Monsieur Benadiir.

Ecrit par Honorable FOM

Monsieur Benadiir.
 

Le téléphone sonne…

Mais pourquoi ce satané appareil me dérange-t-il en ce moment. Je vis une soirée incroyable et mémorable dans les bras d’une si charmante femme et je ne voudrais pas la quitter de sitôt. J’aimerais continue à faire l’amour jusqu’au petit matin. Je laisse coule aux premières tentatives mais ça continue. Je me décide de décrocher enfin parce que ça commence à me taper sur le système. Je vérifie le nom de l’appelant et je vois quoi ? C’est ma diablesse de sœur. Je me demande ce qu’elle me veut.

-          Oui Allo

-          C’est moi Melia

-          Je vois très bien qui c’est mais que ce que tu me veux.

-          Avale ta rancœur un moment, viens à la maison. On doit discuter d’un truc très important.

-          Depuis quand est ce que je t’obéis ?

-          Petit con papa est mort, quelqu’un l’a empoisonné. La police est là. Elle est en train d’interroger tout le monde même les bonnes.

-          Quoi ?? Répète.

-          Papa est mort

-          C’est sûr que c’est toi

-          Ramène tes fesses.

Que ce que cette pétasse vient de m’annoncer ? Comment ça papa est mort ? Il était bien portant la dernière fois qu’on s’est parlé au téléphone, il y a trois jours. C’est surement un coup de ma sœur je la connais très bien. Elle en est capable, juste pour s’accaparer la fortune de papa. Elle est prête a faire tous pour être la seule héritière de papa. Et je peux dire que papa l’un peu chercher, depuis combien de temps il lui bourre la tête qu’elle est sa fierté, et qu’après sa mort elle dirigerait la compagnie. Elle juste précipité la date butoir.

Dois-je informer Andira de la mauvaise nouvelle qui vient contre carrée nos plans pour la soirée. Elle me regarde en me dévisageant.

-          Que ce qu’il y a sexy boy ?

-          Mon père est décédé

-          Quoi

-          Il a été empoisonné, c’était ma sœur au téléphone.

-          Que ce que tu attends, va rejoindre ta famille.

-          D’accord mais est ce qu’on se rêvera

-          Va-t’en je te dis, tu as mon numéro et j’ai le tiens.

Sur ce mot je m’habille et je vile en direction de la maison de mon défunt père.  Je prends ma voiture et je roule comme un posséder, je ne respecte aucun feu de circulation, je klaxonne comme un fou. Lorsque j’arrive à la maison tout le monde est là. Mon oncle Saïd, ma mère Nayef, mon petit frère, Galaad, la police, les bonnes et ma diablesse de grande sœur.

 

Ce qui m’interpelle c’est ma mère. Les larmes coulent avec abondance sur ses joues : elle est triste, en colère ! J’ai l’avais jamais vu comme ça, elle veut tout casser. Mais pourquoi est-elle si effondrée ? ça fait depuis 20 que papa et elles ont divorces. Que ce qui se passe ici. Je ne comprends pas cette scène qui se déroule devant mes yeux. La dernière fois si je me rappelle que j’ai vu mon père et ma mère dans la même salle, ils étaient de se battre. Ils n’étaient pas quittés très en colère et depuis ils s’adressaient plus la parole. Alors pourquoi fait-elle tous ces théâtres. Cela m’énerve je n'en peux plus, mon cerveau veut éclater, mes tempes ne cessent de faire de petits battements encore et toujours.

 

Et puis il a la petite amie de mon petit frère, ce qu’elle vient foutre dans tout ça. Elle n’est pas de la famille a ce que je me souvienne. La fille avait de belles jambes bien formées, surplombé par des hanches développées, un ventre plat je pense grâce aux abdos et une poitrine pas assez voluptueuse à mon gout. Mon petit je l’appel comme ça, de son côté avait des abdos bien tracés, des bras en béton, des cuisses musclés et des mollets dures. Ce qu’il avait grandis le petit dernier.

A L' EPREUVE DE L' A...