LE DERNIER SHOW DE TRISHA - LE CHOC

Ecrit par Lari93

Annabelle Tanoh

Hier malgré la mauvaise ambiance tout c’est bien passe pour TRISHA.

Elle avait dansé pour le grand public du night-club avec 10 autres filles.

En effet 6 mois auparavant monsieur D avais souhaité que TRISHA forme plusieurs filles de joie night-club à la pool dance. 

Sur les 35 filles 10 avait un niveau acceptable.

Et vu qu’elle ne nous voulait pas se familiariser avec ces filles, elle n’a pas insisté sur la mise à niveau de ces dernières.

Monsieur D fera avec.

Je pense qu’il sentait arrivé la fin des activités de TRISHA.

Ce soir monsieur D avait souhaité que je dance pour 05 clients vip.

Le dernier était pour 00h30 après TRISHA pouvait reposer en paix.

Charles-Emmanuel DASLIVIERA

Il y a une semaine j’avais pris rendez-vous avec monsieur D le gérant du night-club pour une séance de dance privé.

Cette fois ci j’irais tout seul.

Je vous avais dit que je ne laisserais pas tomber.

Cette danseuse avait occupé mes pensées ces derniers jours.

J’espère qu’elle acceptera mon chèque pour passer une nuit avec moi.

J’ai insisté pour être le dernier de ses clients, et vu le gros bonus que j’ai ajouté au chèque de monsieur D, il ne pouvait qu’accepter cette petite faveur.

Si vous saviez combien coûte ces prestations ?

Je n’ai jamais autant mis de l’argent de ce genre d’endroit.

J’espère qu’elle touche plus de 20% de la somme que nous reversons à monsieur D.

Le business de la nuit c’est très lucratif de nos jours, et c’est la plus veille industrie au monde.

Il est 00h lorsque j’enfile mon jeans levis slim avec un polo Lacoste blanc, pour me retrouver 15 min plus tard devant le night-club suivi de Bertrand mon chef de la sécurité dans un véhicule 4*4 noirs.

J’avais une mission pour lui ce soir, suivre la jeune fille en cas d’échec de ma part.

Monsieur D n’avait informé qu’ils arrêtaient leurs collaborations ce soir.

C’est ce qui justifiait une légère hausse des tarifs habituelles.  

Elle avait peut-être eu une meilleure offre dans un autre club privé ou encore même pour immigrer à l’étranger (pratique quotidienne des jeunes africains).

Je prends place dans la pièce qui m’était réservé en buvant du champagne.

J’attends que ma gazelle vienne faire son show.

Elle entre et se fige comme si elle était surprise de me voir là.

Son regard, il m’est si familier.

Elle est magnifique dans sa petite tenue sexy d’écolière avec des lunette d’intello.

Elle avança sensuellement vers la barre sous le son de la musique.

Je m’installe bien au milieu du divan pour profiter du spectacle.

Plus elle se déhanche, plus le petit Charles se dresse de plus belle.

Le spectacle est à couper le souffle et mieux que la dernière fois.

En dessous de sa tenue d’écolière il y avait de la lingerie rouge (ma couleur préféré), très sexy, ses seins bien fermes au tétons dressé m’appelais à la dégustation.

J’imagine mes mains les saisir et mes lèvres les sucer.

Cette fille me rend maboule, moi le grand Charles-Emmanuel DASLIVIERA je suis tout petit devant le corps d’une femme.

Lorsqu’ elle commençais son twerk, j’apercevais les fossettes à la naissance de son popotin.

Jamais une femme ne m’avait autant excité, mon Dieu qu’elle est belle.

La fin de la musique me ramenait brusquement à la réalité.

Je me lève et me dirige rapidement vers elle pour l’empêcher de sortir.

Charles-Emmanuel DASLIVIERA

Moi : s’il vous plait ? (Je me mets en face d’elle)

Excuser moi belle demoiselle mais vous avez allumé un feu moi que je souhaiterais éteindre.

Je vous propose un chèque en blanc vous pouvez inscris le montant qui vous plairas. Juste une nuit, cette nuit ? S’il vous plait.

Elle : (la tête baissée).

Je ne fais pas ce genre de chose vous ne trompez de personne.

Désolé monsieur je dois partir.

Laisser moi passer s’il vous plait.

Moi : (Cette voix ?? Pensais-je.)

Je sais mais je vous désir depuis la première fois que je vous ai vu danser.

S’il vous plait regarder moi je ne suis pas si désagréable que ça ?

Elle : s’il vous plait laisser moi passé ou je cris, je ne suis pas ce genre de fille, je ne fais que danser.

En essayant de se frayer un chemin nos regards se croisèrent, J’ai son visage en pleine face.

Oh mon DIEU

Elle est sortie de la pièce en courant.

Quant à moi je suis resté figer comme si j’avais reçu une douche froide.

J’avais vu son visage de très près cette fois ci et même des jumelles ne pouvaient pas avoir le même regard.

Les mêmes traits et la même voix.

Non je me trompe, elles sont si différentes je dois fait erreur.

Mon cerveau bug, mieux je m’assois une seconde.

Je comprends maniement pourquoi il semblait l’avoir déjà vu.

Ma nouvelle directrice est une danseuse de night-club ?

L’ivoirien dit « Ce que tu n’as jamais vu, ne dit pas que ça n’existe pas »             

Il faut que je tire toute cette histoire au clair.

10 Min plus tard, C’est Monsieur D qui me ramène sur terre.

Lui : vous allez bien ? le spectacle était à la hauteur ?

Moi : Oui, merci.

Lui : Désirez-vous autre chose ?

Moi : Non.

Oui j’ai une question.

Lui : je vous écoute.

Moi : pour ne pas paraitre indiscret, votre danseur depuis combien, de temps elle travaille ici ?

Et pourquoi elle arrête ?

Lui : vous êtes indiscret Monsieur.

Mais travail ici depuis deux ans et aujourd’hui c’est la fin de notre contrat.

Raison pour laquelle aujourd’hui est son dernier jour.

Moi :  et vous accepter la rupture aussi facilement ? je crois que c’est votre meilleur danseur et elle vous rapporte gros.

Lui : Certes mais contraindre certaines personnes dans la vie c’est comme maitre du sable dans votre attiéké comme on le dis Abidjan. Elle a fait son boulot et je respecte sa décision.

Monsieur D parlait en pensant au général (Certes sa fille fessait une chose qui ne l’honore pas, mais il était capable de foutre le business de monsieur D en l’air. Il est très respecté dans l’armée et connaissait beaucoup de personne. Trisha avait utiliser le général comme garantit dans ce business et ce dernier feras tout pour protéger sa fille chérie. Que croyez-vous Monsieur D savait tout dans ce milieu celui qui se renseigne à toujours une avance sur son adversaire. Trisha savait pour son trafic de drogue, alors le respect de la parole et des engagements était mutuel).

Moi : et elle n’a jamais couché avec un client ?

Lui : jamais, j’ai toujours des déçus comme vous (en souriant).

Moi : c’est votre parent ?

Lui : Non pas du tout. Pour cette fille danser est plus un passe-temps qu’autre choses.

Moi : merci je crois que je vais rentrer.

Lui : j’espère vous revoir.

Lorsque je sorti du club la voiture de Bertrand n’était pas là, il avait dû suivre mes instructions.

Je rentrais chez moi, je m’assois dans le divan de ma chambre un verre scotch à la main en essayant d’élucider cette histoire.

L’alcool m’avait vite permis de dormir.

 Il est 11h lorsque je sorte du lit et descente prendre mon petit déjeuner.

A mon arriver dans la salle à manger je vis Bertrand entré :

Lui : Bonjour monsieur

Moi : Bonjour Bertrand, assied s’il te plait.  Sers-toi quelque chose ?

Lui : Non monsieur, merci.

Moi : Je t’écoute

Lui : j’ai suivi la fille hier soir comme prévu. Grâces à l’aide du gardien.

Elle réside dans un appartement haut standing à la riviera Golf.

Le bail de l’appartement est enregistré au nom de mademoiselle Annabelle TANOH.

Selon le concierge elle y vit seul depuis deux ans.

C’est la fille d’un ex militaire et est fille unique d’une fratrie de 05 enfants.

Moi : Merci Bertrand tu peux disposer bon job.

Lui : Merci monsieur (en sortant de la salle a mangé).

Il venait de confirmer ce que je refusais de croire.

C’était Annabelle TANOH, la danse du night-club.

Entendre son nom est comme un électrochoc.

Comment cette fille si intelligente pouvait se retrouver à faire ça ?

Surement pas pour de l’argent car elle avait suffisamment de moyens, elle avait un salaire à 6 chiffres et ses parents était bien nantis ?

Elle répondrait à toutes mes questions Demian lors de leur réunion.

J’ai besoin de savoir avec qui il travail.

Mais mon dieu cette fille est si excitante en tenu léger.

Mais lorsque je l’ai vu au bureau elle était une tout autre personne, dans une tenue qui ressemble plus à une soutane qui cacher ses formes (fesses).

Derrière son visage de sainte ni touche, se cache une bombe qui existe tous les riches bonnets du capital.

 

Annabelle Tanoh

Il m’a reconnu j’en suis sure et certaine.

Je ne savais ou me mettre ou quoi penser je fonçais dans ma loge en me changeant un temps record et sorti au pas de courses du night-club.

Désolé pour monsieur D mais il n’y aura plus de champagne d’au revoir.

Une fois à mon appartement je laissais mes larmes perlées sur mon visage.

Je suis foutu, déjà que ce monsieur est autoritaire et arrogant, je n’imagine même pas ce qu’il fera la semaine prochaine.

Je pense qu’il serait préférable que je démissionne avant qu’il me mette à la porte et me traite de pute devant tout le personnel.

Moi au chômage ?que vais je dire au général?


J’ai eu du mal à m’endormir et ma nuit fus très agité.

A mon réveil ce dimanche  j’avais du mal à sortir de mon lit.

Il est 14h et Olivia devais arriver à 18H GMT.

Ses parents devaient la récupérer à l’aéroport.

On s’était donné rendez-vous pour le lendemain à ma descente du travail.

Ce soir elle profiterait de sa famille qu’elle n’avait pas vue depuis un moment.

J’avais passé toute la fin de ma journée et ma soirée à appréhender ma réunion du lendemain avec monsieur DASILVIERA.


Annabelle ou Trisha