Quand détective Cindy s'en mêle

Ecrit par Lulu-marie

Chapitre 26 : Quand détective Cindy s’en mêle

***Cindy***

Moi : c’est quand même bizarre, c’est comme si il n’a pas passé la nuit dans la maison

Orly : Il n’a jamais été agressif

Moi : c’est ce qui m’étonne, je dois chercher à savoir ce qui ne va pas

Orly : Maintenant tu comptes jouer au détective ? 

Moi : Tchrummm

Orly  (Se levant) : en tous cas tu es douée pour ça c’est ton travail 

Moi : Oh c’est ça même

Orly : On mange quoi ce soir ?

Moi : Je ne sais pas

Orly (s’en allant) : Okay

On mange quoi ce soir tchiip viens me manger. 

Je me trompe rarement sur mes suppositions, il faut que je fouille bien. Je dois en savoir plus sur cette histoire. Je prends mon téléphone pour me connecter sur facebook en cherchant le Curtis da Silva en question. J’ai trouvé un type clair qui à l’air grand j’ai téléchargé la photo.

Je me lève pour aller vers elle,

Moi (devant la porte) : Je peux entrer ?

Daph (les yeux rouges) : mais bien sûr entre c’est chez toi

Moi (grondant): je vais me fâcher contre toi si tu continues, tu ne vas pas passer toutes tes nuits à pleurer, il n’y a pas de problème sans solution, cette histoire finira par être réglé

Daph : on devrait voir les parents demain, qu’est ce que je peux bien leur dire ? 

Moi : La vérité Daph, dis la vérité à tes parents

Daph : je ne peux pas, je dois avoir une discussion avec lui d’abord et son numéro ne passe pas.

Moi : Mais arrêtes de pleurer tu te fais plus de mal. Ça me fait mal de te voir comme ça (lui montrant l’image que j’ai téléchargé) c’est bien lui Curtis ? 

Daph (Prenant le téléphone de mes mains) : Oui c’est lui. 

Moi : Okay je reviens

Je suis sortie j’ai fouillé le portable en lançant le numéro de Roland il est commissaire à la gendarmerie national, un ami de longue date, je sollicitais son aide des fois quand une situation m’échappait. Le problème de Daphnée me dépasse un peu et  je ne vois que lui qui pourrait m’aider à faire une petite enquête.

Moi : Allô bonjour Roland

Lui : la dame de fer. Mais dis donc, que me vaut l’honneur de ce coup de fil?

Moi : rire comment tu vas ? 

Lui : Je vais bien

Moi : les enfants et madame?

Lui : Tout le monde se porte bien. Ton mari aussi ?

Moi : oui mon mari également 

Lui : Alors je doute que tu m’appelles juste pour prendre des nouvelles

Moi : Exactement, tu connais. Je veux que tu enquêtes pour moi sur un certain Curtis da Silva

Lui : Cindy je ne suis pas détective

Moi : Je sais oh. Je t’envoie sa photo, Je veux savoir où il vit, ce qu’il fait de ses journées et ce qu’il a fait au cours de cette semaine si possible.

Lui : tu exagères

Moi : Mets tes éléments sur le dossier

Lui : En plus tu donnes des ordres  

Moi : Rends-moi ce service

Lui : Tu veux battre avec qui ?

Moi : Non personne 

Lui : Je te rappel 

Moi : Le plus rapidement possible s’il te plait

Lui : Tu n’es pas possible Okay okay

Moi : Merci Roland, je te revaudrai ça

Lui (amusé) : je sais ça 

Orlando : Quel Roland ton ami le policier la ?

Moi : Il est commissaire maintenant

Orlando : en tous cas moi j’ai faim

Moi : je ne suis pas ton esclave hein

Orly : non tu es ma femme.

J’ai faim j’ai faim tchimm on dirait un enfant. Je suis allée me mettre aux fourneaux malgré la fatigue.

***Darius***

Lui (debout devant moi) : Bonjour patron 

Moi : Oui qu’est ce que c’est?

Lui (me tendant l’enveloppe): un rapport 

Moi (la prenant): quel rapport ? 

Lui : de ce qui s’est passé ce weekend chez votre fille

Moi (le fixant) : Ma fille ? Il s’est passé quoi ?

Lui : Une dispute de couple je suppose 

Moi : grave ?

Lui : oui très grave

Moi : Quoi ? (j’ai ouvert l’enveloppe en sortant les photos qui s’y trouvaient)

Lui : Il y a eu une bagarre dans la maison la nuit du vendredi. Ces deux autres personnes se sont ajoutés (photo)et ils on fait sortir votre fille de la maison. Peu de temps après,  il est sorti à son tour en prenant un taxi il s’est arrêté devant cette maison (photo). Il y est toujours avec la femme et son fils. Dans la maison se trouve aussi une domestique, la mère de la femme et un chauffeur. 

Moi (levant les yeux) : où se trouve ma fille ? 

Lui : Elle est dans la maison du couple Dossa, elle est très proche de la dame, elles travaillent dans la même entreprise 

Moi (énervé): et c’est aujourd’hui que vous me faite le rapport ?

Lui : comme elle n’avait rien

Moi (tapant la table) : Merde elle n’avait rien comment, si il lui arrivait quelque chose ? Depuis vendredi et c’est lundi que vous me faite un rapport. Où se trouve-t-elle présentement ? 

Lui : elle s’est rendue au boulot très tôt ce matin

Moi : sortez je vous rappel

Lui : bien patron. Excusez-moi 

Une bagarre avec ma fille ? Je comprends pourquoi elle avait annulé la rencontre hier en disant qu’il avait un problème familiale à réglé. Prendre ma fille sans mon consentement et ensuite la laisser tomber pour s’installer chez la mère de son fils ? Non mais de qui se fout-on. Et Doris aussi qui me cache les choses. J’ai saisit le fixe en l’appelant directement

Daph : oui allo ?

Moi : Bonjour ma fille

Daph : bonjour papa 

Moi : Ça va ? Tu es où là ?

Daph : au boulot 

Moi : Je veux te voir toute suite

Daph : euh Je prends ma pause dans trente minutes

Moi : Passe au bureau  alors

Daph : Euh ok

Moi : je t’attends

Daph : oui

Click 

Trente minutes plus tard le combinée sonna, la secrétaire m’annonça que ma fille était à l’accueil, je demandais de la faire monter dans mon bureau

Coups contre la porte

Moi : oui

Daph (passant): papa

Je me suis levé en allant la prendre dans mes bras. Contrairement à la  dernière fois que je l’avais vu, elle est pâle. Je l’ai entrainé dans le canapé qui se trouvait dans mon bureau 

Moi : Tu veux boire quelque chose ? 

Daph : Mais non je peux le faire moi-même, je ne suis pas nouvelle. Je venais ici depuis mes quatre ans. 

Moi (souriant) : je sais ça

Moi (direct) : Pourquoi tu ne m’as-tu pas dit la vérité ? 

Daph : La vérité ? 

Moi : Oui  pourquoi la rencontre a été reportée hier

Daph : Parce qu’il avait un problème familiale à réglé

Moi : Tu mens. Je suis au courant que vous vous êtes disputés jusqu'à en arrivé aux mains, pire tu as quitté la maison et lui aussi

Daph : oh

***Daphnée***

Comment papa est il au courant, qui le lui a dit. Il n’y a pas de doute c’est Cindy. Quand maman m’a appelé hier, j’ai simplement mentir en disant que Aldrich avait un problème familiale à réglé et qu’on était obligé de reporter.

Papa : Oui et tu vas me dire ce qui s’est  passé

Moi : papa, je vais régler ça.

Papa (dur): Réglé ça de quelle manière dit moi s’il n’a même pas l’audace de se présenter

Je suis sûre que Cindy est derrière tous ça, sinon comment aurait il été au courant de l’histoire ? Mais comment Cindy connait t’elle mon père, vraiment tout ceci me laisse perplexe. 

Papa : je veux savoir ce qui s’est passé, 

Je lui ai raconté intégralement comment les choses se sont passées

Papa : Il a bu ? 

Moi : non Aldrich ne boit pas. Tu sais que les disputes n’en manquent jamais dans les couples. Et s’il te plait que maman ne l’apprenne pas,

Papa : Elle va l’apprendre parce tu vas lui expliquer toi même à ton retour.

Moi : mon retour ? 

Papa : Oui tu iras prendre tout ce qui t’appartient et tu reviens à la maison 

Moi (cœur battant) : non papa, pourquoi ? 

Papa : Tu es ma fille et je ne tolère pas qu’on te fasse souffrir

Moi : Je ne souffre pas, 

Papa : Je ne vais pas attendre d’avoir le cadavre de ma fille sous les yeux avant d’agir

Moi : mais papa comment tu peux dire ça ? 

Papa : Je ne vais pas me répéter 

Moi (sentant les larmes) : non je ne vais pas faire ce que tu me demandes

Papa : je ne te demande pas, je te l’ordonne

Moi : pourquoi tu fais ça, tu as toujours été là, pour moi, tu m’as toujours soutenue, maintenant pourquoi tu me fais ça ? 

Papa : Chérie je ne te veux aucun mal je te l’ai déjà dit,  je ne permettrai pas que quelqu’un te fasse souffrir. Et si je te demande de revenir à la maison, c’est pour ton bien. 

Moi : laisses moi faire ça va s’arranger entre nous, je le sais 

Papa : Daphnée

Moi : Pour le moment je suis chez une amie, je te promet d’arranger ça et je ne te cacherai plus rien mais s’il te plait laisses moi  faire à ma manière.  

Papa : Doris 

Moi : S’il te plait papa

Papa : D’accord mais dans une semaine, si je n’ai pas des nouvelles, je vais agir 

Moi : oui je te promets

Papa : d’accord tu as le temps pour qu’on déjeune ensemble ?

Moi (portant un regard à ma montre) : oui j’ai encore 1h

Papa : suffisamment alors, suis-moi. 

Il s’est levé et je l’ai suivit en fermant la porte derrière moi. Nous avons longé le couloir en nous dirigeant vers l’ascenseur. 

Moi (curieuse) : Au fait papa ?

Papa : oui madame ? 

Moi (me grattant la tête) : Humm comment tu as appris euh…

Papa (souriant) : Jusqu’à preuve de contraire je suis ton père n’est ce pas ?

Moi : Oui

Papa : Donc j’ai mes contacts

Moi : c'est-à-dire ?

Papa : Tu ignores beaucoup

Moi : Dis moi donc

Papa : Un jour tu le sauras

Moi : C’est Cindy il n’y a pas de doute

Papa : qui ?

Moi (me collant à lui): non rien 

Nous avons déjeuné comme deux amoureux. Ça m’a permit d’oublier un temps soit peu mon problème. Je suis retournée au boulot, c’est papa qui m’a déposé et le soir je suis rentrée avec Cindy. Retour à la réalité. J’ai essayé plusieurs fois le numéro d’Aldrich mais c’est peine perdue. Au passage Cindy dit n'avoir rien raconté à mon père, qu'elle ne l'a jamais vu d'ailleurs et je la crois.  Reste à savoir comment papa l'a su.  

Après le diner, je suis allée m’enfermer dans la chambre. Avec Orlando dans les parages j’ai un peu honte de le regarder surtout à cause de son altercation avec Aldrich, je me suis excusée en son nom. Qu’est ce que je pouvais faire d’autre (soupire). 

[…]

Mes journées on été pareille jusqu’à la fin de la semaine, pas de nouvelles d’Aldrich, je ne suis pas non plus repartie à la maison. Plus je pense à ça, plus mon cœur se serre d’avantage. Dieu que j’ai mal, j’ai énormément mal. 

Cindy (faisant son entrée) : Ma belle 

Son air sérieux m’inquiétait

Moi : Tu as des nouvelles, il va bien ? Il est où ? 

Cindy : oui j’ai des nouvelles, il va bien 

Moi (soulagé) : Il est où ? Chez sa mère ?

Cyndi : oui 

Moi : tu lui as parlé ? 

Cindy : Non. Je veux que tu me donnes l’adresse de la maison 

Moi : Tu veux que je t’accompagne ? 

Cindy : Non laisses moi faire 

Moi : Okay  tu as de quoi noté ? 

Cindy : Oui je reviens je vais prendre un stylo et une feuille

***Cindy***

Bien sûre que j’ai menti Aldrich n’est pas chez sa mère. J’ai fait mes enquêtes au cours de la semaine. Il vit chez Suzanne et depuis il ne s’est pas rendu au boulot, à croire qu’on l’a enfermé dans la maison. Roland m'a donné des informations sur ce Curtis, et moi même je me suis débrouillée. Concernant le Curtis, c’est un opérateur économique qui ne se plaint pas. Il aime s’amuser, passer de femme en femme. Dans mon rapport, il est dit qu’il est en contact avec cette Suzanne, cela ne m’étonne pas qu’ils aient une histoire ensemble. Me basant sur ce que j’ai, cette femme est une fêtarde et ce qui est bizarre Sandra se retrouve au milieu des deux.J’en reviens donc à deux hypothèses soit c’est un complot entre Curtis et Suzanne pour prendre les photos et les balancer à Aldrich ou soit c’est entre l’autre folle à qui j’ai cassé la gueule et cette pétasse de Suzanne.Je mise plus sur la seconde. 

Si je demande l’adresse de la belle mère c’est pour agir avant qu’il ne soit trop tard. Nous sommes en Afrique et j’ai assez d’expériences pour savoir qu’Aldrich n’est pas en lui-même. Sinon comment expliquez vous qu’un homme qui n’a d’yeux que pour sa petite amie change brutalement et ceci la veille des présentations de sa belle famille. 

Orlando (passant la main devant mon visage) : Tu rêves ? 

Moi (émergeant) : Ohh

Orly : tu penses à quoi ? 

Moi (m’asseyant) : à la situation

Orly : tu le lui as dit ? 

Moi : non. Je n’ai pas pu, Daphnée est très fragile

Orly : Elle finira pas le savoir. C’est une situation qu’elle doit affronter

Moi : ça me peine de la voir ainsi. Je lui épargne la souffrance 

Orly : Et ce n’est pas en lui cachant la vérité qu’elle ira mieux non plus.  

Daph : quelle vérité ? 

Moi(tournant la tête) : Daph…

Daph : Cindy qu’est ce que tu ne m’as pas dis ? 

Moi : écoute-moi

Daph : tu devrais prendre de quoi noté l’adresse mais tu ne venais pas et je suis sortie voir ce que tu faisais. 

Moi : oh  le stylo

Daph (me  regardant): ne t’échappe pas qu’est ce que tu ne m’as pas dit

J’ai jeté un regard vers mon mari je voulais qu’il nous laisse seule. Il a comprit il s’est levé

Daph (le regardant): Orlando ? 

Orly : je vous laisse 

Il m’a fait un clin d’œil avant de s’éclipser

Moi : Prends place s’il te plait (ce qu’elle fait). 

Daph : Cindy arrêtes de vouloir me protéger à chaque fois, je suis une grande fille et quelle que soit le degré du problème, je vais le surmonter.

Moi (long soupire) : C’est Aldrich

Daph : je sais que c’est de lui qu’on parle puisque c’est à cause de lui que je me retrouve dans cette situation. 

Moi : Okay je ne t’ai pas dit toute la vérité, il ne vit pas chez sa mère.

Daph : il est où alors dans un hôtel ? 

Moi : il est chez la mère de son fils depuis tout ce temps

Daph : ….

Moi : chérie

Daph : Aldrich ne peux pas me faire ça

Moi : désolée

***Daphnée***

Moi (picotement dans les yeux) : Non il ne peut pas

Je me suis levée en direction de la chambre que j’occupais. J’ai essuyez du revêt de la main les larmes qui coulaient déjà sur mes joues. Il ne mérite pas que je verse une seule larme de plus pour lui

Cindy (entrant dans la pièce) : Daphnée

Moi (prenant mon portable): Emmène moi à la maison s’il te plait

Cindy : pourquoi faire  ? 

Moi (et le trousseau de clé): récupérer toutes mes affaires, 

Cindy : Daphnée

Moi : Tu m’accompagnes ou j’irais sans toi

Cindy : d’accord mais réfléchis bien 

Moi : j’ai assez réfléchir pour comprendre que depuis tout ce temps il se foutait de moi, (snif).J’ai assez réfléchir pour comprendre qu’il ne vaut pas mieux. Il n’a pas eu le courage de me dire en face qu’il s’installait chez la mère de son fils (snif). Et bête que je suis, je m’inquiétais pour lui. Il n’a pas le cran de m’approcher, il a coupé sa ligne (essuyant nerveusement les larmes). Il s’est simplement foutu de moi, il m’a juste humilié devant mes parents. 

J’ai dépassé Cindy et je suis allée l’attendre dans le garage. Elle m’a rejoint aussitôt en démarrant. 

La maison se trouvait dans le noir et je remarque qu’elle était telle qu’on l’avait laissé la dernière fois. En entrant dans la pièce, impossible de respirer. L’odeur du repas d’une semaine, c’était, nauséabonde non ce n’est pas possible. On a du boucher le nez avant de passer. 

J’ai descendu mes valises en ouvrant les placards j’ai vidé tout ce qui étaient miens, Je suis allée dans la douche prendre mes produits de toilette. J’ai ramassé tout et tout ce qui m’appartenait dans cette maison sauf mes ustensiles de cuisines.

Nous avons fait plusieurs allers retours en mettant les valises dans le coffre avant de sortir. J’ai fermé ses portes et jeté le trousseau de clé par dessus le mur. J’ai demandé à Cindy qu'on laisse les valises dans le coffre. Dès demain je retourne dans la maison de mon père. La relation Aldrich Daphnée, je tire un trait dessus.

***Clémentine*** (mère de Aldrich)

Elise : Madame, il y a une femme qui demande à vous voir

Moi : une femme? C’est quoi son nom ?

Elise : Cindy Dossa.

Moi : Cindy Dossa ? Ce nom ne me dit rien. Installe la dans le séjour j’arrive

Elise : d’accord madame

Ce nom ne me dit rien du tout, je n’ai pas tardé à descendre dans le séjour pour voir une jeune dame élégante et imposante devant moi.

Elle (s’abaissant) : Bonjour madame

Humm respectueuse en plus

Moi : Bonjour Madame Dossa, c’est bien ça ? 

Elle : oui, mais appelé moi Cindy, s’il vous plait. Vous êtes à la place de ma mère.

Moi (asseyez vous) : Elise ne vous a servi rien que de l’eau ?, HA Elise, il n’y as pas de jus dans le réfrigérateur ?

Cindy : non madame, ne vous gênez pas, ça va. 

Moi : ah tant mieux alors. Que me voulez vous Cindy ?

Moi : Voilà excusez-moi pour le dérangement, je ne vous connaissais pas .Je suis un proche de votre fils Aldrich. Enfin l’amie de sa compagne Daphnée Alambi

Moi (me redressant) : Mon fils à quoi ? 

Elle : voilà il se passe quelque chose que vous ignorez sûrement, même si je ne suis pas mère, je sais qu’une mère serait capable de tout pour son enfant. Je ne peux pas être assise et voir ça.

Moi (la peur au ventre) : Mon fils à quoi ? 

Cindy : je ne peux pas dire exactement ce qu’il a mais, votre fils ne va pas bien madame

Moi : Jeune femme, allez droit au but

Cindy : Votre fils est sous l’emprise d’une vipère

Moi : cette Daphnée ? 

Cindy : Non Suzanne la mère de son fils. 

A suivre…

Forcer le destin