le clash
Ecrit par Yayira Bénédicte
Mayira
Montenegro
Je m’assois sur le lit pour l’écouter, j’ai très mal au crane et
je n’ai qu’une envie dormir. Mais bon je dois écouter la princesse Adéléké parce que je suis sous son toit.
-
Je t’écoute Ella
-
Pourquoi mon frère et toi aviez rompu ? demande-t-elle
en croisant les bras sur sa poitrine et tapant le pied au sol, j’ai raté quel
épisode
-
Tu sais déjà ce qui s’est passé
-
Ah bon ? ce que tu m’as raconté ou la
vraie version ? tu croyais que mon frère n’allais jamais me le dire
n’est-ce pas ?
-
Tu parle de quoi ? fis-je feignant d’être
confuse
-
Je parle du fait que mon frère t’a surprise
entrain de le tromper et toi tu es venue me raconter une tout autre histoire
-
Je peux tout expliquer, ton frère a juste mal
interprété la chose.
-
Ah oui ? le fait que tu sois rentré avec
un faux prétexte de grossesse aussi il l’a mal interprété n’est-ce pas ?
je pensais que tu étais une personne de confiance pourtant tu es tout
simplement fourbe
-
Je ne suis pas fourbe, ton frère je l’aime,
j’ai commis une erreur d’accord mais je l’aime
-
Tu as
commise une erreur n’est-ce pas ? une toute petite n’est-ce pas ?
c’est laquelle déjà ton erreur ? le trompé avec ta collègue ou mentir que
tu es enceinte ?
-
Tu vas t’y mettre aussi ? toi aussi tu
vas me juger ?
-
Je ne te juge en rien, et ta vie sexuelle je
m’en balance ! ce qui me blesse c’est le fait que moi je t’ai ouvert mon
cœur, je t’ai considéré comme une amie au-delà du fait que tu sois la copine de
mon frère mais apparemment c’était une amitié à sens unique
-
Tu appel quoi amitié ? tu ne m’as jamais
considéré comme ton amie ma chère, juste comme quelqu’un qui supporte tes
caprices d’enfant pourrie gâté. Lui dis-je en me redressant sur le lit
-
Waouh !
-
Oui, c’est ce que tu es, tu passes ton temps à
te plaindre comme la plus incomprise du monde alors que tu as tout ! tu
sais comment nous autres on a du trimer, coucher, s’adonner à des nombres
incalculables de vices pour arrivé là ? et toi tu es là a chialer parce
que ton père te refuse un voyage à Dubaï ou ta mère refuse de te donner son sac
Zarah ou encore parce que ton frère t’a refuser la voiture que tu voulais pour
ton anniversaire. Tu crois quoi en fait ? j’ai dû me battre et trimer pour
être qui je suis, alors que toi tu as tout sans lever le petit doigt. Tu
voulais que je fasse quoi que je laisse Alexandre m’échapper comme ça sans rien
faire ? lui dis-je
-
Donc c’est là tout ce que tu penses de moi en
fait
-
Et bien plus ma chère, c’est même quoi ?
tu viens me réveiller de si bon matin parce je squatte dans ton appart
miteux ? tu es qui pour me fais la morale ?
-
Ça c’est la meilleure, tu me mens, me bousille
ma voiture, dépense mon argent et tu as le culot de m’insulter on top of all
this ? demande-t-elle sidéré
-
Je ne t’insulte pas je te dis la vérité, tu
pense que pourquoi tu n’as pas d’amis ? parce que tu es une peste, et
personne ne supporte tes caprices, même ta famille en a marre de toi !
-
Sors de chez moi Mayira. Dit-elle en criant
-
Oui je m’en vais, tu crois que je vais te
supplier ? ou que je n’ai nulle part ou aller ? tchrrrr
Je me levais du lit, m’habillais et ramassais mes affaire alors
qu’elle jetait d’autre par la fenêtre. Je m’en fou de toute façon. Elle croit
quoi même, si ce n’est pas à cause de son frère moi je vais me promener avec
elle ? N’importe quoi. Je prends mon portable pour appeler Mathéo, un
suédois que j’ai rencontré hier à la fête, il a dit être très intéressé par
moi, je sais qu’il peut me trouver un appart illico.
Assandy Éloïse
Natasha
-
Pourquoi tu stresse ? se sont des amis,
en plus c’est rien d’officiel on va juste à un barbecue chez Michael et
Meliane, il y aura juste Morel, sa femme et leur enfants, alors détends toi.
Dit-il alors que je finalisais mon maquillage
-
Mais je ne les ai jamais rencontrés donc c’est
normal que je stresse. Dis-je en me retournant vers lui
-
Détends toi ma puce, Meliane t’aime déjà. Elle
adore ton émission
-
C’est Nana de la radio elle aime, ça ne veut
pas dire qu’elle m’aimera moi
-
Tu parle trop, mademoiselle, on y va.
Je le suivie sans plus argumenter.
-
Tu ne m’avais pas dis que tu avais renvoyé ta
sœur. Dis-je alors qu’il venait de raccrocher avec sa mère et comme c’était sur
main libre j’ai entendu
-
je sais. Dit-il en continuant de conduire
-
tu ne trouves pas que c’est un peu trop
dur ? un renvoi carrément
-
t’inquiète je gère, Ella a besoin d’apprendre
certaine chose d’elle-même
-
humm, moi je pense que tu devrais la
réintégré. Dis-je en le regardant
-
ce n’est pas toi qui étais fâché parce que je
t’avais donné une mise à pied et pas à elle ? me demanda-t-il en souriant
-
une mise à pied et un renvoi là ce n’est pas
pareil pardon
-
ok babe, je vais la réintégré. Dit-il en me
prenant la main pour la porter à ses lèvres
-
pour de vrai ? demandais-je surprise
-
oui, tes désirs sont des ordres, mais tu vas
devoir me payer en retour, je préfère les payements en nature. Dit-il en me
faisant un clin d’œil
-
tu es un gros nympho je t’assure. Dis-je en
retirant ma main de la sienne
-
mdr, dit celle qui passe son tant à tourner
les reins sur moi comme une danseuse oriental
On se chahutait jusqu’à destination. Il klaxonna et la porte
s’ouvrir automatiquement. On descendit alors qu’une femme enceinte venait vers
nous
-
toi là c’est maintenant tu viens ? depuis
je t’attends là. Dit-elle à l’endroit de Femi
-
ton mari sait-il que tu m’aimes autant ?
dit ce dernier en riant
-
qui t’aime même ? bienvenue ma chérie.
Dit-elle en me faisant la bise, tu es toute belle
-
merci, vous n’êtes pas en reste non plus, ce
ventre vous va à ravir
-
je lui dis ça tout le temps mais elle ne me
croit pas. Dit un homme en l’enlaçant
-
toi arrêtez de me flatter pardonner, je ne
ressemble à rien même, et toi tu me tutoie pardon. Dit-elle à mon endroit
On alla à l’arrière cour ou un autre couple nous était là, l’homme
s’occupais des grillades alors que la femme essayais tant bien que mal de
contenir les enfants, qui était au nombre de 6. Le couple me fut présenté comme
Morel et Annissa Bah. J’aidais les femmes à faire les fritures de frite et de
plantain alors qu’elle me chahutait sur le fait que Femi soit un gars cool et
sympa et que je ne devais pas le faire souffrir.
On servit les enfants ensemble dans un coin et on se mit tous au
jardin pour manger
-
je dis oh Oluwafemi, pourquoi l’émission de ma
Nana là a été coupée comme ça ? dit Meliane
-
tu aimes mon nom là hein, je suis sûr que si
c’est un garçon il portera mon nom
-
jamais de la vie, un nom compliqué comme ça
kpaaa !
-
sinon ta Nana, là est devant toi hein demande
lui. Dit Femi
-
comment ça ? fait-elle dubitative
-
mais voici Natasha devant toi non !
dit-il en riant
-
noooon. Fit-il en cœur
-
tu es un vrai cachotier toi. Dit Morel alors
que Michael riait
-
attendez, tu es sérieux ? c’est Nana de
« Entre Adulte ? » demanda Meliane
-
elle-même. Répondit Femi alors que moi je
riais
-
waouh ! j’aime tellement ton émission, ce
faux type ne m’a pas dit qu’en faite c’est ça femme qui anime l’émission,
pourtant je lui disais toujours que j’adore l’émission au point de me fâcher
contre mon mari si je m’endors avant et qu’il ne me réveille pas. Dit Meliane
-
je confirme, et elle me fait la tête toute la
journée. Ajoute son mari
-
voici une aussi qui me force à écouter avec
elle. Renchérit Morel en pointant sa femme
On dina dans une bonne ambiance, entre fou rire et musique, ça
fait plaisir que son travail soit reconnue et aimé.
-
Je ne savais pas qu’il y aurait les enfants
sinon on serait venu avec les enfants. Me dit Femi alors que je regardais les
enfants jouer
-
Tu as des enfants ? me demanda Annissa
-
Oui j’en ai trois répondis-je
-
On en a trois elle veut dire. Dit Femi en me
prenant la main
-
Waouh ! c’est quoi ton secret ?
regarde ton corps on dirait même pas que tu en as un. Demanda Meliane
-
Beaucoup de sport. Dis-je en riant
-
Ta tête comme beaucoup de sport, regarde donne
moi les vrais secret hein, après cette grossesse là je dois tuer au plateau.
Continua-t-elle
-
C’est au quel plateau tu vas tuer ? lui
demanda son mari
-
Au plateau que tu connais là, est-ce que j’ai
dis ton nom même ?
Je passais un agréable moment avec eux, se sont des personnes
simple et sans façon en fait mais les couple sont drôle. Annissa est plutôt
calme et réservé alors que Morel semble un peu fou, Meliane semble être une
vrai folle alors que son mari à l’air plus strict et responsable. On prit congé
d’eux vers 21h, demain est lundi et les gens bosse, moi ma mise à pied n’est
pas encore fini donc je peux dormir jusqu’à x heures.
-
Merci. Dis-je à Femi alors qu’on était en
route pour la maison
-
Merci pour ? demanda-t-il
-
Pour ce que tu as dis concernant les enfants,
ça m’a touché. Dis-je en lui prenant la main
-
Je n’ai pas dis ça pour que ça te touche, mais
parce que je le pense. Je les considère vraiment comme les miens, je sais
qu’ils font partie intégrante de toi, et je ne peux pas prétendre t’aimer et ne
pas les aimer aussi.
-
Tu m’aime ? lui demandais-je en le fixant
-
Euh… tu vas trouver ça un peu précipité mais
je t’aime, je n’imagine plus ma vie sans toi, j’ai l’impression que tu fais
partie de moi. dit-il après s’être garé au parking de son immeuble
-
Moi, aussi. Je… je suis amoureuse de toi Femi
-
Redis-le stp
-
Je… je suis amoureuse de toi.
Il prit aussi tôt mes lèvres et me fit grimper sur lui. Il faufila
ses mains en dessous de ma robe alors que je cherchais la boucle de son
pantalon. Il inclina légèrement son siège avant de m’empoigner les fesses.
Quelques minutes plus tard il était en moi tout en aillant mon sein dan sa
bouche et ses deux mains pressaient mes fesses en accompagnant mes
déhanchement.
-
Oh fuck ! jura-t-il alors que je le
baisais comme si ma vie en dépendait
-
C’est qui la bosse ? demandais-je en
allant plus vite
-
C’est toi babe, c’est toi la bosse !
dit-il en posant son pousse sur mon bouton d’amour tout en mordillant le téton qu’il avait dans la
bouche
Je me sentis venir au même moment ou j’entendis des pas se
rapprocher de la voiture. Je crois qu’il a entendu aussi parce qu’il me donne
des coups buttoir en agrippant mes fesses comme une bouée de sauvetage. On
jouit presqu’instantanément alors que la personne dont on avait entendu les pas
dépassait la voiture
-
Je t’aime, Ololufê
-
Je t’aime Femi. Dis-je en me laissant aller
dans ses bras, posant ainsi ma tête sur son torse.
Il me nettoya avec du papier mouchoir avant qu’on ne descende.
-
Que signifie ce que tu as dis dans la
voiture ? lui demandais-je alors qu’on se douchait
-
Quoi ? demanda-t-il en me frottant le dos
-
Ce que tu as dis après je t’aime
-
Ololufê ? demanda-t-il
-
Oui
-
L’Ange de ma vie, c’est dans ma langue
-
c’est beau dis-je en me retournant vers lui pour
l’embrasser
-
je te vois venir madame. Dit-il alors que je
masturbais son engin, moi je bosse demain pas comme toi.
-
Ce n’est pas de ma faute si mon bosse m’a
donné une mise à pied. Dis-je en le masturbant plus rapidement. Babe j’ai envie
que tu me baise ; lui dis-je
-
Et tu dis c’est moi le nympho. Dit-il en me
retournant face contre la vitre de la cabine. Je ne t’ai même pas encore touché
et tu es toute mouillée. Dit-il en introduisant deux doigts dans ma cave.
-
C’est ta bite que je veux en moi babe. Dis-je
en me cambrant pour mieux lui offrir ma croute
-
Comme ça ? dit-il en me pénétrant d’un
coup
-
Oh… oui comme ça
C’était répartir pour un
autre round. Je dois me lever tôt demain lui faire son petit déjeuner
ensuite j’irai chez moi accompagner mes enfants à l’école, pouponner ma petite
Mila et géré les travaux du magasin de maman mais là en attendant j’ai besoin
d’une bonne d’ose de mon homme.
-
On ira visiter des maisons demain babe. Dit-il
en soulevant ma jambe pour mieux me pénétré
-
Tout ce que tu veux babe, tout ce que tu
veuuuuuuux. Dis-je en jouissant. Alors qu’il ne faisait que commencer avec moi.
voici votre bonus oh bon week-end chez vous