PARTIE :06

Ecrit par Malachie officiel


interdit aux enfants

Puis après je lui ai demandé:

—Moi:« Ah! Olga... Veux-tu sûrement

que j'avorte ?»

—Olga:« Mais oui mon amie! Que

veux-tu faire alors ? Tu veux perdre

ton mariage en avouant cette

maudite grossesse à ton mari ? »

—Moi:« Non mais, je pense que ce ne

serait pas une bonne idée d'avorter.

»

—Elle:« Ma chérie n'aie pas peur!

Tout se passera normalement. Mon

ami médecin est un expert, d'ailleurs

c'était lui qui m'avait aidé de me

débarrasser de la grossesse que

j'avais eu dernièrement, et donc soit

calme ! Il t'aidera à enlever

facilement cette grossesse de

merde... »

—Moi:« D'accord... Mais mon amie,

j'ai totalement peur car je ne veux

absolument pas tuer ce petit être

innocent. »

—Elle:« Alors que penses-tu faire ?»

—Moi:« Je ne sais pas encore! Mais

tu ne penses pas que ce serait

logique d'en discuter d'abord avec

Serge ?»

—Elle:« Oui mais sois raisonnable

mon amie. Tu penses que Serge

t'aime toujours ? Et qu'il acceptera

facilement ta grossesse ?»

—Moi:« Peu importe ! Il faut que je le

lui dise. »

—Elle:« Bon, fais ce tu penses être

bon ! Mais sache que je suis ton

amie, et je ne veux que ton bonheur.

Donc Joyce, si tu veux réellement

sauver ton mariage, l'avortement est

la seule solution que je peux te

conseiller. »

—Moi:« Nonobstant cela ! Il me faut

nécessairement d'abord parler avec

Serge concernant ma grossesse, car

il en est l'auteur. »

—Olga:« Hummm... Mais s'il t'arrive

heureusement de changer d'idées,

n'oublie pas de me recontacter. »

—Moi:« D'accord ma puce. Bye!»

—Elle:« Bye... »

Du coup j'ai raccroché, puis j'avais

commencé à penser sur ce qu'elle

venait à peine de me suggérer.

Olga a peut-être raison, je devrais

avorter pour éviter les problèmes car,

je ne pense pas que mon mari serait

content s'il apprend peut-être par

hasard que je suis enceinte. Mais

malgré cela, je dois d'abord en parler

à Serge.

En effet, après avoir réfléchi pendant

plusieurs minutes, j'ai appelé Serge

plusieurs fois mais malheureusement

, son téléphone était toujours éteint.

Puis soudain, je me suis décidée

d'appeler sa mère:

—Moi:« Allô maman Elicia. »

Sa mère s'appelait maman Elicia, et

donc je lui ai salué, puis elle m'a

répondu:

—Maman Elicia:« Allô ma fille.

Beaucoup de jours ! Comment ça

va ?»

—Moi:« Je vais bien maman. Eeh...

Est-ce que Serge était là

aujourd'hui ? Parce que son

téléphone ne passe pas. »

—Elle:« Non! il y a quelques jours

qu'il m'a pas rendu visite. Sauf je

pense qu'actuellement il est au

travail. »

—Moi:« D'accord... »

—Elle:« Ma fille, il ya un problème ? »

—Moi:« Non, je voulais juste le parler

un peu. »

—Elle:« Oui d'accord ma fille. »

—Moi:« Hummm... »

—Elle:« Serge m'avait tout expliqué,

et ça m'avait tellement touché.

Pourquoi ton père avait fait cela ?

Pourquoi il t'a forcément marié, alors

que tu étais amoureuse de mon

fils ?»

—Moi (en pleurant):« Je ne sais

pas... snif... C'est une longue

histoire maman. »

Immédiatement J'ai raccroché car je

n'avais pas besoin de trop me

justifier.

Donc j'ai raccroché, puis après,

j'avais commencé à pleurer

sévèrement.

J'ai pleuré pendant des heures ; je

pleurais comme une madeleine mes

amis, et c'était vraiment pitoyable.

En fait, maman Elicia, la mère de

Serge est une divorcée, mais bien

qu'elle soit ainsi, c'est une maman

exceptionnelle. Elle m'aimait

énormément, jusqu'à telle enseigne

qu'elle me considérait déjà comme

sa belle-fille, et j'étais sûre que

j'allais l'être jusqu'à ce que mon père

a décidé de me marier forcément à

Constant, le fils de son patron.

Bon bah, j'ai pleuré pendant des

heures, jusqu'à ce que je me suis

endormie.

Le jour suivant, j'ai encore appelé

Serge et je suis même partie là où il

travaillait, mais malheureusement

tous mes efforts fournis afin de le

retrouver furent soldé à néant car

Serge ne se laissait plus voir mes

amis. J'ai dû arrêter sa recherche au

fur et à mesure que les jours

passaient. Puis quelques jours plus

tard, je suis rentrée chez moi et mon

départ fut vraiment choquant pour ma

belle-famille:

« —Joyce tu va tellement nous

manquer ma chérie. M'a dit ma

belle-mère avant que je puisse

monter dans la voiture.

—Hummm... Elle nous manquera

sûrement, a ajouté Eveline.

—Et moi aussi, vous allez mes

manquer ; vous êtes vraiment

spéciales pour moi, ai-je répondu. »

Du coup elles m'ont fait quelques

bises, puis après, je suis partie.

Une fois arrivée chez moi, j'ai trouvé

mon mari qui avait déjà préparé un

dîné de gala pour colorer nos

retrouvailles. Il avait préparé

quelques cuissons avec les foufou,

du riz et les haricots. Et en effet, on

était déjà en train de manger quand

constant m'a dit:

—Constant:« Bébé tu as beaucoup

maigri hein! Es-tu malade ?»

—Moi:« Non mon amour... »

—Lui:« Alors qu'est-ce qui ne va

pas ? On te maltraitait chez nous ? »

—Moi:« Non... Mais c'est juste que tu

me manquais. »

—Lui en souriant:« C'est sérieux ?! Je

te manquais ?»

—Moi:« Hummm... »

—Lui:« Veux-tu qu'on aille se laver

après le dîner ?»

—Moi:« Oui mais... »

—Constant:« Mais quoi ? Tu n'as

toujours pas l'envie de coucher avec

moi ? »

—Moi:« J'ai cette envie, mais

j'aimerais d'abord savoir la raison de

ta rupture avec Olga. »

Soudain il est resté calme pendant

quelques minutes, puis après, il m'a

dit:

—Lui:« Allons prendre d'abord le bain

ensemble, et après, je te relaterai

toute l'histoire. D'accord ? »

—Moi:« Oui d'accord mon amour. »

—Lui:« Alors viens dans mes bras

mon ange! »

Je ne me suis pas fait prier deux

fois, donc je suis partie directement

me réfugier dans ses bras. Puis

soudain il m'a transporté, avant

d'aller me déposer dans la baignoire.

Mes amis rappelons que je n'ai

jamais fait l'amour avec Constant, et

malheureusement je suis

actuellement enceinte de quelqu'un

qui ne se laisse plus voir, et donc

pour éviter les pires, je me sens

obliger de faire l'amour avec mon

mari malgré qu'il ne m'a pas encore

dit la raison de sa rupture avec Olga.

Bon bah, il s'est déshabillé

lentement, et sa queue était déjà

tendue. En suite quand il a fini à se

déshabiller, il m'a demandé:

—Moi:« veux-tu également que je te

déshabille ? »

—Moi:« (Fières) »

Je n'ai rien dit, j'avais juste

commencé à lui faire les yeux doux.

Du coup, il s'est approché vers moi,

m'a déshabillé doucement, et quand

il a fini à m'enlever la chemise, il

s'est arrêté un peu pour admirer mes

splendides seins.

—Constant:« Tu as des jolis seins,

car les tétons sont tellement

pétillants. »

—Moi (en souriant):« merci mon

amour. »

Il m'a admiré pendant un moment,

puis après, il m'a déshabillé

complètement. Et j'étais

complètement nue devant lui, quand

il a commencé à me frotter le savon

doucement, et c'était magnifique.

Au fait, il m'a frotté pendant un

moment, puis après, il a commencé à

me caresser. Et juste quand il m'a

touché les seins, j'ai eu des

sensations étranges, et puis j'ai

fermé les yeux.

Soudain il m'a chuchoté à l'oreille en

disant:

—Constant:« Bébé, ça te fait mal ?»

—Moi:« .... »

Je n'ai rien répondu, j'ai juste hoché

la tête pour dire non, puis ensuite il a

continué avec les caresses. Il m'a

caressé et sucé les seins pendant un

moment, puis après, il a commencé à

masser mon clitoris. Il m'a fait un

bon massage clitoridien jusqu'à ce je

me suis totalement excitée, et puis

j'avais commencé à mouiller...

Quand il a remarqué cela, il m'a

joliment écarté les jambes, avant de

tenir à la main sa grosse queue et

me fixer droit dans les yeux sans

rien dire.

—Moi:« Chéri, qu'est-ce que tu

attends encore avant de me

pénétrer ?»

—Lui:« Je reflechis ... »

—Moi:« Sur quoi reflechis-tu encore ?

Ne suis-je pas belle peut-être ?»

—Constant:« .... »

Il est resté calme pendant un long

moment, puis ensuite il m'a

répondu...

À SUIVRE...

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???????? MALACHIE OFFICIEL

MA NUIT DE NOCE