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Ecrit par Mabanabook
SON PARDON : page 35
EDWIN
Mon plan avait marché à la perfection. Le tribunal était remplit. Toute la famille Tiacoh était là sur ordre du juge et plusieurs journalistes aussi. A voir les Tiacoh on sent vraiment que plus rien ne va plus entre eux. Mira est d’un côté, ces frères d’un autre côté et sa maman toute seule dans son coin avec un chapelet.
Moi : votre honneur, permettez-moi d’appeler à la barre M. Goré Bi responsable de la sécurité
Lui : M. Gore Bi à la barre
Moi : bonjour Mr Goré
Lui : bonjour avocat
Moi : M. Goré selon votre témoignage vous affirmez avoir vu Mlle Yedmila ici présente entrez dans la maison ?
Lui : oui je l’ai vue
Moi : et personne d’autre n’était là ce jour-là à part vous et les gardes ?
Lui : sisi, un technicien mais il est partit avant son arrivée.
Moi : votre honneur avec votre permission nous allons voir ensemble une vidéo et M. Goré me dira si c’est Yedmila qu’il voit. Mais pour le moment il peut rejoindre sa place. Je reviendrai à lui si j’ai besoin.
Je mis l’enregistrement et on vit Louis Il était caché derrière une porte, tirer après avoir écouté Yasmina et son père.
Tous crièrent de surprise et le regardaient avec des gros yeux. Marc se jeta sur lui et lui dit « c’était donc toi ? » les gardes viennent donc les séparer et on conduit Louis à la barre.
Moi : votre honneur permettez-moi donc t’appeler à la barre M. Louis Tiacoh.
LOUIS TIACOH
Lui : M. Louis Tiacoh vous reconnaissez-vous sur l’enregistrement vidéo ?
Moi : (baissant la tête) oui
Lui : pouvez-vous nous expliquer comment cela s’est passé ?
Moi : c’était-il y’a 8 mois
FLASH BACK
Moi : (dépassé) tu es enceinte ?
Yasmina : (me regardant) oui Louis, je le suis
Moi : alors là !
Elle : qu’est-ce que cela veut dire ?
Moi : mais tu es sortie avec mon frère comment veux-tu que j’annonce à tous que tu sors avec moi. Beaucoup ignorent même que l’on sort ensemble
Elle : (s’énervant) donc tu veux quoi que j’avorte ?
Moi : (essayant de la calmée) non mais laisse-moi du temps
Apres cela ça devenait bizarre entre nous deux. Moi et Yasmina avons commencé à sortir ensemble depuis l’annonce du mariage de Louis et Yedmila. Nous nous sommes rapprochés, faut dire qu’elle était déprimée, avait tenté de se suicider et moi je l’aidais, je la réconfortais du mieux que je pouvais. Et heureusement ou malheureusement, on sortit ensemble. Mais on le faisait dans la discrétion. Elle voulait que ça reste caché pour éviter que l’on la juge de sortir avec des frères et moi cela m’arrangeait car je ne voulais pas que ma famille me juge. Puis est venue cette grossesse, j’avais peur, mais je ne voulais pas faire quelque chose qui la mettrait en danger ou même que je regretterais toute ma vie. Alors j’ai décidé de garder l’enfant et d’annoncer la nouvelle à la famille. Mais comment ? En les mettant sur le fait accompli. Et lorsque j’ai suggéré l’idée à Yasmina elle me dit
Elle : (me regardant à peine) à bien réfléchir, tu n’es pas le seul avec qui j’ai couchée donc j’ignore si l’enfant est de toi
Moi : (ahuri) que dis-tu ?
Elle : (continuant) j’avais besoin de réconfort et je l’ai eu avec toi et d’autres personnes
Moi : (m’énervant et serrant son cou) non mais tu es folle ? Je t’aime moi
Elle (se débattant) mais lâche moi tu n’es que la photocopie de ton frère. Moi je ne t’aime pas
Puis elle partit. Et depuis ce jour, je devenais l’ombre de moi-même. J’en voulais à tous mais je jalousais Marc car il a eu une belle femme mais aussi, il avait une autre qui l’aimait et se servait de moi pour compenser lui son manque. Je me mis à suivre Yasmina et je la suivais avec un pistolet je voulais la tuer et me tuer par la suite. Et un jour elle gara chez papa, à sa deuxième résidence, je descendis après elle et après que tous les gardes soient partis. J’avais un peu bu ce jour-là :
Je suis donc rentrée après elle chez papa et j’ai entendu ceci :
Papa : mais que fais-tu ici ?
Elle : je suis venue t’annoncer deux nouvelles.la première je suis enceinte de ton ainé de fils et la seconde je compte t’attribuer la grossesse.
Papa : (surpris) tu es enceinte de qui ? Tu es folle ou quoi ? Quel genre de femmes est tu ? Tu couches avec toute une famille ou quoi ?
Elle : (haussant le ton) arrête-moi tes réprimandes, marc m’a quitter par ta faute. Pendant mon mandat je devais continuer à sortir avec toi et tu as exigé que j’arrête tout avec ton fils
Papa : (la regardant à peine) c’était ton mandat qui le permettait et l’exigeait, tu étais même consentante. En plus tu voulais donc continuer à sortir avec le père et le fils en même temps ? Tu ne vas pas bien toi. Il faut que tu partes, j’ai demandé à ma véritable belle-fille de venir j’ai à lui donner des conseils pour son couple.
Elle : (l’ignorant) par ta faute j’ai tout perdu l’amour de Marc et donc tu vas payer le prix cher. J’ai des preuves que nous sommes sortis ensemble. Je dirai donc que ça continuer et que tu m’as enceinté tu perdras ta famille et on sera un couple kit sans amour de ce que l’on veut et l’on aime. De toutes les manières j’ai déjà dit à ta femme qui sera bientôt ton ex-femme que j’ai trouvé un moyen de rentrée dans votre famille.
Lui : (dépassé) tu ne feras pas cela ?
Elle : oh que si, regardes moi faire. J’ai perdue Marc par ta faute et par la mienne tu perdras tout. Tu verras ce que sa fait. Ta femme, qui se vante d’être la seule comprendra qui tu es vraiment, ta fille insolente m’aura comme belle-mère et elle en mordra la poussière, Marc en souffrira et peut-être qu’il divorcera vu que ces émotions le guident toujours. Et Louis, bon, il ne sera que, (semblant réfléchir) comment Yedmila dit déjà ? (souriant) voilà un dommage collatéral.
Lorsque j’entendis cela je ne réfléchissais pas longtemps, je fis sortir l’arme de ma poche et je tirai. Je ne sais plus combien de balles mais j’ai tiré et pris la fuite. Je voulais tuer Yasmina parce qu’elle s’était jouer de moi et je voulais que la faute retombe sur papa parce qu’il a été un salaud selon moi. Ce n’est plus tard que j’ai su que je les avais tué les deux. (Baissant la tête) Je suis désolé Yedmila
A ce moment-là Marc se leva et cria avec une voix tremblante « tu n’es qu’une ordure Louis, tu n’es qu’une ordure. »
Ce fut des cris d’exclamations, des pleures de la part de Mirabelle et sa mère et de la surprise dans les yeux de Yedmila et l’avocat de la défense, ainsi même que les jurys et autres.
Le juge : (criant) SILENCE DANS LA SALLE
Moi : votre honneur j’appelle à la barre maintenant avec votre permission Lydia Dion
Yedmila sortit ces grands yeux pour me regarder. Et tous me regardaient, sûrement de surprise. Moi je continue sereinement car je sais ce que je fais.
Elle : (s’asseyant) oui avocat
Je revenais en arrière sur l’enregistrement avec la permission du juge bien sûr, et on montra une fille qui était identique à Yedmila entrer et se cacher derrière un rideau. Je m’arrêtai sur la fille et demanda à M. Goré
Moi : M. Goré est-ce bien cette fille que vous avez vue ?
Lui : (se levant) oui avocat
Je laissai donc l’enregistrement passé et après la fuite de Louis on vit la fille sortir de sa cachette et tirer sur le père Tiacoh en criant, puis laissant l’arme et appelant surement la police puis courir.
Moi : Mlle Lydia Dion, on vous écoute
Elle : (coulant des larmes) je suis désolé Yedmila c’est moi qui est tuer le père de Marc. Je suis arrivé à sa résidence car je l’avais mis sur surveillance, grâce à un détective privé que j’avais engagé. Je ne l’ai pas fait pour te faire mal, mais je voulais et devais me venger. Voici pourquoi je ne voulais pas que tu t’unisses à ces gens ils sont sans cœur. Je suis vraiment navrée. (Pleurant) Quand je suis arrivée, les vigiles m’ont pris pour toi, je me suis cachée derrière un rideau, je ne savais pas que tu devais venir, sans me demander, ils m’ont pris pour toi donc je ne me suis pas signaler aussi, vu que j’avais réussi à passer sans soucis. Et j’ai vu Louis tirer et fuir mais c’est Yasmina seulement que la balle à toucher et au moment où son père voulais appeler (baissant la tête) moi je l’ai tué.
Des cris de surprises résonnaient. La surprise se lisait sur les deux camps. Quant à Yedmila elle mit sa main sur sa bouche pour éttouffer un cri, Sophie cria juste de surprise « LYDIA !! »
Elle : (continuant) Je l’ai fait pour faire mal à cette femme. (Indexant Madame Tiacoh) oui cette femme sans cœur qui m’a abandonner pour aller se remarier, elle était la maitresse de mon père et lorsqu’elle a eu l’occasion de se remarier elle m’a donné à lui sans remords (voix tremblante). Et lui et sa femme m’ont fait vivre de toutes les couleurs. J’ai même été violé par un oncle là-bas. J’avais sa photo, cette femme, cette mère indigne. Et quand je la voyais dans les journaux mon cœur saignait car elle vivait bien avec sa nouvelle famille sans moi.
Madame Tiacoh par l’expression de son visage semblait se rappeler d’une histoire. Et ces larmes me disaient que c’était une histoire douloureuse sûrement identique à celle de Lydia.
Elle : (continuant en pleurant) Même quand je m’approchais d’elle pendant le mariage de Yedmila elle ne me reconnut pas. Je voulais qu’elle souffre comme j’ai souffert en perdant celui qu’elle avait choisi en m’abandonnant. (Pleurant) pardon Yedmila, mais je ne pouvais pas me rendre. Tout avait l’air déjà classé quand ils t’ont pris. Je me suis dit que Dieu m’avait pardonné et m’avais donné une seconde chance, et aussi je ne pouvais pas penser que tu y resterais longtemps. Quand j’ai vu ce que l’on te faisait, j’avais voulu me rendre mais j’eus peur que l’on me fasse pire. (Éclatant en sanglots) Pardonne-moi. Voici pourquoi je t’évitais. Tu me connais tellement que j’eus peur que tu ne saches ce que j’avais fait en me regardant et j’avais aussi peur de me rendre en te voyant enfermer injustement.
Je pus sentir la surprise sur le visage de Yedmila. C’était comme un choc qu’elle venait de recevoir en pleine figure.
Elle : (continuant) J’ai donc trouvé à ma sortie le technicien qui était venu reprendre quelque chose qu’il avait oublié. Je décidais de le soudoyer en lui offrant tout ce que j’avais, il accepta et il promit partir loin en enlevant rapidement tous les enregistrements. Ensuite je suis partie dans un bar pour boire et oublier tout ceci, c’est là que j’ai vu que tu étais suspecter et arrêter. Mais je ne pouvais rien faire d’autres… J’ignore comment vous l’avez retrouvée. (Me regardant avec des yeux pleins de larmes) Désolé Yedmila (pleurant en la regardant) mais je ne regrette pas t’avoir tué cet homme car j’ai pu voir cette femme souffrir comme elle le méritait. (Fixant Madame Tiacoh méchamment)
Madame Tiacoh : (se levant) tu es la fille de Dion ? (pleurant)
Ces enfants-là regardaient apparemment surpris. Ça se voit qu’ils ne comprenaient rien.
Elle : (la fixant et parlant avec une voix tremblante) je suis votre fille, celle que vous avez eu avec un homme marié et celle que vous avez abandonnez et cacher lorsque l’occasion de vous remariez est arrivée.
Mira : Maman !!!!
Yedmila : (fondant en larmes) Jésus, Lydia !!!!
Moi : (reprenant) votre honneur, j’exige donc la libération immédiate sans conditions de ma cliente qui a été accusée injustement et aussi j’exige la restitution de tous ces biens que cette famille a détruits avec son abus de pouvoir. Le technicien qui m’a remis cette vidéo à décider de parler car selon lui le secret de ceci lui pesait et il voyait les morts en rêve. Il est lui-même venu à moi, après que j’ai essayé de le joindre en vain. C’est même à cause de lui que j’ai voyagé. Mais il souhaite faire une audience à 8 clos. (Fixant les jurys) Une fois de plus je dénonce la négligence des autorités de mon pays, il m’a pas fallu assez de temps pour découvrir que M. Tiacoh avait installé une camera sécrète chez lui. Et il ne m’a pas valu une forte intelligence pour prendre son cahier de visite et voir que M. Tiacoh avait reçu la visite d’un technicien et j’ai tout fait pour le retrouver. (Regardant le juge) Par cette négligence une femme enceinte a subi les pures humiliations de sa vie injustement alors je demande à la justice de mon pays de pousser plus loin leurs enquêtes et de ne pas accusé sur des suppositions. (Passant mon regard sur tous les policiers présents) Ou allons-nous si ceux qui sont censé nous protéger nous enferme par négligence et paresse en laissant en liberté les vrais coupables ? Je me pose cette question chaque fois qu’un homme de loi et de sécurité failli à son devoir. (Regardant l’avocat de l’accusation)
*****
Le juge : (revenant avec les jurys) après délibération faite, les jurys et moi avons décidé de libérer sans conditions Yedmila Meledje et aussi de faire un communiqué afin de lui présenter nos excuses. Nous demandons pour M. Louis Tiacoh et Mlle Dion Lydia la peine capitale. Et exigeons à la famille Tiacoh de restituer tous les biens de Mlle Yedmila Meledje dans des délais qui vous seront communiqué sous peu. Aussi nous allons devoir entendre Mlle Tiacoh qui a abusé d’un droit qu’elle n’avait pas, très bientôt. (La regardant) Mllle Yedmila vraiment nos excuses pour tous ces désagréments. Croyez nous, nous veillerons à la restitution de tous vos biens et aussi à ce que votre nom soit carrément lavé et blanchie de cette affaire ou vous êtes une simple victime, du fait de la négligence des forces de l’ordre et de sécurité et de nous tous hommes de droits. La séance est levée.
J’entendis les cris et les danses du côté de Yedmila, des pleurs et des remontrances d’un autre côté. On mit donc les menottes à Louis et à Lydia pour qu’ils rejoignent des cellules. Yedmila me souriait juste ainsi qu’à tous ceux qui se réjouissaient avec elle. Mais elle, semblait triste et coulais des larmes. Larmes de joie pour sa liberté ? De surprise à l’entente de tous ces aveux ? Ou de tristesse car celle que les bloggeurs appelaient ‘’sa sœur’’, que ces ennemis dont feu Yasmina qualifiaient que ‘’photocopie’’, qu’elle-même appelait affectueusement « mon amie», et que tous appelaient sa ‘’jumelle’’, l’avait trahi et était une meurtrière ? Je ne pourrais vous répondre actuellement. Je partis vers l’avocat de la défense et je lui remis un colis en présence de Marc qui avait la mine très serré et le regard très ailleurs, il semblait perdu dans ces pensées.
Je pouvais aussi remarquer la surprise dans les yeux d’Emilie Tan qui était présente.
Lui : (parlant à peine) qu’est-ce que c’est ?
Moi : les papiers du divorce (regardant Marc qui semblait revenir à lui après ma phrase) elle a signé.
Je partis vers ma cliente et sa famille. Tous m’applaudissaient et dansaient. C’était chaud. Oui nous avons GAGNER.
MARC
Je suis assis avec ma tête entre mes mains. Tout ceci me dépasse. Yasmina qui sortait avec mon père et mon frère, Louis qui a tué mon père, Lydia qui est ma demi-sœur et Yedmila qui me divorce.
Mira : (pleurant) je suis désolé Marc
Moi : (n’en revenant pas) elle a signé les papiers du divorce
Elle : je suis désolée, je vais aller lui parler si tu veux.
Jérôme : je suis désolé pour tout. Mais je ne peux continuer à être votre avocat. Nos chemins se séparent ici.
Mon oncle ambassadeur : (nous lorgnant) je suis déçu de vous tous. Vous savez ce que vous avez fait ? Me faire passer pour un menteur aux yeux du président de la république et de tous. Vous avez salit mon image. Mon frère aurait dû écouter nos parents et ne pas épouser votre mère. (Partant) ne comptez plus sur moi pour quoi que ce soit.
Moi : (me tapant) j’ai tout gâché, j’ai tout perdu
Maman : (pleurant) je suis désolé mes enfants.
Elle : (la bousculant) maman tu es la mère de Lydia ?
Elle : (pleurant) je devais me marier et je me suis dit que votre père ne me voudra pas avec un enfant aussi j’avais peur de lui dire qu’à un moment de ma vie j’ai été maîtresse d’un homme marié. J’aurais donné quelle image de moi ? Ma famille même la voyait comme un frein à ma réussite et une honte pour eux. Alors je l’ai donné à son père et sa femme. (Fermant les yeux) En plus elle me rappelait trop de mauvais souvenirs de maitresse, je ne l’avais pas désirée et le fait que son père reste avec sa femme malgré cela me faisait ne pas l’aimer. Je suis désolé…. (Pleurant)
Mira : (pleurant) quel genre de mère es –tu ?
Moi : (décrochant mon téléphone) oui docteur. Comment ? Vous en êtes sûr ? Merci docteur (triste)
Elle : qui y’a-t-il ?
Moi : l’enfant de Yedmila est vraiment le mien, (coulant une larme)
Mira : (mettant sa main sur sa bouche) ohhh non
Moi : (déçu) je suis sure qu’elle ne va plus vouloir que je l’approche, elle me déteste. Je vais appeler Sandra et reconnaitre mon enfant, je ne fais pas faire la même erreur, même si je ne l’aime pas, je vais prendre l’enfant.
Elle : Sandra est enceinte ? (Ahurie)
Mira : (pleurant) je suis désolé
Moi : oui maman, je vais l’appeler. Mais mon plus grand souci est Yedmila.
Mira : (éclatant en sanglots) Marc, je suis désolé. Sandra n’est pas enceinte (baissant la tête) c’est un plan commun que l’on avait car j’avais peur que tu retournes vers Yedmila et que tu lui pardonnes. (Pleurant)
Moi : (la giflant énervé) MAIS TU TE RENDS COMPTE QU’AVEC CETTE HISTOIRE TU AS GÂCHÉ TOUTE MA VIE ? (criant et tremblant sur moi-même)
PS : pour vous rappeler le fait que Lydia Dion est vraiment un enfant adultérin retournez relire la page sur sa présentation. (Page 5)
TU AS AIMER ALORS NE TE GÊNE PAS DU TOUT AIME COMMENTE ET TAGUE DES AMIS AMOUREUX DE LECTURE COMME TOI……MERCI ET BONNE SOIRÉE BISOUS !!!