PARTIE :04

Ecrit par Malachie officiel


Interdit aux mineurs

Il m'a regardé pendant un moment,

puis il m'a dit:

—Serge:« Olga tu es belle, attirante,

présentable et séduisante, mais je ne

peux pas ! Je suis désolé car

coucher avec toi serait donc aller à

l'encontre de notre déontologie. »

Soudain, je me suis levée, puis tout

d'un coup je me suis déshabillée

complètement.

—Moi (en lui faisant les yeux doux)

:« S'il te plaît Serge! Je t'aime de

tout mon cœur. Et pour te prouver

combien je t'aime, je t'offre mon

corps ; le seul cadeau que détient

une femme. »

—Lui:« Olga je te comprends, mais je

ne peux pas trahir Joyce! Je l'aime

toujours. »

—Moi:« .... »

Je n'ai rien dit ni ajouté, mais je me

suis juste rapprochée de lui, avant

que je puisse me coller à son torse.

Il n'a pas parlé ni réagi, et du coup

j'en ai profité pour caresser sa

poitrine avec ma main droite. Donc il

s'est excité juste quelques minutes

au cours de mes caresses, et puis. il

a commencé à m'embrasser. Il

m'embrassait et me caressait

doucement les seins et les fesses.

Puis après m'avoir caressé

sérieusement, il m'a transporté

jusqu'à la chambre. Et une fois là-

bas, il m'a déposé sur son lit, avant

de m'écartéer les jambes et me

pénétrer. C'était génial, il faisait des

vas-et-viens doucement, puis

quelques minutes après, il a éjaculé.

Après qu'il ait fini d'éjaculer, on s'est

reposé un peu, avant de reprendre

encore l'acte quelques instants plus

tard. Ce jour-là, il m'a fait l'amour

plusieurs fois, et c'était vraiment

exceptionnel mes amis.

Serge est vraiment doué, il m'a

emmené au septième ciel mes amis.

J'avais des sensations étranges à

chaque fois qu'il me donnait un coup

de rein, et quand il se rendait compte

que je gémissais, il enchaînai

iincroyablement des vas-et-viens. Et

même Constant mon ex-époux ne

m'avait jamais fait ça, c'était

vraiment phénoménal mes amis.

Serge sait vraiment rendre une

femme heureuse au lit, il est le genre

des maris que j'ai toujours désiré

mes amis.

Dès ce jour-là, j'ai réussi à lui rendre

fou amoureux de moi, grâce à ma

beauté irrésistible. Et je pense que

dorénavant à part moi, il ne verra

plus d'autres femmes !

Bon bah, concernant ma relation

avec Joyce, on ne s'est pas revue

depuis qu'on l'a épousé. Elle ne

vient plus au travail, et les rumeurs

circulent disant qu'elle a été

contrainte par son mari de démission

de son poste. Je connais bien

Constant, il est tellement autoritaire

et très jaloux ; je savais qu'il n'allait

pas accepter que sa femme continue

à travailler, et d'ailleurs quand je fus

encore sa femme, il m'avait aussi

interdit de travailler.

Bon, quelques jours plus tard. J'étais

en train de me baigner avant que

j'aille au travail, quand j'ai réussi

l'appel téléphonique de Inès, la

marâtre de Joyce.

—Moi:« Allô »

—Elle:« Allô ma chérie, comment la

situation évolue ? as-tu réussi de le

séduire ? » M'a-t-elle interrogée en

souriant.

—Moi:« Ça va bien grande sœur.

Mission réussie! désormais Serge

m'appartient, il est vraiment fou

amoureux de moi. »

—Elle:« C'est vrai ? »

—Moi:« Hummm... Il supporte toutes

mes caprices, donc désormais il

devenu docile que jamais. Et

honnêtement, je suis vraiment

contente grande sœur. »

—Elle:« Je suis également contente,

mais n'oublie jamais les conditions

que le marabout t'avait donné. Sois

prudente okay ?»

—Moi:« D'accord... »

Du coup j'ai raccroché. Puis après,

j'ai continué à prendre mon bain

chaud et quand j'ai fini, je me suis

bien habillée et parfumée, avant de

me rendre au travail.

Inès est une personne spéciale, elle

m'a ouvert les yeux et maintenant

Serge est ma propriété privée. Cette

pierre précieuse m'appartient

désormais mes amis. Et je ferai tout

mon possible pour qu'il soit

uniquement à moi.

JOYCE:

Il y a actuellement deux semaines

depuis que mes parents m'ont marié

forcément à Constant. D'ailleurs

Constant continue toujours à insister

pour coucher avec moi, mais j'ai

catégoriquement refusé. Tant qu'il ne

me dira pas la raison de sa rupture

avec ma meilleure amie Olga, je ne

lui offrirai jamais mon corps, telle est

ma décision mes amis.

Mais malgré cela, il ne veut

absolument rien m'avouer ; il dit que

Olga en soit constitue l'histoire la

plus triste de sa vie et donc, il ne

veut pas réveiller ses anciens

souvenirs douloureux.

Quels sont ces souvenirs douloureux

en rapport avec mon ex-collègue et

ma meilleure amie qu'il ne veut

absolument rien me dire ? Me suis-je

toujours demandée.

—Moi:« Quand est-ce que tu comptes

me relater ta fameuse histoire avec

Olga ? »

—Constant:« Joyce soit calme! Une

fois que je me sentirai prêt, je te

raconterai toute cette histoire. »

—Moi:« Et quand est-ce que tu seras

prêt ?»

—Lui:« Je serai prêt dès que je me

sentirai aimer par ma femme. »

—Moi:« Et comment savoir que je

t'aime ?»

—Lui:« Ça se laissera voir! Donc par

exemple que tu accepte de coucher

avec moi... »

—Moi:« Comment veux-tu que je

tombe amoureuse de toi aussi

longtemps qu'on s'est connu il n'y a

à peine que deux semaine ?!»

—Lui:« Je te comprends ma chérie et

c'est pour cela jusque-là, je ne fais

que respecter ton opinion. Je sais

qu'avec le temps, tu apprendras à

m'aimer. »

—Moi:« Hummm... »

Quelques jours après, il ne faisait

qu'insister de coucher avec moi. Et

quant à moi, je refusais

complètement pour qu'il me le fasse

car malgré qu'il soit mon mari, je ne

le connais pas encore réellement.

Au fait, il m'a beaucoup supplié

jusqu'à tel enseigne qu'il a lui-même

décidé d'arrêter. Et tellement que la

situation ne changeait pas, il a

décidé quelques jours plus tard de

m'envoyer chez ses parents pour que

je puisse arriver à me familiariser

avec ma belle-famille.

—Moi:« Constant je n'irai nulle part!

C'est toi qui m'as épousé et non tes

parents. »

—Constant:« Au fait tu as raison,

mais ma mère et mes petite sœur

veulent tout simplement te connaitre.

D'ailleurs tu ne fera pas beaucoup

des jours là-bas ; tu ne feras que

deux semaines »

—Moi:« Deux semaines ? »

—Lui:« Mais chérie, ce n'est pas

beaucoup quand même! Tu seras à

l'aise car tu ne pars plus au boulot.

Et le comble ce que ma mère ne

t'embrouillera pas beaucoup avec les

travaux ménagères. »

—Moi:« Donc ta mère ira faire de moi

son esclave en me donnant des

travaux lourds ?»

—Constant:« Non, ce n'est pas ce

que je voulais dire mon amour! Chez

nous il y a plusieurs domestiques,

mais malgré cela, ma mère te

confiera toujours quelques tâches

ménagères. »

—Moi:« Hummm... D'accord, mais

qu'elle ne soit pas brutale comme

ton père. »

—Lui en souriant:« Mon père est un

peu brutal, arrogant, prétentieux et

fanfaron, probablement parce qu'il

est président du conseil

d'administration de l'entreprise

pétrolière. Mais quant à ma mère,

c'est la personne la plus humble et

sympa que je connaisse, donc elle

sera gentille avec toi comme elle a

toujours été avec moi. »

Soudain, j'ai fait le ouf de

soulagement. Je me jugeais

tellement heureuse d'avoir une

gentille belle-mère car il n'y a rien

qui puisse rendre une femme

malheureuse que d'avoir une

mauvaise belle-mère.

Ma défunte mère eut la malchance

d'avoir une mauvaise belle-mère, et

elle fut malheureuse jusqu'à sa mort.

En effet, je me souviens quand j'étais

encore petite, mon père était

vraiment fou amoureux de ma mère,

il nous amenait pique-niquer chaque

week-end, on jouait ensemble et

c'était génial. Leur couple était ce

qu'on appelle "un couple parfait",

mais tout a changé lorsque ma

grand-mère avait commencé à tout

manigancer sous prétexte que ma

mère était gabonaise et par

conséquent elle n'était pas une

bonne femme.

Du coup, mon père était devenu

bizarre, il avait commencé à frapper

ma mère chaque jour ; il la

maltraitait, et la frappait sans motif

valable. Ma mère était devenue

malheureuse, les pleures et les

grincements de dents étaient

devenus sa nourriture quotidienne,

donc la vie n'était plus rose pour elle

mes amis.

Mais malgré tout cela, maman a pu

supporté, elle ne voulait pas divorcer

car elle aimait toujours mon père.

Papa était son premier amour, ils se

sont aimés quand ils furent encore

petits jusqu'à ce qu'il se sont

mariés. Et ils eurent comme fruit de

leur amour une jolie petite fille du

nom de Joyce, mais

malheureusement mon pèr ssuivit les

conseils de sa mère et enceinta sa

secrétaire (Inès).

La famille de Inès, l'actuelle épouse

de mon père obligea papa de

l'épouser immédiatement sinon ils

allaient le traduire en justice. Mon

père l'épousa, et une fois qu'on l'a

épousé, la vie de ma mère

commença à se dégrader du jour au

jour. Elle avait des soucis matin,

midi, soir, et elle avait commencé à

faire des nuits blanches à cause de

Inès et ma grand-mère jusqu'à ce

qu'elle est décédée en pleine

accouchement.

Bon bah, après notre conversation

avec constant, nous sommes partis

dormir. Et le jour suivant, il m'a

amené comme promis chez eux.

Comme Constant me l'avait dit, sa

mère est l'une des belles-mères

spéciales ; elle m'aime et elle me

considere comme sa propre fille.

Je l'aime également, et désormais je

la considèr eégalement comme la

mère que je n'aie plus.

Constant a aussi deux petites sœurs

jumelles, Eveline et Nathalie. Elles

sont toutes gentilles avec moi. Elles

m'adorent comme leur mère, et c'est

ce qui commence à me motiver

d'aimer cette mariage mes amis.

Au fait, une semaine s'est écoulée

depuis mon arrivée dans ma belle-

famille. Puis un jour, ma belle-mère

m'a chargé de faire les achats

nécessaire pour le dîner. Donc je me

suis rendue à la hâte au marché, j'ai

acheté juste les épices car on avait

plusieurs stocks des aliments à la

maison.

Je n'ai pas traîné au marché et une

fois à la maison, j'ai pris du riz au

magasin et ensuite les Thomsons

dans le frigo puis après, j'ai fait un

bon repas appétissant. Quand j'ai

fini, j'ai dressé la table et je suis

allée appeler tout le monde c'est-à-

dire mon beau-père, ma belle-mère,

Eveline et Nathalie.

Soudain, on a commencé à manger

et c'était vraiment délicieux mes

amis ; tout le monde a apprécié.

—Belle-mère:« C'est très délicieux

ma fille. »

—Moi:« Merci maman. »

—Beau-père:« Hummm... Tu es

telleque ton père me t'avait décri.

Merci beaucoup ma fille ! »

—Moi:« Hummm... Merci. »

Les compliments de mes beaux-

parents m'ont tout d'un coup

réchauffé le cœur ; c'était

extraordinaire mes amis.

Bon bah, on était en train dîner

quand tout d'un coup j'ai eu la

nausée, et puis je me suis levée

rapidement pour aller vomir dans les

toilettes. Et à mon retour, Nathalie et

Eveline avaient commencé à sourire.

—Moi en souriant:« Pourquoi vous

souriez ?»

—Eveline en souriant:« On a rien dit

oh ! »

—Nathalie:« (Sourire) »

Nathalie avait juste commencé à

sourire, et quant à moi, j'ai juste

baissé la tête.

Je n'avais pas encore compris ce qui

était si drôle dans ce que je venais

de faire, mais je l'ai su juste quand

ma belle-mère a dit à ses deux filles

en souriant:

—Belle-mère:« Arrêtez de mettre

Joyce mal à l'aise! Est-ce que c'est

mauvais que je sois bientôt appelé

grand-mère ?! »

—Beau-père:« (Sourire) »

—Eveline et Nathalie:« (Rire) »

Ils étaient vraiment contents, ils

souriaient et rigolaient, mais quant à

moi, j'avais juste commencé à

trembler.

Je n'ai jamais couché avec Constant,

mais c'est fort probable que je sois

enceinte.

Que dirai-je si réellement je suis

enceinte ? Me suis-je interrogé

intérieurement. Puis après, j'avais

commencé à trembler de plus belle.

À SUIVRE...

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MALACHIE OFFICIEL

MA NUIT DE NOCE