
Qu'ai-je fais !
Ecrit par Opale
***Diane Aka***
Donc comme ça, il a caressé la joue de cette pouilleuse ? Que s'est-il donc passé dans mon dos ? A-t-il couché avec elle ? Avec ses aires de grande dame je ne doute pas qu'elle lui ait écarté les jambes à la première occasion. Et même si elle l'a fait qu'est-ce qui m'empêche de lui ouvrir les miennes aussi ? Je ne suis ni sa sœur pour réfléchir à deux fois lorsque je voudrai lui faire du mal ! Ce qui me met le plus en rogne c'est le fait qu'elle ose carrément se comparer à moi…à moi la fille de feu Aka. Eh ! C'est la total !
Ali(me souriant) : on sort ce soir ? J'ai encore envie de sentir la saveur de ton corps.
Ah ! J'avais déjà oublié sa présence en étant dans mes pensées.
Moi(arquant un sourcil) : tu peux répéter, je ne t'ai pas très bien suivi.
Ali(avec ses vielles dents dehors) : je disais qu'on pouvais réitérer la sortie d'hier et pourquoi pas la gâterie que tu m'as faite. J'ai vraiment adoré.
Moi(sur la défensive) : tu crois que je suis une machine à produire des gâteries ? Pour qui m'as-tu prise ? Une pute peut être ? Et bah si c'est l'idée que tu t'étais faite je te demande de redescendre rapidement sur terre car la mastiqueuse de tes couilles a mal à la mâchoire aussi…tchrrr !! Des conneries.
Ali(la main su le volant) : qu'est-ce que j'ai dis de mauvais pour que tu t’emportes autant ?
Moi(arquant un sourcil) : tu es sérieux que tu me poses cette question ? Alors sérieusement ?
Ali(l'aire de rien) : je ne vois pas ce qui te dérange. Enfin, ce n'est pas comme si nous n'avons jamais eu ce genre de conversation toi et moi ou même que l'on a jamais couché ensemble. C'est arrivé et à plusieurs reprises en plus alors je ne sais pas ce qui te dérange en faite !
Sa réplique a réussit à faire monter ma tension plus qu'elle ne l'est déjà. C'est sans surprise que je pète un de ces câbles dans son véhicule.
Moi(pétant une durite) : ça veut dire quoi tout ce que tu viens de me déblatérer la ? Parce que je t'ouvre mes cuisses en compassassion de quelque chose tu crois que tu peux me parler sur le ton que tu veux ? (haussant le ton) t'as envie de baiser alors vas chez ta greluche de femme. Je ne suis pas ta suceuse de bite…c’est mon corps et je décide de quand est-ce que je veux le faire travailler. Ce soir, je n'irai nulle part n'en déplaise…tu n'es pas mon père.
Ali( la voix grave) : tu la ferme…tu fermes ta grande bouche ok. Et ne t'avises plus jamais de parler de ma femme parce que tu ne lui arrives même pas à la cheville. N'oublies surtout pas qu'en plus d'être ton ainé et de loin, je suis aussi ton supérieur hiérarchique. Fais très attention quand tu fais sortir tes mots. Fais très attention Diane car ce boulot auquel tu t'accroches pour nourrir ta fille et ta vieille pauvre mère, et bah ma belle tu peux le perdre à tout moment si un mauvais rapport est fait sur toi chez la patronne…donc le mieux que tu puisses faire c'est de coopérer.
Moi( sur le cul) : c'est moi ou tu es en train de me faire du chantage là ?
Ali(les mâchoires serrées) : tu le prends comme tu veux ce n'est pas mon problème. Mais on va continuer cette relation que tu le veuilles ou pas. C'est moi qui décide de quand et comment les choses se termineront…ce soir on sort et tu me feras cette gâterie…
Moi(le coupant) : tu te prends pour qui pour te croire être en posture de m’exiger quoi que ce soit ? T'es qui ? C'est mon corps et je te le donnerai quand j'en aurai envie. Je ne suis pas en prison…tu n'es pas mon mec(le lorgnant) tu es juste une coucherie parmi tant d’autres….juste une coucherie….tu entends ça ?
Je veux le faire sortir de ces gongs. Qu'il me montre ce dont il est capable. Une couille molle comme ça !
Ali(vénère) : tu penses avoir le choix peut être ? Diane Aka, tu penses vraiment avoir le choix ? J'ai l'impression que tu ne sais pas à qui tu t'adresses…
Moi( d’un aire effronté) : que tu es qui ? Tu es qui d'abord pour que j'ai peur de toi ? Saches que tu ne m'effraie même pas un peu…même pas…une couille molle comme toi ?
Ali(le regard et la voix sombres) : baisses d'un ton….baisses d'un ton je dis….
Malgré ses mises en gardes je haussais encore plus le ton pour juste l'énerver. Il croit quoi ? Qu'il me fait peur ? Qu'il me montre donc ce dont il est capable et on voit ! N'importe quoi…Tchrrrr !!!!
Moi(sur un ton criard) : que tu peux me faire quoi ? C'est moi qui aie dit que je sortais avec toi et c'est qui encore moi qui mets fin à toute cette mascarade…espèces de kikinette…si tu ne le sais pas, saches monsieur que j’ai goutté à des morceaux plus gros et plus viriles que le tien… j'en ai vu….
Je n'arrives pas à terminer ma phrase car ce sauvage vient de poser sa main sur mon cou et de me le serrer...
Ali(serrant mon cou) : répètes encore ce que tu viens de dire ? C'est qui ton couille molle ? (Me donnant une paire de gifle) qui est le kikinette ? Moi…Ali ?
Après sa paire de gifle ne pouvant pas être spectatrice de ma propre mort, j'utilise mes mains libres pour saisir sa pine à travers son pantalon. Je serre aussi fort que je peux. Le type commence à avoir les yeux tout rouges à cause de la douleur….il commence peu à peu à lâcher mon cou pour se concentrer sur sa douleur à lui. Tellement je n'y suis pas allée de main morte.
Ali(pleurant de douleur) : je t'en supplie….lâches moi…Stp !!
Moi(serrant toujours) : tu pleurs ? En plus dans les mains d'une femme ? Tu n'as pas honte ? Que je sache tu n'es pas une couille molle alors tu pleurs pourquoi ?
Ali(pleurant) : stp…pardon…je vais mourir…
Moi( le regardant droit dans les yeux) : mon boulot, tu n'interfère pas là-dedans. Cette petite relation entre nous tu la gardes pour toi….est-ce que c'est compris ?
Ali(au bord de sa vie) : oui….oui…oui…
Moi(le lâchant enfin) : c'est mieux pour toi…Tchrrrr imbécile ?
Ali(entre ses dents) : pétasse !!
Moi (le regardant) : tu me fais pitié pauvre type !
Je me saisis de mon sac et je descends de sa voiture en claquant la portière avec fureur. Le reste de mon trajet je le fais en taxi pour rentrer chez moi. J'ai la rage en plus d'avoir mal aux joues comme si cela n'a pas suffit que cette pouilleuse vienne me polluer l'aire ce matin, il a encore fallu que ce pauvre type vienne en rajouter. Vraiment quelle chienne de journée ! Il a eu sa ration ce sombre idiot. Et je suis fière de moi en plus. Fallait le voir pleurer et trembler comme feuille(rire)…
C'est toute épuisée que j'arrive enfin à la maison.
Moi(posant mon sac) : bonsoir maman ! Où est Marie ?
Maman(me regardant bizarrement) : son vaurien de père est venir la chercher. Tu as eu quoi aux joues ?
Moi(m'asseyant ) : quoi ? Venir la chercher ? (Me touchant la joue) ah maman laisses ça, c'est rien ! Demandes moi plutôt ce qui s'est passé au bureau ?
Maman(excitée) : ta patronne t'a invité à prendre part à un évènement de son cercle d'amis?
Moi(la regardant) : eh ! Maman attends toi au pire. La bougnoule a encore frappé.
Maman(se lamentant) : qu'est-ce que cette fille là, veut à mon enfant oh ? (Avec curiosité) racontes.
Moi(avec tout mon sérieux) : te rappelles-tu du jeune homme qui était passé saluer au bureau dont je t'avais parlé ? Beau, grand et qui grésaillait ?
Mama(perdue) : quel jeune homme ça encore ?
Moi : le jeune homme noir dont je t'avais parlé, essayes de te rappeler stp !
Maman(voyant) : ah oui le jeune homme gentil là ?
Moi(étonnée) : ah maman, comment sais-tu qu'il est gentil ?
Maman(l'aire de rien) : mais s'il passe saluer une tocarde comme ta collègue c'est qu'il est gentil !
Moi : maman laisse, ce n’est pas de s'agit !
Maman : ce n'est pas de ça qu'il s'agit ? Il s'agit de qui alors ? Lui ou la tocarde ?
Moi : les deux !
Maman : les deux comment ? Que sait-il donc passé ?
Moi(dramatisant) : eh maman c'est grave ! Très grave même !
Maman (s'énervant et impatiente) : regarde je ne suis pas ton enfant hein ! Soit tu m'expliques concrètement la situation, soit tu enlèves tes grosses fesses de mon tabouret.
Moi (me lançant) : eh maman c'est parce que je suis dépassée par les évènements. La bougnoule en question, il me semble qu'elle a charmé le beau gosse jusqu’à, il lui fait même des câlins maintenant et sous mes yeux en plus.
Maman (attrapant son ventre) : j'ai eu mal au ventre cadeau (me regardant) ça veut dire que toi, tu es inutile jusqu’à tu es inutile. La petite idiote arrive à charmé le riche beau gosse pendant que tu ne m'amène rien dans cette maison.
Moi : ah maman qui t'as même dit qu'il est riche ?
Maman : ferme ta bouche ! Depuis quand as-tu vu un rienneux s'exprimer aussi bien comme tu l'as dit et sentir très bon !
Moi : mais maman…
Maman (m'arrachant les mots de la bouche) : ah tais toi là-bas, j'ai dis que je m'y connais. Quand, j'avais ton âge et tes rondeurs, je me faisais draguer par les hommes de la haute sphère. Ils m'amenaient dans les superettes acheter les biscuits moelleux tu m'entends….moelleux ! Et ils parlaient exactement comme ce jeune homme là !
Moi : ah maman, l'heure est grave reviens à la réalité. On fait comment ?
Maman(arquant un sourcil) : on fait comment ? Tu me demandes ? Est-ce ma faute si tu es bête et inutile !
Moi (soupirant longuement) :…
Maman(me dessinant avec les gestes) : tout ça ! À courir après les grosses culottes de Fulbert. Hmmm, Fulbert et ses grosses culottes ressemblant à des sacs de cacao ! En plus tu es partie t'accrocher d'autres vauriens sur le bras.
Moi(anxieuse) : ah maman c'est bon, si tu ne veux pas m'aider. Je vais me démerder toute seule.
Maman (ricanant) : ah ! Ah ! Ah ! Comme si tu avais la cervelle pour réfléchir à quoi faire de bon.
J'accuse le coup…
Moi(frustrée et sur un ton colérique) : demain très tôt le matin, je vais partir voir baba Ognangan.
Mama(s'esclaffant) : eh ! Par tout les dieux, elle a encore un peu d'intelligence !
Moi(me levant) : tchrrr !!!
Maman (derrière moi) : c'est moi que tu tchrrr ? Hmmm….je te laisses avec ton idiote de collègue.
Je rentre dans la maison pour aller poser mon sac en ne faisant pas cas de ses injures. De toutes les façons je suis habituée à sa manière e me rabaisser ainsi. À l'heure actuelle, je pense à comment érayer cette pouilleuse de mon chemin. Je me dévêts puis je me change. Ma fille me manque tout à coup…je repars sur mes pars.
Moi(regardant maman) : tu as dit que qui était venu chercher Marie ?
Maman (croisant mon regard) : ton type à la grosse culotte bien sure. Apparemment ces derniers temps l'instinct paternel a pris le dessus sur sa pauvre cervelle.
Moi(rire nerveux) : non mais cette journée ! J'ai l'impression d'assister à un cirque. D'abord la bougnoule puis Ali et maintenant celui là ? Il va m'entendre. Ça c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
C'est toute furieuse que je sors de la maison en direction de chez Fulbert. Il va me sentir celui là !
Maman (derrière moi) : en venant n'oublies pas d'apporter l'huile de palme pour la soupe de ce soir.
Cette dame est vraiment décidée à me les briser mais je ne vais pas rentrer dans son jeu. J'ai d'autres charres à fouetter. En moins de temps qu'il le faut j'arrive chez Fulbert avec toute ma mauvaise humeur.
Moi(scandant) : Fulbert ! Fulbert ! Fulbert ! Sort avec mon enfant ici !
J'obtiens la réaction escomptée car le bon monsieur sort de son misérable studio peinard comme si de rien était ! Et sans mon enfant, mon sang ne fait qu'un toure.
Fulbert (me regardant avec les mains croisés sur la poitrine) : n'oublies pas que c'est aussi mon enfant Diane ! C'est aussi mon enfant et je la prends quand j'en ai envie. Donc ne viens pas avec toute l'impolitesse qui te caractérise perturber notre moment à nous. Je veux dire notre moment entre père et fille.
Moi( rire nerveux) : foutaise ! Apparemment tu as la mémoire très courte ! Très courte ! Tu n'es que le géniteur de ce enfant rien d'autre donc calme tes ardeurs. Etant donné que c'est moi qui m'en occupe, c'est le mien ! À part les deux grenouillères que tu as acheté depuis sa naissance que lui as-tu donner encore ? Rien ! Jusqu’ici je suis le père et la fille de ma fille. Devant les juridictions compétentes, j'aurai la garde si je le veux puisque tu ne t'occupes pas d'elle.
Fulbert(furieux) : tu crois quoi ? Que tu peux venir chez moi et me menacer ? Je te signale que selon la biologie, le sang de l'enfant c'est le père qui l’apporte à travers son spermatozoïde lors de la conception donc je te commande de revoir ta manière de penser.
Moi(sarcastique) : ah ! Donc tu connais tout ça et tu as échoué huit fois au bac ?
Fulbert (piqué au vif) : parce que tu te fais baiser par les riches hommes et qu'ils viennent te déposer dans les grosses cylindrés, tu crois que t'ai au dessus de tout le monde ?
Moi(sec) : oui, oui je suis gonflée et au dessus e tout le monde car ce n'est pas moi qui t'es demandé d'être piéton et vaurien dans ton genre.
Fulbert (rire moqueur) : et c'est le même piéton et vaurien qui t'a engrossé ! Apparemment tu es conne et débile comme moi vu que tu n'as pas été intelligente de ne pas te coucher en bas d'un vaurien.
Moi(le fixant) : ça s'était quand je n'avais pas d'ambition. Maintenant les données ont changé. Et même aujourd'hui si on te prend et qu'on met des guirlandes et des fleurs sur toi, je ne vais pas te prendre.
Fulbert (frustrée) : vraiment, l'argent change l'homme oh ! Moi Fulbert ! Je suis tombé aujourd'hui comme ça ! C'est pourquoi tu fais ton malin sur moi ?
Moi(tranchante) : pardon ne te lances pas des fleurs. Tu n'es pas tombé, tu as toujours été au sol.
Je profite de son moment de choc pour tirer ma fille par le poignée et la prendre avec moi afin que l'on rentre. Elle était assise sur le pas de la porte de cet idiot. Vingt heure et plus qu'il est, il n'a même pas pris la peine de faire prendre son bain à l'enfant, rien. Elle est tout sale. Pfffff !!! Franchement et ça se dit père ! Nous achetons en chemin l'huile de palme de maman puis nous rentrons. Je m'occupe direct de mon enfant. La laver, la nourrir puis dodo. Une fois qu'elle est au lit, je vais enfin prendre mon bain. Quinze minutes plus tard, j'étais sous les draps.
Maman( me réveillant) : je dis oh, et notre affaire de déménagement là c'est comment ?
Moi(sec) : je veux dormir stp, lâches moi !
Maman : hmmm
Le lendemain.
C'est avec le sourire aux lèvres et toute ma bonne humeur que j'arrive au boulot. Même les vigiles ressentent ma joie de vivre car je leurs balance des bonjours joyeux. En plus, je suis très matinale.
: Diane ! Diane ! Diane stp !
À votre avis ça peut être qui d'autre ? Mon superviseur Ali Touré. Je fais mine de l'ignoré. Mais il insiste tellement que je suis obligée de marquer un arrêt.
Moi(froide) : que me veux-tu ?
Ali(bégayant) : euh…enfaite euh…
Moi(arquant un sourcil) : ne me dis pas que tu as avalé ta langue ?
Ali(du tic au tac). Je voudrai m'excuser pour hier….
Moi (le regardant) : et c'est tout ?
Ali(sur le cul) : euh…
Moi(m'en allant) : je ne sais pas pour toi mais j'ai une grosse journée qui m'attend !
Je continue mon chemin en le laissant arrêté là comme un demeuré. Aujourd’hui la bougnoule se fera virer. Avec la potion que baba m'a remis elle n'a aucune chance. Il faut juste que je l'applique comme il me l'a recommandé. C'est-à-dire l'appliquer avec une plume de poulet sur le siège de cette idiote royale et le toure est joué. Trop cool…j’ai trop hâte qu'on la congédie sans préavis.
Arrivée dans le bureau, je guette bien dehors pour vérifier qu'il n'y a personne. Je sors rapidement le fiole que j'ai récupéré ce matin puis je sors la plume que je plonge à l'intérieur de la fiole. J'attends qu'elle s'imbibe bien puis je la sors et de l'appliquer sur le siège de cette villageoise sans style.
Voix(devant la porte) : oh mon Dieu ! J'avais donc raison à ton sujet !
Sur le champs, je suis prise de panique…mes mains commence à trembler et à la fiole et à la plume de tomber. Le contenu plein de cauris et de feuille se renverse au sol. Je veux mourir….
Bella(entrant) : cent jour pour le voleur et un jour pour le propriétaire(scandant) Angela Princia ! Venez voir !
En moins de deux les deux femme accourent pour venir voir de quoi il s'agit. Je suis tellement prise de honte que je n'ose même pas lever la tête pour soutenir le regard de ma patronne. Je veux juste que le sol s'ouvre et que je m'y enterre…
Mme(déçue) : tu peux m'expliquer tout ceci Diane ? J'avais confiance en ton potentiel pourtant !
Moi(morte de honteuse) : ….
Princia(n'en revenant pas) : malgré tout, je t'ai laissé le bénéfice du doute….
Bella(direct) : et en voilà les conséquence !
Je crois que si la honte pouvais tuer, on m'aurait déjà enterré. Malgré moi, mes larmes commence à couler pendant que mon cerveau commande à mes pieds de partir….partir loin de ces regards…qu’ai-je fais ?
Comme si s'était encore possible, je sors en furie du bureau en courant pour fuir la réalité des choses !!!!