Le séduisant Marc Thalmas
Ecrit par Lilia01
***Marc***
Je sortais d’un diner avec
certaines partenaires quand je remarquais a l’autre bout de la rue une jeune
femme qui ressemblait extrêmement a lorraine. Je ne vous cache pas que c’est le
sujet de tous mes fantasmes depuis notre rencontre je rêve de parsemer son
corps de baisers et de lui faires milles caresses et sa chute de reins me donne
des vertiges( rire ) mais plus sérieusement je traversais la route pour en
avoir le cœur net et ce n’est pas une heure pour se balader avec une valise en
main, arriver a son nom je compris qu’il s’agissait en effet d’elle et lui pris
la main, prise de peur elle sursauta et voulu crier et je m’empressait de lui
fermer sa bouche a l’aide de ma main. Elle me reconnut et se détendit d’un
coup. Je remarquai instantanément qu’elle n’allait pas bien, j’ai même fais
cette remarque tous les jours pendant plus d’un mois et depuis le jour j’ai
remarqué des hématomes a son coup et a son poignet j’avais la rage ce jour la
mais je n’avais pas voulu l’effrayer mais elle a quand même pris peur et depuis
lors elle m’évite, malgré mon refus de ne pas prendre sa requête de ce jour en
compte elle a arrêter de travailler a mes heures pour ne pas faire partie de
mes recrues mais ce qu’elle sait pas c’est qu’elle sera quand recruté et c’est
pas parce qu’elle m’éveille physiquement (lol) mais je ma sais être un géni en
informatique, les profs me l’ont même assuré alors…….. Revenons au présent
Lorraine : (pale) vous ?
Moi : on n’est pas à l’université
lorraine, arrête avec ton vous si tu veux bien. Et oui moi
Lorraine : que faites-vous
là ?
Moi : c’est a moi de te
demander ce que tu fais là avec une valise en pleine nuit, tu as un souci ?
Lorraine : (baissant
les yeux) non ca peut aller merci, je cherche un hôtel ou passé la nuit ou plutôt
quelques jours
Moi : Des soucis de
logements (pourquoi m’a-t-elle l’air si abattu)
Lorraine : Je n’ai pas
envie d’en parler s’il vous plait
Moi (pouffant) tu es sérieuse
avec ton vouvoiement là hein
Lorraine : désolé c’est
l’habitude. Il se fait tard on se dit a lundi marc (s’en allant)
Moi : (la retenant) tu
me suis et s’il te plait j’ai pas envie qu’on s’éternise en discussion accepte
et je t’emmène dans un hôtel ; tu peux marcher la nuit tout seule c’est imprudent
viens (lui tendant ma main et prenant sa valise de l’autre) je suis garé juste
de à l’autre bout de la voie
Lorraine : (petite
voix) merci
Moi : humm (n’empêche
que tu devras me dire après qui a oser te faire pleurer et pourquoi j’ai vu ces
énormes bleus sur toi mais c’est pas le moment, je vais même t’emmener chez moi
c’est mieux)
Moi : (démarrant) on y
va ?
Lorraine (mettant sa
ceinture) oui
*** 30 min plus tard devant
un portail énorme ***
**lorraine**
Ou sommes-nous ?
Lui : dans ma demeure
Moi : je voulais aller à
l’hôtel, ramène moi
Lui : (très calme) tu
me vois te déposer quelque part et m’en aller alors que je te vois aussi mal ?
pardon mais c’est pas possible et s’il te plait ne va pas t’imaginer des
choses, tu me plais je le reconnais mais je ne compte pas te toucher, je sais
respecter une femme ( coupant le moteur) alors descend Jeffrey mon majordome
montera ta valise après dans ta chambre, tu prends un bain et tu te détends. Demain
je te déposerai ou tu veux ; on fait ca
Moi : (capitulant)
bonne nuit (suivant Jeffrey)
Lui : dors bien (demain
on aura plein de choses a ce dire soit en sur)
**** dans la nuit ***
Non non arrête s’il te plait
sniif, tu avais promis ne pas me faire du mal, lâche moi s’il te plait. Je veux
rentrer chez moi…………..
MERDE