rien demandé
Moi : C’est pour demander le chemin non ? 
Lui (sourire) : non 
Moi : alors c’est pour quoi ? 
Lui : pour vous proposez mon aide. Le soleil est ardent et vous transportez tous ses sacs, 
Moi (le regardant) : et ? 
Lui: vous êtes sans doute fatiguée, monter je vous dépose volontiers. 
Moi : Non merci. 
Lui : j’insiste 
Moi (continuant mon chemin) : Non
En même temps il n’a pas tord, le soleil est tellement ardent. Après avoir marchandé les prix au marché et parler jusqu’à l'épuisement il me reste juste quelques pièces que j’ai mit de côté pour le transport. Je voulais marcher un peu pour réduire le prix parce qu’avec ses zems qui aiment trop l’argent à Cotonou ici et surtout avec les sacs que je transporte, ils risquent de doubler le prix.
Lui (descendant de son véhicule) : J’insiste miss
Mama oooh le type est frais, je me suis mis à le détaillé, il sort directement d’un magasin haut de gamme de la France inh on dirait un mannequin, beau, corpulent, beau yeux aahhh en mode jogging 
« Lara qu’est ce que tu fais ressaisis toi »
Lui (sourire en coin) : hehoo tu me dévores des yeux là
Moi : pff, monsieur tous frais rentrez dans votre voiture et continuer votre chemin.
Lui : pardon ? 
Moi : pardon comment tchrrrr
Je lui ai tourné dos en appelant un zem qui passait par là et je suis montée je n’ai même plus essayé de négocier le prix, direction maison nana benz.
Lui : mais attends
***Elyed***
Moi: mais attends, 
Elle est partie sans même m’accordé la chance de connaitre son nom. Je l’ai observé depuis l’entrée principale du petit marché, c’est sa beauté qui m’a tapé dans l’œil, elle est simplement belle, naturelle d’un teint foncé, petite taille, mince. C’est surtout sa petite silhouette qui m’a attirée. Je voulais lui venir en aide et pourquoi ne pas devenir ami avec elle. Je suis remonté dans mon véhicule, mon portable sonnait même.
Moi (décrochant) : allô? 
Nella: mais Elyed tu es où, maman essaye de te joindre depuis
Moi: Je rentre qu’est ce qu’il y a? 
Nella: c’est maman qui demande d’après toi, ramène sa voiture ooo 
Moi: Je suis un grand garçon
Nella: Oh maman ton fils dit qu’il est grand garçon ooh
Maman: passe le moi
Nella: Ne bouge surtout pas ta mère veut te dire deux mots
Moi: humm
Maman: Ely? 
Moi: maman
Maman: tu es sorti depuis le matin, c’est comment avec mon véhicule ?
Moi: dix heures et il est midi
Maman : tu allais au sport, il te faut combien de temps pour rentrer ? Tu es où comme ça? 
Moi: je ne suis plus loin de la maison
Maman : pardon ramène moi le véhicule je dois sortir
Moi: okay
Maman : dépêche-toi
Moi: oui 
Click
Non mais maman et son histoire de ramène moi mon véhicule. 
Sonnerie de téléphone
Moi: (regardant) celle là encore ? 
En voilà une. Plus collante qu’elle, tu cherches. C’est le mélange de tout à la fois, super glue, colle forte chewingum wollywood. , mieux je ne décroche pas son appel. 
Ping sms
Vanessa : Ely tu es où, Je t’appel tu ne réponds pas? 
Vanessa : aujourd’hui samedi, envie de me balader
Pff cette fille est chiante. Envie de me balader je suis ton chauffeur ? Elle est une amie à ma sœur, elle vient souvent à la maison. Je ne l'ai jamais courtisé pas parce qu'elle n'est pas belle non mais parce que ce n'est pas mon genre. Vanessa est très belle mais elle ne m’intéresse pas. Nous avons une aventure mais je ne sais pas si c’est un complot avec ma sœur et je me suis retrouvé à lui faire lamour il y a une semaine lors de l’anniversaire de ma sœur. J’étais ivre, parce que je ne lui ai jamais dit que je l’aimais encore moins que j'avais envie d'elle. Elle m’a donné et j’ai prit. Nous y voilà donc depuis ce jour, elle me colle comme une colle... Elle est une fille qui n'hésite pas à se servir de ce qu'elle a pour arriver à ses fins. Une fille de mœurs légère c'est comme ça je la vois. Même son style vestimentaire en dit long. Je n'aime pas les filles avec trop de potentiels encore moins avec les artifices. Je les préfère naturelle comme celle que je viens de croiser. C'est tout à fait mon genre. 
Je travail dans l’entreprise de papa. Il a dit que je dois commencer au bas de l’échelle comme tous les autres et que ce n’est pas parce que c’est l’entreprise de mon père que je dois directement gravir les échelons, non. Je suis un employé comme tous les autres, aucun traitement de faveur. C’est en montrant le désir et en donnant le meilleur de moi-même que je vais gravir les échelons. Papa est dans le commerce, il importe et exporte les mobiliers, tout pour avoir un abri. C’était son rêve d’être un grand commerçant et il a réussir à bâtir son empire. Le PDG de « Confort S.A » et quand vous entendez « Confort S.A» dans la ville ce n’est pas n’importe qui. Il a des sociétés dans les villes économiques, politiques et historiques du bénin en plus de ça, il a des annexes un peu partout. Il faut manger à la sueur de son front dit il raison pour laquelle j’ai commencé par la toute première marche. J’ai fait le marketing et action commerciale donc je lui sers beaucoup dans l’entreprise. Papa lui n’était qu’un simple racoleur de bus nous a-t-il raconté, il est parti de rien la tête pleine de rêve et a finir par réaliser ses rêves. Mon salaire ne me permet pas maintenant de me prendre un véhicule et je vis toujours avec mes parents. Nous sommes trois et je suis le premier garçon de la famille KOUKOUÏ.

A suivre…

Vie de femme : L'imp...