Le couple

Ecrit par Boboobg



...Eliott Lekuma Mbolo....

Je me retourne sur mon lit ,son corps chaud reveille mes sens. Les yeux toujours fermés,je passe ma main par dessus sa taille et balade mes doigts sur son pubis  rasé. Ceux ci,se retrouvent tres vites attirés vers son clitoris qui se met en erection sous mes caresses. Je courbe sa jambe droite et place son slip sur le coté avant de la pénétrer. 

Mes ardeurs du matin ainsi apaisés,je peux naturellement me lever et aller prendre mon bain pour le boulot. Je sais bien que cette paresseuse ne se lèvera pas d'aussi tôt, elle est lokn d'avoir l1 même force physique que Elodie. Voilà je penses encore à elle, c'est toujours ainsi. Je me sens coupable, je me sale. 

J'arrive au boulot avec quinze minutes de retards mais bon, qui va me blamer? Avec notre nouvelle compagne,j'ai été obligé de me prendre une secretaire mais la bonne dame est aussi bête que ses pieds. On te dit,je veux trouver ce dossier là sur mon bureau pour demain,mais meme avec un retard,il n'y a bien sur rien sur mon bureau! Je m'apprete à l'appeler pour lui crier dessus quand  mon telephone sonne,c'est maman Ida. 

Depuis notre separation avec Elodie,je n'ai rien tenté pour l'empecher de vivre son adolescence comme me l'avait sommé Gloire ;meme si a chaque fois que je mettais les pieds à Brazza,j'allais l'espionner à la sortie de son lycée.

 Il m'a fallu beaucoups de forces,une lutte constante contre moi meme pour ne pas m'approcher d'elle. La laissé tranquillement vivre sa vie de jeune fille ,meme si j'ai eu la suprise de constaté les rares fois ou je l'ai pisté a la capitale,qu'elle etait tres engagée dans la reussite de son examen. Ce doit etre pour cela que maman Ida m'appelle!

moi: allo!

elle: bonjour mon fils,ça va?

moi: bien maan et toi? 

elle: ça va! ha mon fils,je suis un peu gené de te dire ce genre de chose au telephone mais toi meme tu connais Elodie!

moi(perdue): ça va maman,tu peux me parler de tout!

elle: he bien,elle ne veut plus que tu t'occupes de nous. 

moi(amusé): mais maman je le fais de bon coeur et je n'ai pas besoin de sa permission pour cela. C'est vrai qu'elle ne veut plus avoir affaire à moi mais ...

elle(me coupant): excuse moi papa,comme elle me menace de m'accuser chez son père là,tu n'as qu'a venir a la fin des vacances quand elle sera rentré à Brazza!

moi: c'est comme tu veux maman (realisant) comment ça quand elle sera rentré a brazza?

elle: hoo regarde comment je suis meme! elle est ici depuis hier matin!

moi(le coeur battant): heu maman,je voudrais m'expliquer avec elle,tu peux lui passer le telephone?

elle: attend que je t'envoie son numero,elle a maintenant un telephone! 

moi: merci !

Dès qu'elle a raccroché,je me suis mis à scruté mon telephone jusqu'a ce que je reçoives le message de maman Ida . J'ai longtemps voulu l'appeler mais elle n'avait pas de telephone comme me l'avait expliquer sa mere. Maitenant que j'ai son numero,je me sens nerveux. Mais j'ai envie de la voir,de lui parler,meme pour ne fusse que m'excuser de mon comportement.

Quand le courrage est enfin là ,pas moyen de la joindre. Son telephone sonne sans qu'elle ne prenne la peine de repondre.Cela fini par m'enerver en pensant qu'elle est sans doute dans le lit de quelqu'un d'autre . Alors,je lui envoie un message salé,car la grande que je connais voudra sans doute me repondre pour me remettre à ma place!

Il est douze heure quand je rejoinds maman pour dejeuner chez elle. C'est un bon bouillon de viande de brousse que je deguste! Elle finis par me chassé,c'est sur la route du centre ville que je recois l'appelle de Elodie! Mon coeur bat la chamade  (rire) voila qu'un petit bout de femme me terifie. 

moi: allo! ..bebe c'est toi?

moi(suppliant):bebe parle moi!

moi: Elo mon coeur,parle moi s'il te plait! je sais que je suis con,que je ne te merite pas bebe!je sais ça mais dit moi juste un truc!

Et là,j'ecoute des reniflements! mon coeur se ressere et je me sens comme  la  pire merde du monde! 

elle:snif snif

moi(tentant le tout pour le tout) : bebe tu veux que je viennes? 

Contre toute attente,elle me repond oui et me dis qu'elle est chez ses parents! j'appelle de suite mon incapable d'assistante, lui demander de tout delegué a mon segond. Les embouteillages de pointe noire veulent ma mort,je grille meme un feux rouge. J'ai l'impression que ma vie va se jouer dans un instant.

Dès que je gare devant le petit portail vert, je lui envois le message. Cinq minutes plus tard, je vois, la plus belle femme de ma vie. Elle porte un ensemble pyjama jaune, deux grosses nattes sur la tête et des sandales en forme de canard ! Je souris, elle n'était avec personne, simplement endormi. 

Elle ouvre la portière, se place du côté passager sans la refermé. 

Moi (suppliant) : s'il te plaît Elodie ! 

C'est avec toute la lenteur du monde, qu'elle referme la portière. Je conduis sans qu'aucun de nous ne dise un mot, jusqu'à sortir de la ville vers André Jacques. 

Moi : bébé je sais que le temps a passé, je sais que j'ai été un sauvage, un moins que rien. Qu'après ce que je t'ai fais l'année dernière, je ne devrais même pas avoir le privilège de poser mes yeux sur toi. Je méritais la prison pour avoir oser lever la main sur toi et surtout de cette façon. Je sais que rien de ce que je peux dire, ne peux effacer cela mais je t'aime ! 

Elle:... 

Moi : j'ai été aveuglé par la colère, l'envie de te posséder comme si tu étais une chose. Je ne t'ai pas respecté en tant que femme, en tant que personne et j'en suis désolé. Passé cette année sans toi, a été pénible ! Juste ce matin, je pensais pouvoir te laisser tranquille pour le reste de la vie mais il a suffit que ta mère m'appelle, que je sache que tu es là pour que toutes les résolutions tombent à terre. 

Elle:sniff sniff 

Moi: c'est moi l'adulte, j'aurai dû arrêter dès que plus rien n'était sous contrôle. Notre relation était trop pationnelle, j'aurai dû y mettre un frein avant que tout ne dégénere. Car à la fin, je n'ai eu que mes larmes pour pleurer. 

Je suis sortie de la voiture et ai posé mes deux genoux à terre. Je sens que si je rate cette chance, je n'en aurai plus. 

Moi : cette fois ci, si tu me l'accorde bien sur, je veux faire les choses bien. Une relation saine, sans bagarre ni bavure ! J'ai appris la leçon bébé, accorde moi ton pardon, accorde nous une nouvelle chance ! 

Elodie (en pleure) : tu n'es jamais venu, tu n'as même pas essayé une seule fois de me contacter en un an ! Tu m'as battu comme si j'étais une chienne et puis basta ! Tu as disparu ! C'est une année plus tard que tu reviens, avec tes belles paroles mais on sait tout les deux qu'au moindre doute de ta part, tu me passera encore à tabac ! 

Moi (toujours à genoux) : je le jure sur ma vie bébé, que plus jamais je ne lèverai la main sur toi. Pardonne moi ! 

Elodie essuie ses larmes et me regarde au fond des yeux. J'y vois tellement d'amour, que je me lève comme un sursaut, la rejoint dans la voiture et la serre contre moi ! Elle me prend à son tour dans ses bras. 

Elodie(petite voix) : je t'ai pardonner il y'a longtemps, je t'aime aussi ya Elliott et c'est toi  que je veux ! 

Je l'embrasse langoureusement, son goût m'a manqué. Je n'arrive pas à croire que c'est vrai ! 

Moi : que quelqu'un me pince ! 

Haï 

Elodie : tu as voulu que je te pince non ? 

Moi (lèvre contre lèvre) : pas aussi fort bébé ! 

Elodie (ses bras autour de mon cou) : je veux qu'on fasse table rase du passé. Allons discuter chez toi ! 

Moi (me rappelant) : heu on va faire ceci, je te ramène chez toi. Rentre te faire à manger et je viens te chercher plus tard ! 

Elodie : mais j'ai une sortie avec les filles dans l'après-midi ! 

Moi :quelles filles ? 

Elodie : mais mes copines, Olivia et Nathalie ! 

Moi : elles savent que tu es là ? 

Elodie : bien sûr, on passé la journée d'hier ensemble. 

Je crois que je dois la jouer très fine sur ce coup, je risque vraiment de la perdre encore et peut être à jamais. 

Moi : reporte pour un autre jour, qu'on passe nos retrouvailles que tous les deux ! 

Elodie: d'accord ! 

On a passé un quart d'heure à se becoter, jusqu'à ce que je la ramène chez elle. C'est à la sixième vitesse que je débarque chez moi la trouvant comme je l'imaginais bien installé dans mes fauteuils. 

Moi (la fixant) : tu comptais me le dire quand ? 

Nathalie (levant les yeux vers moi) : quoi chéri ? 

Moi : que Elodie était de retour et que vous avez passé la journée d'hier ensemble ? 

Elle blemi un moment avant de se reprendre. 

Nathalie :j'aurai fini par te le dire ! 

Moi : tu dois partir ! 

Nathalie (se levant) : pourquoi ? 

Moi : parce qu'elle a accepter de me donner une autre chance et je vais la saisir ! 

Nathalie : et moi dans tout ça ? Ya Elliott ! 

Moi (allant cherché ses affaires dans la chambre) : écoute, tu es une chouette fille mais on savait tous les deux que jamais ça n'irai plus loin que le pieux. Je t'avais bien prévenu que j'aimais Elodie ! 

Nathalie (en larmes) : mais moi je t'aime ! 

Moi (la main sur le front) : il n'était nullement question d'amour entre nous. On 's'était mis d'accord ! 

Nathalie : sniff sniff 

Ça me fait de la peine  de la voir ainsi mais j'ai été claire dès le début avec elle. C'est en partie grâce à elle que je n'ai pas sombré dans la dépression. 

C'est vrai que je me suis servi d'elle comme d'une bouée pour ne pas coulé et c'était lâche de ma part mais bon, j'avais besoin de sexe et elle était là sans même que je n'ai eu besoin de la chercher. Sur le coup, je n'y ai pas réfléchi. Elodie me détestait, je pensais que plus jamais elle ne voudrai me revoir et surtout, je croyais pouvoir tenir à ma promesse de ne plus l'approcher. Donc quand Nathalie a commencé à débarquer chez moi pour me tenir compagnie comme elle disait, me faire à manger et très souvent resté tard, un soir tout est partie en couille et depuis, voilà! 

Je ne pouvais pas me douter qu'Elodie me donnerai une autre chance surtout aussi vite ! C'est juste à ce moment que je me rend compte que j'ai fait une énorme bourde. 


.... Elodie Santos Mapembe.... 

Olivia (criant dans mes oreilles) : tu es folle Mapembe ! Aussi facilement ! Mais qui te mange ? Tu veux qu'il te tue cette fois ci c'est ça ? 

Moi :... 

Olivia (hors d'elle) : je t'ai toujours soutenu mais là, franchement tu me déçois. Ce n'est pas toi qui bombais le torse juste hier que jamais jamais ? Et aujourd'hui tu me dis quoi ? 

Moi : arrête de crier, je ne suis pas sourde ! 

Olivia(criant) :tu es sourdes Mapembe ! Tu es sourde ! Car quand ton visage était bouffi, que ta mère t'a séparé de nous pendant toute une année, quand le gars t'a traité de pute ! Tu n'as rien retenu ! Les vrais gars comme Alaric font tout pour que tu les regardes, mais toi tu préfère aller mettre la tête chez quelqu'un qui ne te respecte même pas. 

Moi (petite voix) : je l'aime ! 

Olivia (criant de plus belle) :moi j'aime Marcus, Nick m'aime, Raoul t'aime mais pour toi et ya Elliott, ce n'est pas de l'amour haaa non ce n'est pas du tout de l'amour ! 

Moi (perdant patience) : je te l'ai dit pour te mettre au courant parceque tu es ma sœur de cœur. Ce gars je l'ai dans la peau. Oui il m'a fait du mal et je ne comptes plus lui laisser me faire un truc pareil mais il m'a juste suffit d'entendre sa voix pour vouloir de nouveau de lui. C'est plus fort que moi Oli, je l'aime trop. Je te demande juste de respecter mon choix ! 

Olivia : je vais respecter ton choix, je vais tellement respecter ton choix que je te laisse vivre ton sois disant amour sans mettre ma bouche dedans mais quand il te petera encore la gueule, haaa Mapembe n'ose pas tu m'entend ? N'oses même pas pleurer car je t'en rajouterai une couche ! 

Moi : ça n'arrivera pas ! 

Olivia : je l'espère pour toi 

Click. 

Je regarde l'écran de mon téléphone en respirant, c'était mieux que je ne l'espérais. Elle a dit le font de sa pensée, dans quelques heures, elle nz m'en voudra plus . Je comprends très bien qon coup de gueule mais mon cœur a fait son choix. J'aime cet homme et je le veux dans ma vie ! 

Ya Elliot m'a fait un message me disant qu'il est là. 

Je sais, c'est bête de ma part. J'ai dix sept ans et je ne peux m'empêcher d'aimer un homme qui a plein de défauts. Oui ce sont juste des défauts. 

Beaucoup de gens vont juger mon choix mais je ne peux juste pas être dans la même ville que lui et ne pas être dans ses bras. Je ne peux juste pas imaginer une autre prendre ma place dans son cœur. 

Je met une couche de parfum et sort de la chambre. 

Moi (criant) : Mama mu me kueda(je suis partie)! 

Maman(dans la chambre) : hey kued bien! (bonne route). 

Je sors de la parcelle, je le trouve adossé contre sa voiture. Il porte juste une culotte en bagui et un t-shirt de là même couleur. Dans sa simplicité il est tellement beau que je me met presque à baver. 

Je m'approche de lui, pose mes mains sur sa taille et relève ma tête pour le regarder. 

Ya Elliott : tu ne sais pas combien je suis heureux, cette chance que tu me donnes, je ne la gâcherai pas ! 

Moi : embrasse moi ! 

Il se courbe et pose un chaste baiser sur mes lèvres. 

Ya Elliott: tu es toujours aussi courte ! 

Moi (rire) : et toi toujours aussi grand ! 

Il nous conduit chez lui où j'ai le plaisir de retrouver mon chez moi. 

C'est tout propre comme toujours, même si je le sens comme préoccupé. 

On fini par faire l'amour dans tous les coins de la maison. 

Ya Elliott (me caressant le dos) : bébé, il faut que je te dise un truc. Tu sais une année est passée et je pensais que plus jamais nous ne serions de nouveau ensemble. 

Moi : juste hier, je refusais de parler de toi avec Olivia. Moi aussi je ne le pensais pas possible. 

Ya Elliott : je... J'ai fait des choses ! Pour noyer mon chagrin j'ai vu d'autres femmes. Et principalement j'ai couché avec... 

Moi (le coupant) : nous reprenons cette relation comme si l'année dernière n'a pas existé. Le passé est passé, je ne veux pas revenir sur ce que tu as pu faire. Je ne veux pas savoir. 

Ya Elliott : bébé.... 

Moi :non, ne gâche pas ce moment en me rendant jalouse ! Je ne veux pas savoir quelle petasse tu as baiser pour m'oublier ! Ce qui compte pour moi, c'est aujourd'hui. Le présent et rien d'autres ! 

Ya Elliott : tu es sûr de toi ? 

Moi : promet moi juste d'être mon homme ! 

Ya Elliott : je suis ton homme et aussi longtemps que tu le voudra je le serai. 


..... Salomé Makele..... 

Moi (criant) : tu n'as pas le droit Bruce ! Tu n'as pas le droit ! 

Bruce (en colère) : pas le droit de quoi Salomé ? Pas le droit de quoi ? 

Moi :je ne fais rien de mal ! Je prenais juste une verre, (montrant le doigt) juste un seul ! 

Bruce : juste un seul ? Tu crois que ça me plaît Salomé ? Ça me plaît d'être obligé tous les soirs de t'enfermer sinon je dois sillonner tous les bars, restaurants et autre à la recherche de ma femme ?dis moi à qui ça plairai cette vie ? 

Moi (en larmes) : dis juste que je te fais honte ! Dis le Bruce que je te fais honte ! 

Bruce (calme) : Salomé vient que je te donne le bain ! 

Moi (me dégageant) : lâche moi connard ! Tu n'es qu'un connard de mes deux ! Un vrai salaud! Même pas capable d'engrosser sa femme ! 

Bruce : tu commence même à delirer ! 

Moi : oui t'es un connard ! Un sal orphelin ! C'est peut être à cause de ça que ta mère t'a jeté n'es pas ? Ça n'a jamais eu de famille, c'est normal que ça ne comprenne pas le malheur des autres ! 

Bruce (énervé) : tu sais quoi Salomé? Tu me fais honte c'est vrai. Tu penses que qui pourrai fièrement montrer aux gens une femme alcoolique ? Qui dit moi ? Tu passes ton temps à te lamenter et à boire. Tu es une épave et j'en ai marre de te supporter. 

Moi(lui lançant la lampe) : je ne suis pas yne épave ! Incapable ! 

Je ramasse tout ce qui est à ma portée et le lui jete. Il quitte la pièce et part s'enfermer dans son bureau. Je passe deux heures à tombouriner devant la porte en criant que c'est juste un froussard,qu'il vienne m'affronter s'il se croit homme. Je finis par m'endormir là, épuisé. 







Indélébile 2