PARTIE :2
Ecrit par Malachie officiel
Ma fille se marrait entre les bras d'un inconnu. Moi je la comprenais, c'était son rêve. Plus j'approchais, plus je découvrait un homme qui avait tout de mon feue mari. J'avais à la fois peur et j’étais curieuse. A dix mètres d'eux, Chloé m'a Vu.
- Maman.
Le jeune homme s'est tourné pour me regarder. Il ne ressemblait pas à mon feue mari. Ce n’était que de l'illusion.
Il pouvait avoir entre 27 et 30 ans, il avait des yeux marrons, son crâne était nu, un visage plutôt séduisant , un regard qui cache beaucoup. Chloé a sauté dans mes bras et je l'ai porté.
- Maman …
- Bonjour mademoiselle…
- Bonjour monsieur.
- Ah Maria c'est toi ? C'est ta fille ?
- L'inconvénient d’être publique.
- Tout le monde te connais… a t'il repondu
- C'est déplaisant et ennuyeux je t'assure.
- Je suis désolé pour ta fille
- Non. C'est pas ta faute.
- Elle m’a demandé gentiment si je voulais jouer avec elle et j'ai accepté.
- Maman c'est mon ami.
- Je comprends. Merci beaucoup de l'avoir gardé.
- De rien.
Chloé est allé m'attendre près de la voiture sur mes ordres.
- Je suis désolé, je vois que vous avez pris mal le fait que…
- Non. Elle en avait besoin. J'AI dis que ce n'est rien. Au contraire…
- Elle m'a beaucoup parlé de toi.
- Chloé, cet enfant… mon dieu…
- Qu’elle n'a pas de Père et que toi tu te a promis de l'en trouvé un.
- C'est ça en effet, elle n'a pas gardé la bouche fermée.
- C'est un peu curieux ça même… elle est très attaché à ce sujet et j'aimerais savoir ce qui la motive.
- Ses amis , son entourage et tout. C'est normal en tout cas.
- Je comprends donc par là que tu n'es pas marié et que tu n'as pas d'homme dans ta vie.
- Tu es drôle…
- Si non pourquoi elle se plaint encore.
- Il faut que j’aille.
- Oui. Je comprends. Je t'ai pris beaucoup de temps.
- Moi aussi je t'ai pris de ton temps.
- Je n'arrive pas à croire que c’est toi. Tu es exactement comme sur les réseaux sociaux. Pas tout ces artistes et personnalité publique qui ont deux Vies complètement différentes…
- Ce genre de sujet ne m'intéresse pas.
- J'essayais simplement d’être aimable.
- Tu l'es déjà. Merci beaucoup pour ma fille.
- De rien.
- A plus.
- Tu n'as même pas demandé comment je m'appelle. Ou ça ne t’intéresse pas ?
- Comment tu t'appelles ?
- Daniel, je suis médecin
- Waouh. Où es ce que tu travailles ?
- Je travaillais dans une hôpital privé, mais le fondateur ne pouvais plus payer les impôts et les employés, il a fermé.
- C’est triste.
- Pour l'instant je suis au chômage. J'AI néanmoins déposé mes dossiers dans plusieurs autres hôpitaux, et vu mes compétences et mon CV, le chômage ne dura pas.
- Tu ne manques pas de confiance en toi.
- Non…
- Je peux te proposer un travail ?
- Oui bien sûr.
- Tiens. Voici ma carte. Appelle moi demain s'il te plaît.
- Ce soir même…
- Demain hahaha. Tu es comique
- Je vais appeler ce soir pour saluer Chloé.
- D'accord. C'est accordé.
- Merci beaucoup.
- Merci aussi Daniel.
Je suis rentrée chez moi, je me sentais soulagée, enfin ma fille sera heureuse , je savais qu'il ne refuserait pas, alors j’ai cessé de m’inquiéter. Au environ de 20 h, il a appelé et comme prévu, il a passé près de 20 minutes au téléphone avec Chloé, j'avais de la peine à comprendre ce qu'ils se racontaient, puisque Chloé était allé s’installé sur la terrasse .
- Vous n'avez pas terminé Chloé ? Tu as les devoirs.
- Non maman, je veux écouter la fin de l'histoire.
Daniel racontais carrément une histoire à ma fille au téléphone. C’était mignon. Il serait le Père parfait pour ma fille, je ne cessait de me le répété.
Le lendemain, je m'apprêtais à me rendre à l’école pour récupérer ma fille quand une voiture s'est garé devant le portail. A travers la fenêtre de ma chambre, j'ai vu Daniel sortir de la voiture et prendre Chloé entre ses bras. Il avait fait mon travail. Mais je n'approuvais pas son idée Parce que je le connaissais a peine. Il aurait pu me volé ma fille puisque le monde est pourri. Il n'avait pas encore signé le contrat de parrainage.
Je suis descendu en vitesse et en colère en même temps.
- Maman.
Lorsque ma fille a vu mon visage, elle a rapidement trouvé une excuse.
- Je suis désolé maman, c'est mon ami.
- Elle ne voulais pas Maria, je l'ai convaincu.
- Ce n'était pas nécessaire. Vraiment je suis en colère, mais puisqu’elle est là, je remercie Dieu.
J'ai pris ma fille entre ses bras.
- Merci beaucoup. Mais vraiment ce n'était pas nécessaire. Tu me mets mal à l’aise.
- Il est 15 h passée et nous sommes censés avoir un entretien ce soir.
- Je sais , je n'ai pas oublié. C'est pour ça que tu es là ?
- Oui.
- Le soir pour moi c'est 17 h en descendant. Et j'ai un rendez vous à 16h.
- Je pourrais aider Chloé a faire ses devoirs en patientant.
- Non. Tu a déjà assez fait.
- Non. Je n'ai rien à faire.
- Je ne sais quoi dire.
Nous sommes entrés , il observait partout. Je me sentais tellement gêné en sa présence.
- C'est qui sur la photo ?
- Mon mari
- Il est mort ?
- Oui
- Je suis désolé.
- Merci.
Il s’est installé sur un fauteuil .
- Tu veux prendre quelques choses ?
- Bien sûr. Un verre d’eau s’il te plaît.
- Ok. J'arrive.
Il a fait les devoirs de ma fille et moi par sécurité je ne suis plus aller comme prévu. J'ai préféré travailler avec ma machine. Au environ de 18 h, il est descendu me rejoindre au salon d'en bas.
- Enfin. J'AI cru que tu ne finira jamais.
- Je viens de terminer.
- Merci beaucoup.
Il s’est assis en face de moi.
- Qu'est-ce que tu voulais me proposer comme travail ?
- D'abord dis moi comment s’était avec Chloé ?
- Bien. Très bien même. Elle est très brave. Elle n'a même pas besoin d'un répétiteur.
- Non. Je l’encadre moi-même.
- Je comprends.
- C'est compliqué d’être Une personnalité publique. Il faut vraiment faire attention aux gens qui entrent dans ta vie.
- Même nous autres…
- Le monde est rempli de toutes sortes de personnes.
- Tu es très méfiante.
- Oui
- Tu vis seul dans une ci grande maison avec ta fille ?
- Non. La femme de ménage est en vacances pour quelques jours.
- Ok. Maintenant dis moi le travail …
- Je veux que tu joues le rôle de Père pour ma fille.
- Attend je ne comprends pas. Tu veux qu’on se mette ensemble ?
- Non.
- Ha je comprends. Juste un Père pour ta fille. Je comprends. C'est de cette offre que tu me parlais ?
- Oui.
- Tu n'as pas encore trouvé le Père de ta fille, tu l'as menti.
- Je n'ai pas trouvé, et je ne crois pas trouvé quelqu’un d'autres. je vois en toi le Père parfait.
- Désolé, je m'attendais à une offre d'emploi de qualité.
- Comment ?
- Hier j’ai été acceptée dans un hôpital à 30 km d'ici. Je croyais que ton travail était quelque chose de bon, mais non. Je suis donc obligé de commencer lundi comme prévu.
- Non. S'il te plaît. Dis moi combien il te paye et je double.
- Non , il ne s'agit pas d'argent, mais de se faire une carrière et d'exercer ce dont j'ai toujours rêvé.
- S'il te plaît.
- Maria s'il te plaît comprends moi. Je ne peux pas.
- Tu pourrais faire les deux à la fois.
- C’est la médecine. Ce n'est pas évident.
- Mon dieu, je suis à nouveau coincé.
Il a dit au revoir à Chloé et il est parti. Le fardeau restait. Je devais à tout prix trouver un Père pour ma fille. Il m'avait pourtant nourrir d'espoir cette homme
.....À SUIVRE.....