Le Viol

Ecrit par Sacerdoce

Roméo : Eh bonjour les filles

Nous : oui salut Roméo !

Roméo : vous avez appris que la prof de Français n’est plus avec nous, il paraît que son mari a été affecté donc ils ont demandé un rapprochement de conjoint.

Nous : hummmm et qui le remplace ?

Roméo : un tout nouveau prof il n’était pas de la boîte, il vient d’arriver !

Orphée : l’essentiel c’est qu’il soit réglo et sympa.

Merveille : je l’espère oooh

Roméo : on se voit à la sortie !

Nous : ok.

En fin de semaine

Orphée : Le nouveau prof là je ne le sens pas du tout il est très autoritaire alors qu’il a à peine 3cm de plus que moi !

Auguste : pardon Orphée ne cherche pas les embrouilles

Orphée : est-il interdit de donner son opinion ?

Auguste : non mais je te connais et on dirait qu’il y a une idée qui trottine derrière ta tête.

Orphée : oh non pas du tout, mais bon il n’a que 2mois et demi de cours avec nous ! vivement qu’on ne nous le ramène pas l’année prochaine !

Auguste : pas évident si nous décrochons le B.E.P.C on ne fera plus la 3ème

Orphée : on devra aussi changer d’école, tu sais qu’on est dans un établissement public et qu’on ne peut pas faire la seconde sans la moyenne de classe de 3ème.

Auguste : ce n’est pas bien grave ! De toutes façons école c’est école et les privés sont encore mieux, pas de grève, pas de manque de salle de classes.

Orphée : tu as raison, je n’ai plus qu’à prendre mon mal en patience et le supporter !

Auguste : voilà qui est bien réfléchi !

 

Après le cours du soir Euloge m’attendait comme d’habitude parce qu’aujourd’hui papa ne viendra pas me chercher

Orphée : Merveille ne se sent pas trop bien ce soir je vais la raccompagner chez elle avant de rentrer.

Euloge : ce n’est pas un souci je t’ai promis de raccompagner donc, on la raccompagne chez elle et moi je te raccompagnerai à mi-chemin comme d’habitude.

Orphée : ok on fait comme ça ! Merveille on y va.

On a dû prendre par des sentiers un peu tordu pour vite y aller je ne connaissais pas trop bien mais heureusement Euloge connaît bien la ville je n’ai pas à m’inquiéter.

Au bout de 15min on y était !

Maman Merveille : merci beaucoup ma fille, que Dieu te bénisse ; fais attention en chemin et rentre vite.

Orphée : oui maman, Merveille prends soin de toi !

Merveille : merci.

Maman : sois prudente !

Orphée : ok bye !

Une fois au portail Euloge m’attendait, il n’était pas rentré dans la maison !

Orphée : on y va !

Euloge : on va prendre par les sentiers battus pour raccourcir le chemin

Orphée : ah vivement je me demandais s’il fallait encore contourner.

Euloge : paresseuse !

Orphée : c’est ça

Après quelques mètres de marche

Euloge : Attends Orphée j’ai fait tomber une pièce ! (en s’abaissant pour essayer de chercher)

Orphée : comment veux-tu qu’on la retrouve dans le noir !

Euloge : c’est bon je l’ai !

Orphée : ok

Je me redresse et le visage d’Euloge était à quelques centimètres !

Euloge : Orphée tu me plais beaucoup tu sais…

Orphée : je sais on en discutera plus demain là il se fait tard allons-y

Euloge me retint par la main !

Orphée : Euloge lâche ma main !

Euloge : tu es très intelligente Orphée tu sais que j’ai des sentiments pour toi ! Mais tu fais comme si tu ne savais pas !

Orphée : arrête stp tu me fais mal !

Euloge : j’ai trop envie de t’embrasser ?

Orphée : lâche-moi ou je crie

Euloge : Personne ne t’entendra regarde autour de nous ; la prochaine maison est un peu loin.

Orphée : il a bien raison, il faut que je lui fasse entendre raison mais plus calmement !

Il me plaqua contre un arbre : et commença à m’embrasser

Orphée : Euloge arrête stp je t’en prie je te promets qu’on en discutera demain mais ce soir laisse-moi partir !

Il n’était plus maître de lui, je ne le reconnais pas qu’est-ce qui se passe comment n’ai-je pas vite compris quand il m’a proposé le raccourci.

Je ne voulais qu’une seule chose qu’il me lâche mais il fait 1m65, je fais 1m42 j’ai 12ans il en a 21 je ne fais pas le poids rapport de force.

Je me débattais mais il me retient prisonnière !

Il a soulevé ma robe, il a introduit un doigt dans mon intimité.

Euloge : petite allumeuse tu mouilles inh ça te plait bien plus que tu ne le laisses croire.

Ce n’était pas vrai j’étais en menstrues d’ailleurs c’était la 2ème fois de ma vie que je trouvais mes menstrues.

A un moment donné de guerre lasse je me suis déconnectée de mon esprit pour éviter de vivre ce qui se passait

C’est la douleur qui transperça mon vagin qui me ramena à moi ; il vient de me voler ma virginité de la manière la plus lâche qui soit.

Je refuse de vivre ça plus longtemps !

Orphée : tu m’as fait mal Euloge, tu n’as pas pris la bonne posture, attends je t’aide à mieux me pénétrer, il se détendit et lâcha un peu prise, alors j’ai empoigné son pénis de toute ma force et mordu à l’épaule.

Il desserra son étreinte en proie à la douleur !

Il a levé la main pour me gifler mais j’ai esquivé.

Je me suis mise à courir, heureusement que je suis sportive.

Je ne me suis arrêtée qu'une fois au bord de la grande voie j’ai hélé le premier conducteur que j’ai vu pour qu’il m’avance un peu.

Il n’allait pas jusque chez moi mais il m’a beaucoup avancé.

J’ai eu le temps de mettre de l’ordre dans ma tenue avant de m’introduire chez moi !

Il n’y avait que ma sœur au salon entrain de manger, elle ne remarqua rien

Je m’éclipsai pour aller dans ma chambre.

Je me suis réfugié sous la douche, je me sentais sale, coupable et vidé de moi.

J'ai perdu assez de sang étais-ce à cause du viol ou parce que j'étais en menstrues? Je ne saurai le dire.

Ce soir-là ma vie a pris un sacré coup ! Je viens de me faire violée

Je ne serai plus jamais la même.

ORPHEE(Tome1): Une a...