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Ecrit par Mabanabook
MA DECISION FINALE : Page 2
QUELQUES PRESENTATIONS !
CELIANTHE
Mona : (me fixant avec ces gros yeux) donc tu vas la laisser faire ? Tu vas laisser cette vieille mégère gâcher la vie ?
Moi : (doucement) c’est ma belle-mère et que veux-tu que je dise ?
Elle : (comme une menace) je n’aime pas cela Celi, je n’aime pas cela
Moi : (évitant son regard) hum tout n’est pas aussi facile Mona
Elle : (prenant la petite dans mes bras) si ça l’est
Moi : (souriant) tu veux que je la fouttes dehors ?
Elle : (me fixant) que tu la rééduque
Moi : (souriant) tu es folle
Elle : (déposant Celi, oui c’est mon homonyme dans son beau lit de princesse) folle oui mais elle n’a pas intérêt à te toucher.
Moi : je ne pense pas qu’elle le fera. Bon je vais rentrer, passe le bonsoir à Richard (son mari)
Elle : (remuant la tête) non on va manger d’abord
Moi : (rangeant mes affaires) non ça va
Elle : (me servant) je sais très bien que tu ne mangeras pas une fois chez toi. allez viens t’asseoir pour manger
Moi : mais…
Elle : (avec une de ces voix) Celii…
Moi : d’accord
Elle : (sereine) et puis ne me cache plus rien. Tu crois que je n’aurais pas su que c’est parce que ta belle-mère à renvoyer cette pauvre fille, qu’elle est chez Leïla, nous sommes toute deux amies à LeÏla
Moi : tu as raison, je suis désolé.
Et oui, Mona a su et j’ai dû venir passé la journée ici pour la calmer. Et maintenant je dois manger ici aussi.
Après le repas, je pris congés. Je rentrais chez moi et voulus aller me débarbouiller un peu.
Elle : (me lorgnant) une femme marié qui rentre à cette heure !
Moi : (souriant) ah maman tu es là ? Bonsoir maman
Elle : (détournant son regard) humhum
Je partis dans la chambre, pour me déshabiller et faire pipi rapidement. J’entrais et je vis mon mari couché sur le lit. Mon si beau mari.
Moi : (souriant) coucou chéri ?
Lui : (se redressant) ah tu es rentré Céli tu étais ou ? Je me suis inquiéter pour toi
Moi : j’étais chez ma sœur et ta rivale (parlant de mon homonyme)
Lui : d’accord, tu aurais pu m’appeler
Moi : désolé chéri, pardon
Lui (caressant ma joue) : je t’aime Céli et je suis désolé pour ma mère mais comprends là. Je me fais vieux
Moi : (baissant ma tête) oui, j’en suis consciente
Lui : (relevant mon visage) on ira voir des spécialistes demain ?
Moi : (acquiesçant) d’accord chéri, tu m’as manqué.
Lui : moi aussi
Je souriais et il me serra contre lui. Mes règles étaient finies et je savais qu’il le savait. Une raison de sa bonne humeur, ça fait le troisième spécialiste que l’on verra et je suis sure qu’ils nous diront pareils, nous n’avons aucun soucis, mais pourquoi rien depuis ? Je l’ignore.
« Elle : (tapant) Yaya ?
Lui : oui maman
Elle : vient j’ai besoin de toi
Lui : ok d’accord »
Moi : (me relevant) je vais me débarbouiller chéri
Lui : (m’embrassant sur mon front) ok mon amour
Je souriais juste, j’adorais quand il était ainsi. Seigneur donne nous un enfant, afin qu’il reste toujours ainsi.
LEÏLA KEÏ
Elle : je rentre tantie
Moi : (souriant) d’accord, rentre bien et salut tes enfants
Elle : merci tantie
Elle partit et je montais retrouver mon mari avec mes enfants sur notre lit.
Lui : (mon mari) attention le monstre arrive
Ayan : (mon fils) nous sommes prêts
Kylian : (son jumeau) oui, nous sommes prêts
Andréa : (leur jumelle) moi j’ai peur je t’en prie monstre ne nous fait pas de mal.
Lui : (se faisant comme un monstre) j’arrive
Moi : (me mettant entre eux) personne n’arrive et d’autres regagnent leur chambre
Eux : zuttt maman
Lui : zut chérie
Je ne sais pas c’est quoi le plus dur ? Mon travail, ou m’occuper de ces triplés-là ? Ou encore de mon mari qui se met assez dans la peau d’un enfant.
Moi : pas de zut, demain y’a école pour d’autres (regardant ces trois garnements) et travail pour certains (regardant mon mari)
Eux : mais maman….
Moi : (autoritaire) au pipi, au brossage des dents et au lit
Ayan : maman, pourquoi je dois avoir la même chambre que Kylian et Andrea elle dort toute seule ?
Elle : (riant) parce que je suis une fille
Moi : (lui montrant le chemin de la chambre) on en reparlera le week-end mais pour le moment on doit dormir
Lui : ok, je t’aime maman
Kylian : a demain maman, je t’aime. Toi aussi papa
Elle : (embrassant son papa) rêve de moi, je t’aime maman
Puis ils partirent vers la salle de bains.
Lui : (avec son déguisement de monstre) chérie tu as été un peu dur
Moi : et toi un peu faible (partant dans la salle de bains)
Lui : ce ne sont que des enfants
Moi : que l’on doit aussi dresser
Lui : (mine boudeuse) oui mais il jouait avec moi
Moi : (le regardant) ça fait le cinquième costume ce mois. Tu comptes te déguiser chaque fois que tu joueras avec eux ?
Moi : (souriant) je dois être dans la peau du jeu
Moi : (plus calmement) chéri, je sais que ton enfance a été difficile et tu ne veux rien de tout cela pour nos enfants. Et crois moi je comprends, mais trop les gâter ne les aidera pas.
Lui : je n’ai pas envie qu’ils ressentent ce que j’ai ressenti. Grandir sans véritable amour paternel
Moi : (caressant sa main) je sais mais ….
Eux : (criant) papa !!!!Une histoire
Moi : (levant le ton) et pourquoi vous criez ainsi ? Parlez moins fort non ?
Lui : (m’interrompant) laisse j’irai leur lire leur histoire.
Moi : humm ok
Je me couchais et les entendaient rire aux éclats. Hum j’attends celui qui me dira le matin qu’il veut encore dormir un peu. Que ce soit le père ou ces fils. Seigneur, aide-moi !
Je suis Leïla Kouamé epse Keï, et je suis marié à Alfred Keï, un homme bon et parfois trop gentille, voyez vous-même avec les triplés. Je suis la collègue mais aussi amie et sœur si je peux le dire ainsi de Célianthe Bamba. Je suis aussi amie avec sa sœur, nous avons le même âge. J’ai mal de ce qui lui arrive actuellement et je prie pour que Dieu l’aide.
MONALISA KOUCA EPSE DJEDJE
J’ai fini de revoir toutes mes affaires pour demain. Je partis me coucher ;
Lui : (me souriant) enfin
Moi : (allant vers le lit) tu m’attendais
Lui : oui, (m’embrassant)
Moi : (caressant sa tête) désolé
Lui : (me fixant) que se passe-t-il ma blanche ?
Moi : (soufflant) je n’aime pas ce que Yaya et sa famille font subir à ma sœur, elle est toute seule avec eux. Sa mère se mêle de tout et ma sœur est trop calme et trop bonne pour être traiter ainsi.
Lui : (me caressant) ça ira, elle te l’a dit non ?
Moi : (le regardant) je sais mais je la connais aussi, elle se laisse trop faire.
Lui : (essayant de me réconforter) tout va s’arranger, j’en suis sure. Dieu ne laisse jamais les bonnes personnes
Moi : je te jure que s’ils voulaient je pourrais être sa mère porteuse. Je n’aime pas la savoir triste
Lui : et j’aurais été d’accord. Mais Yaya a beau avoir étudié aux USA, sa famille est encore un peu autoritaire avec lui
Moi : toi tu dis un peu seulement ?
Lui : oui un peu car si ça l’était totalement, il n’aurait jamais marié Celianthe tu le sais
Moi : (sereine) alors qu’il reprenne ces couilles et la défende. Elle n’est pas stérile ma sœur, il le sait bien
Lui : (me prenant dans ces bras) allez calme toi, tout ira bien j’en suis sure
Moi : (automatiquement) j’espère que tu as raison sinon cette belle-mère me connaîtra
Lui : (me tenant toujours contre lui) non, ça ne fera qu’attirer encore autre chose dans le foyer de Celianthe
Moi : hum
Lui : allez allons dormir
Moi : d’accord, je t’aime bébé
Lui : (souriant) moi aussi ma blanche
Je ne suis plus à présenter, je pense je suis la grande sœur de Célianthe et je l’aime plus que tout. Alors la voir ainsi subissant les méchancetés de sa belle-mère, me brule le cœur. J’ai mal à sa place. Je suis marié et est une fille de 5ans qui porte le prénom de ma petite sœur « Célianthe »
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