L'Effet Que Tu Fais !

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 29


*L’Effet Que Tu Fais ! 


LIZZIE 


Je parlais avec Franck par message depuis ce matin et c’était vraiment parfait. J’ai toujours rêvé d’un homme bon, beau et riche et Dieu seul sait pour combien de salauds j’avais oublié ces principes mais avec Franck tout est là.


C’est comme une promesse que Dieu veut accomplir maintenant pour moi et j’en suis vraiment ravie et heureuse. Il me dit vraie et même s’il drague mal j’adore car je suis l’heuse élue. 


Lui : (me tapant)  tata maman veut te parler au téléphone


Moi : (prenant le téléphone)  allô Jokey ça va ? J’ai voulu t’appeler mais je ne savais si je pouvais….Tu es sûre que ça va ?....Ta voix est bizarre….. (Inquiète) 


ANDY


Ce n’est qu’au petit matin que je quittais ce cimetière. J’étouffais avec Jokey ou Jamila je ne sais même plus qui elle est.


Ce corps dans cette terre est donc le corps de qui ? N’eut été l’intervention des gardiens de nuit j’aurais déterré ce corps….mais ils m’en ont empêché et comme par Maggie c’est aujourd’hui qu’ils sont là. 

 

J’ai ressentis de la joie et aussi de la colère quand j’ai su la vérité, j’ai passé presque toute ma vie à pleurer cette femme et aujourd’hui elle est toute métamorphosée devant moi, mais ce n’est pas le plus pire, le plus pire c’est qu’elle vivait tout ce temps bien et sans moi et ne m’a même pas fait signe. Bon je peux dire que tu étais amoureuse mais et ton retour ici, ton mari ne vit plus, tu aurais pu au moins me parler ici. 


Même toute ces prises de têtes, elle savait qui j’étais et aurais pu empêcher tout ceci mais elle me repoussait, m’injuriait et m’ignorait pour être auprès de cet homme, son premier mari. Qu’est-ce qu’elle est devenu ? Je ne sais pas. 


Julie : (souriant)  hey salut comment tu vas ? 


Moi : ça va 


Elle : (continuant avec son même sourire)  je t’ai appelé mais je ne t’ai pas eu 


Moi : (regardant mon portable éteint)  je n’avais plus de batterie 


Je montais pour aller me doucher et aussi me coucher, j’essayais de dormir mais le sommeil ne venait pas. Je ne faisais que réfléchir et réfléchir à tout ça. 


Elle : (me regardant) tu as dormi avec elle ? 


Moi : (ahurit)  avec qui ? 


Elle : (petite voix)  au cimetière avec Jamila 


Moi : oui je le devais 


Elle : (me regardant) Andy je suis là maintenant et je ne suis pas elle mais je peux t’aider. Tout avait commencé à bien aller entre nous qu’ai-je fait ? 


Moi : rien, et je suis désolé mais c’est moi le problème. Je ne peux et ne veux t’empêcher d’être heureuse Julie car tu le mérite. Mais moi je croyais que j’allais bien mais je suis émotionnellement instable et je ne veux t’obliger à rester avec un homme comme moi 


Elle : je peux t’aider à arranger cela, fais-moi confiance (mettant sa main sur la mienne) 


Moi : (me levant)  je dois sortir désoler 


Elle : laisse-moi venir (me suivant) 


Moi : non 


Elle : Andy je t’en prie 


Moi : (impératif) non Julie, arrête de vouloir faire cela car ça ne m’aide pas. Je dois et veux être seule. Alors je suis désolé de te faire de la peine et crois moi je n’ai jamais voulu le faire mais je dois sortir sans toi et je t’en prie ne m’attends pas cette nuit. Je ne sais quand je reviendrai mais ne t’affole pas, je rentrerais (voulant sortir) 


Elle : (me rattrapant)  Andy c’est si grave que ça 


Moi : (enlevant mon bras de sa main tout doucement) crois-moi Julie-tu n’en a même pas idée


Puis je sortis


JAMILA 


Moi : la nuit commence à tomber tu dois partir


Elle : oui, mais je ne vais pas te laisser ainsi, au moins si tu dors je partirai en paix


Moi : (forçant un sourire)  ça ira tu as fait même beaucoup 


Elle : non tu as mal (me regardant) 


Moi : (soufflant) en même temps je devais m’y attendre vu comment il m’a pleuré c’est normal qu’il me déteste actuellement 


Elle : ce n’est pas facile pour lui, hier je disais à Franck que tu étais vraiment désolé pour la dernière fois et voulais te faire pardonner et il m’a confié que tu n’avais choisi le bon jour car, il était d’humeur vraiment soulante à chaque anniversaire de ta mort. Franck m’a confié assez de choses sur lui te concernant ou concernant ta disparution.il t’a vraiment aimer, même cette plage c’était pour toi qu’il ne voulait que personne ne l’achète 


Moi : hum je sais maintenant, j’espère juste qu’avec le temps il reviendra à de meilleurs sentiments. Quand je ne l’ai pas vu revenir hier je voulais aller le chercher mais où, tous pensent que je suis Jokeybed Nelson et en plus peut-être qu’il a besoin d’espace aussi je ne pouvais rentrer avec cette salle tête Ethan allait s’en faire car il ne sait rien 


Elle : tout s’arrangera (regardant son  phone) 


Moi : (lui montrant son portable)  tu dois répondre ça fait milles fois qu’il appelle 


Elle : oui il veut me voir, mais il se fait tard et je ne veux sortir 


Moi : mais invite le chez nous, c’est aussi ta maison et en plus Franck est bien. Profite donc. 


Elle : (souriant)  merci je vais le faire, mais dis moi tu comptes lui parler de la grossesse ? Le fait qu’elle soit passée et que  l’enfant n’existe plus ? 


Moi : (respirant un grand coup)  hummm, je ne sais même pas 


Lui : (derrière nous)  tu as avorté mon enfant ? 


Elle : (ayant peur) ohh comment est tu rentré ? 


Lui : (lui jetant un bref regard)  ils m’ont laissés passé et la porte du salon n’était pas fermer (me regardant) 


Je me rappelais leur avoir dit de le laisser rentrer à tout moment.  


Moi : Didi, tu vas bien ? (voulant changer de sujet) 


Lui : tu as tué un innocent juste pour m’oublier à jamais ? (me fixant) 


Moi : écoutes moi ce n’est pas ce que tu penses….


Elle : (gênée)  je vais vous laisser parler seul à seul 


Lui : (lui parlant)  vous pouvez rester, vous savez tout apparemment et loin de moi l’idée de vous chasser 


Moi : (la suppliant du regard) je t’en prie liasse nous 


Elle : (mine triste)  d’accord, Andy je sais que c’est dur mais s’il te plait écoute là. Jokey vraiment navré 


Moi : t’inquiète pas, rentre bien et embrasse Ethan surtout 


Elle : je ne manquerai pas, meilleure soirée à vous deux aussi. (Me regardant) 


Moi : Andy assieds-toi je t’en prie (lui montrant le fauteuil) 


Lui : (criant presque) je veux savoir pourquoi tu as tué mon enfant ? Pourquoi Jamila ? Pourquoi ? (regard plein de haine) 


JULIE 


Non quelque chose n’allait pas, Andy avait mal, il n’avait pas  du tout bonne mine je me rappelle que cette mine il l’avait lorsqu’il a su pour la mort de Jamila. 


Je sens un mauvais pressentiment et en plus, il m’avait parlé comme ci il voulait que je le quitte mais pourquoi ? 


Tout allait si bien, mon père va me dire qu’il m’avait prévenu. Non je ne peux pas le perdre j’ai trop souffert pour l’avoir. 


Je vais aller au cimetière et rester avec lui, peut-être qu’il veut que je sois plus présente pour lui et je ne le suis pas. 


Je me pris ma voiture et je partis au cimetière et là Andy n’y est pas, il fait nuit et il n’est pas ici ou est-il ? J’appelle Franck en lui demandant s’ils sont ensemble, il me dit qu’il doit surement être au cimetière. Je ne lui dis pas que j’y suis présentement, je  le remercie et prends congés car apparemment il était occupé et n’était pas seule. 


Mais où est Andy ? Et cette femme ? Est-ce qu’il n’est pas chez elle ? 


Non il ne peut me faire cela, pas après tout ce que j’ai fait pour lui, je suis allé avec lui une fois là-bas et je peux reconnaitre, donc j’irai là-bas. 


Je partis donc là-bas mais les vigiles m’empêchaient d’y entrer. 


Moi : (les suppliant)  je vous en prie je veux juste voir votre patronne escortez moi juste une minute, je veux jute lui parler c’est important 


Lui : (froid)  vous n’avez pas rendez-vous donc ce n’est pas possible 


Moi : (voix petite) c’est une question de vie ou de mort. 


Lui : (ferme)  Donnez-nous le message et nous en  jugerons  d’abord. 


Moi : (m’emportant) putain c’est Dieu ou quoi ? Il faut quoi ? Une audience pour la voir ? 


Lui : (toujours le même ton)  c’est la patronne et nul n’entre chez elle sans être invité 


Moi : est-elle là ? 


Lui : (même froideur)  je ne réponds pas à ce genre de questions ce n’est pas mon travail 


Moi : (le suppliant encore une fois)  écoutez il y’a un journaliste assez beau et costaud, grand de taille, teint d’ébène qui est venue ici la fois dernière avec moi, est-ce qu’il est là ? 


Lui : (toujours le même ton)  ce n’est pas mon travail de répondre à ce genre de question madame 


Moi : (craint)  merde ! C’est quoi votre travail au juste ? 


Lui : (me fixant)  m’assurer de la sécurité sur tous les plans de ma patronne 


Moi : (levant les mains)  fouillez-moi, je vous jure que je ne suis pas armé 


Lui : (autoritaire)  madame s’il vous plait quittez les lieux 


Moi : (le suppliant)  juste une minute 


Lui : madame quittez les lieux ! 


Puis je vis dans à travers son portail transparent une femme et un homme mais l’homme ressemblait à Franck, il marchait main dans la main avec la femme ? J’aurais sauté de joie si c’était elle mais non ce n’était pas elle. 


Moi : (criant) Franck ? 


Lui : (se moquant)  ils ne peuvent vous entendre, vous les voyez certes mais ils sont loin 


Moi : (automatiquement)  c’est mon patron laissez-moi passé, je vais lui parler il doit savoir ce que je veux 


Lui : (commençant à se lassé)  mais madame, je vous est dit non 


Moi : (continuant avec le même air suppliant)  je vous en prie, je ne veux plus votre patronne mais moi mon patron ou dites-lui juste  que je sis au portail. Dites-lui que c’est Julie Siloé 


A ce moment un autre bien plus robuste se leva et venait  vers moi


L’autre : (regarda dur et voix rauque)  c’est la dernière fois madame, quittez les lieux 


Je partis sans demander mon reste. Une fois dans ma voiture je lançai encore le numéro de Franck mais ça sonnait sans suite. Putain mais que fais-t-il ? Et comment a-t’il put entrer et pas moi ? Qui est cette autre femme ? 


Humm, je lança aussi celui d’Andy mais ça sonnait occupée. Je mis à pleurer sans savoir la véritable raison. 


ANDY 


Moi : (la fixant)  je t’écoute Jamila 


Elle : (me regardant à peine)  Andy tout n’était pas aussi simple 


Moi : (automatiquement)  tué un innocent n’est jamais simple 


Elle : (respirant un grand coup)  je ne savais pas que j’étais que j’étais enceinte et quand je l’ai su il n’existait plus


Moi : (la fixant toujours)  aussi simplement comme ça 


Elle : (levant les yeux vers moi)  écoute moi je me suis réveiller au Ghana amnésique, et j’ai vécu avec Majid en étant dans le passé dans ma tête, alors quand j’ai retrouvé la mémoire plusieurs mois après notre union c’est là qu’il m’a dit que j’étais enceinte et que j’avais perdu le bébé. Ton bébé 


Moi : humm Jamila 


Elle : (continuant comme pour se justifier)  je suis tombée d’une colline, il n’a pas survécu moi ça été une chance j’ai juste perdue la mémoire, je peux aller au Ghana avec mon jet et te montrer les papiers de l’hôpital je n’ai pas fait d’avortement et avait vraiment perdue la mémoire. 


Lui : et pourquoi ne pas m’avoir contacté ? 


Elle : je ne pouvait pas Andy …..


Moi : à cause de ton mari ta nouvelle vie de famille ?  


Elle : je me disait que tu m’avais oublié mais aussi je devais rester là-bas


Moi : (énervé mais me maitrisant encore)  à cause de lui ? 


Elle : (s’emportant)  oui à cause de Majid car il a toujours été bon envers moi mais aussi parce que je devais me préparer et préparer ma vengeance 


Moi : contre moi ? (ahurit) 


Elle : (craint)  Maxime a tué Marysa et Kevin, je suis venue chez toi cette nuit-là avec la preuve et je t’ai vu avec l’autre.  (Voix tremblante) C’est ainsi qu’ils m’ont poursuivis jusqu’à ce que je tombe de la colline, car il savait que j’avais la preuve, on s’est battu même avant que je ne puisse fuir et qu’il tue ma servante 


Moi : comment ? (dépassé) 


Elle : (yeux rouges)  il a tué ma sœur, son fiancé et la servante et je dois me venger de lui 


Moi : (dépassé)  je suis vraiment désolé. 


Elle : (essuyant sa larme) snif, snif... et pour ce faire, je devais changer je devais devenir une autre personne... 


Moi : (la coupant)  Jokeybed Nelson 


Elle : (acquiesçant)  c’est cela 


Moi : mais tu aurais pu me dire, tu as conscience du temps que l’on a perdu (la regardant plus tendrement) 


Elle : mais tu es avec Julie (détournant son regard) 


Moi : (l’obligeant à me regarder) et tu crois que je l’aime, c’est juste de la compassion et je l’ai fait car je te croyais morte  et elle me suppliait toujours (m’approchant plus d’elle) tu penses que je l’aime ? 


Elle : (reculant et se mettant jusqu’à se bloquer au mur) elle je t’en prie Andy recule 


Moi : (avançant)  tu crois que si je te savais vivante, même amnésique ou marié je me serais mis avec elle ?


Elle : (détournant la face) je t’en prie Andy arrête 


Moi : (la saisissant par la taille) je t’aurais attendu car je suis sûre d’une chose c’est un amour véritable que je ressens pour toi (prenant sa main et la mettant sur ma poitrine) ici ce cœur la, n’a jamais cessé de battre pour toi, même lorsque l’on t’a déclaré morte (la dévisageant) 


Elle : (tremblant)  je t’en prie Andy 


Moi : (à son oreille) je t’aime Jaja, et ça toujours été ainsi, (faisant descendre sa main vers mon érection) sais-tu depuis combien d’années je n’ai pas eu une érection pareille ? 


Elle : (comme un gémissement) Andy non arrête 


Tout mon être brulait d’envie et d’amour pour elle je revivais, elle était en face de moi, chauffante comme de la braise, je pouvais lire qu’elle m’aimait toujours, ces yeux commençaient a trop bavarder, normal elle avait tellement caché ces ressentis. Je lui caressais le ventre en pensant qu’un enfant, mon enfant a pu être ici à une période, me rendait heureux. 


Je continuais à le caresser et sa respiration avait changé, ça s’accélérait, elle avait toujours sa tête sur l’autre côté me suppliant du regard de la laisser, mais je ne pouvais pas, elle m’avait réveillé aujourd’hui. 


Puis sans que je ne m’en rende compte elle me poussa et courras pour aller dans les escaliers, je courais  aussi vers elle et elle voulut me  fermer la porte au nez. 


JAMILA 


Je croyais avoir fermé la porte mais il la calait avec son pied. Et la poussa puis  rentra, je reculais j’avais peur de ce qui pouvait se passer. Je craignais assez de choses et retoudait assez. 


Lui : (avançant vers moi) tu veux encore me fuir ? 


Moi : (reculant) Andy je t’en prie, je t’en supplie….


Lui : (me coupant)  je ne peux te faire de mal Jamila, (se rapprochant plus)  tu le sais bien, je ne te ferais pas de mal 


Moi : (le suppliant du regard)  alors comprends moi et pars (petite voix) je t’en prie. 


Lui : (venant vers moi et me faisant tomber sur le lit) c’est vraiment ce que tu veux ? 


Je n’arrivais plus à le regarder, je détournais mon visage et me disait que je ne devais pas ou ne pouvais pas faire ce qui était dans ma tête. Andy embrassa et suça délicatement mon coup ce qui me fit pousser un soupir qui en disait long. 


Moi : (petite voix pendant qu’il me caressait le visage) Andy je t’en prie….


Il m’embrassa et là rien plus rien ne faisait de bruit. Il écrasa ces lèvres, ces douces lèvres contre les miennes, je ne pouvais pas résister. Combien de fois secrètement j’en avais rêvé. Ces bras si musclés que j’adorais qui avait le don de me rendre actuellement  si petite, me tenait fermement contre lui, pour m’empêcher même de bouger ou de fuir encore, ces mains habiles avaient trouvé le chemin sous mon haut et sous mon soutien pour  empoigner avec une rapidité mes seins, les deux réagissaient automatiquement à chaque passage de ces mains sur l’un  d’entre eux je les sentais durcir, et je luttais pour ne pas gémir et continuer à l’embrasser. 


On aurait dit qu’il les appuyait avec force, à voir ces bras si musclés dessus, mais non c’est juste la forme, car ces mains musclés étaient douces si douces avec mes seins et si délicates, lorsqu’il les titillait avec ces doigts que je ne pus que me laisser aller et l’embrasser langoureusement passer ma main atour de son cou et vouloir en mon  fort intérieur ou prier pour que ce geste si doux et si délicat et ce baiser si langoureux qu’il me faisait ne s’arrête jamais. 


Ils les laissaient à mon grand désespoir, je m’attendais à ce qu’il remplace ces mains sur le bout de mon sein droit visiblement trop sensible à celles-ci (les mains),  par sa bouche mais non il continua de réveiller la sensibilité de celui-ci qui ne faisait que durcir et me faire pousser des gémissements que je n’arrivais plus à contrôler  et  il descendit jusqu’à mon nombril, retira ma jupe et il  l’embrassait (le nombril) . Je fermais plus fort mes yeux, pour essayer de me retenir et maitriser tout ce qui se passait. 


Il me caressa et continua le supplice ou la douceur, puis il revient et enleva mon haut et mon  soutien puis il embrassait enfin mon sein droit et caressait l’autre sein gauche, je tremblais d’envie et d’excitation et je pliais mon pied gauche et le balançais, il mit sa main le caressait ce qui me fit arrêter ma balance et le fis redescendre, ensuite il alla vers mon intimité il poussa mon dessous sur le côté et commença une autre caresse encore plus douce et plus excitante là-bas. 


 je commençais à le caresser, j’enlevais aussi sa chemise, enlevait sa ceinture et le bouton de son pantalon puis il bloqua mes mains enleva mon dessous, écarta normalement mes pieds et là, il a fait ce qu’il ne devais pas faire car je serais  très fort les draps du lit et hurlait son nom ce qui traduisait tout mon désir pour lui, tant ces lèvres sur mon sexe m’avait fait me lâcher complètement, et tout oublier.  Je me tordais de plaisir au fait, vous savez le plaisir que tu veux qu’on arrête mais qui te manque à la minute où l’on arrête. Me lécher et prendre mes grandes lèvres et les sucer si délicatement était le summum pour moi, j’en étais sûr je le voulais et le désirais et lorsqu’il revient m’embrasser il me caressait rapidement les seins et partit bien se loger en moi. Ce fut que gémissement venant de nous deux. 


Lui : (s’enfonçant bien plus fort en moi)  tu es resté douce ma jaja 


Je devais répondre ? Je ne pouvais même pas je gémissais sous tous ces coup de reins, il ne nous fallut pas longtemps pour atteindre ensemble le nirvana. 


Je le regardais dormir et porta sa chemise, elle était un peu grande pour moi mais ça allait, je partis au balcon et me rappelais de notre première histoire de sexe ici, c’était comme si c’était hier je me rappelais de tout, chaque baiser, chaque parole, chaque geste, ohh Andy, je ne pensais pas même pas me redonner à lui mais regarder vous même comment c’est arrivé. Je ne pouvais plus résister. Il m’avait eu et je l’avais dans la peau et ce moment était l’un des meilleurs. 


Lui : (me tenant par la taille et derrière moi) tu te rappelles de cette nuit-là sur cette plage ? 


Moi : (souriant)  tu es réveillé ? 


Lui : (me caressant)  sans toi ce lit est si vide 


Moi : (souriant) je regardais juste la mer et ne voulais te réveiller 


Lui : je t’aime jaja (me fixant avec ces beaux yeux) 


Je le fixai pour essayer de lui dire que l’on devait tout arrêter et que ce n’était plus comme avant, que  j’avais une mission et un objectif bien certain. 


Mais son regard me déstabilisa et je mis sur la pointe des pieds et l’embrassait. Je l’embrassais et ne voulait m’arrêter, certes je devais me venger mais je ne voulais y penser, je me refusais cette idée. 


Il me souleva, et je m’attendais à ce qu’il me pose sur le lit mais non, il me déposa sur la table en face du lit. Il continua à m’embrasser et moi je serai plus mes pieds sur sa taille. Il enleva sa chemise que j’avais toujours sur moi et repris ces caresses sur mes seins, puis il mit mon pieds sur son épaule et descendis, puis il commençait à me lécher et insérer ces doigts en moi tantôt de façon douce et rapide, heureusement que je n’avais mis de talons car je l’aurais blessé, et mes ongles qui étaient en lui, prouvait bien ce que je disais, mais lui s’en foutait il continua et plus parfaitement que possible même. Je serai sa tête plus fort et poussa un long gémissement qui me libéra, j’ouvris les yeux quelques minutes après et le vis toujours en train de me lécher. 


*****


Je descendis les marches et le vis à la cuisine en train  de préparer, je souris puis partit l’aider. Mais M. ne voulais pas que je touche à quelque chose, (rire) il voulait tout faire donc je le laissais et partit appeler mon fils et rassurer Lizzie, ils allaient partir les trois regarder le cinéma. J’étais heureuse pour eux. 


Andy me fit signe que le repas était prêt, il me servi et on mangea bien.  


Lui : (me donnant une bonne bouchée)  j’ai eu la chance de tout trouver au frigo 


Moi : (ouvrant la bouche)  oui la dernière fois Lizzie a fait les courses pour venir, vu que j’étais ici 


Lui : (souriant)  tu m’attendais, tu savais que j’allais revenir ? 


Moi : (lui rendant son sourire) j’espérais juste que tu reviennes 


Lui : (m’embrassant) tu m’as tant manqué 


Moi : et tu t’ai bien rattraper 


Lui : (riant)  hum comme cela j’ai été le seul ? 


Moi : (évitant le sujet) ton plat est succulent 


Lui : (continuant à rire)  c’est ça oui, cachotière 


On mangea et on remonta, moi j’allais prendre une douche à mon retour il partit aussi prendre sa douche. 


Lui : (avec une serviette nouée à sa taille)  tu fais quoi ? 


Moi : je m’apprête on doit rentrés 


Lui : (soufflant dans mon cou)  on peut encore resté pour se rattraper 


Moi : (riant) je n’ai plus de force et aussi demain est lundi je dois accompagner Ethan et faire de réunions avec Maxime et sa bande dans le but de ma vengeance (sérieuse)  


Lui : (serein)  je suis désolé pour ce qu’il a fait et je veux aider 


Moi : (tenant sa main)  Andy non, c’est ma vengeance et je la ferai. Mais je t’en prie ne t’y mêle pas, personne ne doit savoir que je suis Jamila,  je t’en prie pour tous je dois rester…


Lui : (me coupant en mettant son index sur mes lèvres)  je sais que tu dois rester Jokeybed Nelson, mais il est dangereux et j’ai peur pour toi. 


Moi : (le rassurant) je suis tout le temps sur surveillance et est un détective, je suis équipé sinon y’a longtemps que cette Neslie m’aurait découverte 


Lui : elle m’a même demandé de fouiller sur toi 


Moi : (ahurit)  vraiment ? 


Lui : (me caressant le visage et m’emmenant vers le lit)  oui mais j’ai refusé 


Me faisant coucher sur lui et me caressant les cheveux


Lui : (embrassant mon front) au moins tu peux faire la sieste non ? 


Moi : si je la fais,  je ne pourrais dormir le soir. 


Lui : (me serrant contre lui)  bon reposons nous un peu, j’ai peur de cette réalité de dehors et j’ai aussi peur que ce Maxime  ne veuille faire un truc avec toi, car je suis sûr qu’il a des vues sur toi 


Moi : (me collant aussi à lui)  c’est juste pour ma vengeance donc n’y prête pas attention 


Lui : (se levant)  ça veut dire que vous pouvez coucher ensemble ? 


Moi : (le fixant)  mais tu couches bien avec Julie non ? 


Lui : c’est différent….


Moi : (le coupant)  et en quoi ? 


Lui : je ne te savais pas vivante, (mettant son front sur le mien)  mais tout va changer et je veux t’aider à détruire ce monstre 


Andy lorsqu’il se met une idée en tête, impossible de lui faire changer d’avis sur le coup. J’avais besoin de tout actuellement sauf d’une prise de tête. Alors je défais sa serviette, le caressait ce qui eut le don de l’apaiser et le faire coucher. Je continuais avec de petits bisous sur son bas ventre et une vraie caresse sur son membre et je  mis son sexe dans ma bouche pour lui faire une bonne fellation, bon je l’avoue j’en avais aussi envie depuis hier. Je m’appliquais afin de  le rendre plus calme. 


Lui : (gémissant)  ohh oui Jaja, tu es si douée. ouiii


Je continuais et il me fit changer de position et me mis en 69. Bon là c’était censé être nous deux qui participons mais je ne pouvais  continuer, Andy me maitrisait et me faisait arrêter me fellation juste pour hurler son nom ou de plaisir, donc au lui d’être sur lui à lui faire plaisir je me retrouve en haut de lui ou du moins en haut de sa bouche en le laissant me doigter et me lécher comme bon lui semble. Il connaît toutes mes  parties secrètes et sensuelles et moi je peux que tenir fermement le bois du lit vu ma position et tout ce qu’il faisait. 


Ce sera encore partit pour une série de jambes en l’air et de jouissances sans modération, faut que j’achète une pilule à la sortie d’ici. 


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VENGEANCE VS AMOUR