Partie 15 : cette nuit

Ecrit par Mayei

… Murielle …

« Tiens-toi prête je rentre demain »

J’ai relu encore et encore ce message que je venais de recevoir de la part de Nolan mais je ne sais pas trop ce que cela veut dire. En fait je ne comprends même pas de quoi il parle. Je suis restée sur le lit, le téléphone en main pendant je ne sais combien de temps.

« Léna, tu ne réagis pas ? »

Mon cerveau ne reçoit plus aucune information, c’est juste le silence radio quoi.

Ne recevant pas de réponses de ma part, il s’est mis à m’appeler et comme avec les messages j’ai aussi ignoré tous ces appels. Je me suis mise à tourner dans la chambre et à me demander s’il fallait que je réponde ou pas ! si je réponds je lui dis quoi ? c’est dans la maison de Léopold que je vais le recevoir ? J’ai couru jusque dans la chambre de Syntiche avec le téléphone qui n’arrêtait pas de sonner 

Syntiche (sortant du sommeil) : Murielle qu'est ce qui se passe ? C'est quoi ? 

La pauvre je l’avais réveillée en sursaut et maintenant elle paniquait. 

Syntiche : Murielle c’est comment ?

Comme toute réponse je lui ai tendu mon téléphone.

Syntiche : Mais ça sonne décroches

Moi : Syntiche toi décroche moi je ne sais pas quoi lui dire. J’ai les problèmes oooh 

Syntiche : et c'est moi qui vais savoir ce que je vais dire ?

Pendant que nous parlions, le téléphone s'est arrêté de sonner. 

Syntiche : calme-toi dis moi ce qui se passe 

Moi : Nolan dit qu'il vient demain

Syntiche : quoi ????

Moi : c’est ce que tu as entendu la !

Syntiche : et tu vas Le croiser où ? Comment même ?

Moi : bien sur que je vais faire celle qui a disparu de la circulation. C'est la meilleure solution selon moi 

Syntiche : tu es folle ? Tu m'as fait tourner dans tout Adjamé (commune d’Abidjan) là jusqu'à pour te trouver tous tes trucs la et maintenant tu fuis. Qui cherche trouve oooh 

Moi : ne me fais...

J'ai été interrompue par la sonnerie de mon téléphone encore une fois c’était Nolan. J’ai levé les yeux en regardant Syntiche.

Elle : non non non 

J’ai décroché puis à la vitesse éclaire j'ai posé ça sur l'oreille de mon amie 

Elle : a...allo ?

... ...

Syntiche : non non ce n'est pas Murielle 

... ...

Syntiche : attendez une seconde 

Elle s'est mise à me murmurer des trucs que je peinais à entendre Mais avec mes gestes je lui ai clairement faut savoir que je n'allais pas lui parler 

Syntiche : allo vous êtes la ?

... ...

Syntiche : elle est présentement sous la douche 

... ...

Syntiche : ok pas de soucis je lui dirai 

Moi : qu'est-ce qu'il disait ?

Syntiche : si tu voulais Le savoir tu allais l'écouter. Mais Le gars a une belle voix hein 

Moi : tu vois non ! Syntiche trouve moi une solution 

Syntiche : ça va être compliqué hein comment tu vas sortir de là sans que dame Tania ne ferme la porte sur toi ? 

Moi : et si je demandais à Samuel ?

Syntiche : Samuel va t'accompagner gérer tes 400 coups avec un autre homme ? Tu veux que monsieur Léopold soit au courant ou quoi ? 

Moi : je peux mentir d'aller voir mes parents mais j’ai peur qu'on appelle pour demander. Connaissant mon père il va très vite dénoncer mon mensonge et me faire passer un sal quart d’heure

Nous sommes restées dans un profond silence à réfléchir à une possible solution Mais à chaque fois qu'on trouvait quelque chose il y avait une autre chose qui bloquait. 

Syntiche : Mais oui Mais oui ! Pourquoi n'y avais-je pas pense plus tôt ? Appelle Tata Marianne 

Moi : juuuuuu je lui dis quoi ?

Syntiche : elle t'aime bien et je sais qu'elle est relaxe par rapport à notre Dame la 

Moi : tu es sûre ?

Syntiche : oui c’est la meilleure des solutions 

Moi : hum 

Elle a fini par me convaincre ! Demain des la première heure j'appellerai pour lui dure que je veux rester Chez elle tout le temps ou Léopold ne sera pas là ! Quand il sera de retour, lui même viendra me chercher Chez elle comme ca c’est sur qu’il n’aura pas de doutes sur quoi que ce soit.

Il se faisait tard quand j'ai décidé de retourner dans ma chambre. Sans trop savoir pourquoi je marchais tout doucement comme si j'avais peur que quelque m'entende. En fait je sais pourquoi je marche ainsi. J’ai peur de croiser Tania ou qu'elle entende mes pas st vienne me donner la gifle. Cette femme me stresse tellement c’est presqu’un luxe de faire un jour sans la voir. Elle est toujours là à me lancer des piques comme si c’était la clé de son bonheur.

Malheureusement pour moi, il y avait la lumière du salon qui était allumée pourtant quand j'allais chez Syntiche tout à l’heure elle était bel et bien éteinte. Samuel n'est pas la, Nadia aussi est sortie donc il ne reste plus que Tania qui doit être au salon. Je me suis arrêtée comme une statue, partagée entre plusieurs émotions. Dois-je retourner Chez Syntiche et éviter une confrontation avec Tania ou dois-je tout de même passer ? 

Mon être était en conflit interne quand mon attention a été attirée par de petits gémissements. Mes sens se sont mis en éveil et mon intuition me disais de me retourner tranquillement car ce qui se passait là-bas n’était pas mon problème. Mon coté curieux quant à lui me poussait à y aller. Sur la pointe des pieds je me suis approchée jusqu'à mur du salon et la scène qui s'y passait m’a seulement cloué le bec. J'ai mis ma main sur ma bouche pour empêcher tout son du sortir 

Tania : Marius va y plus fort

Marius : plus fort madame ?

Tania : appelle moi Tania...Tania 

Marius : d'accord je vais plus fort Tania 

Tania : oh oui...hummm... comme ça 

Tania se fait prendre par le chauffeur de Léopold ! Sur la table basse du salon, dans une posture que je ne saurais décrire. Qui aurais cru ? J'allais me retourner chez Syntiche quand j'ai eu l'idée de filmer avec mon téléphone. Qui sait quand cela m'aidera. Si je veux parler avec Tania elle dira que c'est sa parole contre la mienne. 
Une fois ma mission accomplie de peur de me faire surprendre je suis retournée dans la chambre de Syntiche et je lui ai fait croire que je n'arrivais pas à dormir dans ma chambre. 

Syntiche : tu as rappelé ?

Moi : ouuuuh J’ai complètement oublié 

J’ai vite composé le numéro de Nolan 

Nolan : tu étais où Murielle ?

Le ton de sa voix ne présageait rien de bon et en plus il m'a appelée Murielle ! Genre plus de Léna 

Moi (petite voix) : j'étais sous la douche 

Nolan : tu fais maintenant plus d’une heure sous la douche ? Tu te fois de moi ?

Moi : ... ... ... 

Nolan : je prends mon vol à 10h je serai là à 17h tout au plus ! Bonne nuit 

Il a raccroché avant même que je ne puisse dire quoi que ce soit. Syntiche était pliée de rire 

Syntiche : donc c’est comme ça qu'il te maîtrise 

Moi : J’ai sommeil ! Bonne nuit 

... Françoise ...

Maguy : je n’arrive pas à croire ce que tu es en train de me dire comme ça ! ça va faire trois mois que vous avez force la petite dans ce faux mariage et pas une seule fois tu n’es allée la voir ?

Moi : hum…

Maguy : quand tu me sors un hum comme ça, ma colère monte encore plus ! Françoise tu exagères. 

Moi : que veux tu que je te dise ? Auguste m’a formellement interdit d’aller la voir à moins que ce soit Léopold lui même qui demande à nous voir

Maguy : et quand tu parles à haute voix et que tu t’entends la tu trouves ca normal ? je pense que tu n’aimes pas ta fille comme tu le dit 

Moi : je n’ai pas dit que c’est normal de toutes les façons si j’allais la voir, qu’est ce que je vais lui dire ? tu sais que Murielle et moi avons toujours été complices mais depuis cette histoire à chaque fois que je l’appelle, elle ne répond pas, elle ne pense même pas me rappeler non plus. Quand j’ai la chance qu’elle réponde, à peine je lui dis trois phrases qu’elle est pressée de raccrocher

Maguy : et tu ne trouves pas qu’elle a raison ? vraiment tu n’es pas en train de tenir ta promesse que tu lui as faite…

Moi : Maguy ne pars pas sur ce terrain 

Maguy : pourquoi quand il y a la vérité tu ne veux pas l’entendre ?

Moi : ça suffit, allons maintenant, je dois être de retour chez moi avant que mon mari ne rentre

Maguy : tu appelles ça encore un mari ?

Moi : tu viens de dire quoi ?

Maguy : je n’ai rien dit 

Moi : ok monte on s’en va !

Nous avons pris la route dans le silence complet. Maguy et moi avons toujours été différentes l’une de l’autre. Je dirai qu’elle est plus audacieuse et ne cache pas ce qu’elle pense. Quant à moi je le reconnais je suis plutôt passive et vieux-je. Aujourd’hui est une date que même avec le temps Maguy et moi n’oublieront pas car une trop grande douleur y est attachée. 

Nous sommes finalement arrivées au cimetière de williamsvile. Des l’entrée nous nous sommes terrées dans un silence comme pour exprimer l’émoi dans lequel nous nous trouvons en ce moment et après une longe marche nous nous sommes retrouvées devant sa tombe. Maguy s’est assise avec toute la difficulté du monde quant à moi je sentais le monde peser sur mes épaules

Maguy : tu sais on se dit qu’avec le temps cette douleur disparaitra mais à chaque fois que je reviens ici j’ai toujours cette douleur

Moi : c’est comme si elle nous a quitté seulement hier

Maguy : exactement ! elle me manque terriblement quand je pense que ca fait 18 ans déjà ! elle est partie bien trop tôt 

Moi : elle aurait eu 36 ans et je suis sure qu’elle allait être une belle dame avec toute la classe du monde

Maguy (souriant) : je ne te le fais pas dire, même à 18 ans, la classe elle l’avais et dire que Didi et Murielle n’ont même pas eu la chance de la connaitre. 

Nous sommes restées à nous remémorer nos délires avec Isabelle ! ma mère n’a eu que trois filles, Moi, Maguy et Isabelle. Malheureusement isabelle nous a quitté tellement tôt. Après un bon moment, nous avons posé les fleurs que nous avions apportées puis un dernier au revoir avant de prendre la route pour que chacune regagne sa maison

… Murielle …

La première des choses que j’ai faite en me réveillant a été de joindre tata Marianne (T.M)

T.M : Allo ?

Moi : allo ! Bonjour tata Marianne, c’est Murielle

T.M : oh Murielle ! comment tu vas ? tu m’appelles tôt j’espère qu’il n’y a pas de problèmes là-bas ?
Moi : non pas du tout ! je voulais te demander si tu pouvais passer me chercher aujourd’hui pour que je reste chez toi tout le temps que …( je ne savais pas quoi dire)

T.M : jusqu'à ce que mon frère revienne ?

Moi : oui 

T.M : il n’y a pas de problème je t’envois le chauffeur alors

Moi : ce n’est pas possible que toi même tu viennes s’il te plait ? je ne veux pas problème avec Tania

T.M : oh je l’avais oubliée même celle-là ! je me tiens prête et je passe te récupérer

Moi : Merci tata Marianne !

T.M : il n’y a pas de quoi

J’ai tiré le trolley dans lequel j’avais mis mes produits de corps en venant ici et j'ai commencé à faire sortir ce dont j'allais avoir besoin ! Tous les habits sexy que Syntiche m'avait aidé à choisir je les ai tous fourrés. Ensuite j’ai fais un tour sous la douche. Toutes mes idées étaient centrées sur le fait que je verrai Nolan dans quelques heures si j'arrive à trouver la bonne excuse pour sortir un peu de Chez Tata Marianne. 

Je me passais la crème sur le corps quand Syntiche m’a informée que Tata Marianne était déjà là ! C'est fou comme elle est rapide. Je me suis vite habillée puis mon trolley en main je suis sortie en prenant bien soin de boucler ma porte. Il ne faut pas que Tania vienne poser quelque chose et m'accuse de vol. 

"Oh toi tu vas où comme ça"

Je me suis figée, la peur au ventre comme si je venais de rendre la voix du diable 

Tania : ce n'est pas à toi que je parle ?

Moi (me retournant) : euh...je...

Tata Marianne (apparaissant) : tu es prête Murielle ? 

Moi : oui 

Marianne : on y va alors !

Tania : Marianne tu penses que chez moi c’est un moulin ? Tu rentres et sors comme bon te semble ?

Marianne : Tania tu ne t'ai même pas saluée tu peux pas comprendre ainsi que je n'ai aucune envie de sentir les odeurs provenant de ta bouche ? Murielle, allons-nous-en 

Je suis passée devant sans demander mon reste. Tania parlait Mais j'étais loin très loin déjà 

Une fois chez elle, j’ai été surprise par la simplicité de sa maison. Rien à avoir avec tout ce superflu qu’il y a chez Léopold. Elle m’a montrée ma chambre et m’a laissée le temps de m’installer convenablement. 

Quand j’ai reçu le message de Nolan me disant qu’il était la, je ne savais ni ou donner de la tête, ni quoi faire.

T.M : viens par la !

Moi : oui ?

T.M : tu comptes rester tout le temps dans la maison la comme ca ?

Moi … … …

T.M : tu n’as pas d’amis ?

Moi : si ! 

T.M : tu ne pars pas les voir ? chez moi ce n’est pas chez Tania, tu peux aller ou bon te semble a condition que tu me le dise ok

Moi : d’accord tata.

T.M : voilà !

Moi : je pourrai aller faire trois jours chez une amie qui vient d’arriver de France ! c’est ma meilleure amie et ça fait un bon moment qu’on ne s’est pas vue

J’ai faire sortir ce mensonge sans même cligner des yeux, je me surprenais moi même.

Tata Marianne s’est mise a rire franchement ! elle était pliée de rire sous mes yeux 

T.M : tu sais jeune fille, j’ai été aussi jeune hein ! c’est cet exact mensonge que je sortais à ma mère quand je voulais aller voir un copain. Je sais que ce mariage tu ne l’a jamais voulu et je sais qu’il y a un jeune homme quelque part. quand tu seras prête tu me le présenteras mais sache que ton secret est bien gardé avec moi. Tu peux aller le voir mais restez tranquille hein.
Je me suis sentie toute honteuse mais elle m’a assurée que je ne devais pas l’être. J’ai pris quelque affaire et je suis partie en taxi

… … …

Quand le taxi m’a laissée devant le portail de Nolan, je vous assure que j’ai eu le tournis. Ça fait combien de temps que je ne suis pas revenue par ici. J'ai sonné le cœur battant ! J'avais peur de m'évanouir tellement la pression était forte. Puis la porte s'est ouverte et il était la sous mes yeux cet homme pour qui mon sœur ne cesse de cogner dans ma poitrine. C’est pour lui que mon cœur fait autant de bruit si bien que j'ai l'impression de ne plus rien entendre autour de moi. Il était la tellement beau dans sa culotte et ce t-shirt blanc. Il me regardait dans les yeux, plus rien ne comptait.

Nolan : Léna 

Moi : Nolan 

Il s'est approché de moi tout doucement et la minute qui suivait il me faisait décoller du sol ! J'ai refermé mes jambes autour de sa taille et de son autre main, il tirait mon trolley. C’est comme ça que nous avons tous les deux traversé le salon jusqu'à se retrouver dans sa chambre. 

Il m'a posée sur le lit et gardait toujours son visage enfoui dans mon cou. J'en profitais pour m'imprégner de son odeur qui m'avait tellement manqué 

Nolan : je t'aime Léna 

Moi : je t'aime aussi Nolan 

Nolan : non ! Tu ne comprends pas. Je t'aime au point de ne plus pouvoir me passer de toi. Je t'aime au point de ne plus être ce coureur de jupon que j'étais au paravent. Je t'aime au point de ne plus pouvoir me décoller de toi. 

Moi : ... ... ...

Nolan : je veux pouvoir rester dans cette position et profiter de ton odeur, de ta peau. Tu m'as manqué Léna 

Moi : tu m'as manqué aussi Nolan ! Je suis tellement contente de te voir, de pouvoir te toucher 

Nolan : je n'ai même plus envie de retourner et terminer cette formation 

Moi : oh Mais non il ne te reste moins de trois mois. Ça passera vite tu verras. Tu as faim ? Tu as mangé quelque chose

Nolan : J’ai sérieusement faim en effet

Moi : attends je descends te faire quelque chose 

Nolan : non, j'ai faim d'autre chose ! J'ai faim de toi ! J'ai envie de toi Léna 

Moi (baissant les yeux) : moi aussi 

Il s'est relevé au dessus de moi et a posé délicatement ses lèvres sur les miennes. Il m'embrassait comme s'il avait peur de me casser. C'était doux et tendre dans un premier temps puis au fur et à mesure notre baiser s'intensifiait. Il m'a retournée sans que je ne m'y attende et à baissé la fermeture de ma robe avant de me laisser qu’en sous vêtements. Il s'est mis à me caresser les fesses. Il me donnait des petites claques au passage et j'adorais, je me surprenais à me mordre la lèvre à chaque fois qu'il faisait ça ! 

Ses lèvres se sont posées sur mes fesses. Il a embrassé chacune avant de monter dans mon dos puis dans mon cou. Je me tordais de plaisir. Je tremblais Dans ses Bras. Il s'est mis à me chuchoter à l'oreille 

Nolan : je veux te faire mienne Léna 

Moi : ... ... ... 

Nolan : si tu n'es pas prête dis Le moi 

Moi : je...(me raclant la gorge) je te veux Nolan 

Ma phrase a eu Le don de Le galvaniser puisqu'il ma aussitôt retournée afin que je sois face à lui. Il m'a relevée en me retirant le soutien et a pris mon sein dans sa bouche. Il léchait le bout tout doucement tandis qu'avec son autre main il me caressait le bout du deuxième sein. Avec Ces deux sensations simultanées je n'ai pu m'empêcher de gémir. 

Il gardait toujours mon sein dans sa bouche pendant que son autre main se baladait sur mon corps jusqu'à se poser sur mon triangle. Il se baladait tout autour, frôlait les lèvres mais ne touchait point mon bouton et c'est fou comme j’avais envie qu'il me touche à ce point là. J’avais envie de savourer plus mais Il prenait un malin plaisir à me torturer 

Moi : Nolaaaaaaan

Nolan : chuuuuut 

Il s'est enfin mis à me titiller le bouton. Je me suis cambrer comme pas possible. Je l'adore cette sensation. Il a lâché mon sein et sa tête s'est positionnée entre mes jambes. Il les a relevés en les plaçant par dessus ses épaules et sa langue a fait un travail de fou. Il tournait sa langue, la glissait en moi, aspirait mon bouton pendant que je criais comme une folle. Il a continué à me faire crier ainsi jusqu'à ce que je jouisse et me torde de plaisir. C'est seulement à ce moment qu'il s'est débarrassé de sa culotte. 

Je le regardais faire ! Le visage de mon Nolan était transformé, toute son envie se lisait sur sa face. Ses yeux étaient noirs de désir. J’avais déjà vu son truc mais aujourd’hui j'en avais sérieusement peur et ne pouvais en détacher les yeux quand il est revenu se placer sur moi 

Nolan : Léna 

Moi (les yeux toujours sur son truc) : oui ?

Nolan : regarde-moi 

Je me suis exécutée 

Nolan : regarde moi juste ! Ne pense à rien d'autre qu'à moi, je ne te ferai pas mal ok 

Moi : o...ok 

Nolan : tu as confiance en moi n'est-ce pas ? 

Moi : oui 

Nolan : dis-Le 

Moi : j'ai confiance en toi 

J'ai senti le bout de son truc contre l'entrée de mon sexe. Puis je l'ai senti m'écarter toujours un peu plus jusqu'à ce qu'il s'enfonce soudainement provoquant une sacrée douleur. À peine j'ouvrais la bouche pour crier que Nolan m'embrassait étouffant ma plainte. On est resté comme ça un bon bout de temps 

Nolan : ça va ?

Moi : oui ! 

Il s'est mis à bouger en moi, je ne ressentais plus la douleur mais plutôt un certain bien être. Plus il bougeait plus c'était bon. Il a passé sa main sous moi me maintenant s

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