Procès !
Ecrit par Yayira Bénédicte
Alexandre Oluwafemi Adéléké
Je suis dans mon bureau entrain de relis les documents que m’a remis le détective et je suis dépassé par toute les casseroles que traine Hélène et son mari, du trafic de drogue en passant par le proxénétisme, et bien d’autre chose. J’aurais aimé avoir plus de temps pour pourvoir rentrés dans les moindre détails pour les faire couler mais le procès est demain, que dis-je dans quelques heures puisqu’il est presque minuit. J’ai tout fais parvenir à l’avocat de Michael en mettant le mien sur le coup pour les attaqués en justice en ce qui concerne leur activité illicites. Je moins stressé en ce qui concerne l’issu du procès, je suis confiant surtout depuis que j’ai pu obtenir du ministre de la justice qu’il change le juge en charge de cette affaire, j’ai dû bien évidemment utiliser les relations de mon père, ce que je n’aime pas faire habituellement mais là je n’avais pas le choix, le premier juge semble être véreux et je ne veux pas prendre de risque, je veux quelqu’un d’impartial.
Je range tout dans mon cartable, et je vais vers ma chambre, la maison est calme tout le monde dort à cette heure. Bryan compose dans deux semaines, j’attends qu’il finisse pour les envoyer tous en vacances, je ne sais pas encore où, je vais en discuter avec leur mère. Quand j’entre dans la chambre je ne la trouve pas dans le lit, j’enlève mon t-shirt et je me couche sur le lit lorsque j’entends des reniflements venir de la salle de bain. Je me lève pour allé voir, sachant pertinemment qu’il s’agit d’elle. Je la trouve assise sur la cuvette entrain d’hoqueter
- Hey, pourquoi tu pleure ? dis-je en l’aidant à ce lever
- Je… oh….sniiffff….je…..sniffff
Elle n’arrivait à rein dire juste hoqueter et renifler. Je l’aidais à se déshabiller, je sentis mon engin prendre vie devant son corps nu, je fis l’effort de rester concentrer, ce n’est pas le moment pour cela pensais-je. Je lui fis prendre une douche froide pour qu’elle retrouve ses esprits, je lui mis ensuite une serviette avant de l’emmener dans la chambre. J’allais ensuite dans le walk in closet lui prendre un truc à mettre pour dormir, je finis par opter pour l’un de mes grand t-shirt, mais je perdis mon latin en entrant dans la chambre. La serviette était au sol et elle était arrêté toute nue
- Je sais que tu es fâché babe, je sais que tu m’en veux, snifff… mais stp fais moi l’amour, fais moi l’amour Femi, mon cœur meurt de désire pour toi, je sais que ce n’est peut-être pas le moment mais j’ai envie de toi babe je t’en su….
Je ne la laissais pas terminer que mes lèvres étaient sur les siennes, je l’embrassais avec une douceur que je ne me connaissais pas. On tâtonnait jusqu’au lit où je la fis coucher et je pris place au dessus d’elle, en embrassant chaque parcelle de son corps comme si je le découvrais pour la première fois. Elle n’était que gémissements et tortillements. Son corps se arqua et je la sentis frissonner lorsque je la pénétrais, moi j’avais l’impression que j’allais jouir aussi tôt, tant la sensation était inouïe, je ne savais pas que son corps m’avait autant manqué, je fis une pose avant de commencé à bouger en elle.
On fit l’amour avec douceur, une douceur dont je ne me savais pas capable, ce soir là on fusionnait, j’avais l’impression de faire une seule chère avec elle. C’est alors que je me suis souvenu que c’était mon épouse, oui ma femme et que malgré ma colère et mon ressentis contre elle, je l’aime et je n’envisage guère divorcer. Elle atteint l’orgasme alors que je me rependais en elle, je ne sais pas comment l’expliquer mais c’était juste magique, elle ne tarda pas à s’endormir dans mes bras en murmurant un merci à peine audible.
Assandy Éloïse Natasha
Je me suis réveillé seule dans le lit, la montre en face affichais
7h35, l’audience commence à 8h et comme les enfants sont en vacances je n’ai
pas grand-chose à faire, je n’irais pas bosser non plus le temps qu’on finisse
avec le procès. Je ferme les yeux et repense à ce qui s’est passé dans ce lit
il y’a quelque heures, j’ai des frissons rien qu’à y penser, je n’avais jamais
ressentir autant de douceur et d’émotions lors d’un rapport sexuel, c’est comme
si nos âmes fusionnais, lol c’est sûrement la jachère qui me fais me sentir
comme ça.
Je me lève, je vais prendre une douche. Hier j’étais triste, j’ai
peur, j’ai vraiment peur que Hélène et Mohamed réussies à m’enlever mes
enfants, ses enfants sont ce que j’ai de plus précieux alors je n’envisage pas
les perdre, j’en deviendrais malade. La situation de mon couple me rendait
aussi triste, être avec un homme qu’on aime, être marié à lui sans pouvoir
vivre sa relation comme on le souhaite, c’est frustrant comme pas possible. Je
mis une grande avant de descendre, je les trouvais tous attablé entrain de
déjeuner, je les saluais avant de m’assoir en évitant de regarder dans sa
direction
-
Maman tu as vu on a fait le petit déjeuner avec
papa. Dit Aurélie
-
Ah donc quand c’est papa vous êtes volontaire
pour l’aider mais quand c’est moi je dois crier ici
-
Rhoo ce n’est pas pareil maman, fait la
cuisine avec papa c’est plus fun qu’avec toi. Dit Bryan
Femi et moi on se regarda, il l’a fait sans s’en rendre compte
peut-être mais il venait d’appeler Femi papa
-
Tu viens de dire papa. Dit Aurélie
-
Ben quoi ? c’est mon père aussi
non ? n’est-ce pas papa que tu es mon père aussi ? demanda Bryan à
Femi
-
Euh… oui bien sure que oui, répondit ce
dernier ému. alors que Mila jouait avec sa barbe, Ce qui me fit sourire
-
Voilà donc j’ai deux papas. Dit-il en tirant
la langue à Aurélie
On prit notre petit déjeuner et j’allais me préparer pour
l’audience. On n’a rien dit aux enfants parce qu’on n’a pas jugé nécessaire
qu’il le sache. Maman ira avec nous parce que son témoignage peut nous être
d’un grand apport. Femi me rejoins dans la chambre et on se préparait en
silence sans parler de la vielle, j’avais envie de m’excuser mais pour quoi en
fait ? Je ne sais pas.
On arriva au tribunal avec une demie heure d’avance, le chauffeur
est allé déposer les enfants chez Méliane, elle est en congé maternité donc
elle est à la maison. On s’entretint avec maître Metekou qui demandait d’être
le plus honnête possible, de répondre à leur question sans scier. Je croisais
le regard rempli de haine de Hélène en entrant dans la salle d’audience, elle
était assis prêt d’un homme qui je suppose est son mari, Femi qui avait suivit
mon regard me pris la main, et murmura à mon de me calmer. L’audience commença,
je fus appelé à la barre par les avocats d’Hélène et Mohamed. L’un d’eux se leva et se mit à me poser des questions
sur mon ce que je faisais dans, ma soit disant vie de pute et tout, ensuite
maitre Metekou prit la parole pour me demander dans quelle circonstance je me
suis retrouvé avec 3 enfants, je racontais mon histoire depuis le début avec la
naissance de Bryan jusqu’à comment Hélène à lâchement abandonné Aurélie et
Mila.
Ensuite se fût au tour de Mohamed d’être appelé à la barre, il a
raconté un tas de mensonge comme quoi il ne savait pas ce que je faisais dans
la vie quand on s’est revu et que quand il a su il a voulu récupérer son fils
mais que je l’ai menacer de raconter à sa femme qu’on avait une liaison, maitre
Metekou lui posa quelque question avant qu’il ne retourne à sa place. Ensuite
il y’a eu Marco et mes soit disant clients. Maitre Metekou les a confondu en
parlant d’un tatouage que je suis sensé avoir juste au dessus de ma partie
intime, il leur à demandé de décrire le dessin et chacun des trois à dire
différentes choses alors qu’en vrai je n’ai aucun tatouage là-bas. C’était donc
évident qu’ils mentaient.
La séance fut levée pour reprendre quelques heures plus tard. Ce
fut autour de maman d’être appelé à la barre, ils lui posaient des questions
sur mes horaires et sur le temps que je passais avec les enfants, puisqu’on lui
avait demandé de dire la vérité elle expliqua les faits, les avocats de la
partie adverse affirmait donc que j’étais une mauvaise mère et que je n’avais
pas le temps pour mes enfants
Le clou du spectacle fut
avec Hélène, elle s’est mise pleurer comme quoi elle était allée se chercher en
Europe pour offrir un meilleur avenir à ses enfants et je ne sais quoi d’autres.
Elle à tellement pleureur que le juge demanda à ce que la séance soit ajournée
à dans deux jours parce qu’elle à terminé en disant
-
Excuser moi, s’est les hormones, je suis
enceinte de mon troisième enfant et tout ce que je veux c’est de pouvoir offrir
à ce petit ange en moi et à sa sœur le meilleur qui soit. Dit-elle en reniflant
de plus belle.
Je suis rentré à la maison énervé comme pas possible, fallait voir
comment les membres du jury la regardais avec pitié comme si la victime c’est
elle en fait. Femi et maitre Métékou me demandaient de me calmer mais je ne
pouvais pas, elle à déjà les jurys dans sa poche, c’est vrai qu’il a été prouvé
que je n’étais pas prostitué mais il a aussi été prouvé que mes horaires ne me
permettaient pas de m’occuper des enfants et que même si je suis marié
aujourd’hui et que j’ai un travail décent je suis une mère irresponsable, maman
s’en voulait parce qu’elle disait que ça serait sa faute si on nous enlevait
les enfants mais Femi la rassura en lui disant qu’elle à bien fait de dire la
vérité. Hélène est vraiment une sorcière, une vampire même !
Deux jours passaient vite, on était de nouveau dans la salle
d’audience. L’audience commença avec Hélène bien évidement, se fit au tour de
maitre Métékou de poser les questions après que son avocat a elle ait fini de
la fait passé pour une héroïne
-
Madame Laroche, vous sentez vous mieux
aujourd’hui ? demanda maitre Métékou
-
Oui merci
-
Très bien, je vais rapidement résumer ce que
vous avez dit et si je me trompe vous m’arrêtez, d’accord ?
-
Ok
-
Vous êtes revenu de l’Europe il y’a environ
deux ans avec votre mari qui vous à mis à la porte et vous vous êtes retrouvé
chez votre sœur en étant enceinte, et quatre moi après l’accouchement vous
retournez en Europe mais cette fois avec un autre homme qui deviendra votre
époux. Vous y faites environ un an et vous revenez pour récupérer les enfants
que vous avez abandonnés derrière sans remords ?
-
Je n’ai pas abandonné mes enfants, j’ai
expliqué mes projets à ma sœur et elle était d’accord pour s’occuper des
enfants en attendant mon retour. Répond-t-elle
-
Donc cette lettre ce n’est pas vous qui l’avez
écrite ? ce n’est pas vous qui avez laissé cette lettre en vous en allant
un matin après avoir abandonné votre bébé de quatre mois seul dans la maison
alors que ma cliente était à son boulot à la radio et que votre mère était allé
déposé votre neveux et votre fille à l’école ? cette écriture n’est pas la
votre ? demanda-t-il e brandissant devant elle la lettre
-
……
-
Si nous oublions un temps soit peu cette
lettre et nous parlions de moral, puisque c’est sur cette base que vous fonder
votre plaidoyer vu le passé de ma cliente qu’elle assume pleinement, mais vous
madame de Laroche, et si on parlait de vos trafics ? on commence par
quoi ? la drogue ou la prostitution. Je la vit pâlir
-
Objection monsieur le juge, spéculation. Dit
l’un des avocats
-
Monsieur le juge se ne sont pas des
spéculations, dit maitre Métékou en tendant des enveloppe au juges et à la
partie adverse.
-
Objection rejeté maitre Lougah, vous pouvez
continuez maitre Metekou
-
Merci monsieur le juge, alors madame de
Laroche ici présente et son mari sont impliqué dans le trafic de drogue et le
proxénétisme, il y’a en ce moment même une plainte poser contre monsieur
Laroche au près du procureur de la république
Ma sœur ne trouva rien d’autre à faire que de s’évanouir, son mari
fût arrêté par les policiers alors qu’il essayait de s’enfuir. Je regardais
Mohamed qui transpirait à présent, je le vit parlé à l’oreille de son avocat
alors que le juge demandait le silence, il demanda à ce que la séance reprenne
dans deux heures le temps que les esprits se calme. L’avocat de Mohamed demanda
à voir le juge en privé ainsi que maitre Métékou. Ce dernier vint nous dire au
bout de quelques minutes que Mohamed souhaite réglé l’affaire à l’amiable, il
proposait que je garde l’enfant et qu’il l’aurait chaque week-end et pour les
vacances
-
Non, un week-end par mois et pour les vacances
je verrais avec mon mari, c’est à prendre ou à laisser. Dis-je en regardant
Femi, qui hocha la tête en signe d’accord
Il retourna vers eux et revint nous dire que Mohamed était
d’accord, ce dernier s’en allait sans attendre le reste du procès. Deux heures plus
tard on reprit l’audience, le juge signifia que l’une des partis c’était
désister. Hélène avait pris un coup de 10ans en quelques heures, elle n’avait
plus la tête haute qu’elle avait il y’a deux jours au début de l’audience et ce
matin quand elle est arrivé en claquant ses talons sur le sol. Après le
plaidoyer de maitre Metekou, les membres du jury et le juge se retirait pendant
plus d’une demi-heure.
Le verdict est tombé, j’ai la garde exclusive des enfants, et le
juge m’a conseillé d’entamer la procédure pour être tuteur légale ou pour les
adopter, j’en discuterais avec mon mari quand on sera rentré, là maintenant
j’ai envie de me jeter dans ses bras et de crier ma joie, je comprends pourquoi
il était si calme tout ce temps alors que moi j’étais stressé et à fleur de
peau. Quant à monsieur et madame de Laroche la police s’en charge, moi je m’en
lave les mains.
On trouva tout les trois devant la télé accompagner de maman en rentrant, elle n’est
pas allé au magasin aujourd’hui parc que trop stressé, et je ne voulais pas
qu’elle vienne à l’audience aujourd’hui donc elle est resté avec les enfants.
J’allais dans la cuisine, je ramenais une bouteille de champagne que je pétais
alors que les enfants applaudissait et maman et Femi me regardaient surpris, je
bu le premier verre d’un trait avant de servir Femi, maman à dit qu’elle ne
boit pas, elle est donc allé du jus de fruit pour elle et les enfants
-
On sort tous diner dehors ce soir, c’est maman
qui invite. Dis-je
-
Youppiiiie ! fit les deux grands en
sautillant et Mila les suivit en faisant pareil
On passa un agréable moment en famille, maman n’a pas voulu venir.
Elle a dit qu’elle préfère nous laisser en famille. Je rentrais un peu pompeuse
parce que j’avais forcé un sur l’alcool. J’allais prendre une douche pour
dessoûlé un peu le temps que Femi mette les enfants au lit. Je mis de la
musique douce et ma tenue, je terminais
de me préparer. Je voulais lui dire merci pour son soutien, lui dire
merci d’être là pour moi, lui dire merci de prendre soin de moi malgré sa
colère.
Je me suis mise à dansé quand il entra dans la chambre, je dansais
comme si je participais au concours le plus important de ma vie. Je me suis mis
à tourner au tour de lui en le touchant, son torse, ses cuisses, son engin qui
était déjà gonflé, son dos etc.… il m’arrêta brusquement
-
Tu ne danseras plus jamais pour personne.
Dit-il en me maintenant contre lui et me fixant
-
Plus jamais ! dis-je doucement
-
Plus de mensonge ! dit-il en continuant
de me fixer
-
Plus de mensonge ! dis-je
-
Tu es à moi !
-
Je suis à toi. Répondis-je alors que je
mouillais déjà à cause de notre proximité mais aussi à cause de son regard
-
Je suis toujours fâché contre toi !
-
Je sais et je saurais me faire pardonner.
Dis-je
-
Je veux qu’on fasse un bébé ! dit-il en
devenant un peu plus doux
-
Moi aussi, je veux porter ton enfant. Dis-je
en mouillant de plus belle
On se fixa un moment avant que nos lèvres se joignent. Je me
laissais totalement à sa guise
-
Suis prête à te recevoir. Dis-je alors qu’il
introduisait en moi ses doigts.
Il retira ses doigts, enleva ses vêtement avec lenteur alors que
moi je ne faisais que mouiller, il me porta ensuite et me pénétra d’un coup sec
avant de me poser sur la coiffeuse, renversant ainsi les produit par terre. Il
a commencé à ce mouvoir en moi en libérant mes seins pour les pressés, j’agrippais la coiffeuse d’une main et l’autre main était
sur mon clitoris entrant de masturber alors qu’il allait et venait en moi. Il
me fit descendre de la coiffeuse après ma première jouissance, et me retourna,
je me cambrais pour lui donner ma croute, il me pénétra d’un coup sec en
agrippant ma hanche avec une main et titillant mon téton avec l’autre main.
-
Oh… c’est….oh….bo… bon
-
Tu es mienne Ololufê, tu es ma femme. Dit-il
en allant plus vite
-
Je suis ta femme babe, je suis à toi. Dis-je
en jouissant à nouveau
Il ne tarda pas à ce déverser en moi alors qu’on entendait le
tonnerre grondé parce qu’il pleuvait dehors depuis quelques minutes. Il nous
porta jusqu’à la douche, on prit une douche et on se coucha, l’un dans l’autre,
oui, il a dit vouloir dormir avec sa bite en moi, donc je savoure.